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Cloud computing
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(17/04/2009 17:32:24)
Deuxième bêta pour la plateforme de gestion d'identités du cloud de Microsoft
Une nouvelle bêta de Geneva, la plateforme de gestion d'identités destinée au cloud Azure de Microsoft, devrait arriver en mai en attendant une version définitive pour la fin 2008. Cet outil devrait être un des éléments phares du prochain TechEd organisé à Los Angeles par l'éditeur du 11 au 15 mai prochain. John Chirapurath, directeur du groupe « identité et sécurité » de Microsoft a confirmé que plusieurs séries d'annonces autour de Geneva auraient lieu à cette occasion. Le produit comprendra des outils de développement, des passerelles et le support du protocole SAML 2.0 (Security assertion markup language), un standard de Single Sign On sur le Web. La technologie de Geneva fait partie intégrante de la nouvelle stratégie de sécurité annoncée jeudi par Microsoft, avec Active Directory et Forefront. Elle s'appuie sur un modèle à base de règles et de rôles ainsi que sur la technologie STS (Security token service). Il comprend le Geneva Server, anciennement ADFS 2.0 (Active Directory Federation Services), le client CardSpace (une version plus rapide et plus légère de la gestion de l'identité client disponible dans Vista) et le framework Zermatt. La plateforme intègre aussi Microsoft Service Connector, la Microsoft Federation Gateway et le .Net Access Control Service, tous conçus pour bâtir une colonne vertébrale de gestion d'identité et de connexion au cloud. L'objectif est de créer un moyen standard de partager des "claims" (des demandes et des autorisations d'authentification) et de se connecter aux services de cloud de Microsoft et à ceux d'autres fournisseurs. Les « claims" sont un ensemble de déclarations qui identifient un utilisateur et fournissent des informations spécifiques sur son profil telles que le titre ou le pouvoir de décision sur les achats, par exemple. (...)
(17/04/2009 12:28:28)Valtech Technology aide les entreprises à adopter le cloud
Valtech Technology étoffe ses activités en lançant une offre de conseil, d'intégration et de mesure du retour sur investissement (ROI) pour les entreprises qui décident de se lancer dans le cloud computing. Pour la SSII, il s'agit d'un prolongement logique de ses autres activités menées dans les domaines des architectures orientée services (SOA) ou des méthodes agiles. « Les problématiques et les enjeux du cloud sont similaires à ceux de la SOA, explique Pascal Ognibène, directeur technique chez Valtech. Le cloud contribue à lever des freins à la mise en production itérative de projets réalisés en cycles courts ». Valtech procède en deux étapes. Une vingtaine de consultants « urbanistes » aident les clients à établir une cartographie de leur système d'information afin d'identifier les données et les applications susceptibles d'être « envoyées dans le nuage » avant de procéder à l'intégration. « Il n'est pas pertinent, voire dangereux, de tout externaliser dans le cloud », précise Pascal Ognibène. En dehors d'Amazon, qui possède en Europe une ferme de serveurs consacrée au cloud, la plupart des données sont en effet hébergées aux Etats-Unis, ce qui peut entraîner des soucis techniques (rupture d'un câble, lenteur des échanges de données si le trafic est trop important) et légaux (certaines informations ne doivent pas quitter l'Union Européenne). Pour vaincre les dernières réticences des entreprises, Valtech leur propose d'évaluer avec précision les économies qu'elles peuvent réaliser (électricité, bande passante, infrastructure, flexibilité des ressources...). En décembre dernier, Valtech a également présenté une offre de tierce recette applicative déjà opérationnelle en Grande-Bretagne, en Allemagne et en Inde mais qui n'existait pas en France. Valtech Technology emploie 1 200 personnes dans le monde (dont 300 en France) et a réalisé un chiffre d'affaires de 100,6 M€ en 2008 dont 39 M€ en France. (...)
