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Cloud computing

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(05/10/2009 11:59:33)

Le patron de l'Open Source Microsoft part dans une start-up du cloud

L'ancien responsable Open Source de Microsoft, Sam Ramji, vient de rejoindre la start-up Sonoa Systems. Il prendra en charge la stratégie produit et le développement de l'activité de la jeune pousse de Santa Clara en Californie. Le CEO de Sonoa est un ancien cadre de BEA, Chet Kapoor. Sonoa propose une technologie appelée ServiceNet d'administration de services de cloud. Elle fonctionne comme un serveur proxy entre les fournisseurs et les consommateurs de services. Selon son site Web, Sonoa fournit aussi des outils de gestion et de gouvernance pour que les services cloud et les API qui s'y connectent soient aussi robustes que dans des configurations 'sur site'. Enfin la start-up dispose également d'Apigee un outil d'analyse des accès vers les API en cloud, pour les développeurs de ces interfaces. Chez Microsoft, en tant que directeur du groupe 'Platform Strategy', Sam Ramji était responsable de l'interopérabilité et de la collaboration avec la communauté du Libre. Il était aussi depuis le mois dernier président de la fondation Open Source CodePlex, issue de son travail chez le géant de Redmond. Mais à peine cette nomination avait-elle été officialisée qu'il annonçait son départ le 25 septembre. (...)

(01/09/2009 15:48:05)

EMC achète l'éditeur d'administration de datacenters Fastscale

En cette fin d'été, la concentration du marché sous le signe du cloud continue. Alors que Tibco vient d'absorber Data Synapse et son grid computing, c'est au tour d'EMC d'annoncer le rachat de FastScale Technology, éditeur de logiciels d'administration dynamique de datacenters. Objectif : bâtir un environnement d'administration pour les clouds privés. Créée en 2006, la petite société californienne qui compte parmi ses managers des anciens d'Alcatel Lucent, d'IBM, de SGI ou de VMware, propose une plateforme intégrée destinée à bâtir, gérer et déployer dynamiquement des environnements serveurs. Elle s'occupe aussi bien de systèmes physiques, que de systèmes virtuels ou d'environnements de cloud, sous Windows comme sous Linux. Pour FastScale, cette offre permet de « considérer toute l'infrastructure comme un ensemble dynamique de ressources de calcul capables d'exécuter n'importe quelle application à n'importe quel moment. » EMC devrait tout naturellement intégrer ces fonctions dans ses propres produits Ionix d'administration de ressources serveurs, de stockage et de virtualisation. Aucune des deux sociétés n'a encore donné de précision sur les conditions de cette acquisition. (...)

(27/08/2009 16:41:37)

Amazon propose son cloud EC2 à la demande en privé

En annonçant Virtual Private Cloud (VPC), la division Amazon Web Services (AWS) du libraire en ligne, veut que ses entreprises clientes disposent des ressources de son Elastic Compute Cloud (EC2) en toute intimité, dans un cloud privé. Via une connexion IPSec VPN (Virtual Private Network), Virtual Private Cloud (VPC) d'Amazon permet aux clients de ce dernier d'intégrer au sein de leurs ressources celles qu'ils utilisent via EC2. VPC permet aussi aux administrateurs de gérer ces ressources dans des configurations identiques à celles qui se trouvent dans leur système d'information : adressage IP, pare-feu et autres logiciels de sécurisation. Par ailleurs, Amazon, qui a bien compris que la sécurité était au coeur des préoccupations de ses clients et prospects, annonce un système d'authentification multifacteur (MFA) qui repose sur un appareil qui génère aléatoirement un code d'accès à six chiffres. Ce MFA vient s'ajouter aux codes d'accès déjà en place. (...)

