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Cloud computing

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(10/12/2010 12:12:28)

Tribune de Samir Koleilat : Les PME face au Saas et au Cloud, un nuage qui cache l'horizon

Crise financière, économique, sociale... affronter les crises fait désormais partie de la vie quotidienne des entreprises, en particulier des PME. Un combat qui nécessite de mieux anticiper les évolutions économiques et technologiques, de mieux évaluer les conditions de développement et les sources d'économie et finalement de mieux choisir les priorités et les investissements.

Pour les PME, les choix d'équipements informatiques et télécoms sont déterminants, car ils représentent à la fois un investissement important et la condition nécessaire pour mieux communiquer, mieux travailler, être plus réactif et plus compétitif. Or, dans le domaine des choix informatiques et télécoms, les responsables de PME sont confrontés à des avis contradictoires. Ce n'est pas nouveau: on a connu les mêmes interrogations ces dernières années avec la téléphonie sur IP, les systèmes de sécurité VPN, la visioconférence, les offres de télécommunications unifiées...

Le SaaS et le Cloud n'échappent pas à la règle: Cloud et Saas sont-elles les solutions qu'attendaient les PME? Le risque de perte de maitrise (sécurité, confidentialité) est-il une réalité? Comment le déploiement de la fibre optique et du très haut débit bouleversent-ils les prévisions d'hier?

Essayons d'y vois plus clair, en commençant par un petit retour en arrière...

Pour lire la suite de cette tribune libre, rendez-vous sur notre blog experts

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(09/12/2010 16:45:04)

BMC et Cisco s'allient sur le cloud computing

Cisco continue de structurer ses partenariats dans le cloud computing. Après une implication importante auprès d'EMC et VMware, via l'alliance VCE et leur structure de distribution Acadia, l'équipementier américain vient de se rapprocher de BMC Software. Le fruit de cette collaboration est déjà connue, la solution se dénomme Integrated Cloud Delivery Platform. Selon les deux protagonistes, ce service intègre à la fois Cloud LifeCycle Management (CLM) de BMC, une solution complète d'orchestration et de gestion du cloud, ainsi que la solution Unified Service Delivery de Cisco pour assurer la connectivité des datacenters. L'objectif de cette approche est d'éliminer plusieurs des étapes manuelles complexes requises pour mettre en place et fournir un service cloud. La plateforme concerne aussi bien les clouds privés, publics ou hybrides.

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(09/12/2010 16:40:20)

Juniper se renforce dans la sécurisation de la virtualisation avec Altor

Il y a quelques semaines, Juniper avait racheté Trapeze Networks, aujourd'hui  le spécialiste réseaux et sécurité a déboursé 95 millions de dollars en cash, pour acquérir Altor.  Cette dernière a développé un pare-feu basé au niveau de l'hyperviseur, une détection des intrusions (IDS), des outils de visibilité et de surveillance du réseau, ainsi qu'un reporting pour la mise en conformité.

La solution d'Altor vise à vérifier et contrôler la sécurité à travers l'infrastructure de machines virtuelles. L'objectif est de comprendre comment s'effectue l'échange d'applications, de services et de trafic entre les VM. Altor Networks avait été fondée en 2007 par des spécialistes de la sécurité et des réseaux venus de Check Point Software, Cisco, et Oracle. Au début de 2010, Juniper Networks avait investi via son fonds d'investissement, Junos Innovation Found. (...)

(09/12/2010 14:56:12)

SalesForce.com rachète Heroku et sa plate-forme PaaS Ruby

L'annonce par Salesforce.com du rachat d'Heroku, qui propose une plateforme PaaS (Platform as as service) pour la conception d'applications en Ruby, vient confirmer que le spécialiste du CRM veut se positionner comme guichet unique pour le développement dans le cloud. La gamme de services d'Heroku va passer sous la marque Salesforce.com. La plateforme sert de socle à plus de 100 000 applications écrites dans le langage Ruby, très répandu. « C'est un positionnement vers les développeurs d'applications de prochaine génération, en particulier de logiciels pour réseaux sociaux et appareils mobiles », a déclaré Ray Wang, directeur général et analyste de Constellation Research.

La technologie Heroku va compléter la plate-forme Force.com de Salesforce.com (surtout utilisée par les éditeurs de logiciels indépendants et les entreprises pour développer des applications métiers transactionnelles), ainsi que le partenariat récemment entre VMForce et VMware pour le développement Java en entreprise. Salesforce.com, qui dispose également de technologies pour développer des sites web et des applications départementales, a annoncé ce mardi la création d'un nouveau service Database.com. Une fois l'opération de rachat terminée (la finalisation est prévue pour l'an prochain), Heroku sera le tout dernier membre à intégrer le pool des technologies de développement baptisé Force.com 2.

Des tarifs basés sur le temps d'utilisation du service


Heroku déploie des applications Ruby à l'intérieur de conteneurs appelés « dynos » dont chacun fonctionne de façon indépendante sur une grille (Dynogrid). Les Dynos savent encapsuler la logique d'application, le framework de développement, le middleware, le serveur d'application, la machine virtuelle et d'autres couches.  Le nombre de dynos exécutés pour une application donnée, a un impact direct sur la performance globale de l'application, indique le site web de Heroku qui détaille le mode de fonctionnement.

Comme d'autres offres PaaS, Heroku applique également des tarifs rapportés au temps d'utilisation. « Certains développeurs se plaignent que le service coûte cher, mais vous en avez pour votre argent », estime Michael Coté, analyste chez Redmonk. « Il existe des offres moins chères, mais dans ce cas, vous avez juste une infrastructure cloud seule, qui n'inclut aucun service réel, ni middleware. »
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L'annonce de l'achat de Heroku par Salesforce.com donne un sens au lancement de Database.com laquelle permet aux clients d'utiliser son infrastructure de base de données sous-jacente. Il ne fait pas de doute que Salesforce.com va faire la promotion de Database.com auprès des clients d'Heroku afin de les inciter à l'utiliser comme vitrine pour leurs applications. Mais Heroku offre déjà sur sa plate-forme un service de base de données basé sur PostgreSQL. « C'est vraiment important, pour nous et pour Salesforce.com, qu'il n'y ait pas de changement en ce qui concerne notre base installée », a déclaré James Lindenbaum, le co-fondateur de Heroku dans une interview téléphonique à notre confrère D'IDG NS, Chris Kanaracus. « Nous voulons absolument continuer à la supporter, avec l'objectif de proposer davantage de choix au fil du temps. Cette base sera un des choix possibles. »  Heroku ne prévoit pas non plus de quitter son hébergement actuel chez Amazon Web Services. « Nous tenons absolument à rester là où nous sommes. Nous allons probablement étendre nos hébergements à d'autres datacenters et à d'autres fournisseurs, mais les décisions serons prises en fonction des choix d'utilisation du client », a déclaré James Lindenbaum.

Des points communs entre Salesforce.com et Heroku

Parker Harris, co-fondateur et vice-président exécutif de la technologie chez Salesforce.com, a confirmé que l'accord prévoyait que le transfert se ferait sans interruption de service pour les clients actuels de la plateforme PaaS rachetée. « Notre objectif est de reprendre sa stratégie et sa mission, de l'enrichir et d'accélérer son succès. Heroku continuera à être Heroku. Et davantage encore », a t-il écrit dans billet de blog.

« Il y a des parallèles évidents entre les entreprises », a ajouté le responsable de Salesforce.com. D'abord, le support de l'architecture multi-tenant et la même vision sur ce que doit devenir le cloud computing. Ensuite, l'engagement « quasi religieux » d'Heroku pour construire un service intelligent, qui fonctionne bien. Enfin et surtout, le dévouement d'Heroku pour ses développeurs - les clients de son service - m'a beaucoup impressionné.

Heroku : des applications plus techniques que celle de Salesforce

L'analyste Michael Coté voit tout de même quelques différences culturelles entre les deux sociétés, «  mais cela ne l'emporte pas sur les aspects positifs potentiels », estime-t-il. « La base d'applications de Heroku est de toute évidence un peu plus technique que celle de Salesforce, plus professionnelle. Mais Salesforce veut clairement entrer dans le développement d'applications plus générales, et Heroku cadre bien avec cet objectif », a t-il ajouté. « Heroku a récemment réalisé un tout nouveau système de gestion du cycle de vie des applications (ALM) pour les logiciels Ruby exécutés dans le cloud. S'ils parviennent à l'étendre pour le faire fonctionner avec les API (interfaces de programmation) de Salesforce, les bases de données, et la plate-forme Force.com, cela profitera aux deux communautés. »

Mais Salesforce.com regarde aussi clairement au-delà du développement d'applications et cherche à accroitre son influence auprès des entreprises, souligne également Michael Coté. Il fait remarquer la récente annonce d'un service de gestion informatique RemedyForce, en partenariat avec BMC. « Salesforce essaie d'avoir une plus grande emprise sur le monde IT en balayant tout ce à quoi peut ressembler un « département IT » dans un monde Cloud/SaaS, » juge l'analyste de Redmonk. (...)

(09/12/2010 10:14:09)

Une place de marché spéciale cloud computing

La montée en puissance du cloud computing est fulgurante depuis quelques semaines et ne peut que rappeler l'avènement lui aussi extrêmement rapide d'Internet voilà 10 ans. Qu'est-ce que cela va changer pour les revendeurs et les prestataires IT ? Notre confrère Distributique.com publiera un important dossier sur le sujet dans les jours qui viennent, mais avant, il faut noter la création d'une place de marché unique en France, dont la vocation est de mettre en relation les fournisseurs de solutions en mode cloud computing et les acteurs de la vente indirecte.

Baptisé revendreducloud.com, le site vient d'être lancé par Pierre-José Billotte, par ailleurs Président de l'association EuroCloud. « Le jour du lancement, le 8 décembre 2010, nous mettions en avant les services de 18 fournisseurs, avec pour but de les mettre en relation avec plus de 10 000 partenaires potentiels, explique Pierre-José Billotte. Il faut noter que notre campagne d'information vers les revendeurs débutera le 17 décembre et que le nombre de fournisseurs sera plus important dès cette date. Notre objectif est d'en rassembler plus de 100 avant fin 2012. »

Quel modèle économique ?

La première question que l'on peut légitimement se poser est celle du modèle économique de cette place de marché. « Le point essentiel est que le service est absolument gratuit pour les revendeurs, affirme Pierre-José Billotte. Et en ce qui concerne les fournisseurs que nous référençons, ils ne paient pas « à l'entrée », mais en fonction de ce que les revendeurs avec lesquels nous les aurons mis en relation généreront comme ventes. Ce n'est donc pas la mise en relation qui est facturée, mais le chiffre d'affaires, à hauteur de 5%. »

Une fois en contact, le fournisseur et le revendeur contractualisent librement leur relation commerciale. N'y a-t-il pas un risque que la place de marché ne perçoive pas les 5% attendus ? « Nous avons mesuré ce risque et nous estimons qu'il est très faible. Certains fournisseurs seront sans doute tentés de le faire, mais ils ne le feront qu'une fois, car la réputation est le capital le plus précieux sur une place de marché et les intervenants indélicats seront logiquement déréférencés de façon immédiate », conclut Pierre-José Billotte.

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(08/12/2010 10:55:43)

Dreamforce 2010 : Database.com, prochain service de Salesforce.com

Salesforce.com se lance dans la base de données accessible en ligne. Son futur service « à la demande » s'appelle Database.com et vient d'être présenté sur la conférence Dreamforce que l'éditeur tient cette semaine à San Francisco (6-9 décembre). Le service est en partie basé sur la base de données d'Oracle, longtemps utilisée par Salesforce.com. Mais il s'appuie aussi sur des dizaines d'autres technologies qui constituent l'infrastructure de cloud de Salesforce.com. Cette dernière supporte maintenant près de 87 000 clients dans le monde, rappelle Eric Stahl, directeur senior responsable du marketing produit.

Les développeurs pourront utiliser le nouveau service comme socle pour tout type d'application. Database.com sera accessible à travers ses API (interfaces de programmation) SOAP et Rest depuis n'importe quel langage, plateforme ou terminal. Il ne s'adressera donc pas seulement à ceux qui développent sur Force.com, mais conviendra aussi pour des applications exploitées sur le cloud EC2 d'Amazon ou sur d'autres services, grâce aux API qui appellent vers Database.com.

Avant l'annonce faite sur Dreamforce, hier, Eric Stahl a présenté des exemples, en particulier une application écrite en PHP (hypertext preprocessor) fonctionnant sur Amazon Web Services. Celle-ci faisait remonter des données sur Facebook et interrogeait une instance de Database.com pour récupérer des informations. Chaque instance de la base de données pourra être exploitée dans différents contextes, du site web à l'application mobile.

Des boîtes à outils pour Java, .Net, Ruby et PHP


Mais Salesforce.com compte aussi vendre son service aux entreprises avec des arguments bien rodés, tels que le chiffrement SSL, le SSO (single sign-on) et des fonctions de sécurité avancées. Sans oublier les arguments de base de l'éditeur : ses capacités d'évolution automatique, d'ajustement des ressources et de mise à jour régulière du système.

En complément, la société de Marc Benioff va ajouter des fonctions au-dessus de Database.com, notamment un « modèle de données sociales » prédéfini avec des notions de profils d'utilisateur, de mises à jour de statuts, de fils d'actualité et autres entités utilisées par les réseaux sociaux. En utilisant un jeu d'API adaptée à ces usages, les développeurs pourront créer des applications fonctionnant avec ce modèle.

Les clients disposeront aussi d'une console d'administration et d'outils d'ETL pour charger les données dans Database.com. L'éditeur fournira par ailleurs des boîtes à outils spécifiques pour différents langages (Java, .Net, Ruby et PHP), ainsi que pour les environnements mobiles iOS et Android, et les plateformes AppEngine de Google, Azure de Microsoft, Amazon Web Services ou encore pour Facebook et Twitter.


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Il existera une version de base gratuite. Elle acceptera trois utilisateurs, 100 000 enregistrements et 50 000 transactions pour mois. Au-delà, le tarif mensuel s'élève à 10 dollars pour chaque tranche de 100 000 enregistrements et 10 dollars pour 150 000  transactions. En complément, pour 10 dollars par utilisateur de l'application et par mois, Enterprise Services ajoute une couche de sécurité et d'authentification.

Peu adapté aux gros volumes de transactions, selon Monash


La base de données de Salesforce.com utilise une architecture différente de celle des autres fournisseurs, considère Curt Monash, du cabinet Monash Research. « Il ne répartit pas les éléments entre des milliers de tables et se concentre sur la programmation des objets métiers. De ce fait, vous passez à côté de certains avantages, mais aussi de certaines complications typiques de la programmation relationnelle ».

En tenant compte du fait que les temps de latence du réseau est l'un des principaux facteurs de performance, Database.com ne conviendra probablement pas aux processus transactionnels exigeants, ajoute Curt Monash. « A l'inverse, lorsque vous bâtissez des applications pour lesquelles chaque utilisateur ne fait que quelques transactions par heure, cela importe sans doute assez peu, reconnaît le consultant. Il ne s'agit pas d'une architecture destinée à de gros volumes de transactions, mais la majorité des applications ne produisent pas de tels volumes ».

Comment les clients vont-ils percevoir cette évolution ?

Database.com est prévu pour 2011, mais on ne sait pas exactement à quel moment interviendra la disponibilité générale du service. Mais, comme pour ses autres produits, l'éditeur fournira d'abord une version bêta privée. Certains partenaires sont déjà sur les rangs pour soutenir le lancement. Parmi eux, Progress Software et Informatica proposent des produits pour aider les clients à alimenter les bases de données.