(02/04/2009 16:43:10)Les datacenters de Google se composent bien de conteneurs
C'est confirmé, Google utilise bien, depuis 2005, des modules composés de conteneurs pour construire ses datacenters et a commencé à élaborer son prototype en 2003. Aujourd'hui, les dernières versions, refroidies par circuits d'eau, peuvent contenir jusqu'à 1160 serveurs et consomment 250 KW. Ce qui donne une densité de consommation de plus de 8 KW par m². La température ambiante peut dépasser les... 27 degrés dans les parties les plus chaudes. Les conteneurs sont préassemblés avant d'être livrés sur les sites. C'est fin 2006 que Sun a présenté Blackbox, projet de commercialisation d'un module de datacenter fondé sur un conteneur. Depuis, le Sun MD20 a été rejoint par des produits d'IBM, de Rackspace, de Verari, de HP et d'autres. (...)
(30/03/2009 16:37:24)Microsoft n'aime pas l'Open Cloud Manifesto
L'Open Cloud Manifesto est le dernier mouvement en date à se positionner en promoteur de standards pour le cloud. Ce genre d'association s'apprécie à l'aune de ses membres. Parmi les trente-huit sociétés qui adhèrent à ce projet, visant à faciliter l'interaction entre les différentes approches de cloud, on note les présences, de Cisco, d'EMC, d'IBM, de Juniper, de Novell, de RackSpace, de Red Hat, de SAP, de Sun et de VMware. L'Open Cloud Consortium s'est aussi joint à ce Manifesto. En revanche, on notera l'absence d'Amazon, d'Oracle et de Microsoft. Ironie de l'histoire - ou manoeuvre stratégique - Microsoft, sous la plume de Steve Martin, directeur de l'administration de la plateforme développeurs, accuse l'Open Cloud Manifesto de ne pas être ouvert : « Il nous semble qu'une société, ou quelques-unes, préféreraient contrôler l'évolution du cloud computing au lieu de chercher à trouver un consensus parmi tous les intéressés (y compris les utilisateurs) par l'entremise d'un process "open" ». A chacun de juger. (...)
(27/03/2009 12:31:28)Gartner sur le cloud : la croissance est là, mais ses voies sont incertaines
Dans un marché atone, il est bon de savoir qu'un segment technologique devrait générer de la valeur. Et ce sera le cas des services en ligne, hébergés dans le cloud, à en croire Gartner : « Les revenus mondiaux des services de cloud computing devraient dépasser 56,3 milliards de dollars en 2009, soit une hausse de 21,3% par rapport à 2008. Le marché devrait atteindre 150,1 milliards de dollars en 2013. » Mais attention, tout le monde n'entend pas la même chose par cloud ; sur ces 150,1 Md$, la location de puissance de calcul des datacenters, par exemple, ne représentera que 6,80 Md$. En prévision de son prochain « Outsourcing & IT Services Summit » de Londres en juin, l'institut a donc fait le point sur un marché aux contours... difficiles à définir. C'est d'ailleurs tout l'intérêt de cette étude que de catégoriser les choses. Par « cloud services », ou services accessibles via le cloud computing, Gartner entend : - les services applicatifs métier (tels que paie, publicité, impression, e-commerce, etc., ainsi que les services d'accès aux données), qui représentent le plus gros de ce marché : 38,9 Md$ en 2008, 119,3 en 2013. Sachant que l'essentiel de ce marché est lié à la publicité en ligne, qui devrait encore compter pour la moitié du chiffre d'affaires de ce segment en 2013, selon Gartner ; - les applications en ligne payantes (typiquement, les offres Saas), qui connaîtront une des plus fortes croissances annuelles, passant de 5,04 Md$ à 20,2 Md$ entre 2008 et 2013 (soit un taux de croissance