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Développement durable

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(29/10/2009 17:50:50)

La bureautique au coeur de l'efficacité énergétique des bâtiments

Le GIE Enjeu Energie Positive a rendu public aujourd'hui son livre blanc sur l'optimisation de l'efficacité énergétique des bâtiments neufs du tertiaire. Conçu à partir des résultats des travaux des différents groupes de travail, ce document se veut un guide de l'efficacité énergétique des bâtiments pour les acteurs de la filière, les propriétaires et les utilisateurs ainsi que pour les prestataires de service et les exploitants. Le Groupement d'intérêt économique a été fondé il y a un an par Bouygues Immobilier afin de faire jouer les synergies entre différents acteurs concernés par cette thématique. Outre le fondateur, ce groupement compte au total 9 membres qui sont Lexmark, Philips (activité éclairage), Schneider Electric, Siemens, Sodexo, Steelcase (aménagement des bâtiments), Tandberg et les deux industriels qui le rejoignent aujourd'hui, Intel et Tenesol (expert en solutions photovoltaïques, filiale à 50/50 d'EDF Energies Nouvelles et de Total). Les TIC sont de plus en plus concernées par la consommation énergétique des futurs bâtiments, et ce à plusieurs titres. Le livre blanc du GIE le confirme. Pour commencer, la bureautique (postes de travail et imprimantes) comptera encore pour 21% de la consommation énergétique totale des bâtiments tertiaires 'basse consommation' contre seulement 15% dans les bâtiments construits actuellement (normes RT2000). Malgré de nombreux efforts d'optimisation, l'importance croissante des équipements bureautiques dans l'entreprise explique cette augmentation. A noter que les deux axes principaux d'amélioration de la consommation totale du bâtiment, avant les TIC, sont le chauffage, la ventilation et la climatisation (24%), ainsi que le restaurant d'entreprise (23%). Près de 9 DSI sur 10 ignorent la consommation énergétique de leur parc Le groupe de travail sur l'optimisation de la consommation énergétique de la bureautique a pu tester ses idées en réel. Bouygues Immobilier, moteur sur ce groupe, a en effet emménagé dans son nouveau siège social d'Issy-les-Moulineaux en septembre, un bâtiment à énergie positive appelé Galeo. L'ancien siège consommait 28 kWh/m2/an, contre 22 pour Galeo et seulement 12 pour Green Office que l'entreprise construit à Meudon. Selon les travaux du groupe, la bureautique pourrait passer de 30 kWh/m2/an, dans un bâtiment actuel, à 13 kWh/m2/an seulement dans une construction basse consommation. Il reste que près de 9 DSI sur 10 ignorent la consommation de leurs équipements, et que la plupart du temps, la facture électrique reste à la charge des services généraux. Le groupe a également identifié le besoin d'une synthèse des différentes pratiques de green IT qui visent à réduire l'empreinte carbone des TIC. Pour accélérer la prise de conscience sur le sujet, le GIE a mis au point un simulateur 3D de consommation appelé ConsoTIC (image) qui sera disponible gratuitement en ligne avant la fin de l'année. En fonction de divers éléments, dont la composition du parc et la surface du bâtiment, le calculateur établira un diagnostic et indiquera les éléments à améliorer. Il fournit un tableau des consommations électriques annuelles des équipements en kWh, en coût et équivalent carbone, ainsi qu'un comparatif entre la situation actuelle et la situation cible, ainsi que le ROI correspondant. Les TIC au coeur du sujet avec le contrôle et le pilotage de la consommation [[page]] Les TIC au coeur du sujet avec le contrôle et le pilotage de la consommation Mais les technologies de l'information sont aussi au coeur des dispositifs de surveillance de la consommation, de détection de présence, de gestion de l'éclairage, etc. Des capteurs récupèrent ce type d'informations pour les restituer à des systèmes d'analyse et de pilotage. Le livre blanc du GIE estime par exemple qu'une gestion fine de l'éclairage en fonction des lieux, de la lumière du jour, de la présence de personnes, etc. pourrait diviser par 10 la consommation actuelle liée à cette fonction. Elle passerait de 75 kwh/m2/an à 7,5. Une des conclusions du livre blanc établit d'ailleurs que les réseaux techniques et les réseaux informatiques doivent faire l'objet d'un rapprochement dans les bâtiments pour un meilleur suivi des indicateurs Outre son renforcement avec deux nouveaux acteurs (Intel et Tenesol), le GIE va étudier de nouveaux thèmes parmi lesquels la mobilité verte et la convergence des réseaux (technique et informatique). Enfin, Bouygues Immobilier a mis en place, en parallèle, une structure appelée RehaGreen qui étudie les mêmes sujets pour des bâtiments anciens. Dans les immeubles de bureau anciens, les démarches les plus simples à mettre en oeuvre pour réduire la consommation électrique concernent l'éclairage (remplacement des ampoules) mais justement aussi les TIC (réduction du nombre d'imprimantes, impression noir et blanc et recto-verso, mise en veille des PC, etc.) (...)

(27/10/2009 13:38:48)

Les internautes ont préparé une charte verte pour le sommet de Copenhague

Jusqu'au 15 septembre dernier, les internautes pouvaient soumettre leurs idées en faveur de l'environnement sur un site Internet réservé à cet effet. Depuis, les contributions les plus nombreuses ont été recensées par l'IFOP et remises aux experts de la fondation Terra Nova qui ont identifié les 20 tendances les plus porteuses. Devenues recommandations-clés, ces 20 contributions concernent, entre autres, les économies d'énergie, les changements d'habitudes de transport, l'exemplarité des pouvoirs publics, l'investissement dans la coopération internationale. Les thèmes abordés ont été répartis en 10 engagements individuels et en 10 axes d'engagement collectif à faire tenir aux dirigeants politiques. L'initiative, lancée par MSN en partenariat avec la fondation Terra Nova, Le Monde.fr et des experts en écologie, a débouché sur l'élaboration d'une Charte Verte. Afin de récolter un maximum de signatures, ce document est désormais soumis à pétition sur la Chaîne Verte du site MSN. Le texte sera présenté aux acteurs politiques qui se réuniront le 7 décembre prochain au sommet international de Copenhague sur l'environnement. (...)

(26/10/2009 17:00:25)

Proxima Mobile choisit 68 projets autour de l'usage de l'Internet mobile

Nathalie Kosciusko-Morizet et Bernard Benhamou (*) ont présenté, ce matin 26 octobre, les résultats de l'appel à projets Proxima Mobile destiné à développer les usages de l'Internet mobile. 68 dossiers sur les 250 déposés ont été sélectionnés, sur trois critères. Ils devaient proposer des services utiles à tous, permettre aux publics les moins connectés d'accéder à l'Internet mobile et stimuler cet écosystème. Proxima Mobile est doté d'un total de 10 M€ qui seront répartis en fonction des dossiers. « Il y a des projets de très petites tailles, ont rappelé la Ministre et le chargé de l'appel à projets. Et nous avons gardé des possibilités de coups de pouce pour les PME. » Les projets sélectionnés entrent dans des thématiques très variées. Volontairement, comme le précise NKM : « la diversité des dossiers soumis et celle des projets choisis reflète la diversité des sujets concernés par l'Internet mobile. » Les dossiers sélectionnés se répartissent dans les catégories suivantes : la culture, la consommation, le développement durable, l'éducation, le handicap, la santé, les seniors, les services à la personne, le tourisme et la vie locale. Catégories auxquelles il faut ajouter les outils et technologies. Pour Proxima Mobile, Internet et mobile riment la plupart du temps avec géolocalisation. Pour preuve, l'un des projets phares de la sélection que la Ministre, astronaute et scientifique, Claudie Haigneré a présenté en tant que présidente de la Cité des sciences et de l'industrie. CultureClic est « une véritable télécommande qui permet de cliquer sur son environnement culturel », comme le précise le communiqué. En fonction de l'endroit où se trouve l'internaute, ce service lui donne des informations hypermédia sur les sites culturels et les oeuvres qui l'entourent. Dans ce réseau social mobile en réalité augmentée seront regroupés la Cité des sciences et de l'industrie, mais aussi la Bibliothèque nationale de France, le Muséum d'histoire naturelle, ou la Réunion des musées nationaux. Il sera lancé début 2010. Géolocalisation encore et toujours pour deux autres projets élus. 'Jaccede Mobile' propose par exemple de recenser les lieux de sortie accessibles aux handicapés (extension mobile et géolocalisée du site Jaccede.com). Le principe ? Tout un chacun -handicapé ou valide- peut contribuer à identifier un lieu accessible, après une petite formation aux critères d'accessibilité « incitant ainsi les handicapés à sortir davantage », comme le souhaite Damien Birambeau, président de l'association Jaccede. Autre projet, 'Mon université numérique mobile' se veut une application universelle, comme l'explique Jean-Claude Colliard, président de l'Université Paris I Panthéon Sorbonne. « Elle fournira, quel que soit l'équipement de l'internaute, tout un ensemble d'informations sur les universités. » Il s'agit entre autres de valoriser leur patrimoine culturel et scientifique, mais aussi, par exemple, de guider en ligne professeurs, étudiants ou visiteurs vers une salle de cours ou de conférence. 'Mon université numérique mobile' devrait concerner 85% des universités françaises. Les projets concernés s'adressent en particulier aux populations les plus défavorisées, les personnes en recherche d'emploi, afin de les informer, de leur apporter des services, de leur donner accès à la culture. Il s'agit même d'un des trois objectifs de l'appel à projets. Reste que les mobiles, en particulier les smartphones, et les abonnements à l'Internet mobile restent à des tarifs plus que rédhibitoires. NKM explique que tous les services présentés dans Proxima Mobile sont aussi accessibles depuis des postes fixes. CultureClic, par exemple, offrira des fonctions très innovantes sur des smartphones mais sera aussi accessible sur 80% des mobiles, comme le rappelle Sacha Quester-Séméon, concepteur de CultureClic avec sa soeur Natacha. De plus, Bernard Benahmou assure, de son côté, que des négociations sont en cours avec les opérateurs télécom, via l'Afom (Association française des opérateurs mobiles), afin de définir des tarifs sous conditions de ressources. (*) Respectivement Secrétaire d'état à la Prospective et au Développement de l'économie numérique, et Délégué à l'usage d'Internet (DUI) auprès du Ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche ainsi que du Secrétariat d'Etat à la Prospective et au Développement de l'Economie numérique. (...)

(23/10/2009 16:42:29)

La France lance un appel à projets pour le haut débit rural doté de 30 millions d'euros

Le 23 octobre, Bruno Le Maire, Michel Mercier et Nathalie Kosciusko-Morizet (*) ont officialisé le lancement d'un appel à projets national destiné à la couverture en haut débit des zones rurales. Cette démarche s'inscrit dans le cadre du plan européen de relance économique. Lancé en décembre 2008, celui-ci comporte un volet voué à réduire la fracture numérique en milieu rural via l'Internet à haut débit. Le communiqué commun des trois ministères précise que « 30 millions d'euros du Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER) seront spécifiquement affectés à cet enjeu ». Ces sommes - qui représentent la moitié de l'enveloppe allouée aux zones rurales de l'Hexagone- seront utilisées selon un « principe de cofinancement des moyens apportés par les collectivités territoriales ». Parmi les types de projets qui pourront être retenus, le document détaillé de l'appel à projets cite les installations de relais et d'équipements au sol ou l'installation d'une infrastructure passive haut débit y compris en synergie avec les réseaux énergétiques, de transports ou d'adduction d'eau. (*) Respectivement Ministre de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Pêche, Ministre de l'Espace rural et de l'Aménagement du Territoire, Secrétaire d'Etat à la Prospective et au Développement de l'économie numérique. (...)