(25/08/2009 15:06:04)

Le cloud pourrait représenter une aubaine pour les disques SSD

Cloud computing et stockage sur disques électroniques sont appelés à cohabiter. Le premier a besoin des seconds pour répondre à ses exigences, tant de performances que de réduction de consommation électrique et de gain de place. Deux spécialistes d'entreprises du Web 2.0, Richard Buckingham, vice président des opérations techniques chez MySpace, et Jonathan Heiliger, qui occupe les mêmes fonctions chez FaceBook, considèrent que les caractéristiques des disques SSD (Solid State Disk) vont chambouler leurs salles informatiques et améliorer nettement les performances. Pour Richard Buckingham, la vitesse de rotation des disques magnétiques n'a pas beaucoup évolué au cours des vingt dernières années. Il faut toujours quelques millisecondes pour accéder à des données stockées sur des plateaux rotatifs, alors que le temps d'accès avec un SSD tombe sous la barre de la milliseconde. Les plus anciens se souviendront des "disques" constitués de mémoire DRAM pour les grands systèmes des années 90. Jonathan Heiliger va encore plus loin. Il file la métaphore en comparant l'effet de l'arrivée des disques SSD à celle du passage des processeurs mono-coeurs aux multicoeurs. Pour lui "les disques flash vont avoir un effet très significatif, non seulement sur le stockage, mais aussi sur l'infrastructure dans son ensemble." Les SSD coexisteront avec les disques magnétiques Pour Richard Buckingham, les SSD ne vont pas remplacer les disques magnétiques, mais s'insérer dans l'infrastructure. Il estime que 5% des données vont être stockées sur SSD, les autres resteront sur des disques magnétiques. Cela concernera les métadonnées, les index et toutes les données qui requièrent un accès rapide pour améliorer les temps de réponse. Bien sûr, le coût des disques SSD, encore 25 fois plus élevés que celui des disques magnétiques par Go, ne justifie leur utilisation que dans des environnements très performants. En l'occurrence, celui de datacenters consacrés au cloud computing qui sont sollicités par de nombreuses entreprises clientes. Autre atout des disques électroniques, ils occupent moins de place que leurs cousins magnétiques et consomment moins d'énergie. La plupart des grands fournisseurs de stockage ont désormais une offre de stockage électronique dont la technologie repose le plus souvent sur le savoir-faire de la société STEC. (...)

(24/08/2009 16:37:58)

Malgré la crise, Salesforce.com revoit ses prévisions de chiffre d'affaires à la hausse

A contre-courant des autres acteurs de l'industrie informatique, Salesforce.com a revu à la hausse ses prévisions pour son exercice qui s'achèvera en janvier 2010. Le spécialiste du logiciel de gestion de la relation client en ligne table désormais sur un chiffre d'affaires annuel de 1,28 Md$, contre 1,27 Md$ auparavant. Fondé il y a 10 ans, Salesforce.com figure à la première position du "magic Quadrant" publié en juillet par le Gartner sur les logiciels destiné aux forces de vente (SFA, sales force automation). La société a su s'associer avec Amazon, Google et Facebook, qu'elle utilise comme bras de levier pour promouvoir ses offres. AMR Research décerne aussi un satisfecit au groupe. S'il occupe la dixième place au classement général des fournisseurs d'applications avec un chiffre d'affaires 2008 de 1,02 Md$, loin derrière SAP (15 Md$) et Oracle (8,5 Md$), il se hisse au troisième rang si l'on ne s'intéresse qu'au chiffre d'affaires généré par les ventes de licences ou d'abonnements. Marc Benioff, PDG du groupe, explique le succès de son entreprise par son modèle. Selon lui, il attire les entreprises par son rapport coûts/prestations. Au cours de son deuxième trimestre, clos fin juillet, l'éditeur a réalisé un chiffre d'affaires de 316 M$ (+20%) et plus que doublé son bénéfice net à 21,2 M$. A cette date, le groupe revendiquait 63 000 clients. (...)

