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Développement
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(12/12/2007 11:35:10)
Friendster ouvre à son tour sa plateforme aux développeurs
Après Facebook et LinkedIn, c'est au tour du réseau social Friendster d'ouvrir sa plateforme aux développeurs. Et dès l'annonce, 180 applications différentes sont disponibles, issues entre autre de la version bêta du Friendster's Developer Program lancée le 25 octobre dernier. Comme son concurrent plus orienté vers les professionnels, LinkedIn, Friendster fait officiellement partie de l'initiative OpenSocial lancée par Google. Et comme lui, il assure que sa plateforme sera compatible avec les applications au format OpenSocial quand celui-ci sera « complet et sécurisé ». (...)
(11/12/2007 16:23:00)Paris On Rails lève le voile sur Ruby On Rails 2.0
Un pas vers la maturité. A l'occasion de Paris on Rails, conférence dédiée au langage Ruby on Rails, David Heinemeier Hansson, son créateur, a présenté les évolutions de la version 2.0 du framework. « Dans la version 2.0, nous avons mis l'accent sur le design d'applications basées sur REST », a-t-il déclaré. Les développeurs de cette mouture ont en effet choisi de s'appuyer sur REST (Representational State Transfer) plutôt que SOAP pour véhiculer les messages dans les applications Web. Si cette version semble installer le cadre applicatif dans la continuité, comme l'indique Richard Piacentini, fondateur de Nuxos une SARL hexagonale, organisatrice de l'événement, à nos confrères d'IDG News Service, Ruby on Rails 2.0 marque également une rupture avec le passé, abandonnant certaines fonctions embarquées depuis les premières versions. Et c'est un bienfait, analyse David Heinemeier Hansson, qui déclare sans ambages : « Nous voulions nous débarrasser de ces mauvaises lignes de codes historiques ». Certaines de ces fonctions seront désormais disponibles sous forme de plug-in. « Installez les et votre application continuera de fonctionner », dit-il. Au-delà des considérations techniques, Ruby On Rails a reçu le soutien de grands noms du secteur. Sun, d'abord, qui a récemment embauché l'équipe de JRuby, une implémentation de Ruby pour les machines virtuelles Java. Puis Microsoft qui, quant à lui, a recruté les développeurs de RubyRLR, une passerelle entre Ruby et le framework .Net. Autant de supports qui aident à la propagation du framework. Pénurie de développeurs Si Ruby semble prendre son envol, il apparaît qu'il reste toutefois en retrait en termes de popularité par rapport à PHP, son grand concurrent. Alors que le PHP Forum de Paris a accueilli plus de 500 développeurs, Paris On Rails, pour sa deuxième édition, recense quelque 240 chefs de projet et développeurs. Soit moitié moins. Si « la France est historiquement un des pays où PHP est le plus populaire », commente Richard Piacentini, il ressort toutefois que Ruby souffre d'une pénurie de développeurs. Ce qui ne devrait pas durer, assure David Heinemeier Hansson, et reste un des prochains défis que devra affronter le framework. (...)
(07/12/2007 14:40:38)Les développeurs réclament des informations sur IE8
Il semble que les relations entre l'équipe en charge du développement de la prochaine version d'Internet Explorer et les développeurs ne se s'arrangent pas. Il suffit en effet de consulter le blog consacré à IE pour prendre la mesure du problème. Le cahier de doléances est lourd : non respect des standards, promesses d'évolution non tenues et surtout manque de proximité entre Microsoft et la communauté des développeurs. Molly Holzschlag, célèbre blogueuse américaine, a eu l'occasion de s'entretenir sur le sujet avec Bill Gates. Interrogée par notre confère Gregg Keizer de Computerworld, elle n'apporte pas vraiment de réponse au silence prolongé de l'équipe qui travaille sur IE8, dirigée par Dean Hachamovitch. Bill Gates aurait en effet répondu : « Je vais me renseigner auprès de Dean sur ce qui se passe réellement. » Ce n'est qu'après cette conversation que les premières informations sur IE 8 sont apparues sur le blog consacré au navigateur. Coïncidence ou remontage de bretelles du responsable IE8 par Bill Gates ? Toujours est-il que les quelques informations lâchées n'ont pas suffit à enterrer la hache de guerre entre les développeurs et l'équipe de Dean Hachamovitch. Jeudi dernier, pas moins de 250 commentaires peu flatteurs étaient laissés par les développeurs sur le blog en réponse aux annonces succinctes faites sur IE 8, la plupart des commentaires faisant état du manque de transparence et de collaboration de Microsoft dans cette affaire. Gageons qu'il faudra plus qu'un communiqué de presse et quelques annonces pour réparer la relation entre les développeurs et Microsoft, l'enjeu étant de taille : les développeurs portent en partie le succès d'un navigateur en concevant les extensions et les applications. Il est donc tout naturel de leur offrir un minimum de visibilité sur les évolutions afin de leur laisser le temps de s'adapter et c'est précisément ce qu'ils demandent. (...)
(05/12/2007 12:21:39)PDF 1.7 devient une norme ISO
Le format PDF dans sa version 1.7 vient d'être approuvé par l'ISO (International Standards Organisation), devenant ainsi une norme internationale. Avec seulement une voix contre sur les 14 pays ayant pris part au vote, PDF 1.7 sera dorénavant référencé en tant que norme ISO 32000, écrit en substance Jim King, architecte PDF chez Adobe sur son blog. L'Australie, la Bulgarie, la Chine, le Japon, la Pologne, l'Afrique du Sud, l'Espagne, la Suède et l'Ukraine ont voté pour, sans commentaire. La Grande-Bretagne, les Etats-Unis, l'Allemagne et la Suisse ont voté pour, avec commentaire. La Russie, de son côté, s'est abstenue. Seule la France s'est exprimée par la négative, avec commentaire. Après avoir annoncé en janvier, ses intentions de faire de PDF un standard, Adobe avait soumis le format auprès du comité technique de l'ISO en juillet. Notons que les sous-groupes PDF/Archive et PDF/Exchange, sont déjà des normes ISO. Désormais, PDF 1.7 servira de norme commune pour unifier les sous-groupes. La ratification de PDF signifie notamment qu'Adobe lâche du lest dans le contrôle des futures évolutions de son format, au profit d'un développement plus communautaire dans lequel il gardera, au même titre que les autres parties, un regard. « L'enjeu est désormais de rassembler les personnes autour de la prochaine mouture du standard. Beaucoup de gens sont demandeurs de standards, mais cela nécessite un engagement conséquent en termes de ressources », conclut Jim King. (...)
(04/12/2007 15:54:58)Polémique autour de l'attitude de Sun vis-à-vis d'OpenDS
Le torchon brûle entre la direction de Sun Microsystems et l'un de ses ex-salariés, également un des co-responsables du projet libre OpenDS qui porte sur la réécriture en Java de Sun Directory Server, l'actuel serveur d'annuaire LDAP de Sun. Dans une lettre ouverte, Neil Wilson, un des cofondateurs et un des quatre administrateurs originels du projet, dénonce l'attitude de Sun. Selon lui, Sun, qui a licencié pour raisons économiques les quatre administrateurs du projet OpenDS, les a menacés de les priver d'indemnités de licenciement s'ils n'abandonnaient pas le contrôle du projet OpenDS au profit de salariés de Sun. Le projet OpenDS, qui était à cheval entre le Texas et Grenoble, où se trouvait déjà la majorité de ses développeurs, vient d'être entièrement consolidé au sein du Directory Server engineering group à l'antenne grenobloise des Sun Labs. Dans cette antenne, une quarantaine de développeurs travaille sur les annuaires LDAP depuis 1996. Désormais libéré de tout lien contractuel avec Sun, Neil Wilson raconte ces pressions. Selon lui, elles expliquent pourquoi il a totalement disparu du projet. L'affaire peut paraître anecdotique, mais Neil Wilson était tout de même l'architecte du projet et avait écrit de sa main 50% du code existant. Son retrait brutal risque de ralentir la maturation d'OpenDS. Par ailleurs, dans le milieu très "politique" de l'Open Source, la façon dont est présenté le comportement de Sun l'expose à des critiques acerbes. La polémique, qui semble s'envenimer à la lecture des échanges entre Neil Wilson et Simon Phipps, Chief Open Source Officer chez Sun, attire les concurrents. C'est ainsi que des participants au projet OpenLDAP prennent la défense de Neil Wilson. Sun accusé de dévoyer l'esprit de l'Open Source ? Neil Wilson pousse les feux dans ce sens. Toute proportion gardée, cela rappelle les cris d'orfraie qui avaient été entendus lors de la signature de l'accord entre Microsoft et Novell, éditeur de Suse et traite à la cause... (...)
(03/12/2007 17:49:52)Accenture craint la stagnation des projets SOA... pour mieux vendre BEA
Dans leur grande majorité, les promesses des architectures orientées services (SOA) ne se sont pas encore concrétisées. La faute reposant en partie sur le fossé qui existe entre directions métier et directions informatiques. Voilà, en résumé, les propos tenus par Donald Rippert, directeur technique d'Accenture, lors d'un séminaire chez BEA à l'occasion de l'ouverture du « Accenture Innovation Center for BEA ». Ce centre d'innovation, sis au siège de l'éditeur, a justement pour but d'aider les entreprises à combler ce fossé. Et cela doit être fait dans les 18 mois, a prévenu Donald Rippert, pour que les SOA ne connaissent pas le destin éphémère du hula hoop. Alfred Chuang, le PDG de BEA, a souligné de son côté avoir recherché cette association avec Accenture, car « de toute évidence, personne n'a conduit autant de changements technologiques qu'Accenture ». Le CTO d'Accenture fonde son analyse sur une vision de l'implémentation des SOA en quatre phases : commencer par écrire les interfaces à l'aide de XML, puis exposer l'existant sous forme de services Web, ensuite connecter ces services avec un ESB (Enterprise service bus), et enfin recourir au langage BPEL (Business process execution language for Web services) afin de pouvoir modifier le comportement d'une application sans entrer dans le code. Et pour Donald Rippert, les projets SOA sont aujourd'hui coincés à la phase deux. Difficile de contredire Donald Rippert quand il explique que les retours d'expérience en SOA ne sont pas encore légion, ou que toutes les promesses n'ont pas été tenues. Néanmoins, on pourra objecter que sa vision est extrêmement réductrice : des SOA sans XML, services Web ou ESB peuvent exister ; de même, baser systématiquement un projet SOA sur l'existant n'est pas forcément une bonne idée. Comme le préconisait le directeur du conseil d'Orchestra Networks lors de notre SOA Forum, il vaut mieux partir sur un projet avec l'idée de tout refondre à terme, car la valeur d'une SOA dépend de la valeur de l'existant informatique - si on se base dessus. Or, soulignait l'organisateur du symposium architectes de Capgemini il y a quelques jours, construire un système à partir des transactions existantes est un non-sens qui risque de mener les projets dans une impasse. (...)
(30/11/2007 12:35:33)Microsoft prévoit une bêta de Silverlight 2.0 pour début 2008
Microsoft publiera une version bêta de la version 2.0 de Silverlight au premier trimestre 2008, selon le blog de Scott Guthrie, développeur chez l'éditeur de Redmond. Il s'agira bien d'une version 2.0 et non 1.1 comme l'avait laissé entendre Microsoft. Selon Scott Guthrie, «au regard du nombre de fonctionnalités supplémentaires, nous avons réalisé que le baptiser 1.x ne reflétait pas sa vraie nature ». Et pour cause. Silverlight 2.0 embarquera un sous-ensemble du framework .Net, permettant ainsi à la communauté des développeurs Microsoft d'utiliser Visual Studio pour programmer des application Internet riches (Rich Internet Application - RIA) multi-plateformes et multi-navigateurs. En outre, cette mise à jour majeure devrait également donner accès à davantage de fonctions de WPF (Windows Presentation Framework - la couche de présentation de Vista). Scott Guthrie publie une liste détaillée des fonctionnalités de Silverlight 2.0. (...)
(29/11/2007 17:02:16)Capgemini ouvre son symposium aux autres architectes
Capgemini a tenu hier et aujourd'hui son douzième symposium d'architecture. C'est la troisième année que la conférence s'ouvre à des partenaires, et la première fois que du public est invité à y participer. C'est aussi la troisième année que le Symposium a pour thème les SOA (architectures orientées services), « une tendance de fond ». Les deux jours ont donc abordé les SOA sous différents angles, « en privilégiant les retours d'expérience », précise Hyacinthe Choury, 'architecte leader' de Capgemini et auteur du programme. Lui-même a présenté la façon dont Capgemini est intervenu et intervient encore pour le compte du PMU. D'abord afin de refondre l'architecture du système de prise de paris sur Internet, pour lui permettre de monter en charge. « Le PMU a réalisé un chiffre d'affaires de 7,6 MdE en 2005, sur lequel Internet représentait moins de 10%, mais consommait 70% des ressources », indique Hyacinthe Choury. Les chiffres plus récents du PMU indiquent pour leur part un CA de 8,1 MdE, et « avec 329,6 millions d'euros, les paris sur Internet ont représenté 4,1% des sommes jouées ». Quoi qu'il en soit, sachant que le canal Internet croît de 30% par an, « il devenait urgent, crucial, de s'en occuper ». Le programme mainframe a été analysé et réécrit au besoin selon des préceptes orientés services, « ce qui a permis de diviser par deux les ressources ». L'autre objectif pour le PMU était de rendre l'architecture capable de supporter de futures évolutions liées aux changements réglementaires - l'ouverture du monopole à la concurrence. Capgemini a défini une structure de BPM (gestion des processus métier), remplaçant ainsi des programmes par un socle de gestion des flux, soutenu par un bus de services, l'ESB de Tibco. Premier bénéfice, les services exposés ainsi peuvent être utilisés par des partenaires extérieurs. Second bénéfice, « cela permet de gagner énormément en maintenance », argumente Hyacinthe Choury, puisqu'il ne peut plus y avoir d'erreur de programmation : le seul code généré l'est au sein de Tibco, le développeur n'intervient que sur le paramétrage. Les SOA coûtent cher, dit-on souvent, à juste titre. Mais la maintenance représente la majeure part du budget informatique des entreprises, il y a donc de l'argent à prendre de ce côté. C'est exactement ce qu'a fait Capgemini avec le PMU, explique l'architecte de la SSII. « Les dépenses de mise en oeuvre ont été financées par les économies en maintenance, c'était un engagement contractuel. » (...)
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