Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 3401 à 3410.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(22/06/2011 10:40:21)

Google et Microsoft marques préférées des Français

Lorsqu'il s'agit d'évoquer les marques qu'ils aiment, les Français donnent des places de choix aux spécialistes d'Internet. Si dans le classement général Google arrive en tête, d'autres opérateurs en ligne parviennent à se hisser aux premières places des classements par catégorie. C'est le cas de YouTube (deuxième) pour les « médias », mais aussi d'Amazon.com (troisième) et Vente-privée.com (quatrième) pour la « distribution ».

Autre enseignement de cette étude : les marques dans le coeur des Français ne sont pas forcément les plus attendues. Si bon nombre de Français sont des aficionados de l'iPhone d'Apple, Microsoft supplante la marque à la pomme et obtient la première place du podium « télécoms, high-tech ». Du côté des opérateurs de téléphonie, Free (sixième) peut se targuer d'être préféré à SFR (septième), Bouygues Telecom (huitième) et Orange (neuvième).

Ce classement s'est appuyé sur une sélection de 101 marques, chacune notée sur 200 en fonction des réponses apportées à 11 questions. Un échantillon de 4.179 personnes représentatif de la population française de 15 ans et plus a été interrogé.

(...)

(22/06/2011 10:25:19)

Une croissance spectaculaire pour le cloud public selon IDC

C'est bien simple, « Le cloud computing va continuer à remodeler le paysage informatique au cours des cinq prochaines années, les dépenses sur les services de cloud public se développeront  avec un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 27,6%, passant de 21,5 milliards de dollars en 2010 à 72,9 milliards de dollars en 2015 » analyse IDC. Le cabinet d'études assure même que cet effet d'entraînement du cloud va dynamiser la croissance de l'industrie informatique pour les 25 prochaines années.

Selon Frank Gens, senior vice-président et analyste en chef chez IDC, « les services cloud sont interconnectés et accélérés par les technologies de rupture, parmi lesquelles les appareils mobiles, les réseaux sans fil, ou les réseaux sociaux. Et de hisser le cloud au rang de troisième plate-forme de croissance à long terme pour l'industrie IT, après le mainframe et le PC. Le cloud, lui aussi élargit considérablement le nombre d'utilisateurs et d'usages ».

Les services de cloud affichent une croissance quatre fois supérieure à la dépense informatique mondiale. Pour sept dollars dépensés en progiciels, serveurs et solutions de  stockage, en 2015, un sera lié au modèle cloud. IDC note d'autres éléments. En 2015, le cloud public comptera pour 43% de la nouvelle croissance nette dans cinq catégories de produits : applications, développement et déploiement d'applications, logiciels d'infrastructure, stockage, serveurs. Les logiciels en SaaS alors représenteront les trois quart des dépenses de cloud public.

(...)

(22/06/2011 10:07:58)

Les petites SSII ont un regain d'optimisme

Pour 85% des sociétés de services interrogées par le 3SCI, le niveau de commandes enregistrées en 2011 a été égal ou supérieur à celui de l'an dernier. C'est l'un des résultats marquants de la dernière enquête de conjoncture réalisée par le syndicat.

De nombreux autres indicateurs sont repassés au vert mais on retient une amélioration globale du « moral des troupes » : 67% des entreprises interrogées sont optimistes, alors que moins de 50% d'entre elles l'étaient en 2010. « On peut désormais réellement parler d'une sortie de crise, même si l'amélioration est moins forte qu'on pouvait l'espérer, note Olivier Bouderand, Secrétaire Général du 3SCI. Le principal bémol concerne la trésorerie des clients, qui reste dégradée. Les délais de paiement ne se sont pas améliorés. »

Des améliorations sensibles

Parmi les points importants, on peut noter que la situation s'est stabilisée en ce qui concerne les encours accordés par les fournisseurs. Seuls 8% des répondants les ont vus baisser depuis le début de l'année. En ce qui concerne le chiffre d'affaires, il est stable ou en hausse pour 78% des entreprises interrogées (la hausse concerne 49% du panel).

Autre signe marquant : les relations avec les banques ne se détériorent plus, notamment parce que les sociétés de services évitent d'avoir recours aux emprunts et aux encours bancaires. Quoi qu'il en soit, les rares qui l'ont demandé (15% des réponses) ont obtenu satisfaction dans 100% des cas.

Le principal point négatif qui apparaît dans cette enquête est bien la dégradation des délais de paiement des clients : 37% des interrogés parlent d'un allongement et ils ne sont que 9% à noter une amélioration par rapport à 2010.

« En dehors des résultats de cette enquête, nous constatons que nous sommes arrivés dans la période où de nombreux chefs d'entreprises prennent leur retraite, ce qui débouche généralement sur des rachats, des fusions ou, malheureusement quelquefois, des disparitions. Il est donc difficile pour nous de passer de 300 à 500 adhérents, mais cela reste notre objectif », conclut Olivier Bouderand.