annuel moyen de 32%) ; - les services d'infrastructures applicatives (environnements de développement et middleware en ligne), catégorie parfois appelée Apaas (Application platform as a service), qui, pour Gartner, devraient rester un marché restreint, passant de 1,52 Md$ à 2,26 Md$ de 2008 à 2013 ; - les services d'infrastructure (serveurs, OS, systèmes virtualisés, etc., mais aussi services de supervision), qui comptent pour un petit 0,96 Md$ en 2008 et atteindront - malgré un taux de croissance annuel moyen de presque 54% - seulement 8,37 Md$ en 2013. Gartner crédite en effet cette catégorie d'un potentiel important, mais lui prédit un démarrage lent. Attention aux inquiétudes des utilisateurs, et aux échecs passés Il faut noter aussi que Gartner ne prend en compte, pour réaliser ces estimations, que le chiffre d'affaires généré par la vente de services aux entreprises. Cela exclut la vente de matériels ou de services professionnels aux fournisseurs de services en ligne. De même, l'outsourcing traditionnel est lui aussi exclu. Dans ses recommandations, l'institut s'adresse particulièrement aux fournisseurs de services en ligne - ou à ceux qui voudraient le devenir - et les incite à se montrer très prudents. D'une part, pour ne pas créer trop de « hype », du bruit autour d'un phénomène qui sera lent à prendre. Ensuite, parce que beaucoup d'obstacles restent à écarter du chemin. Les inquiétudes des utilisateurs sur la confidentialité, la conformité, les performances, les possibilités d'intégration, etc., doivent être prises en compte. Gartner encourage aussi à faire autant attention à son modèle économique et à sa stratégie de tarification qu'à son infrastructure technique. Enfin, si on excepte le marché de la publicité en ligne, qui a fait ses preuves avec Google, et celui de l'e-commerce, qui a fait ses preuves avec Amazon ou Ebay, les segments liés aux services en ligne sont très nombreux et tous ne connaîtront pas le succès. Il faut se souvenir, note Gartner, « de la lente évolution des nouveaux modèles de fourniture de services, de l'échec des fournisseurs d'applications hébergées (ASP) dans les années 90 et de l'émergence graduelle mais très limitée du Saas ». (...)
(25/03/2009 17:11:13)Le cloud d'Amazon directement accessible depuis Eclipse
Les développeurs utilisant Eclipse peuvent désormais prévoir les déploiements dans le 'cloud' d'Amazon, EC2, directement depuis leur environnement de développement favori. Un billet sur le blog officiel d'Amazon Web Services annonce en effet la publication d'un plug-in gratuit et Open Source pour Eclipse, AWS Toolkit for Eclipse. « Vous pouvez concevoir un cluster basé sur Tomcat entièrement hébergé dans EC2 directement depuis Eclipse, indique le billet de blog. Vous pouvez spécifier le nombre d'instances désirées et le type d'instance que vous souhaitez. [...] Le plug-in gérera votre cluster, démarrera les instances en fonction des besoins. » Amazon explique ce geste par la popularité de plus en plus grande d'Eclipse au sein de la communauté des développeurs. Néanmoins, cette popularité n'est pas franchement nouvelle. L'élément nouveau serait plutôt à chercher du côté d'Azure, le cloud de Microsoft, directement relié à l'outil de développement maison, Visual Studio. Pour l'heure, le plug-in supporte les déploiements d'applications Java dans le serveur d'applications Tomcat, mais l'éditeur d'EC2 prévoit de « supporter d'autres langages et serveurs d'applications au cours du temps, tels que Glassfish, JBoss, WebSphere et WebLogic ». (...)
