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Développement
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(06/12/2006 18:10:30)
Compiere recrute un médiateur pour rassurer la communauté
Compiere, l'éditeur de progiciels Open Source, tient à resserrer les liens qui l'unissent à sa communauté. En témoigne le recrutement de Dawn Foster au poste de directrice des programmes communauté et partenaires. L'idée, selon Compiere, est de faciliter le développement du réseau communautaire et de l'encourager à apporter ses contributions aux projets Compiere. La nouvelle recrue aura également pour mission de gérer le réseau de partenaires, composé d'une centaine de membres (entreprises, intégrateurs, revendeurs, etc.) dont beaucoup participent par ailleurs aux travaux de la communauté.
Le but de Compiere est de profiter de cette embauche pour recoller les morceaux avec une partie de la communauté qui fait, depuis quelques mois, preuve de défiance. Emmenés par quelques membres influents, plusieurs dizaines de participants ont lancé il y a quelques semaines un fork, Adempiere. Leur mouvement de fronde s'appuyait sur le constat que Compiere négligeait les travaux de la communauté en ne prenant, par exemple, guère en compte les améliorations et autres correctifs apportés par les contributeurs. Soucieuse de se montrer rassurante, la direction de Compiere s'était alors empressée d'indiquer qu'elle allait recruter un médiateur pour se rapprocher de sa base. C'est désormais chose faite avec l'embauche de Dawn Foster. Reste maintenant à attendre les premières réactions de la communauté.
Telecom World : Microsoft veut simplifier le mashup sur mobiles
Microsoft s'intéresse aux « mashups » sur les téléphones mobiles. Un mashup désigne la combinaison de différents services applicatifs sur le poste de travail afin de rendre un service répondant à un besoin particulier de l'utilisateur. Microsoft a profité du salon de l'UTI (Union internationale des télécommunications), Telecom World, qui se tient cette semaine à Hong Kong, pour présenter Connected Services Sandbox, une déclinaison de son offre CSF (Connected Services Framework) pour les opérateurs mobiles. Connected Services Framework fournit les services techniques de base : catalogue de services, gestion de session, de l'authentification... L'idée de Connected Services Sandbox est de fournir une place de marché pour les services mobiles, ceux de Microsoft en premier lieu (XBox Live, FlexGo...), mais aussi ceux de Google, Yahoo, eBay, Amazon... Pour l'heure, le site sert surtout à évangéliser sur les différents moyens de faire les utilisateurs de téléphones mobiles saliver sur de nouveaux services, afin d'augmenter le revenu moyen. (...)
(05/12/2006 16:54:43)Tibco défie les serveurs d'applications sur le terrain de la SOA
Ce n'est pas tout à fait un outil de virtualisation, pas tout à fait un serveur d'applications, pas tout à fait un outil de grid, mais la nouvelle plate-forme pour SOA (architectures orientées services) que Tibco a lancé hier ressemble fortement à tout cela. ActiveMatrix reprend en effet les principes de ces outils pour les appliquer aux SOA. La plate-forme propose des conteneurs (moteurs d'exécution) au sein desquels déployer le code applicatif, et assure l'ensemble des fonctions de communication et d'administration : intégration, sécurité, gestion des transactions, gouvernance... De cette façon indique Tibco, les entreprises peuvent vraiment se focaliser sur le code métier et laisser le code technique à la plate-forme. « A peine 60% du code des services est consacré à la logique métier, note Stefan Farestam, directeur marketing EMEA. En déchargeant le code technique sur la plate-forme, cela devient plus simple à développer, et ensuite à changer d'implémentation technologique ou de plate-forme. » Trois composants d'ActiveMatrix sont disponibles. D'abord Service Grid (technologie de conteneurs distribués, communiquant via le bus de Tibco, BusinessWorks), qui peut remplacer des serveurs d'applications J2EE ou .Net, ou bien travailler avec eux (le support direct de