Flux RSS
Cloud computing
904 documents trouvés, affichage des résultats 291 à 300.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(03/06/2011 10:26:18)
La filière IT Bretonne retrouve des couleurs
Avec 36 ans d'existence, Granit est l'une des plus anciennes associations françaises dédiées aux acteurs de l'informatique et des télécoms. Née à Rennes, où son siège est toujours basé à la Chambre de Commerce et d'Industrie, Granit compte aujourd'hui plus de 70 entreprises adhérentes, dont 20% de donneurs d'ordre, auxquels l'association s'est ouverte voilà seulement deux ans.
Granit est actuellement présidée par François Ignaczak, par ailleurs Secrétaire Général de Somaintel, SSII et intégrateur filiale du Crédit Agricole qui emploie plus de 500 personnes au niveau national sur 35 sites.
Pour l'association Granit, la priorité reste de recruter de nouveaux adhérents, « ce qui passe notamment par la création de plusieurs collèges, dédiés aux donneurs d'ordres, à la recherche, ou au recrutement », analyse François Ignaczak.
Améliorations en 2011
« En Bretagne comme ailleurs, la filière IT a connu des moments difficiles après 2008. En association avec l'Afeit, une autre association IT de Bretagne, nous souhaitions mesurer la réalité des améliorations en déclinant au niveau régional l'enquête menée par Syntec Numérique à l'échelle nationale, explique François Ignaczak. Notre principale conclusion montre que les signes d'une sortie de crise sont bien réels.»
Parmi les principaux chiffres, on peut retenir que la filière numérique bretonne emploie 16 600 personnes et qu'entre 3 000 et 4 000 emplois devraient être créés en 2011 dans cette région (contre 20 000 au niveau national).
Au sein du panel d'entreprises interrogées par Granit, on note ainsi que 60% d'entre elles ont enregistré une hausse de leur carnet de commandes au 1er trimestre 2011. « Au-delà de ce signe, nous constatons que quasiment tous les segments du marché IT ont gagné en dynamique, analyse François Ignaczak. Dans l'ordre décroissant, les progressions les plus importantes sont enregistrées dans le domaine du conseil, chez les éditeurs de logiciels, dans le secteur de l'Internet et dans l'écosystème du cloud computing, ce qui comprend les datacenters et les acteurs du SaaS. » (...)
Orsyp Institute dévoile une mesure de la performance des opérations informatiques
Mesurer la performance des opérations informatiques se faisait jusqu'à présent uniquement via la multiplication d'indicateurs parcellaires comme le coût, des indicateurs-clés, des benchmarks ponctuels ou la perception de la qualité de service. Cette situation ne convenait pas à Orsyp Institute. Il a donc réuni une vingtaine de responsables informatiques de tous secteurs en 2010 pour constituer un groupe de réflexion à ce sujet. Le résultat des travaux se nomme le TRS : le taux de rendement synthétique.
Celui-ci s'exprime sous forme d'un pourcentage et est issu des travaux précédents du secteur industriel. Orsyp Institute estime que le TRS comble un manque important pour le pilotage par la performance à l'heure où la production informatique est un facteur déterminant de la survie d'une entreprise. Cela serait d'autant plus vrai que la production, grâce à la virtualisation, peut être aisément externalisée, notamment via l'informatique en nuage.
Une alliance pour contrer VMware
HP, IBM, Red Hat, Intel, Eucalyptus Systems et Suse ont annoncé la semaine dernière la création de l'Open Virtualization Alliance (OVA). Le consortium souhaite promouvoir l'adoption de technologies de virtualisation Open Source et encourager l'interopérabilité entre les solutions. Au centre de l'alliance, le KVM (Kernel-based Virtual Machine), un hyperviseur libre concurrent des outils de VMware et de Microsoft.
Une initiative anti-VMware?L'initiative vise plus ou moins explicitement VMware, qui, partie de la virtualisation, étend peu à peu sa domination à d'autres domaines dont le cloud, au point que le site spécialisé Gigaom qualifiait récemment la société de «nouveau Microsoft». Scott Crenshaw, vice-président cloud chez Red Hat déclare à ce propos dans le communiqué de l'OVA: «Lorsqu'une entreprise domine une industrie, l'innovation en souffre et les clients en payent le prix». D'autres commentateurs estiment toutefois que la nouvelle alliance va surtout nuire à Citrix et à son hyperviseur Xen. IBM aurait ainsi l'intention de se focaliser sur KVM en lieu et place de Xen.
