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(24/07/2009 11:25:14)

Alcatel-Lucent annonce la suppression de 850 postes en France

Alcatel-Lucent poursuit ses réductions d'effectifs en dépit des revendications des salariés qui ont massivement fait grève au début du mois. Non seulement l'équipementier télécoms ne revient pas sur les deux plans de coupes annoncés au cours de ces derniers mois, mais il remet le couvert en supprimant 850 postes supplémentaires en France. Il a également annoncé hier, jeudi 23 juillet, l'externalisation en Inde de 150 autres postes pour la Recherche et Développement, selon les syndicats. Le site de Eu sera le plus touché, avec 200 postes concernés sur un effectif de 510 personnes (soit 40%). Alcatel-Lucent a baptisé ce programme de restructuration « Economies - Refondation - Elan », un titre qui fait glousser les syndicats. « Ce plan devrait s'appeler « Gâchis - Recettes dépassées - Régression » s'indigne la CGT, qui ajoute « la direction générale ne trouve pas de solution pour redresser le groupe : les directions successives enchaînent les plans successifs de suppressions d'emplois et d'externalisations sans provoquer le redressement économique ! » Il n'y a pas eu d'annonce concernant les autres pays d'implantation du groupe. (...)

(23/07/2009 14:16:42)

Amazon diversifie ses activités en rachetant Zappos pour 847 M$

Historiquement spécialisé dans la vente de livres, de DVD, de jeux vidéo et de produits électroniques, Amazon cherche à diversifier ses activités. Le cybermarchand a annoncé hier le rachat de l'Américain Zappos.com, pour un montant de 847 M$. Créé il y a dix ans, cette société du Nevadas emploie près de 1 300 personnes et a réalisé un chiffre d'affaires d'un milliards de dollars en 2008. Elle vend par Internet des vêtements et des chaussures. Amazon a déjà essayé d'aborder le secteur du prêt-à-porter, mais sans le succès escompté. Les directions des deux groupes ont indiqué qu'aucun licenciement n'était prévu dans le cadre de cette acquisition. Amazon a réalisé chiffre d'affaire de 19,17 Md$ en 2008, en hausse de 29%. (...)

(22/07/2009 14:31:53)

Trimestriels : Yahoo se maintient avec peine et relifte son portail

Yahoo a publié hier ses résultats pour le deuxième trimestre de l'année. Le chiffre d'affaires perd une nouvelle fois 13% pour s'établir à 1,57 Md$. Le portail explique cette baisse par le ralentissement du marché de la publicité en ligne (-13% également) ainsi que celui des services payants comme le téléchargement en ligne (-8%). Le bénéfice net en revanche retrouve de légères couleurs puisqu'il grimpe de 8% à 141 M$ alors que le portail avait démarré l'année avec un résultat net en chute de 78%. Sur le semestre en revanche, les résultats sont catastrophiques (CA en baisse de 13%, bénéfice en chute de 69%) et contrastent étrangement avec l'optimisme de Carol Bartz, PDG de Yahoo: « Compte tenu de l'environnement économique, je suis satisfaite de ses résultats », a-t-elle en effet déclaré. Yahoo indique que son bénéfice net aurait pu atteindre les 229 M$ s'il n'avait pas été touché par divers frais de restructuration engendrés par les licenciements de 700 personnes (65 M$), soit 5% des effectifs, et par la revente de Kelkoo pour le quart de son prix d'achat (moins de 100 M€) en novembre 2008. En excluant ces éléments, le chiffre d'affaires du groupe n'aurait du baisser « que » de 6%. Yahoo relooke son portail à la sauce Web 2.0 Yahoo reste sous pression pour redonner un souffle à ses sites, fortement écrasés par la concurrence de l'hégémonique Google que rien n'arrête, pas même la crise économique. Yahoo a d'ailleurs profité de la publication de ses résultats pour présenter une version relookée de son portail. La nouvelle page est personnalisable par l'internaute, sur PC comme sur mobile. Elle comporte une série de favoris sur la gauche de l'écran, comme les incontournables Facebook, eBay et autres MySpace. Pour le prochain trimestre, Yahoo table sur un CA compris entre 1,45 et 1,55 Md$. Une acquisition par une partie ou l'intégralité du portail par Microsoft reste une voie de secours pour Yahoo, selon les analystes. (...)

(17/07/2009 17:12:24)

Les licenciés de Nortel obtiennent quelques milliers d'euros

Salariés grévistes et syndicats sont ressortis quasiment bredouilles de la rencontre qui a eu lieu hier avec Christian Estrosi, ministre de l'Industrie, sur le site de Châteaufort (Yvelines). Ils ont obtenu des administrateurs des indemnités supra légales d'un montant de 10 000 € par salarié licencié alors qu'ils en réclamaient dix fois plus. Les salariés sont en grève depuis mardi 7 juillet. Ils réclament une réduction des licenciements ainsi que de meilleures conditions de départs pour les employés concernés par le plan de départs. Ce dernier prévoit la suppression de 480 postes sur 700, en raison de la mise en liquidation judiciaire de la filiale française de l'équipementier télécom canadien. En désespoir de cause, les salariés avaient même menacé de faire exploser une dizaine de bouteilles de gaz à sein de l'entreprise - d'où l'intervention de Christian Estrosi, qui affirme aujourd'hui qu'on approche d'une sortie de crise. (...)

