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Cloud computing

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(05/12/2011 09:14:12)

Dossier : les 10 tendances et innovations technologiques 2012

Notre rédaction a dressé une liste des 10 tendances et innovations technologiques qui devraient s'affirmer ou se confirmer l'année prochaine. Sans surprise, la mobilité, le cloud et les réseaux sociaux seront encore les trois axes à profiter le plus des innovations technologiques. Dans la mobilité, une bataille sur les architectures va s'engager pour contrer ARM, on peut dire la même chose pour les systèmes d'exploitation avec l'arrivée de Windows 8 sur les tablettes ou encore la virtualisation qui s'embarque dans les terminaux. Concernant le cloud, il y a toujours des défis à relever en terme d'outils d'administration, d'interopérabilité et des datacenters vieillissants à rénover... 

Quant aux réseaux sociaux publics, ils s'ouvrent aux entreprises via des API, un bon moyen pour monétiser la mine d'informations qu'ils renferment. Enfin, 2012 sera aussi l'année où l'on assistera à une montée en charge des outils analytiques et décisionnels en temps réel, à une sécurité accrue pour combattre les menaces persistances, à une multiplication des outils à commande vocale et...peut-être à la commercialisation des nouvelles mémoires intelligentes.


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(23/12/2011 11:05:36)

Medi-Partenaires héberge les données santé de ses clients dans un double cloud

Medi-Partenaires est un groupe de 31 établissements de santé réunissant 3 600 lits et places. Il réalise un chiffre d'affaires annuel de 500 millions d'euros grâce à ses 5000 collaborateurs dont 2100 praticiens. Il comporte 24 cliniques exerçant une activité de médecine/chirurgie/obstétrique, 2 centres de dialyse et 5 centres d'imagerie. Dans le cadre de la mise en place d'une informatique liée à la production de soins, le groupe a externalisé l'hébergement de celle-ci à Cheops Technology en utilisant son offre de cloud privé iCod.

« Les évolutions réglementaires et nos engagements dans le cadre du programme Hôpital 2012 nous imposait de mettre en route notre projet comme fixé avec nos tutelles » indique Sylvie Coiffard, DOSI du GIE regroupant les fonctions support (Ressources Humaines, Finance, Informatique, Juridique) de l'ensemble des établissements. Or plusieurs contraintes étaient à prendre en compte.

Fortes obligations de fiabilité et de sécurité

Le principe du projet était de disposer d'un hébergement fiabilisé et sécurisé pour un dossier patient employant les mêmes technologies pour toutes les cliniques. Le groupe passait en effet d'une informatique administrative à une véritable informatique liée à la production de soins. Or si la première peut supporter quelques heures de coupure, la deuxième doit fonctionner en permanence, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

« Le groupe n'a pas vocation à réaliser des salles informatiques sécurisées avec un PCA et un PRA exigeant, que ce soit dans chaque clinique ou en centralisé » observe Sylvie Coiffard. La DSI du groupe ne comporte en effet qu'un informaticien par établissement et trois au niveau du GIE.

La grande difficulté liée à une centralisation était d'obtenir un statut d'hébergeur de données de santé. Sylvie Coiffard explique : « lorsqu'une clinique héberge ses propres données, elle n'a pas besoin d'agrément mais dès lors qu'un établissement héberge des données de plusieurs structures de soins, la demande d'agrément est obligatoire. Le simple remplissage du dossier nous aurait demandé un mois de travail. » Dès lors, l'externalisation et la centralisation s'imposait.

Un double cloud privé

Après un appel d'offres, Cheops Technology a été choisi avec son offre iCod. « Dans un poste précédent, j'en avais eu une très bonne expérience, j'avais apprécié leur sérieux, et puis, en l'occurrence, ils étaient moins chers » confie Sylvie Coiffard. Elle ajoute : « l'aspect Green-IT de l'offre iCod a été également appréciée par notre direction de la qualité car il est conforme à l'éthique du groupe. » Le contrat a été conclu pour une période de trois ans. Son coût n'a pas été communiqué, en dehors du modèle de location classique du cloud « pay as you go ».

L'architecture choisie est celle d'un double cloud privé avec réplication et répartition de charge, les points du réseau étant reliés par MPLS avec HSRP pour accroître sa disponibilité.

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Le dossier patient mis en oeuvre utilise l'application eMed de CS3i (sauf pour encore trois cliniques en cours de migration). Chaque clinique possède sa propre instance du produit avec une base de données dédiée. Cette architecture, qui a été définie avec l'éditeur du logiciel pour éviter tout incident, a été mise en oeuvre par Cheops Technology. Elle permet une adaptation facile à la croissance attendue du groupe qui a vocation à acquérir ou ouvrir d'autres établissements : il suffit de rajouter des instances.

Un périmètre qui devrait s'accroître

Le projet devrait également s'étendre avec une augmentation de son périmètre fonctionnel. En effet, le groupe utilise un produit vieillissant pour son informatique administrative, Santé 400, qui était commercialisé par Siemens Healthcare Solutions mais a été repris par WebSanté durant l'été 2011. Une réflexion est en cours pour son remplacement avec une échéance dans les cinq ans.

La plupart des produits du marché, dont celui proposé aujourd'hui par WebSanté, dispose d'un coeur accueil-facturation-PMSI-planification d'activité qui se connecte à une comptabilité et une paie tierces. Il est probable que ce nouveau système d'information administratif sera lui aussi hébergé à l'extérieur.

(...)

(22/12/2011 14:14:31)

Dassault Systèmes quitte le projet de cloud français Andromède

La création d'un cloud souverain français, baptisé Andromède, subit quelques turbulences. Le quotidien économique, La Tribune, a indiqué que Dassault Systèmes a décidé de se retirer du consortium en charge de la construction de ce cloud made in France.  Un protocole d'accord entre la Caisse des Dépôts, et des partenaires privés FranceTelecom/Orange, Thalès et Dassault Systèmes avait été signé en août dernier. A l'époque, Cap Gemini s'était retiré du projet. Les causes du retrait de Dassault Systèmes porteraient selon le journal économique sur la durée d'une clause de non-concurrence que Dassault Systèmes souhaitait la plus longue possible. Orange préférait raccourcir au maximum cette durée pour promouvoir ses propres offres clouds. Le nom des futurs dirigeants et les tarifs proposés par Orange sur les contrats d'hébergement des salles blanches » ont été d'autres sujets d'achoppements.

A la recherche d'un autre partenaire

Avec le retrait de Dassault Systèmes, l'Etat et les autres partenaires privés Orange et Thalès vont être obligés de chercher un nouveau partenaire pour le projet Andromède. Sur le plan budgétaire, l'Etat via la Caisse des Dépôts apporte 135 millions d'euros au titre du Grand Emprunt, Thalès contribue à hauteur de 30 millions d'euros, Orange et Dassault Systèmes devaient y consacrer 60 millions d'euros chacun. L'Etat va tenter de jouer les médiateurs pour faire changer d'avis le fournisseur de services et chercher d'autres acteurs intéressés par le projet. La Tribune parle d'Atos ou de Cap Gemini. A suivre...

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(22/12/2011 10:22:29)

La régie publicitaire de Ouest-France passe au cloud avec SFR

Précom est la régie publicitaire et le gestionnaire de services web pour sa maison-mère, le groupe de presse Sipa / Ouest-France. Ce groupe souhaitait optimiser ses infrastructures web tout en bénéficiant d'un meilleur niveau de service et de pilotage.

Après consultation du marché, le groupe a choisi l'offre de IaaS (Infrastructure as a Service) de SFR Business Team pour une durée de trois ans. Ce IaaS hébergera les sites web de consultation et d'information, les services e-commerce, les sites d'échanges de données et la plate-forme de développement destinée aux informaticiens internes du groupe Ouest-France.

Maîtrise du budget et évolutivité

Précom a opté pour une trentaine de serveurs virtuels redondés dans le cadre d'une architecture sécurisée afin de valider le PRA. Il bénéficie d'un extranet lui permettant de suivre en temps réel les performances de l'infrastructure externalisée (réseau, serveurs, applications). Le choix du IaaS implique que le fournisseur assure la maîtrise d'oeuvre globale, la supervision technique et applicative, la sécurité et le pilotage du projet.

Parmi les critères de choix, Précom a apprécié, outre la maîtrise du budget, un accompagnement opérationnel constant dès la consultation et la mise à disposition d'un conseiller technique pour suivre sa plate-forme et conseiller le groupe dans son évolution.

Le montant du contrat et le coût de la migration n'ont pas été dévoilés.

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(21/12/2011 15:42:12)

OVH lance sa première offre de cloud public

Le spécialiste de l'hébergement avait en 2010 proposé des offres de cloud, baptisées miniCloud et devCloud. Une petite mise en jambe avec l'arrivée de la première brique de sa plateforme Public Cloud. L'offre est baptisée Instances et propose aux développeurs un nombre illimité de machines virtuelles. Pour OVH, « les développeurs peuvent créer à l'infini des environnements spécifiques à chacun de leurs projets ». Concrètement, l'hébergeur propose plusieurs types d'instance de S à XL comprenant des ressources processeurs, mémoires et stockage. Plusieurs OS en 64 bits sont disponibles Debian 5, Ubuntu 10.04, CentOS 5 bits et Windows 2008 SP2. Le management des instances peut se faire via des scripts à l'aide d'API proposée par OVH ou directement depuis l'interface client.

Une offre évolutive

Sur le plan de la tarification, « le client paie à l'heure uniquement les ressources qu'il utilise. Le trafic, la quantité de requêtes et le nombre d'entrées/sorties ne sont jamais pris en compte » précise l'hébergeur. Il faut compter 0,01€ HT pour le package Small et 0,48€ HT pour la formule XL. OVH prévoit dans le futur d'étoffer sa plateforme Public Cloud avec des briques stockages, de bases de données, de répartiteurs de charge et de solutions e-mail. L'entreprise française entend concurrencer de grands acteurs comme Amazon EC2 ou Microsoft Azure.

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(21/12/2011 09:39:40)

CA Technologies intègre le paiement à l'usage pour son offre ARCserve

CA Technologies a lancé, au mois de septembre dernier, la version 16 de sa solution de sauvegarde, ARCserve. Au-delà de cette évolution technique, la version s'ouvre au cloud computing. Parallèlement, les ventes indirectes sont concernées avec un programme spécifique, ARCserve MSP 2.0. Il permet de vendre de l'abonnement mensuel. La facturation se fait par téracoctets.

« C'est un changement majeur dans le fonctionnement du marché, souligne Valérie Hénin directrice des ventes indirectes de CA, les clients se tournent vers l'accès au service sur un mode de consommation et non plus d'investissement.  Nos partenaires seront accompagnés de manière à leur fournir la licence et la façon de payer à la consommation et non plus à l'achat ».

Aucun engagement de durée

Ce programme s'adresse aussi bien aux partenaires MSP actuels de CA qu'à de futurs partenaires intéressés par l'offre et la formule. Ils doivent s'inscrire et passer une accréditation technique, ils ont alors accès à la licence spécifique et au mode de facturation mensuel. Aucun engagement de durée ne leur est imposé.  15 MSP sont dans ce programme en France, les grossistes de CA sont également impliqués sur ce programme.

Autre intérêt, ARCserve est désormais très ouvert et s'intègre par exemple avec les outils d'administration de Nimsoft, filiale de CA, et de Kaseya. Il est interopérable avec les outils de supervision de N-able Technologies, LabTech et Level Platforms.

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(20/12/2011 14:28:43)

Bilan cloud 2011 : Des offres éclectiques sur fonds d'incertitudes

Le cloud computing a continué d'animer le marché IT pendant l'année 2011. Beaucoup d'entreprises se sont intéressées à ce phénomène pour des raisons de flexibilité, d'agilité et aussi en raison d'une offre plus étoffée de la part des acteurs de l'IT. Ces derniers construisent brique par brique leurs solutions soit en rachetant des compétences, soit en nouant des partenariats. Sur le premier point, on peut citer l'acquisition récente de SuccesFactor par SAP, RightNow par Oracle ou Autonomy par HP. L'objectif de ces opérations est d'élargir son portefeuille est d'aller vers des solutions en mode SaaS.

L'autre orientation est de nouer des partenariats  comme IBM et SAP pour offrir du CRM en mode SaaS. Les opérateurs de télécom ne sont pas en reste avec des accords SFR avec HP, mais aussi Orange qui s'allie avec SITA pour mailler le cloud sur le plan international. Les briques technologiques évoluent aussi notamment sur la partie réseau. Juniper, Enterasys, Cisco, Alcatel-Lucent, HP travaillent sur la virtualisation de la couche réseau des datacenters en unifiant la matrice de commutation. L'Open Source séduit de plus en plus les acteurs du cloud comme Dell,  avec notamment Open Stack.

Du cloud à toutes les sauces !

Si en 2010, le cloud se déclinait en trois axes, le SaaS, PaaS et le IaaS, 2011 a vu une explosion d'offres « as a service ». De la base de données pour Heroku d'Oracle en passant par les offres de Device as a service ou les instances de HPC chez Amazon ou IBM, rien n'échappe au cloud. Les systèmes d'exploitation tels qu'Ubuntu ou les serveurs d'applications comme Weblogic 12c succombent aussi aux charmes du cloud.

Le stockage et la bureautique en ligne ont souvent été mis en avant cette année. Sur le stockage, le développement des offres à destination des particuliers et des professionnels comme icloud d'Apple, Dropbox, Gdrive de Google, SugarSync, etc démocratisent cet usage, avec quelques inquiétudes sur l'aspect sécurité. Sur les outils de communication et de collaboration, 2011 a vu la bataille se renforcer entre Microsoft et Google. Le premier a lancé Office 365 à destination des PME, pendant que les Google Apps commencent à séduire les grands comptes.

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Si le cloud privé représente la majorité des contrats actuels, les acteurs de l'IT ont les yeux rivés sur le cloud hybride et public. HP a ainsi dévoilé son cloud public en version beta, Dell, IBM, Oracle et Red Hat se sont aussi lancés. La France veut tenter l'aventure du cloud hexagonal avec le projet Andromède qui dispose d'une enveloppe de 285 millions d'euros.

Sécurité et localisation des données stigmatisées

Si certains clients de services clouds avertissent sur leurs coûts cachés, la question de la sécurité et de la fiabilité reste au coeur des préoccupations des DSI. Quelques pannes sur les services clouds d'Amazon ou de Microsoft ont démontré la fragilité du système. Par ailleurs, des spécialistes de la sécurité ont montré l'existence de failles, alors que les développeurs perçoivent comme important le risque d'avoir des bases de données SQL dans le cloud.

L'autre sujet d'inquiétude réside dans la location des données et le droit applicable. Le Parlement européen s'est ému d'une réponse de Microsoft sur l'application du Patriot Act sur des données hébergées par l'éditeur américain. Cette soumission au Patriot Act commence à gêner les fournisseurs de clouds américains. L'Europe pousse certaines initiatives comme la création d'un cloud de stockage européen pour pallier à cette problématique.