(23/03/2009 15:25:48)SAS prépare son propre cloud pour l'an prochain
SAS, un des principaux acteurs du marché du décisionnel, se lance dans le cloud computing avec ses propres armes. Plutôt que de profiter de plateformes génériques déjà opérationnelles, comme celle d'Amazon, l'éditeur préfère investir dans la construction d'un datacenter de 3 500 m² en Caroline du nord. L'enveloppe globale atteindra 70 M$, dont 20 à 22 M$ consacrés à la construction proprement dite du site qui intègrera toutes les dernières innovations en matière d'économie d'énergie et de développement durable. La première tranche de serveurs, qui occupera 1 000 m², sera opérationnelle à la mi-2010. La seconde commencera à entrer en service d'ici trois à cinq ans lorsque la première aura atteint 80% de sa capacité de traitement. Dans la continuité de SAS OnDemand Le choix par SAS de mettre en place son propre environnement de cloud computing s'explique à la fois par l'ampleur de la quantité des données à manipuler et par la haute confidentialité qui doit entourer les données traitées. De plus, ce projet, s'inscrit dans la continuité de l'offre SAS OnDemand, prestation de logiciel en ligne qui croit de 30% par an. SAS OnDemand repose sur une infrastructure composée de serveur Sun, d'équipements de stockage NetApp et EMC. Les choix technologiques pour l'équipement informatique du nouveau datacenter n'ont pas encore été arrêtés, mais SAS utilise depuis quatre ans les logiciels de VMware pour supporter l'infrastructure de ses équipes de développement. 22% du chiffre d'affaires investis en R&D Plus gros éditeur détenu par des actionnaires privés, SAS revendique un chiffre d'affaires de 2,26 Md$ pour 2008 (+5%), dont 43% en provenance de l'Europe, du Moyen-Orient et d'Afrique. La société affirme aussi investir 22% de son CA 2008 en recherche et développement. Elle compte plus de 11 000 salariés. En janvier dernier, Gartner Group plaçait SAS Institute parmi les sept principaux acteurs dans le monde du décisionnel (business intelligence) aux côtés d'IBM/Cognos, de Microsoft, de SAP/Business Intelligence, d'Oracle, d'Information Builders et de MicroStragegy. SAS se démarque en étant le mieux placé sur l'échelle des "visionnaires". En revanche, il figure en bas du classement des sept premiers sur celle de la "capacité à exécuter". Il y côtoie tous les autres éditeurs spécialisés, le Gartner accordant plus de crédit dans ce domaine aux éditeurs généralistes. (...)
(19/03/2009 15:28:59)Le Cloud Azure de Microsoft s'est volatilisé pendant 22 heures
Azure a essuyé 22 heures d'interruption de service entre vendredi et samedi dernier. En phase de Community Test Preview (CTP), autrement dit toujours en phase bêta -il est important de le souligner - le projet cloud computing de Microsoft n'est utilisé que par une poignée d'utilisateurs-testeurs. Hier, soit cinq jours après l'incident, Microsoft l'a décrit comme un "ralentissement" au niveau du réseau interne à la suite d'un problème rencontré lors d'une mise à jour du système d'exploitation. Fabric Controller, élément clé dans la gestion de charge, aurait automatiquement assuré le transfert des applications menacées. L'éditeur précise que seules celles qui ne disposaient que d'une seule instance ont été interrompues, contrairement à celles qui étaient actives sur plusieurs instances. Cette panne est intervenue juste au moment où Microsoft annonçait qu'il comptait, d'ici quelques mois, distribuer Azure sur plusieurs datacenters américains. Pour l'heure, l'infrastructure d'Azure est concentrée sur un seul site dans l'état de Washington, doté de 1 300 serveurs Dell. Microsoft a aussi annoncé l'ouverture d'Azure à des outils non-Microsoft comme PHP. (...)
(18/03/2009 16:49:38)Avec son cloud, Sun vise les développeurs et les étudiants
Le Sun Storage Cloud et le Sun Compute Cloud se posent en concurrent des offres S3 (Simple storage service) et EC2 (Elastic cloud computing) d'Amazon. Sun, qui serait en pourparlers avec IBM pour se faire racheter, compte mettre son offre à disposition à compter de l'été prochain. Il s'agit des premières briques d'une stratégie baptisée Sun Open Cloud Platform. Sun justifie le vocable d'Open parce qu'il compte ouvrir largement ses API qu'il publiera sous le régime de la licence Creative Common. Il fait d'ores et déjà appel à l'API WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning), extension du protocole http destinée à la gestion des fichiers. Sun précise qu'il continue de collaborer avec Amazon pour maintenir une comptabilité entre les deux offres. Les ressources mises à disposition sur le cloud de Sun le seront sous Linux, Windows et OpenSolaris sur plateformes X64 et Sparc. Contrairement à nombre d'acteur sdu domaine, le constructeur vise en priorité les développeurs, les étudiants et les jeunes pousses. De même, ses offres d'hébergement s'adressent avant tout à des projets en cours de développement et non à l'accueil d'éléments d'infrastructure. Ce positionnement rappelle celui du Sun Grid Computing Utility, la première tentative de Sun dans un domaine qui ne s'appelait pas encore le Cloud computing. (...)
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