Favoriser l'interopérabilitéL'interopérabilité entre les solutions de virtualisation est sans conteste un aspect crucial pour l'essor du cloud et pour les décideurs informatiques qui veulent éviter de se retrouver coincés avec un fournisseur. Pourtant, si l'Open Virtualization Alliance pousse l'hyperviseur KVM, elle reste vague en matière d'interopérabilité. D'autre part, des initiatives dans ce sens existent déjà, à l'instar d'OpenStack, qui supporte la plupart des outils de virtualisation dont vSphere, Xen, Hyper-V, et KVM.
www.itcjournal.ch (...)(01/06/2011 11:04:01)Ecocloud, un centre européen du cloud à Lausanne
L'EPFL à lancé aujourd'hui son projet Ecocloud, un consortium de 12 laboratoires travaillant à des projets de recherche dans le domaine du cloud computing et des centres de données. Doté d'un budget annuel de 1,4 millions de francs, le centre compte également plusieurs entreprises privées affiliées parmi lesquelles HP, IBM, Intel, Microsoft, Oracle ou encore Credit Suisse. Babak Falsafi, directeur du projet et professeur au Laboratoire d'architecture de systèmes parallèles de l'EPFL, espère faire d'Ecocloud «un centre de compétences reconnu au niveau européen dans le domaine du cloud computing».
Améliorer l'efficacité énergétique
Réunis au Rolex Learning Center, les intervenants ont expliqué combien l'essor du cloud computing répondait à une production et à une demande croissantes de données de la part des particuliers, des entreprises et du monde académique. Un développement supporté en arrière-plan par des centres de données consommant des quantités toujours plus importantes d'énergie.
Le projet d'Ecocloud est ainsi de développer des technologies permettant d'améliorer l'efficacité énergétique globale de cette nouvelle informatique et donc de garantir le développement durable du secteur. Un défi de taille étant donné que l'évolution des processeurs ces dernières années ne s'accompagne plus de gains en efficience. «Nous sommes face à un mur énergétique», explique Babak Falsafi.
Le projet Ecocloud comprend plusieurs axes de recherche, parmi lesquels la gestion de données sous la direction d'Anastasia Ailamaki (Data-Intensive Applications and Systems Lab) et l'efficacité énergétique sous la direction de David Alienza (Embedded Systems Lab). Dans le domaine de la gestion de données, les recherches se centrent sur le développement de middleware associant l'extensibilité caractéristique du cloud (big data, no SQL) et les atouts des bases de données classiques (robustesse, sécurité).
En ce qui concerne l'efficience énergétique, plusieurs pistes sont explorées. D'abord l'amélioration des composants eux-mêmes (refroidissement liquide des processeurs, matériel spécialisé pour certaines tâches, prévisibilité des défaillances). Ensuite, une meilleure intégration des couches de composants de façon à optimiser leur consommation énergétique totale, par exemple en permettant aux équipements réseau de recevoir des informations des applications sur leurs besoins en connectivité. A terme, la vision d'Ecocloud est de pousser l'intégration sur l'ensemble de la chaîne, du terminal à l'approvisionnement énergétique.
Illustration principale : Pour la keynote, Ecocloud a pu compter sur Jim Larus, directeur du groupe de recherche extreme computing chez Microsoft
www.ictjournal.ch
Lady Gaga paralyse le cloud d'Amazon MP3
Une fois de plus le cloud d'Amazon n'a pas tenu la charge. « Born this Way », le deuxième album de Lady Gaga proposé au prix record de 99 cents, contre 7 dollars habituellement, sur le site a entrainé une véritable ruée sur Amazon mp3 et un arrêt momentanée du service durant une dizaine d'heures. On estime à 440 000 exemplaires les ventes effectuées durant les deux jours de promo (les 23 et 24 mai) et à 1,15 million les ventes totales (38% pour Amazon). iTunes Store de son coté, la première plate-forme de vent de musique en ligne, aurait écoulé 200 000 copies, soit 17,4% du total (sources Billboard).
Les fans de la chanteuse de variété n'ont pas été les seuls à vouloir profiter de l'aubaine. Le service Cloud Drive - concurrent de Google Music et de l'Apple iCloud - stocke en effet la discothèque virtuelle de l'utilisateur sur les serveurs d'Amazon. Il suffit d'une connexion internet pour y avoir accès. Et comme tout achat d'album sur Amazon mp3 ajoute 20 Go aux 5 gratuits offerts à l'inscription, on comprend la bonne opération réalisée avec la sortie du disque de la chanteuse américaine. 99 cents de musique d'ascenseur ont donc permis à des milliers de petits malins d'étendre de 20 Go leur espace de stockage en ligne.
L'effet Lady Gaga était également destiné à fournir une avance conséquente au service d'Amazon sur ses deux concurrents, Google Music toujours en bêta et Apple iCloud qui sera lancé le 6 juin prochain.
Microsoft structure son réseau de partenaires cloud
Microsoft annonce 536 partenaires certifiés cloud essentials et 18 cloud accelerate en France. Pour cette dernière, le partenaire doit présenter trois références clients et des ingénieurs formés et certifiés. Ces deux certifications, l'une en 1er niveau, l'autre pour les partenaires très importants, constituent le fer de lance de l'éditeur pour promouvoir le cloud avec son channel. Au mois de janvier dernier, Microsoft comptait 283 essentials et 2 accelerate.
A ces deux certifications de base, l'éditeur ajoute trois éléments. La plateforme de téléchargement pinpoint d'abord, elle compte 5 500 partenaires référencés depuis son lancement en 2010, plus de 80 000 visiteurs et plus de 13 000 leads générés pour les revendeurs. Quant à la plate-forme de services cloud Azure (destinée aux développeurs) elle a généré la création d'un cercle de partenaires, le Azure-Partner Circle, qui compte en France 23 certifiés. Microsoft propose également, depuis deux mois, Windows Intune, un service en SaaS de gestion de parcs de PC, vendu par le partenaire.
Ces différents modules et leur montée en charge rapide, montrent la volonté de Microsoft de certifier ses partenaires pour le cloud. L'année 2010/2011, qui se termine fiscalement fin juillet, aura été celle d'un profond renouvellement pour l'éditeur dans sa politique channel. Sur un plan général, il a remplacé son ancien programme par MPN, Microsoft certifie 8 à 9 nouveaux partenaires chaque semaine sur ce programme.
What's Next : Le monde Java pense à l'avenir sans Oracle
Le Grand Rex à Paris a été choisi comme lieu de rendez-vous de la communauté Java pour l'évènement What's Next. Créée à l'initiative de Zenika, spécialiste en technologies Open Source et méthodes agiles, de nombreux participants sont venus écouter, apprendre et comprendre l'intérêt de ce langage pour d'autres acteurs. Parmi ces derniers, on peut citer Microsoft, Alfonso Castro, en charge de l'interopérabilité chez Microsoft indique « nous souhaitons attirer les développeurs Java vers notre plateforme cloud Windows Azure. Des travaux ont été réalisés pour créer des API et des SDK Java en collaboration avec Eclipse qui nous permet sur Windows Server de faire du portage de code Java » et d'ajouter « des réalisations concrètes de ces partenariats existent comme les solutions de Bonitasoft ». La main tendue par Microsoft a également été relayée par Niel Gafter, récente recrue de la firme de Redmond qui a passé 15 ans chez Sun et reste un membre reconnu de la fondation Apache.
Autre acteur qui cherche à séduire la communauté, Spring Source, propriété de VMware. Adrian Colyer, CTO de Spring et grand ordonnateur de la plateforme CloudFoundry, dans son intervention inaugurale sur les applications en entreprises, a exhorté les développeurs à prendre en compte les différentes évolutions, les différents terminaux, les interactions entre applications, les passerelles avec l'univers des réseaux sociaux, etc... « les développeurs ont besoin d'aller plus vite mais aussi de cible leur intérêt » et d'ajouter « nous proposons la création de modules spécifiques comme Spring Mobile, Spring Social, Spring Data ».
Des websockets au RIA
Le spectre des intervenants à l'évènement était large. Pour preuve, la présence de la société Kaazing en la personne de Bryan Drisdale, directeur technique de la zone EMEA. Elle est spécialisée sur les websockets, il s'agit d'un standard du web, intégré dans HTML5, qui vise à développer un canal de communication bidirectionnel et full-duplex sur un socket TCP pour les navigateurs et les serveurs web. L'objectif pour Bryan Drisdale est « d'avoir une meilleure expérience utilisateur en proposant un dialogue en temps réel, ce protocole donne une faible latence pour l'éxécution des applications java ». Souvent mis en concurrence avec http, les websockets disposent elles aussi d'un protocole sécurisé, nommé web sockets secure qui gère l'authentification et le chiffrement des données échangées. Bryan Drisdale a résumé l'intérêt pour ce type de communication notamment dans une optique de cloud, « les web sockets sont le TCP pour le cloud » et d'indiquer que Kaazing travaille pour intégrer cette technologie au sein de terminaux tels que les compteurs intelligents ou les équipements RFID.
Du général au particulier, il n'y a qu'un pas quand on discute avec Michael Chaize, évangéliste de la plateforme Flash chez Adobe. Son leitmotiv est l'expérience utilisateur, « beaucoup de projet s'interroge sur l'aspect technique, mais la bonne question est quel est votre problème » et de citer des projets comme celui du Crédit Agricole NICE qui comprend une partie RIA (Rich Internet Application) pour faire converger l'interface utilisateur des sites clients et des agences. Ce programme a été développé en Java. Un autre axe important pour la communauté Java et pour Adobe est, la mobilité à travers les smartphones et les tablettes. L'expérience utilisateur est très importante sur ce genre de terminaux, qui a un impact fort sur la prise de décision. Michael Chaize précise qu'Adobe a noué des partenariats avec Spring Source par exemple pour optimiser les flux de données pour faire du temps réel.
Au final, la conférence qui s'est tenue sur 2 jours a été riche d'enseignement pour la communauté Java qui a balayé le champ des possibles. On en aurait presque oublié le grand absent de cette manifestation, Oracle...
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |