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Développement
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(21/11/2007 17:48:02)
PHP Forum : le créateur du langage livre ses astuces de sécurité et de performances
Environ deux cents personnes ont bravé les grèves des transports parisiens pour venir écouter Rasmus Lerdorf, créateur du langage PHP, qui assurait l'ouverture du PHP Forum ce matin. Rasmus Lerdorf a consacré une bonne partie de son intervention à sensibiliser les développeurs présents à deux éléments critiques d'un serveur Web écrit en PHP : les performances et la sécurité. Et même d'autant plus critiques que, selon Nexen Services, PHP fait maintenant tourner les tiers des sites Web dans le monde. Rasmus Lerdorf a enchaîné les 'trucs', dont certains très pervers (« really nasty », en VO), pouvant être utilisés pour pirater du code PHP, et les astuces pour y faire face. Côté performances, il estime qu'il y a certes un travail d'optimisation à effectuer, mais que celui-ci se situe surtout (à 80%) du côté de Javascript, généralement utilisé pour l'interface cliente d'un serveur PHP. Répondant à nos questions en privé à l'issue de son intervention, Rasmus Lerdorf a encore expliqué que les performances étaient tributaires de l'utilisation ou non d'un framework. De fait, les cadres applicatifs censés améliorer la productivité des développeurs et assurer un déploiement optimisé sont légion. Or, pour lui, les frameworks n'améliorent vraiment la productivité que de ceux qui les ont conçus, car ils les connaissent très bien. « Et si vous avez des problèmes de performance, il est difficile d'en sortir. » Le mieux serait encore de bien identifier son besoin, et de personnaliser un framework, voire de se créer son propre framework bien spécifique. Des frameworks ou davantage de contraintes dans le langage lui-même pourraient aider à améliorer la sécurité des applications PHP. Mais Rasmus Lerdorf estime qu'il s'agit plus d'un problème d'éducation et de sensibilisation des développeurs. « Rien n'est jamais complètement sûr, dit-il, il faut vraiment que les développeurs comprennent bien les problèmes de sécurité. Peut-être est-ce notre faute, nous n'avons pas suffisamment éduqué le marché. » Adobe souligne sa complémentarité avec PHP Le PHP Forum fermera ses portes demain soir, après plusieurs interventions d'utilisateurs, dont celle de Facebook, et des ateliers techniques. Adobe, principal sponsor de la manifestation, tient également plusieurs sessions, afin de démontrer la complémentarité de PHP et de Flex, l'environnement de développement d'interfaces graphiques basées sur Flash. Les performances constituent là encore un enjeu majeur, car depuis la version 9 du Flash Player, la plateforme d'exécution d'Adobe utilise une nouvelle version de sa machine virtuelle (donnée à Mozilla, sous le nom de code Tamarin), qui minimise les temps d'exécution du Javascript sur le client (le langage d'Adobe est un proche parent, Actionscript). En outre, Flex permet d'échanger des données structurées et typées sous forme binaire, compressée, ce qui, d'une part, allège les échanges avec le serveur, optimisant la bande passante, et d'autre part offre des possibilités de manipulation des données sur le client bien plus avancées. Conscient de s'adresser à un public très à cheval sur les règles de l'Open Source, Michaël Chaize, avant-vente chez Adobe France, a souligné que si l'atelier Flex Builder est payant (250 euros), le kit de développement est gratuit, et passera même sous licence Open Source début 2008. Quant aux serveurs Flex, payants, ils ne sont a priori pas utiles à la majorité des projets : « Aujourd'hui, 95% des applications Flex dans le monde ne rapportent rien à Adobe - hormis des coups de fil au support... » (...)
(21/11/2007 11:48:59)Deux projets pour faciliter l'échange entre OpenSolaris et Windows
Sun vient d'initier deux projets autour de son Unix libre, OpenSolaris. Ces projets, respectivement CIFS (Common Internet File Systems) server et CIFS client, ont pour but de faciliter l'échange de fichiers entre les systèmes tournant sous OpenSolaris et ceux tournant sous l'une des versions de Windows. Le tout pour gagner des parts de marché dans les environnements hétérogènes. Il s'agit d'une véritable révolution pour Sun qui va donc intégrer CIFS au coeur du noyau d'OpenSolaris pour que les ordinateurs tournant sous cet OS apparaissent comme des clients CIFS (Windows ou Mac OS) pour le reste du réseau. Ces changements seront intégrés à Indiana, la version d'OpenSolaris attendue pour la première moitié de 2008, mais ils ne devraient pas être incorporés à la version commerciale avant l'année suivante. (...)