(20/08/2009 15:35:05)

A peine acheté par VMware, SpringSource s'offre Cloud Foundry

Alors qu'il vient tout juste d'être acheté par VMware, le champion du framework Java, SpringSource, acquière de son côté Cloud Foundry. L'offre de PaaS (Platform-as-a-service) de ce dernier, qui porte le même nom que son éditeur, permet de concevoir, de déployer et d'administrer des applications Spring, Java ou Grails sur le cloud EC2 d'Amazon. Une version finale et payante est attendue pour début 2010. Cloud Foundry, qui repose sur le projet libre Cloud Tools, utilise les briques Apache, MySQL et les deux outils maison tc Server (Tomcat) et Hyperic de SpringSource. Cloud Foundry sera rapidement associé à vSphere, l'environnement de virtualisation que VMware voudrait voir devenir une infrastructure de cloud. Le portage sur Azure de Microsoft, voire le Sun Cloud, n'est pas non plus exclu. Les analystes saluent cette approche par les couches hautes du cloud computing. Selon Rod Johnson, PDG de SpringSource, Cloud Foundry met ce type de ressources à la portée des petites entreprises qui s'en trouvaient tenues à l'écart par manque de compétences internes en matière d'infrastructure. (...)

(13/08/2009 12:20:43)

BMC et CA préparent le terrain pour l'administration de clouds hybrides

Quelques jours après BMC, CA a annoncé avoir modifié ses logiciels de supervision de façon à offrir aux entreprises une console unique pour administrer aussi bien les serveurs et applications en interne que les machines et services applicatifs fournis par Amazon sur EC2. Les deux éditeurs spécialistes de la supervision font le même constat. Comme les autres batailles avant celle-ci, la bataille cloud vs datacenter privé aboutira à un équilibre : beaucoup d'entreprises choisiront de conserver leur patrimoine en interne, éventuellement au sein de clouds privés (s'adaptant aux concepts d'Itil, les datacenters privés deviennent des fournisseurs de service internes aux entreprises), tout en confiant une partie de leurs applications à des clouds externes. C'est donc l'avènement de ces clouds hybrides que ces éditeurs préparent. Pour Régis Mauger, qui vient de prendre en main la partie consulting de BMC Software France, ce n'est que grâce à des outils d'administration comme ceux que son entreprise prépare que le cloud tiendra sa promesse d'élasticité. « Chacun va avoir son propre datacenter et une solution de 'capacity management' [allocation de ressources, NDLR], explique-t-il. Les entreprises pourront ainsi s'appuyer sur le cloud public pour se délester en cas de forte charge, par exemple, ce mode hybride permettra d'avoir en quelque sorte un 'buffer' externe, un tampon absorbant le pic de charge. » RightScale travaille déjà sur l'administration multi-cloud Pour l'heure, on en est juste au stade de la centralisation des informations. Mais de toute façon, reprend Régis Mauger, le marché ne demande pas davantage pour l'instant. Beaucoup d'entreprises n'ont toujours pas entamé de démarche de cartographie et d'inventaire, et encore moins se sont lancées dans des projets de virtualisation et de consolidation. Certains acteurs se positionnent toutefois déjà sur l'administration d'environnements multi-clouds. C'est le cas de RightScale, une start-up californienne, qui promet non seulement une administration centralisée, mais aussi une portabilité transparente d'un cloud à l'autre. L'offre d'administration de RightScale supporte déjà, outre les services d'Amazon, ceux de GoGrid, FlexiScale et Eucalyptus, et l'éditeur annonce le support prochain des offres de RackSpace et de Sun. (...)

(11/08/2009 16:40:29)