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(19/12/2011 11:09:59)

Une société japonaise élit Amazon S3 et Microsoft Azure, meilleurs fournisseurs cloud

Pour son étude, Nasuni a considéré le cas d'une entreprise de taille moyenne souhaitant utiliser le cloud à des fins de stockage de données, de protection et de récupération en cas de catastrophe. Elle a ensuite effectué une série de tests sur 26 mois afin de déterminer la qualité des services fournis par les différents prestataires en termes de performance, de stabilité et d'extensibilité. Après chaque test, les prestataires dont les résultats étaient insuffisants ont été éliminés. Résultat des courses: sur seize fournisseurs considérés au début de l'étude, seuls six ont passé avec succès tous les tests: Amazon S3, AT&T Synaptic Storage as a Service (utilise EMC Atmos); Microsoft Azure; Nirvanix; Peer1Hosting (utilise EMC Atmos) et Rackspace Cloud.

Performance


En termes de performance, Nasuni a considéré la nécessité d'un traitement rapide des requêtes même en cas d'augmentation de la charge. Dans cette première série de tests, elle a donc a mesuré la performance des offres en termes d'écriture et de lecture sur des petits fichiers (1 Ko), des fichiers de taille moyenne (128 Ko) et des fichiers de grande taille (1 Mo). De manière générale, Amazon S3 et Microsoft Azure ont démontré les meilleures performances en termes de vitesse de lecture et d'écriture. Toutefois, pour les fichiers de grandes tailles, Nirvanix a obtenu d'excellentes performances.

Stabilité


Concernant la stabilité, Nasuni a testé la disponibilité des différents services au cours des 26 mois qu'a duré son enquête. Elle relève qu'en termes d'interruption de services, Amazon obtient les meilleurs résultats, avec 1,43 coupure par mois, et une disponibilité de 100%, le plus mauvais résultat étant enregistré auprès de AT&T avec une disponibilité de 99,5%.

ICTjournal.ch


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Extensibilité


Enfin, troisième dimension des tests effectués, l'évolutivité (scalability) des systèmes. Pour tester ce volet des services fournis, l'entreprise japonaise a écrit en continu des petits fichiers (1 Ko) via chaque service de base de données, jusqu'à atteindre les 100 millions d'objets. Selon Nasuni, certains fournisseurs dont les résultats ne sont pas inclus dans son étude ont demandé à ce que ces tests soient interrompus en raison de leur impact négatif sur la qualité du service pour d'autres clients. Une exigence que Nasumi interprète comme une preuve de l'insuffisance des services cloud proposés par ces fournisseurs.

Ici encore, Amazon S3 et Microsoft Azure obtiennent les résultats les plus probants, avec un taux d'erreur nul en écriture, Microsoft Azure enregistrant un très faible taux d'erreur en lecture (0.07%), alors qu'Amazon S3 est le seul fournisseur du test à afficher un taux d'erreur nul en lecture également. Rackspace, bien placé dans d'autres tests de l'étude, affiche un taux de 59,63% d'erreur en lecture.

Amazon avec une petite longueur d'avance

En conclusion, Nasuni estime qu'Amazon S3 fournit le meilleur service, avec une petite longueur d'avance sur Microsoft Azure. «Bien qu'Azure soit légèrement plus rapide concernant l'écriture de fichiers, aucun fournisseur n'est parvenu à égaler la constance de la performance d'Amazon S3pour tous types de fichiers. Amazon S3 a connu le moins de coupures et la meilleure disponibilité. C'est également la seule offre à avoir obtenu un taux de 0,0% d'erreur aussi bien pour l'écriture que pour la lecture lors de tests d'évolutivité. Et si le « Ping » d'Azure obtient un temps de réponse légèrement inférieur à celui d'Amazon (sans doute du fait que le service d'Amazon est bien plus utilisé qu'Azure), Amazon S3 affiche néanmoins les plus faibles variations».

ICTjournal.ch

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