(23/10/2009 10:05:53)

Dématérialisation et Green IT : Syntec Informatique dresse un 'bilan contrasté mais prometteur'

Comme prévu, Syntec Informatique vient de publier le premier volume d'un livre vert qui doit rassembler les recommandations de sa Commission développement durable en matière de Green IT. Consacré à la dématérialisation, ce premier volet sera suivi, au rythme d'un volume par trimestre, de neuf autres chapitres. Après avoir resitué les enjeux de la dématérialisation sous ses différents aspects (services, transactions, factures, administration, capital intellectuel...), ainsi que l'évolution de ce marché en plein essor, le document publié par Syntec Informatique aborde le constat écologique de la démarche, en dressant un « bilan contrasté, mais prometteur ». Certes, le document électronique contribue à réduire la consommation de papier et l'empreinte carbone qui lui est associée. Mais si elle n'est pas appréhendée de façon globale, relève le livre vert, « ses bénéfices peuvent aussi se traduire par une empreinte environnementale accrue et des tensions sociales liées à l'évolution des activités de l'entreprise ».

Des mesures volontaristes pour un projet Green IT

Faire de la dématérialisation un projet Green IT, procurant des gains durables, nécessite la mise en place de mesures volontaristes. Différentes pistes d'action sont proposées pour favoriser l'adoption du document électronique, tout en limitant l'impact environnemental du papier (pour les plus récalcitrants). Il convient aussi tenir compte des déchets d'équipements électriques et électroniques produits par les infrastructures informatiques (de 20 à 50 millions de tonnes par an) qui gèrent les données numérisées. Au passage, il est rappelé que l'un des bénéfices indirects de la dématérialisation est de permettre un suivi des produits développés par les entreprises, en particulier la remontée de données de sécurité sur les substances chimiques imposées par la directive européenne Reach (Registration, evaluation and authorization of chemicals).

Les impacts sur l'organisation de l'entreprise et sur son écosystème

Dans le domaine de la consommation énergétique, la dématérialisation permet de diminuer la quantité d'énergie nécessaire à la production de papier, tout en limitant les déplacements des individus et les émissions de gaz à effet de serre associées. Toutefois, il faut aussi contenir la facture énergétique liée à l'augmentation des données, en explorant diverses pistes : systèmes virtualisés, conception des bâtiments hébergeant les datacenters, audit énergétique des parcs informatiques...

Les impacts sur l'organisation de l'entreprise et sur son écosystème

La dématérialisation a par ailleurs un impact sur l'organisation de l'entreprise, ses métiers, ses compétences internes, ses outils de collaboration (mobilité accrue), ainsi que sur son écosystème (partenaires, clients), ce qui conduira à modifier de façon significative ses modes de fonctionnement. Il doit donc s'agir d'une démarche accompagnée dont « le bénéfice social » induit « doit être perceptible par les acteurs de l'entreprise », souligne le document de Syntec Informatique. Ses auteurs mettent en garde sur le fait que la dématérialisation « doit être abordée comme un projet d'entreprise et non comme un projet IT », sans oublier ses effets sur les différentes fonctions métiers impactées. Et si la dématérialisation encourage le partage d'information à distance, participant ainsi au désenclavement économique et social de zones géographiques reculées, il faut aussi prendre garde au risque de désocialisation qu'elle comporte.

Le document proposé par Syntec Informatique établit ensuite les différents retours sur investissement que l'on peut attendre de la dématérialisation (économique, environnemental, social et sociétal), ainsi que les risques (complexité des projets, sécurité des échanges...), opportunités et contraintes qui lui sont associés. Pour clore le sujet, les auteurs récapitulent les principes clés d'un projet Green IT et ses principaux indicateurs de suivi. Le deuxième volume du livre vert constitué par Syntec Informatique sur le Green IT et les effets positifs des TIC sur la société et l'environnement sera consacré au télétravail, à la télé-présence et aux communications unifiées.

(...)

(20/10/2009 17:43:32)

NKM veut des élus 2.0 face aux citoyens 2.0

Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat à la Prospective et au Développement de l'économie numérique, a présenté ce matin 20 octobre le programme des "ateliers de l'élu 2.0". Elle souhaite ainsi inciter les parlementaires à blogger, twitter, poster, communiquer par ce biais. Les sessions serviront à présenter les outils de ce passage au 2.0, mais aussi et surtout, à expliquer aux parlementaires l'intérêt des blogs et des réseaux sociaux et à lever les freins qui font encore obstacle à la démarche. Nombre d'élus ont eu, par exemple, des expériences décevantes avec le Web 1.0, alors que d'autres ne voient dans le Web 2.0 qu'un jeu pour adolescents en mal d'occupation. Les parlementaires sont donc conviés à assister aux journées (*) organisées par le secrétariat d'Etat à la Prospective et au Développement de l'économie numérique, avec des spécialistes du domaine comme Daniel Kaplan, président de la FING (Fondation Internet nouvelle génération), observateur des usages d'Internet, ou encore Richard Descoings, directeur de Sciences Po Paris, conseiller d'Etat, à l'origine de la consultation nationale 'Lycée pour tous'. « Tous les parlementaires peuvent s'inscrire à un ou plusieurs ateliers, à condition d'être présents personnellement, indique Nathalie Kosciusko-Morizet, mis à part les présidents de groupe qui peuvent se faire représenter. » Michèle Delaunay (députée PS), Yannick Favennec (député UMP), Alain Lambert (sénateur UMP) et Pierre Moscovici (député PS), témoignent dans une vidéo de leur propre expérience du Web 2.0. Sur le Web 2.0, il y a une demande de spontané et de transparence « Internet chez les élus, on en parle beaucoup, mais on le pratique peu, reprend NKM. Et plutôt chacun de son côté, qui plus est. Sur le Web 2.0, il y a une demande de direct par les internautes, de spontané, de transparence. En un mot, d'authentique. » Connue aussi pour ses Twitts et sa page Facebook, la ministre a présenté quelques leçons tirées de sa propre expérience. « Les internautes ne supportent pas que l'élu ne communique pas en temps réel, explique-t-elle. Ils n'acceptent pas non plus que l'élu ne publie pas lui-même, mais fasse faire le travail par ses assistants. C'est véritablement un nouvel espace démocratique en construction. » La communication des élus via un blog ou des billets sur Twitter ou Facebook présente des intérêts évidents : échange direct avec le citoyen, démocratie interactive, etc. Mais elle soulève aussi des craintes vis-à-vis de populations peu connectées. On imagine principalement les difficultés des plus anciens, des ruraux ou encore des habitants de la banlieue, par manque d'accessibilité ou par crainte de la technologie. Dans la vidéo de témoignages qui sera présentée aux participants, Pierre Moscovici précisait : « j'ai 52 ans, il y a deux ans, je n'avais jamais touché un ordinateur. C'est vraiment très simple de s'y mettre ». Ce qui a permis à NKM de confirmer que parmi les inscrits (environ 20 parlementaires par module), tous les âges, toutes les régions, et tous les profils sont représentés. A noter qu'une 'hotline' sera assurée par le secrétariat d'Etat, afin d'accompagner les élus dans le Web 2.0 après leur passage dans les ateliers. Du coté des citoyens, des élus ruraux rassurent sur l'intérêt des habitants de province. La ministre, également maire de Longjumeau, affirme dialoguer régulièrement avec ses administrés sur Twitter. La secrétaire d'Etat évoque même en exemple ce qu'elle qualifie d'aspect positif d'Hadopi. La polémique soulevée par la loi ainsi dénommée a fait naître un intérêt, voire même une expertise, de certains internautes sur le fonctionnement du Parlement. (*) 21 octobre, 4 novembre, 18 novembre, 25 novembre 2009 (...)

(19/10/2009 16:56:56)

Veolia Propreté et Ecologic récupèrent les déchets professionnels

Les sociétés Veolia Propreté et Ecologic ont mis en place un système de récupération et de recyclage des déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE) dans les entreprises. La directive européenne sur les DEEE impose en effet aux producteurs de ce type de déchets (constructeurs), issus de matériels mis sur le marché après le 13 août 2005, de les reprendre pour en garantir le recyclage. Or, si la filière de récupération des appareils ménagers concernés par la directive DEEE est en place depuis près de 3 ans, il n'en va pas de même pour la filière professionnelle. Les matériels concernés par la législation -mis sur le marché après août 2005- vont pourtant arriver à obsolescence dans les entreprises et tomber sous le coup de cette directive. Ecologic et Veolia Propreté ont mis en place un processus de récupération et de retraitement mais aussi un outil en ligne pour faciliter la démarche. Ecologic (plus de 40 adhérents professionnels) est un des trois éco-organismes labellisés par l'Etat (avec Eco-Systèmes et ERP) pour la récupération des DEEE ménagers. De son côté, Veolia Propreté assure le tri, le démontage, le démantèlement et le recyclage (plastiques, substances dangereuses, métaux, etc.) des appareils électroniques et de leurs périphériques dans ses usines spécialisées. Les deux entreprises ont combiné leurs compétences pour proposer une offre complète aux constructeurs et à leurs clients. Depuis la récupération de parc jusqu'au calcul des quotes-parts des constructeurs Leur dispositif Courtcircuit prend en charge l'ensemble des démarches logistiques, administratives et financières de la reprise de DEEE professionnels : déclaration du constructeur au registre national des producteurs, prise de commande pour les demandes d'enlèvement, récupération des matériels chez le client, affectation des quotes-parts aux producteurs, tri et recyclage des déchets, valorisation des déchets supérieure à la législation (plus de 80% de la matière), garantie de la traçabilité des déchets, etc. Le système propose plus de 50 (200 à terme) points de dépôt de DEEE gratuits ou un service d'enlèvement gratuit des matériels sur site (à partir de 400 kg de déchets préconditionnés pour le transport). Des services optionnels payants sont également disponibles : relevé de numéros de série, destruction de données, conditionnement, récupération de matériels en étage, etc. Dans le cadre de récupération de parcs multimarques, le système de gestion intégré réaffecte à chaque producteur sa quote-part. Enfin, Veolia Propreté et Ecologic sont actuellement à la recherche de partenaires qui proposent aussi le réemploi des matériels en état de marche, afin de ne pas envoyer au recyclage des équipements encore utilisables. Le site Courtcircuit associé au dispositif éponyme permet aux entreprises - en particulier, les plus petites- qui souhaitent se débarrasser de leurs matériels, de décrire leur parc pour faire une demande d'enlèvement et de recyclage. Mais les constructeurs peuvent aussi se servir du site pour proposer à leurs clients la récupération de leurs matériels. Ces clients s'inscrivent alors tout simplement sur Courtcircuit. (...)

(08/10/2009 16:06:16)

Le téléphone portable interdit à l'école et au collège

C'est dans le cadre du projet de loi du Grenelle 2 de l'Environnement et dans le respect du principe de précaution que le Sénat a interdit mercredi l'usage des téléphones portables dans les écoles maternelles et primaires ainsi que dans les collèges. Le seuil d'interdiction de la publicité pour les portables à destination des enfants a par ailleurs été relevé de 12 à 14 ans. Enfin, la Chambre Haute a demandé « une plus grande protection des travailleurs amenés à utiliser quotidiennement des téléphones portables ». Par ailleurs, l'AFP précise que les résultats des mesures sur les champs électromagnétiques émis par les équipements de télécommunications électroniques seront rendus publics et différentes mesures seront mises en oeuvre sur le sujet. L'agence de presse précise que les élus ont souligné les "inquiétudes grandissantes et les doutes au sein de la population sur les effets des champs électromagnétiques sur la santé". (...)

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