VMware achète SpringSource avec le cloud en perspective

VMware s'offre pour 420 M$ (86% en liquidités, le reste en action) SpringSource, éditeur de Spring, framework de développement d'application Java très largement utilisé, et du serveur d'applications modulaire dm Server. Fondés il y a cinq ans, SpringSource et les communautés qui gravitent autour sont aussi des contributeurs importants aux projets Apache et Eclipse. Le savoir-faire de SpringSource vient renforcer VMware dans le domaine du Paas "Platform as a service", autrement dit, du cloud computing. Dans la logithèque de SpringSource, la Tool Suite Eclipse de SpringSource devrait s'intégrer à VMware Workstation. Cela devrait donner un bel outil de paramétrage multi-environnement pour les développeurs. Quant à l'intérêt des appliances logicielles (serveurs virtuels) dm Server et tc Server (serveur Apache Tomcat), il tombe sous le sens : une entreprise disposant de machines en interne ou en externe pourra disposer d'une plateforme logicielle standardisée, redimensionnable à volonté. Au cours des mois précédant son rachat par VMware, SpringSource avait procédé à d'intéressantes emplettes. En novembre dernier, l'éditeur avait mis la main sur G2one, qui développe le langage dynamique Groovy, et, en mai dernier, SpringSource avait acheté les actifs logiciels d'Hyperic, éditeur d'une offre de supervision sous Java des performances applicatives. Un peu plus tôt en 2008, SpringSource avait aussi acquis Covalent (support Apache). Tant chez VMware que chez SpringSource, on affirme que ce rachat d'une entreprise fondée sur l'Open source par une autre très attachée au secret de ses lignes de code ne pose aucun problème. A preuve, SpringSource sera intégré sans être démantelé dans VMware. Il faudra attendre quelque temps avant de voir si l'opération réussit mieux que dans d'autres cas tel que celui de MySQL avec Sun, qui affichait pourtant l'Open Source sur son plastron. La transaction sera close au troisième trimestre et les premiers produits communs sont attendus pour janvier 2009. (...)

(15/07/2009 12:01:04)

WPC 09 : Azure gratuit jusqu'en novembre, puis à partir de quelques cents de l'heure

Azure est désormais pourvu d'une tarification. L'offre de cloud computing de Microsoft reste gratuite jusqu'en novembre, dans sa version CTP (Community technology preview). Son lancement officiel interviendra à l'occasion de la PDC 2009 (Professional developers conference) et là, il faudra sortir la calculette - et pas seulement pour comparer la conversion dollars/euros par rapport au taux de change international. La facturation sera en effet assez complexe, d'abord parce que l'offre d'informatique en ligne de Microsoft se décompose en trois grandes familles : les capacités de traitement et de stockage (Windows Azure), la base de données relationnelle en ligne (SQL Azure), et les fonctionnalités en ligne de type middleware et développement (.Net Services). Pour Windows Azure, les tarifs seront de 12 cents de l'heure pour la capacité de calcul, de 15 cents par gigaoctet et par mois de stockage et de 1 cent pour 10 000 requêtes effectuées dans la base. Pour SQL Azure, une 'Web Edition' donnera droit à 1 Go pour 9,99 $, tandis qu'une 'Business Edition' offrira 10 Go pour 99,99 $. Les .Net Services seront facturés 15 cents pour 100 000 messages échangés. A tout cela s'ajoutent les frais de bande passante, calculés sur la quantité de données entrant et sortant d'Azure sur une période de 30 jours, à raison de 10 cents par gigaoctet entrant, et 15 cents par gigaoctet sortant. Une offre spécialement étudiée pour séduire les partenaires Vu la savante complexité de cette facturation à l'usage, et partant le caractère assez imprédictible de la facture finale, Microsoft explique qu'il exposera lors du lancement commercial un mode forfaitaire. Autrement dit, un bon vieux retour à la Software Assurance, avec « des ristournes reflétant le niveau d'engagement » du client. Il est vrai qu'un des intérêts du cloud pour une entreprise, par rapport à de l'outsourcing notamment, c'est de pouvoir arrêter un engagement n'importe quand. Si le client est engagé dans une relation forfaitaire, cette incertitude - pour le fournisseur, en l'occurrence Microsoft - disparaîtra. A noter aussi que les abonnés à la formule MSDN Premium bénéficieront d'avantages pour assurer leurs développements sur Azure, et les partenaires de Microsoft auront pour leur part un rabais de 5%. Des intégrateurs pourraient ainsi avoir un certain intérêt à mutaliser leurs développements, en s'appuyant sur Azure pour la partie infrastructure, et en proposant leurs logiciels en ligne aux entreprises, en mode Saas (Software as a service). En présentant l'offre mardi, à l'occasion de la WPC (Worldwide partners conference de La Nouvelle Orléans), Bob Muglia, président de la division Serveur et outils de Microsoft, a d'ailleurs clairement expliqué que le caractère différentiateur de cette offre résidait dans la capacité de Microsoft à aider ses partenaires à bâtir leurs offres. (...)

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