C/C++, Ruby et Cobol viendra plus tard), et répartir la charge sur différents serveurs. Vient ensuite Policy Manager, qui applique des règles de gestion aux services et supervise leur exécution. Une partie du code est issue de l'offre d'Amberpoint : « nous avons acheté le code source, et l'avons fusionné avec nos développements », explique Stefan Farestam. Enfin Registry, qui résulte d'un accord de revente avec Systinet (qui appartient désormais à HP), est l'annuaire référençant tous les services. Une offre intéressante pour les besoins d'architecture distribuée Pour Marc Boullier, directeur technique du cabinet d'architectes SOA Vistali, et connaisseur de l'offre Tibco, cette offre représente un grand changement, « car il s'agit de concurrencer frontalement les éditeurs de serveurs d'applications ». Pas sur le haut de gamme, où l'on voit mal Tibco défier les offres matures d'un BEA ou d'un IBM. D'ailleurs, Stefan Farestam avoue que tel n'est pas le but, et qu'aucun test de performances n'a été mené. En revanche, avec l'explosion des services, « on pourrait avoir la volonté de faire du downsizing, en diminuant la granularité des moteurs d'exécution », poursuit Marc Boullier. « Si une entreprise a des besoins d'architecture très distribuée, c'est très intéressant. » Ce type d'offre rencontrera-t-elle son public ? Rappelant que Fabric, l'offre distribuée de WebMethods, « n'a pas vraiment trouvé son public », Marc Boullier pense qu'on ne verra pas de déploiement industriel de ce type avant probablement trois ans. (...)
(04/12/2006 17:55:35)Microsoft inaugure le premier jet d'Expression
C'est officiel: Microsoft pénètre le marché des créatifs Web. Dans la foulée de Vista et d'Office 2007 sortis jeudi dernier, l'éditeur de Redmond annonce aujourd'hui lundi 4 décembre la version finale d'Expression Web (ex-Expression Web Designer), premier volet du vaste projet de suite graphique Expression Studio annoncée au PDC (Professional Developer Conference) en 2005. L'éditeur inaugure également la version de test de WPF/E (Windows Presentation Foundation/ EveryWhere), portage pour navigateur de la couche de présentation de Vista (WPF). "Le studio Expression marque l'engagement de Microsoft dans le monde du design", commente David Talaga, chef de produit Expression. Un marché que l'éditeur a cherché par ailleurs à convaincre en inaugurant, en 2006, sa première conférence pour les créatifs, le MIX 06. Cette suite en test depuis mai 2006 concurrence en direct des outils proposés notamment par Adobe, et "doit couvrir les besoins de l'ensemble de la chaîne graphique". A l'origine composée de trois applications, Microsoft a profité du lancement d'Expression Web pour intégrer un quatrième module, un gestionnaire d'actifs numériques, Expression Media (issu du rachat de la société iview Multimedia en novembre dernier). Et pour rebaptiser les deux autres: le très attendu Interactive Designer (outil de création XAML, le langage XML d'interface de Microsoft) devient Blend. Le module de création graphique, Graphic Designer devient Expression Designer. Ces derniers, proposés en test, devraient voir le jour au deuxième trimestre 2007. Commercialisée 345€, "Expression Web doit notamment tirer profit des technologies ASP.Net", explique David Talaga. Ce qui positionne Expression Web d'emblée comme un élément quasi-indissociable des environnements Microsoft. Moins transversal que Dreamweaver par exemple. Mais en cela, "il ne doit pas être considéré uniquement comme un standalone, mais comme un élément de la plateforme". Comprendre le pendant créatif de la chaîne Atlas (framework Ajax de la marque) et Visual Studio. WPF/E passe en CTP Toujours tourné vers le développement Web, Microsoft inaugure également la version CTP (Community technical preview) de WPF/E. Disponible pour Windows et MacOS X, le runtime WPF/E doit permettre d'exécuter du XAML dans le navigateur. Une façon de "prolonger le framework .Net" déclare Jean-Christophe Cimetière, chef de produit plateforme. Et de pouvoir écouter des applications au design conçu pour Vista sur d'autres plateformes. (...)
(30/11/2006 17:32:48)Oracle veut fédérer autour d'un framework ouvert de gestion d'identités
Oracle cherche à fédérer dans la gouvernance d'identités. Le spécialiste de la base de données vient d'annoncer la création d'un projet de framework ouvert pour assurer la gouvernance des identités en environnement hétérogène. Baptisées Identity Gouvernance Framework (IGF), les spécifications doivent établir, selon l'éditeur, des standards censés définir et contrôler la façon dont seront stockées, diffusées et sécurisées les données sensibles des utilisateurs -PIM, droits d'accès et rôles- entre applications. Il s'agit concrètement de fournir aux entreprises un mécanisme pour établir des "contrats" entre les applications et les différentes sources où sont stockées les informations liés aux identités, indique Oracle dans un communiqué. IGF entend également répondre aux besoins des entreprises en termes de conformité aux lois comptables. IGF a rassemblé quelques spécialistes de la gestion d'identité : CA, Novell, Sun, Ping Identity, Securent, qui, selon Oracle, ont contribué à l'élaboration de la première ébauche des spécifications, et devraient poursuivre leur collaboration pour définir la version finale. Notons également la présence de Layer7 Technology, expert des appliances XML. Outre ce dernier, chacun commercialise ou développe en Open Source une solution de gestion d'identité. Par exemple, Identity Manager 10g R3 chez Oracle et Higgins chez Novell. Techniquement, IGF s'appuie sur quatre composants XML: CARML (Client Attribute Requirement Markup Language), AAPML (Attribute Plolicy Markup Language), CARML API et Identity Service. (...)
(30/11/2006 17:33:26)Vista va supporter nativement la technologie d'authentification .Net de Gemalto
Gemalto et Microsoft ont conjointement annoncé le support par Windows Vista de la technologie de cartes et de clés d'authentification (dongles) .Net du leader mondial de la carte à puce. Grâce à ce support, les entreprises peuvent déployer les dispositifs d'authentification forte de Gemalto avec Vista, sans avoir à installer de logiciel client supplémentaire ni à investir dans un middleware additionnel (la gestion d'identité et l'émission de certificats peuvent se faire directement avec les services fournis dans Windows Server). Les cartes à puce et dongle .Net s'appuient sur une version compacte du framework .Net de Microsoft. L'annonce de partenariat est dans le droit fil des accords qui existaient précédemment entre Microsoft, d'un côté, et Gemplus et Axalto, de l'autre. La technologie d'authentification forte GemSafe de Gemplus est incorporée en standard dans Windows depuis Windows 2000, et le géant de Redmond supporte les cartes .Net d'Axalto depuis 2004. Axalto et Microsoft avaient d'ailleurs fait une annonce en ce sens en décembre 2004 lors du Microsoft IT Forum de Copenhague. Olivier Piou, le PDG d'Axalto, aujourd'hui PDG de Gemplus, avait alors lancé sa première carte à puce .Net après que celle-ci a été présentée durant son discours par Bill Gates. (...)
(30/11/2006 12:47:14)Intalio justifie son appellation de vendeur de BPM Open Source
Intalio vient coup sur coup de rendre deux de ses développements disponibles en Open Source, sous licence Eclipse (EPL, Eclipse public license). L'éditeur de solutions de gestion des processus métier (BPM, Business process management), qui se qualifie lui-même comme « the Open Source BPMS Company », a fait don à la Fondation Eclipse de son outil de modélisation de processus utilisant la notation BPMN (Business process modeling notation). Ce BPMN Modeler fait désormais partie du projet SOA Tools Platform d'Eclipse (STP). Consultant expert du sujet, Bruce Silver écrit sur son blog BPMS Watch qu'il s'agit d'une étape importante, dans la mesure où il s'agirait du premier outil de ce genre en Open Source, ce qui permettra à des contributeurs de l'améliorer. Cela pourrait aussi augurer d'un début de généralisation de l'emploi de BPMN pour décrire les processus métier d'une entreprise. Intalio a également ouvert son projet de framework implémentant BPEL4People, une déclinaison du langage d'exécution de processus BPEL prenant en compte les interactions humaines, telle qu'elle a été définie par IBM et SAP, indique Intalio. L'éditeur avait auparavant fait don à Apache de son moteur d'exécution de processus, ainsi qu'il s'était engagé à le faire en rachetant FiveSight fin 2005. (...)
(29/11/2006 17:12:08)Le père du JCP, Graham Hamilton, quitte Sun
Premier dommage collatéral chez Sun depuis l'annonce de l'ouverture de Java à l'Open Source. Graham Hamilton, fondateur du JCP (Java Community Process) et l'une des figures les plus emblématiques chez Sun, a décidé de quitter le groupe, très discrètement, la semaine dernière. Sun indique que James Gosling, père du langage Java et également vice président, devrait reprendre les responsabilités d'Hamilton. Pour l'heure, Sun confirme le départ sans en indiquer les raisons précises. La position officielle très neutre livrée au mondeinformatique.fr : "Sun remercie Graham pour ses nombreuses contributions à la société et à la technologie Java. Graham est largement respecté par les employés et développeurs de Sun du monde entier. Bien qu'il soit toujours triste de voir partir un employé de son calibre, nous l'encourageons dans ses activités futures". Rappelons que Hamilton s'est récemment distingué en se positionnant contre la mise à disposition de Java sous licence Open Source GPL, mettant en cause les capacités à maintenir la compatibilité du langage. Arrivé chez Sun en 1995, Graham Hamilton a notamment participé activement au développement de technologies autour de Java, telles que le support de CORBA, les Java Beans, et l'API JDBC. Il est également connu pour être à l'origine du JCP (Java Community Process), et dirige les travaux sur Java Standard Edition (Java SE). Le rôle premier du JCP est de coordonner l'évolution du langage Java et d'en maintenir la cohésion et la compatibilité, notamment par le biais de certifications. Un rôle désormais mis à mal avec l'ouverture de Java à l'Open Source. (...)
(28/11/2006 17:47:55)Plus de failles dans Oracle que dans SQL Server
Oracle est peut être "Unbreakable", mais il l'est plutôt moins que SQL Server. C'est en tout cas la conclusion des spécialistes de la sécurité de Next Generation Security Software (NGSS), selon lesquels le SGBD d'Oracle a souffert de quatre fois plus de vulnérabilités que son concurrent de Microsoft au cours des six dernières années. Entre décembre 2000 et novembre 2006, NGSS a compté 233 vulnérabilités dans le SGBD d'Oracle contre 59 pour SQL Server. L'étude a porté sur les versions 7, 2000 et 2005 de SQL Server et sur les versions 8, 9i et 10g d'Oracle. Pour David Litchfield, le fondateur de NGSS, la réputation de sécurité d'Oracle n'est plus méritée et l'étrillage de Microsoft pour ses trous de sécurité n'est plus de saison. Selon Litchfield, les processus de développement mis en place par Microsoft sous la pression des chercheurs en sécurité semblent produire des résultats. Oracle devrait donc s'en inspirer. Du côté du géant des bases de données, on conteste l'analyse en rappelant que le nombre de failles n'est pas suffisant pour mesurer la sécurité d'un produit. "La richesse fonctionnelle et les capacités varient grandement d'un produit à l'autre, de même que le nombre de plates-formes supportées", rappelle malicieusement Oracle [sans aller jusqu'à rappeler que l'une des pires attaques de SI de ces six dernières années, celle opérée par le ver Slammer, était liée à une faille SQL Server]. " Oracle critiqué pour ses procédures de développement et sa lenteur à publier des correctifs Reste qu'Oracle n'est pas non plus réputé pour sa rapidité à combler les failles dans ses produits et que son attitude vis-à-vis des experts de sécurité lui vaut les foudres de cette communauté. La semaine dernière, Argeniss Information Security a ainsi annoncé son intention de publier un bogue zero-day [un bogue exploitable immédiatement par un exploit disséminé dans la nature, NDLR] durant chaque semaine du mois de décembre. L'idée est de montrer que le processus de publication de correctif actuel d'Oracle est inadapté à la réalité et de contraindre l'éditeur à revoir ses pratiques de développement en matière de sécurité. Comme l'explique Cesar Cerrudo, le créateur de la société, "nous pourrions faire l'année des bugs du SGBD Oracle, mais nous pensons qu'une semaine est suffisante pour montrer à quel point le logiciel d'Oracle est bogué". Il n'est pas sûr que cette initiative ne fasse que des heureux, à commencer par Oracle et par les DBA (Data Base Administrator) utilisateurs du logiciel SGBD de la marque. (...)
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