(...)

(22/06/2011 10:13:32)

Boston IT 2011 : NimbusDB, une base de données élastique dans le cloud

Fondée par Barry Morris (CEO, en illustration principale) et Jim Starkey (CTO), une légende dans le petit monde des bases de données, NimbusDB emploie aujourd'hui un peu moins de 20 personnes essentiellement des ingénieurs. Ancien architecte logiciel chez MySQL et créateur d'InterBase, Jim Starkey, qui vit aujourd'hui à Seattle sur un bateau, est à l'origine de cette base de données distribuée (peer to peer), déployable localement et sur le cloud. Les déploiements en ligne qui permettent une allocation dynamique des ressources et une facturation à l'usage sont particulièrement bien adaptés aux applications web, notamment les industries qui  connaissent des pics réguliers et temporaires. Mais jusqu'à présent, le provisionnement dynamique ne s'appliquait qu'avec difficultés aux bases de données notamment pour répondre au besoin grandissant des utilisateurs mobiles dans les entreprises.


Jim Starkey, un des gourous de la base de données

Avant de fonder NimbusDB, Jim Starkey avait commencé à développer il y a quelques années une base de données élastique, basée sur SQL, mais qui répondait aux concepts d'ACID (Atomicity, Consistency, Isolation and Durability) pour assurer l'intégrité des opérations. Avec NimbusDB, une nouvelle terminologie basée sur la musicologie fait son apparition pour expliquer la technologie utilisée nous indique Barry White. Ainsi, un « Chorus » désigne un groupe de noeuds sur lesquels repose la base de données qui est composée d'objets baptisés « Atoms ». Et si deux utilisateurs veulent modifier au même moment un bloc (un Atom dans le jargon de Nimbus), un superviseur automatique et temporaire baptisé « Chairman » gère les priorités pour éviter les problèmes de synchronisation. Les noeuds, en local ou en ligne, peuvent être ajoutés ou soustraits du système en fonction des besoins.

Redondance et performance

«Imaginez que vous commencez à travailler à Boston avec une seconde machine redondante à Los Angeles qui pourra offrir une capacité de traitement supplémentaire en cas de besoins », nous a expliqué Barry White. « Imaginez que votre base de données dans votre datacenter avec une autre partie dans un cloud public, et des «cloudbursts » pour supporter des pics de charges dans d'autres clouds. » Et pour trouver les meilleurs prix en ligne pour booster temporairement la base de données, NimbusDB propose une fonction baptisée Connection Brokers. L'architecture de NimbusDB ne repose sur aucun matériel en particulier puisque tout est dans le cloud. Le soft s'installe simplement sur un serveur pour assurer ensuite un pont vers le cloud. Les paramétrages sont réduits au minimum, pour aller plus vite, il suffit de rajouter des machines, précise Barry Morris.


Architecture de la base de données NimbusDB, cliquez pour agrandir l'image

Si la solution de NimbusDB n'est pas encore vendue, elle est déjà testée intensivement chez plusieurs clients. Le produit est presque complet et sa commercialisation ne saurait tarder, complète le dirigeant. Une version gratuite, et parfaitement fonctionnelle est d'ailleurs disponible en téléchargement. Baptisée Duet, elle se limite à deux machines, une pour accueillir le module transaction, l'autre pour héberger les archives. La version Quartet (quatre machines donc serveurs ou VM) sera commercialisée quelques milliers de dollars. La base utilisée est x86 mais un portage vers Sparc ou Itanium est parfaitement envisageable, assure Barry Morris, qui estime ce marché insignifiant. Et pourquoi pas sur iPad conclut-il en forme de boutade.

(...)

(22/06/2011 10:09:26)

Apple, Google et Facebook font de la Caroline du Nord le hub de leur datacenter

D'une valeur de 1 milliard de dollars, le datacenter  mis sur pied par Apple occupe une place importante à Maiden en Caroline du Nord lorsqu'on regarde sur Google Earth. Du toit jusqu aux côtés, ce bâtiment d'une surface totale de  46 452 m²(500 000 square feet) est peint en blanc pour réfléchir la chaleur du soleil vers l'espace.

D'importants fournisseurs de cloud ont construit des installations monolithiques dans des zones dont les terres sont à faible coût et dont l'électricité est également peu coûteuse. Google a déjà investi 600 millions de dollars dans un datacenter situé à Lenoir, en Caroline du Nord, à moins d'une heure de route de Maiden. De son côté, Facebook a bâti une structure de 450 millions de dollars, d'une surface de 30 500 m2 (300 000 square feet) à Forest City. Lorsque Google a annoncé qu'il prévoyait de créer un datacenter en Caroline du Nord en 2007, Scott Millar, président de la Catawba County Economic Development Corp, espérait que cette décision attise la curiosité et suscite l'intérêt d'autres entreprises de haute technologie.