Pour China Martens, analyste du cabinet 451 Group, le nouveau service pourrait constituer une solide source de revenus pour Salesforce.com. De fait, l'éditeur se diversifie en proposant plusieurs offres, constate-t-elle. Mais cela reste difficile d'être à la fois un spécialiste du CRM (gestion de la relation client) et un fournisseur d'infrastructure. Elle se demande comment cette nouvelle évolution va être perçue par les clients. Certains d'entre eux pourraient préférer voir l'éditeur se concentrer davantage sur son offre de CRM.

Eric Stahl, responsable du marketing produit de Salesforce.com, affirme, lui, que les clients qui ont entendu parler de Database.com sont déjà impatients de l'essayer. (...)

(07/12/2010 17:48:50)

Symantec : un bilan 2010 très orienté vers la protection de l'information

Symantec a dressé un bilan de l'année 2010, tant au niveau de l'entreprise que sur les enseignements des récentes attaques. Avant de rentrer dans les détails, le spécialiste de la sécurité est revenu sur la vie de la société. Elle se porte bien en affichant 6 milliards de dollars de chiffre d'affaires. Elle a réalisé plusieurs acquisitions, PGP, Guardian Edge et enfin Verisign. Pour Eric Soares, vice-président et general manager Europe de l'Ouest, ces mouvements s'inscrivent dans la stratégie de la société qui s'articule autour de deux priorités les personnes et les informations, en créant un espace de confiance. Ce dernier passe par 3 étapes : protection de l'infrastructure, la classification de l'information, définition des politiques de sécurité et leur contrôle. Un focus tout particulier a été souligné par Laurent Heslault, directeur des technologies de sécurité de l'éditeur. Il a ainsi cité un ancien PDG de Symantec « la donnée est la monnaie du 21 ème siècle ». Il a constaté des évolutions des fonctions des responsables de la sécurité au sein des entreprises, « aux Etats-Unis, on commence à voir apparaître des CISO, à côté des CSO, en France aussi le RSSI bascule vers le RSI ». La prise de conscience que l'information est importante au sein de l'entreprise est plus forte souligne le dirigeant, « nous sommes clairement dans un mode rustine, où les entreprises nous appelle pour nous demander d'intervenir sur la mise en place de solution de DLP, par exemple ».

Un avant et un après Stuxnet


Laurent Heslault a dressé les tendances de la sécurité pour l'année 2011, mais a insisté sur le virage que constitue la découverte de Stuxnet.  « Il y a eu un avant et un après Stuxnet » précise le responsable et de « saluer » la complexité, le niveau de développement de ce ver « là où certains programmes malveillants pèse entre 2 et 10 ko, Stuxnet pèse 600 ko ». Cette menace évoluée touche principalement les infrastructures critiques reposant sur des systèmes Scada. Les réseaux d'eau, d'électricité, les lignes de fabrications pharmaceutiques par exemple se retrouvent exposés à ce genre d'attaques. Laurent Heslault confie « Stuxnet a eu au moins le mérite qu'un dialogue s'installe entre les responsables de la sécurité informatique et ceux en charge des infrastructures. Les systèmes Scada sont équipés de vieux systèmes d'exploitation, non patchés et donc très vulnérables ».

Autres inquiétudes, les failles « 0 Days » qui se multiplient et le business autour de ces vulnérabilités aussi. Selon Laurent Heslault « cela se vend très cher, plusieurs milliers de dollars ». La stéganographie (le fait de cacher des informations au sein d'un flux vidéo, image ou dans un site) est un sujet d'appréhension, car elle demande beaucoup de ressources pour les déchiffrer. Paradoxalement, le cloud n'est pas assimilable à un risque supplémentaire en matière de sécurité « cela apportera des choses positives si cela est bien construit » conclut l'expert de l'éditeur.

 

Illustration : Laurent Heslault, directeur des technologies de sécurité de l'éditeur

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