(21/11/2007 09:04:01)BEA ouvrira la virtualisation pour toutes les applications en 2008
C'est avec quelques mois de retard sur sa feuille de route que BEA va lancer sa console d'administration pour les environnements virtualisés avec WebLogic, son serveur d'applications Java. WebLogic Liquid Operations Control Center « permet de voir au coeur de la machine virtuelle », résume Martin Percival, évangéliste technique de BEA pour l'Europe. L'éditeur de middleware propose en effet depuis peu une version remaniée de son serveur d'applications et de sa machine virtuelle Java, Jrockit, capable de tourner directement au-dessus d'ESX Server, la couche de virtualisation de VMWare. D'après Martin Percival, la possibilité de faire tourner plusieurs instances de WebLogic sur un même serveur et sans système d'exploitation optimise la consommation des ressources ; il cite ainsi des clients qui sont parvenus à doubler leur capacité avec les mêmes serveurs. Pour l'heure LiquidVM, cette édition spéciale de la machine virtuelle, ne sert qu'à faire tourner WebLogic. Mais rien n'empêche a priori de l'utiliser pour d'autres applications Java. Cette généralisation devrait intervenir en 2008 : « Nous ouvrirons la plateforme pour permettre aux gens de l'utiliser avec leurs propres logiciels. » De même, BEA considère l'offre de VMWare comme dominante, mais l'éditeur pourrait étudier la possibilité de tourner sur d'autres hyperviseurs, « s'il y a des opportunités commerciales ». (...)
(19/11/2007 12:36:20)No comment de Sun et de Google sur la machine virtuelle d'Android
Google et Sun vont-ils s'engager dans une bataille sur la propriété intellectuelle autour de Java ? Google a en effet dévoilé la semaine dernière le kit de développement (SDK) de sa plateforme pour téléphones mobiles Android, qui fait appel à Java, sans pour autant reposer sur la plateforme de Sun. Les développements pour Android se feront bien en Java, mais Google propose en fait sa propre machine virtuelle, Dalvik, pour interpréter le code (après une simple conversion, qui pourra être effectuée à l'aide d'un outil inclus dans le SDK). Ingénieur italien membre des Labs de la fondation Apache, Stefano Mazzocchi a décortiqué l'annonce de Google et conclu que ce dernier cherchait à contourner les droits attachés à JME (Java Micro Edition), la plateforme de Sun pour téléphones mobiles. Les fabricants d'appareils utilisant JME doivent en effet reverser des royalties à Sun. Or, Android serait de son côté distribué sous licence Apache, et donc librement utilisable par les fabricants. On peut y voir un autre intérêt : partant d'une feuille vierge, Google peut concevoir une machine virtuelle optimisée pour les mobiles actuels. Sun et Google ont tous deux refusé, pour l'instant, de s'exprimer publiquement sur cette pomme de discorde. (...)
(16/11/2007 16:32:23)Un comité SDO au sein de l'Oasis
SDO dispose désormais de son propre comité au sein de l'Oasis. Les spécifications Service Data Objects visent à donner une vue unifiée, logique, des données, quelles que soient les sources considérées : bases de données relationnelles, fichiers XML, etc. L'organisme de standardisation estime qu'il s'agirait d'une aide appréciable dans la mise en place d'architectures orientées services (SOA). Un modèle de programmation unifié simplifierait en effet énormément la tâche des développeurs. C'est le souhait des promoteurs de SDO : Adobe, BEA Systems, IBM, Progress Software, SAP, et le Français Xcalia. Le comité technique sera affilié à la section 'OASIS Open Composite Services Architecture', qui accueille déjà les comités travaillant sur les spécifications SCA (Service component architecture), un modèle de développement unifié pour des applications conformes aux canons de la SOA. (...)
(16/11/2007 11:20:52)Le premier code source du processeur 4004 redécouvert
Lancé en 1971, le processeur 4004 d'Intel est considéré comme le premier microprocesseur générique. Les équipes d'archéologues de l'informatique de l'Intel Museum viennent de recréer le code source du premier programme jamais implanté dessus : le pilote de la calculatrice Busicom 141-PF. Tenant dans à peine 1 024 octets de mémoire, ce programme permettait non seulement de faire les quatre opérations courantes (addition, soustraction, multiplication et division), mais il gérait également l'affichage du résultat et son impression. La version moderne, à télécharger sur le site du musée, fait pour sa part 230 Ko. Cette différence de poids s'expliquant par la nécessité d'émuler l'environnement de la calculatrice sous Windows XP, et par la documentation sur le code source fournie. (...)
(16/11/2007 10:57:46)Alfresco propose une utilisation professionnelle de Facebook
Alfresco propose ce qu'il nomme « la première application Facebook pour les entreprises ». L'éditeur de logiciel de gestion de contenu Open Source s'appuie sur FBML (Facebook Markup Language), le langage mis à disposition par le réseau social, et sur les API (interfaces de programmation) publiées par Facebook. Les développeurs peuvent en tirer parti, explique Alfresco, pour « partager du contenu sur Facebook, entre clients, partenaires et salariés ». La sécurité est assurée au travers d'une authentification unique. Pour Alfresco, cette intégration avec Facebook est aussi un moyen économique, et dans l'air du temps, de se bâtir une plateforme collaborative reliée à la plateforme de gestion de contenu. L'éditeur cite une étude de McKinsey disant que « 37% des grandes entreprises du secteur informatique interrogées [à l'occasion de cette étude, ndlr] se penchent actuellement sur un projet de ce type ». A l'origine, raconte John Newton, directeur technique d'Alfresco, l'application aurait dû être développée pour MySpace. Puis l'éditeur a pensé que Facebook serait plus attractif pour des utilisateurs professionnels. Certains auraient déjà exprimé leur intérêt. « Pour l'essentiel des organisations qui cherchent à être aussi ouvertes que possible, notamment des communautés religieuses et des administrations. » (...)
(14/11/2007 09:57:47)OpenWorld : Oracle brandit Fusion Middleware 11g
Au deuxième jour d'OpenWorld (11-15 novembre, San Francisco), Oracle a fait le point sur Fusion Middleware 11g, prochaine évolution de sa gamme d'outils intégrés permettant de développer et déployer des applications sécurisées dans une architecture orientée services, en tirant parti des fonctions de collaboration Web 2.0 et des technologies de grid computing. Rappelons que Fusion Middleware rassemble le serveur d'application d'Oracle, son portail, ses solutions décisionnelles et ses outils de gestion de contenus et des identités. Fusion Middleware comprend aussi une suite de composants SOA : l'environnement de développement Java Jdeveloper, des outils pour définir et orchestrer les processus métiers (Business Rules, BPEL PM), pour superviser les activités métiers (BAM) et orchestrer services Web et interactions entre les applications (Web services manager), ainsi qu'un bus de service (ESB). Actuellement testées auprès de certains clients, les nouvelles versions de ces produits seront livrées en bêta à la mi-décembre. L'éditeur, qui dit enregistrer une nette progression sur les ventes de sa gamme Fusion Middleware, a fait une démonstration de force sur OpenWorld en soulignant les atouts de ses produits face à la concurrence. Il y a quelques semaines, il était pourtant tout disposé à racheter BEA Systems, l'un de ses principaux concurrents dans ce domaine, avec le serveur d'application WebLogic et la gamme de développement d'applications SOA Aqualogic. Vers l'intégration de données décisionnelles Thomas Kurian, senior vice-président d'Oracle pour les technologies serveurs, a rappelé les avancées récentes et à venir d'Oracle Fusion Middleware. Parmi celles-ci, un runtime compatible JEE 5 pour le serveur d'application, un bus de service basé sur les standards SCA (service component architecture), l'utilisation du mode ELT (extraction, chargement, transformation des données) pour intégrer les données décisionnelles, de nouveaux tableaux de bord interactifs, une meilleure intégration avec Excel, ou encore l'utilisation de Webcenter pour créer des environnements de travail dynamiques permettant d'exploiter les fonctions Web 2.0. Dans l'offre de gestion de contenus, acquise avec le rachat de Stellent, les versions 3 d'Imaging and process management 10g (intégration des images dans les processus documentaires) et d'Information rights management (sécurisation et traçabilité des documents) sont désormais disponibles. La première permet de disposer une interface web personnalisable et de fonctions optimisées de load balancing. La seconde inclut une nouvelle API web services mise à jour pour supporter le placement de filigranes dans les fichiers PDF, ainsi que l'encryptage AES 256 bit. Oracle a également ajouté des outils de diagnostic et des fonctions analytiques à sa solution de respect des procédures, Fusion Governance Risk and Compliance Intelligence. Ils permettront aux dirigeants de constituer rapports et tableaux de bord pour mieux identifier les risques. (...)
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