10 ans de réductions fiscales pour Apple

«Je pense que la dynamique qui a amené Google ici  vaut également pour d'autres. », avait t-il déclaré. «Avoir la marque Apple dans notre communauté peut conduire beaucoup à penser que si Apple investit ici, ils pourront y investir aussi », avait t-il ajouté. Selon lui, il  existe également d'autres avantages, en particulier pour les jeunes qui voient le logo d'Apple et pensent aussitôt qu'il existe un avenir pour eux dans la région.
Celle-ci est attrayante pour les datacenters en partie parce qu'elle dispose d'un bon réseau de distribution électrique. Elle est également connue pour la fabrication de meubles et de textiles.

Sans compter les allègements fiscaux. Apple a bénéficié pendant 10 ans de réductions de 50 à 80% sur ses taxes locales. L'effort de développement économique a également participé à l'accélération du permis de construire, et pour Apple, un inspecteur du bâtiment a été dépêché sur place pour que la construction avance plus vite.  

2 500 à 3 000 emplois créés

Apple a également la possibilité de se développer. Son installation est située sur quelque 200 hectares, et occupe seulement une petite partie du site pour le moment, a précisé Scott Millar Le datacenter d'Apple est apparu sur Google Earth tout récemment, Le magazine Fortune a été le premier à l'avoir signalé. Le directeur des services municipaux Todd Herms a déclaré qu'il y avait beaucoup de grands bâtiments dans la région, y compris un parc industriel et 12 bâtiments de taille similaire.

Le datacenter d'Apple a permis de créer 50 emplois directs et 250 emplois indirects, Grâce aux travaux de construction du site, entre  2 500 à 3 000 emplois  verront également le jour.


Illustration : le datacenter d'Apple situé à Maiden, en Caroline du Nord.
Crédit photo : D.R




(...)

(22/06/2011 10:19:08)

Boston IT 2011 : TwinStrata relie les entreprises au cloud privé ou public

Avec TwinStrata, retour vers une pure start-up IT crée par des anciens de HP et en 2007 qui a lancé son produit mi 2010. « Nous sommes un point d'accès au cloud » résume simplement Nicos Vekiarides CEO de la petite société. Vingt-cinq personnes en tout, donc seize à Natick, au sud-ouest de Boston, travaille à connecter les ressources IT d'une entreprise à un pool de ressources de stockage et de services à la demande dans le cloud. TwinStrata sa fait fort de fédérer des offres clouds privées ou publiques comme Atmos, Mezeo, AWS, OpenStack ou encore Scality que nous avions rencontré en avril dernier à San Francisco. Nicos Vekiarides précise avoir travaillé avec Scality pour aider les clients qui utilisent le ring de Scality à intégrer son appliance.

Une appliance physique ou virtuelle dédoublée dans le cloud

TwinStrata se présente en effet sous la forme d'une appliance physique (sur base Dell) ou virtuelle reposant sur un système de cache pour accéder plus rapidement à des services et des données hébergées dans le cloud. S'appuyant sur les hyperviseurs Hyper-V, XenServer et VSphere - KVM n'est pas encore supporté - la start-up , permet de transférer les données d'un cloud à l'autre, quel que soit le fournisseur grâce au support d'interfaces standards. Une interface en ligne très facile à utiliser - la démo était bluffante de simplicité - permet de créer rapidement un espace de stockage sur les plates-formes partenaires. TwinStrata est capable de gérer jusqu'à 50 Po avec son Cloud Array et bien sûr on ne paie que ce qu'on utilise.

La sécurité des données est assurée par un chiffrement à la volée. Les usages sont multiples avec des services baptisés Cloud snapshot, Cloud acess disaster recovery... Et pour améliorer encore la disponibilité de la solution, il est également possible d'installer une seconde appliance dans le cloud.  L'applaince de base est livrée avec 8 To, extensible à 16 avec un lien 10 Gigabits Ethernet ou 2 To en SSD également avec du 10 Gigabits. Assurée en mode bloc et fichiers, le back-up est compatible avec les solutions de Veeam, Symantec et CA. Le mode block access est supporté avec iSCSI mais le support de NFS est encore à l'étude.

Nicos Vekiarides CEO

Réduire les temps de restauration

Parmi les clients de TwinStrata, on peut citer Philips Color Kinetics qui désirait réduire les temps de restauration de sa base de données et éliminer la sauvegarde sur bande. Le premier syndicat de fonctionnaires américains, l'AFGE, a également choisi cette solution pour diminuer la fenêtre de restauration de ses machines virtuelles VMware en utilisant TwinStrata avec Veeam et Amazon S3.

Signalons  pour conclure que TwinStrata est bien sûr un jeu de mot sur stratus, double nuages en français donc.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >