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(24/03/2010 11:33:59)

Siemens externalise sa branche informatique SIS

Siemens va supprimer des emplois dans ses activités de services informatiques (SIS) et restructurer cette branche, en vue d'engranger 500 M€ d'investissements additionnels d'ici à 2012. Ce plan prévoit la suppression de 4 200 emplois dans le monde, dont 2 200 en Allemagne, sur un effectif total de 35 000 salariés. Cette réduction d'effectifs touchera en premier lieu les salariés travaillant sur les principaux sites allemands. Concernant les 2 200 réductions d'emplois hors Allemagne, la plupart - environ 1 700 - auront lieu en Europe. La France n'est pas épargnée, l'équipementier télécoms ayant annoncé le 9 mars, en Comité central d'entreprise (CCE), l'externalisation de sa branche informatique SIS basée à St-Denis (Seine-St-Denis), selon la CFTC. Le syndicat souhaite le report de ce projet et considère que ce dernier ne garantit en rien l'activité en France mais qu'au contraire elle organise la délocalisation vers SIS Italie, Belgique et Espagne. Le syndicat exprime également ses craintes sur les risques d'un passage à la convention collective Syntec qui pourrait avoir pour conséquence une baisse importante des avantages pour les salariés et notamment des indemnités de licenciements en cas de plan social.
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(23/03/2010 15:53:38)

La SSII Acti recherche plus d'une centaine d'informaticiens

Après avoir recruté un peu plus d'une centaine de nouveaux collaborateurs en 2009, Acti France (530 collaborateurs en France, 650 au total) annonce un plan de recrutement encore plus ambitieux  pour l'année 2010. La société de conseil et de services informatiques a en effet décidé d'ouvrir entre 130 et 160 postes d'ingénieurs, essentiellement en Ile-de-France , dans des domaines diversifiés :  « il s'agit de chefs de projets et d'ingénieurs spécialistes de .Net et Java/J2EE, précise Marie Mercedes Allongues, directeur marketing, communication et responsable des ressources humaines chez Acti,  de concepteurs, d'ingénieurs d'études, d'administrateurs systèmes Unix, d'administrateurs de bases de données, de consultants MOE et MOA, de consultants banque et finance de marché ».  Les profils seront des confirmés, en grande majorité, ou ayant une première expérience de deux ans. Le niveau de diplôme exigé : Bac + 5 (70%) , Bac +4 (20%) et Bac +2 (10%).
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(22/03/2010 16:58:29)

Salaires 2010 : peu d'espoir d'augmentation

L'enquête publiée par le cabinet de recrutement Hays le démontre : 2010 ne sera toujours pas l'année des augmentations. La conjoncture des années 2008 et 2009 a eu un impact important sur les recrutements et de fait sur les politiques de rémunération. Entre crise et restructuration, les salaires des informaticiens ont stagné en 2009. Dans les systèmes et réseaux, la pénurie des candidats constatés ces dernières années s'est réduite en particulier grâce aux licenciements en masse du secteur, principalement en SSII. Les fonctions du middle et du top management au sein des DSI ont particulièrement souffert de la situation. Ces profils ne sont pas toujours remplacés et les DSI préfèrent limiter le nombre d'intermédiaires entre les ingénieurs techniciens de production et de direction.  « Désormais un profil classique d'ingénieur système et réseaux ne suffit plus, précise Anthony Collins, directeur adjoint de la division informatique et télécoms chez Hays. Il lui faut désormais disposer d'une valeur ajoutée pour négocier son salaire. »

Dans des secteurs en vogue malgré la conjoncture, tels que l'e-commerce, le web 2.0 et le multimédia les salaires sont également en berne sauf pour les experts qui peuvent les négocier à la hausse. «Ce sont des marchés porteurs, mais encore en devenir, précise Anthony Collins. Le niveau de rémunération n'a en général pas augmenté en 2009. Dans ces secteurs,  il correspond plutôt à celui de 2008, et est, dans certains cas, revu à la baisse, dans les systèmes et réseaux par exemple».
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La tendance est donc à la morosité, sauf pour des profils très spécifiques. Exemple : maîtrise de Spring Struts Hibernate pour des ingénieurs Java/J2EE, maîtrise de Net 3.5 SQL Server 2005/2008 pour les spécialistes de .net.

Les métiers du conseil et de la MOA sont également en perte de vitesse, avec peu de postes ouverts en 2009. Même constat pour le secteur des ERP et du décisionnel, avec peu de recrutements et quasiment pas d'évolution salariale. E l'avenir n'augure rien de bon « Si la reprise budgétaire ne se manifeste pas rapidement, 2010 pourrait être une année difficile, tant pour les salaires que pour l'emploi », prévient le directeur adjoint d'Hays. Cependant ce marché est très cyclique et lorsque la reprise se confirme l'emploi et les salaires reprendront rapidement le bon chemin. » Il ajoute « Il faut, néanmoins, rester lucide. Le secteur de l'informatique est devenu un secteur comme les autres, qui s'est industrialisé et qui ne retrouvera jamais son essor des années 1998-2001 et de 2005-2007 ».








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(22/03/2010 11:48:10)

Plus de 1 500 entreprises IT défaillantes, selon la Coface

Entre fin février 2009 et fin février 2010, 1 507 entreprises du secteur de l’informatique et de l’électronique ont été placées en redressement ou en liquidation judiciaire, soit 19,5% d’augmentation sur un an. Tel est le triste constat dressé par la Coface dans son observatoire des défaillances, ce qui place le secteur de la high-tech au 16ème rang sur un total de 22. Sur le seul mois de février 2010, 131 entreprises de l’IT ont du mettre la clé sous la porte.

Le climat est un peu moins morose du côté des télécoms, où l’on compte néanmoins 176 entreprises défaillantes entre février 2009 et février 2010 , soit + 7,3%. d’augmentation sur douze mois.

Au final,  pas moins de 6 972 emplois devraient être impactés par ces difficultés.

L’un des effets les plus dévastateurs de la crise a été la multiplication des défaillances des PME, précise la Coface ; celles-ci ont vu leur nombre de fermetures progresser, beaucoup plus vite que les autres catégories d’entreprises. Ainsi, durant l’été 2009, la hausse des défaillances des sociétés de taille moyenne a atteint les 80%, contre 55% pour les micro-entreprises, tous secteurs confondus.




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(18/03/2010 09:39:47)

Avenir Telecom conclut les négociations de son plan social

Le groupe spécialisé dans la distribution de produits de téléphonie mobile va supprimer 69 postes sur un effectif total de 792 personnes en France. Ce PSE (Plan de Sauvegarde de l'Emploi) concerne principalement des collaborateurs basés à son siège de Marseille. Les suppressions d'emploi toucheront les services administratifs et des postes d'encadrement des activités de vente directe et indirecte. De fait, aucun des employés animant l'un des 160 points de ventes de l'enseigne Internity (l'activité vente directe du groupe Avenir Telecom) n'est concerné. En toile de fond de cette mesure, on trouve évidemment des difficultés économiques. La conjoncture économique n'explique pas tout Sur les 9 premiers mois de son exercice 2009-2010, le groupe Avenir Telecom avu son chiffre d'affaires baisser de 18,8% à 453,2 M€. Si la conjoncture économique des mois passés explique en partie la baisse des ventes, l'entreprise ne cache pas qu'il ne s'agit pas de la raison principale de ses difficultés. « En France, le marché de la téléphonie est devenu un marché de renouvellement alors que nous avons basé notre croissance sur la conquête d'abonnés. Or, la reconduction d'un abonnement est beaucoup moins rémunératrice qu'une ouverture de ligne », explique Philippe Gimié, le DRH d'Avenir Telecom. S'ajoute à cette évolution du marché celle de la politique des opérateurs qui privilégient de plus en plus leur propre réseau de boutiques et la vente directe en ligne au détriment des distributeurs indépendants. Enfin, Avenir Telecom invoque le fait qu'il n'a pas profité comme il se doit de la déferlante de l'iPhone sur le marché français. Comme l'explique son DRH, « nos négociations avec Apple ne nous ont pas permis de distribuer ce produit dans plus de 50 de nos magasins, sur 160 au total, avant les fêtes. Il nous a donc été impossible de développer une véritable communication autour de ce produit et de profiter à plein de l'effet qu'il a créé sur le marché de la téléphonie ». Aujourd'hui revenu sur une structure de coûts qui garantit sa compétitivité, Avenir Telecom se doit de jouer sur de nouveaux leviers de croissance. L'entreprise mise notamment sur l'accroissement de son activité de vente d'accessoires en Europe. Elle espère également voir les revenus de son site web marchand progresser d'avantage tout en reconnaissant que son décollage se fait en douceur. (...)

(17/03/2010 11:23:53)

La SSII Viveris recherche 150 informaticiens

Après avoir gelé ses recrutements en 2009, la SSII Viveris - 650 collaborateurs - prépare la reprise et annonce un plan d'embauches de 150 ingénieurs en 2010. Les postes sont à pourvoir principalement en Ile-de-France et visent l'ensemble des métiers de l'informatique : il s'agit de débutants, mais également de profils confirmés, des chefs de projet, des développeurs et des spécialistes de l'informatique de gestion, notamment. Créer le site de e-commerce d'un groupe industriel, concevoir une application améliorant la gestion de logements sociaux, réinventer un système de contrôle de gestion, réaliser des systèmes électroniques à haute technicité, sont autant d'exemples de projets sur lesquelles ces nouvelles recrues seront mobilisées. (...)

(15/02/2010 11:54:26)

Après des semestriels catastrophiques, Risc Group annonce une restructuration musclée

Le 9 février dernier, se tenait un Comité d'entreprise de Risc Group avec l'annonce de 146 licenciements. L'effectif total du groupe passera de 653 collaborateurs au 30 juin 2009 (date de clôture de l'exercice annuel) à 320 annonçait parallèlement la direction dans un communiqué financier. Ces mesures montrent l'ampleur des décisions prises par le nouvel actionnaire de référence, l'éditeur STS entré au capital fin octobre, pour redresser une entreprise en grande difficulté. Les résultats du 1er semestre 2009-2010 (clos au 31 décembre dernier) parlent d'eux-mêmes. Risc Group affiche un chiffre d'affaires (CA) de 33,6 millions d'euros (ME) en baisse de 16,6% par rapport à la même période de l'exercice précédent (et à périmètre constant). Les deux activités du groupe ne sont pas logées à la même enseigne, tandis que la division inbox (TPE de 5 à 100 postes) chute lourdement de 32%, l'activité IT Solutions (PME de plus de 100 postes) progresse de 8%. L'activité TPE est tellement affectée que les filiales allemande et italienne qui s'en occupent sont mises en sommeil et vont simplement s'occuper des parcs installés, pour la France la société parle de « productivité commerciale insuffisante ». Pour les PME, Risc Group parle également d'améliorer la productivité commerciale, l'activité tenant la route grâce à la récurrence de ses contrats. D'une manière plus globale, la société va mettre en place un département qualité. Le nouvel actionnaire trace clairement la route : « tendre vers plus de qualité et moins de quantité » ; « exigence de rentabilité plutôt que de croissance trop rapide ». STS compte également jouer sur les synergies entre les deux sociétés. (Sollicitée à plusieurs reprises, la direction n'a pas souhaité nous commenter ces informations du fait de la présence en bourse des deux sociétés.) (...)

(11/02/2010 15:59:53)

Recrutements de cadres IT en 2010 : stables, voire en hausse selon l'Apec

En 2010, les postes de cadres informatiques pourraient être parmi ceux qui résisteront le mieux sur le marché de l'emploi des cadres. L'Apec prévoit entre 21 800 et 24 000 recrutements sur ces fonctions, soit au pire, une stabilité des embauches par rapport à 2009. La fourchette haute des prévisions correspond à une hausse de 11% des recrutements de cadres dans l'IT. Une autre fonction, « Etudes, Recherche & Développement », pourrait par ailleurs relativement résister cette année et représenter jusqu'à deux embauches sur dix. Sur ces postes, la fourchette haute de l'Apec prévoit 28 000 recrutements (+1%) en 2010, avec, toutefois, une fourchette basse fixée à 23 300, soit -16%. Les jeunes diplômés, en revanche, ont peu de chance de voir s'améliorer leur situation. Les recrutements de cadres IT en recul de 24% en 2009, sauf sur les fonctions de direction et les métiers du Web Les embauches de cadres dans la fonction informatique ont baissé de 24% en 2009, contredisant les prévisions des recruteurs qui escomptaient une hausse sur ces postes au début de l'année. Selon le décompte que vient de diffuser l'Apec, 21 700 recrutements de cadres IT ont été effectués en 2009 (sur un total de 143 700 recrutements de cadres), contre 28 400 en 2008 (sur un total de 199 500 cadres embauchés). Malgré tout, le bilan de l'association pour l'emploi des cadres montre que la profession informatique a mieux résisté que d'autres domaines. Dans la production industrielle, par exemple, l'Apec a enregistré un recul de 46% des embauches de cadres. L'an dernier, le nombre d'offres d'emploi confiées à l'Apec pour des postes d'informaticiens a représenté 27% de l'ensemble des 227 100 annonces reçues au total, soit 61 400 offres. Ce volume accuse un net recul (-33%) par rapport à 2008. C'est le secteur de l'informatique de gestion qui a été le plus durement touché (-40%), mais il pèse toujours une offre sur deux de la fonction informatique. Les annonces visant les spécialistes de systèmes et réseaux ont également fortement baissé, de 37% (une offre sur six). Il y a aussi eu moins d'offres pour les profils d'informaticiens débutants : 22% du total contre 26% l'an dernier. Seules deux catégories d'annonces ont progressé pour les cadres IT : d'une part, celles qui concernent des postes de direction informatiques (l'Apec en a reçu 916 en 2009, soit deux fois plus qu'en 2008), d'autre part, celles qui couvrent les métiers liés aux technologies Internet, tels que les responsables de sites Web ou intranet, les chefs de projets Internet, etc. L'Apec a reçu 6 040 offres dans cette dernière catégorie l'an passé, soit +82% par rapport à l'année précédente. (...)

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