(17/07/2009 16:09:36)

Trimestriels Google : bénéfice net en hausse de 19%

Google continue de surprendre en publiant des résultats trimestriels dépassant les attentes des analystes. Le chiffre d'affaires progresse certes très modestement (+3%) pour atteindre 5,52 Md$, mais le bénéfice net grimpe de 19 points par rapport à la même période de l'année dernière, à 1,48 Md$. En soustrayant les commissions et autres frais que Google paie à ses partenaires publicitaires et distributeurs, le CA s'élève à 4,07 Md$, soit 0,01 point de plus que les prévisions. Le bénéfice de l'action est passé de 4,63 $ à 5,36 $ en un an, alors que les analystes tablaient sur une valeur n'excédant pas les 5,05 $. « Ces bons résultats prouvent l'endurance de notre modèle économique et met en lumière les efforts réalisés pour diminuer les dépenses », a expliqué Eric Schmidt, PDG du groupe. Google est en effet parvenu à faire baisser ses coûts de fonctionnement en les faisant passer de 1,64 Md$ à 1,54 Md$. En mars dernier, Google a notamment supprimé 200 postes en ventes/marketing afin de rationnaliser les ressources. Eric Schmidt s'est montré confiant pour l'avenir, « nous sommes en bonne position pour [appréhender] la reprise économique », a-t-il commenté. Dans le détail, les sites mêmes de Google génèrent 66% du CA du groupe, soit 3% de plus que l'année dernière. Pour le reste, ce sont essentiellement les sites partenaires - via le programme AdSense - qui contribuent à alimenter les revenus du moteur de recherche (1,68 Md$, en hausse de 2% par rapport à 2008). Plus de la moitié du chiffre d'affaires de Google est réalisée en dehors des Etats-Unis, essentiellement en Grande-Bretagne (13%). (...)

(16/07/2009 15:07:05)

La crise profite aux sites de recherche d'emploi

La fréquentation des sites de recherche d'emploi a franchi en France la barre des 11,5 millions de personnes en mai 2009, soit une augmentation de 45% sur un an, selon un rapport publié mercredi par le cabinet comScore. Ce dernier explique cette affluence par l'impact de la crise économique. Avec près de 3,9 millions de visiteurs en mai, Pole-emploi.fr arrive en tête des sites de recherche d'emploi les plus consultés. Parmi les 11,5 millions d'internautes français qui ont eu recours à ce type de services en mai 2009, 33,5% (3,9 millions de personnes) sont passés par l'organisme étatique, issu de la fusion entre l'ANPE et l'Assedic. Le groupe Vocatis arrive en deuxième position avec 1,3 million de visiteurs, suivi par Trovit France Jobs (1,1 million de visiteurs) et le portail Keljob.fr (1 million). "En conséquence de la crise financière mondiale, des millions de personnes se retrouvent sur le marché de l'emploi et ceux qui ont encore un travail se préparent au pire, explique Delphine Gatignol, responsable comScore pour la France. Les sites de recherche d'emploi représentent une ressource inestimable en cette période de crise." La fréquentation des sites de recherche d'emploi avait atteint un pic record de 12,6 millions de visiteurs en avril 2008. (...)

(15/07/2009 09:57:39)

Les salariés grévistes de Nortel menacent de faire exploser l'entreprise (MàJ)

Le conflit entre salariés et direction s'envenime chez Nortel. En grève depuis plus d'une semaine, les employés ont annoncé qu'ils étaient prêts à faire sauter le site de Châteaufort, (Yvelines), où ils ont placé une dizaine de bouteilles de gaz. Ils réclament de meilleures conditions de départs pour les 480 salariés concernés par les suppressions de postes, suite à la mise en liquidation judiciaire de la filiale française de l'équipementier télécoms canadien. Les syndicats réclament une prime de 100 000 € par personne licenciée, selon l'AFP. Les grévistes de Nortel ne comptent pas en rester là si les administrateurs judiciaires n'interviennent pas rapidement. Ils prévoient notamment de manifester devant le siège de Bouygues Telecom (Boulogne-Billancourt), dont ils gèrent le support du réseau mobile, et de bloquer des axes routiers. Mise à jour Christian Estrosi, ministre de l'Industrie, se rendra sur place cet après-midi afin d'écouter les revendications des salariés grévistes. Ces derniers ont indiqué qu'ils avaient retiré les bonbonnes de gaz qu'ils menaçaient de faire sauter mais qui, selon l'AFP, étaient vides. (...)

(13/07/2009 13:59:00)

HP / EDS : Les salariés votent en faveur du projet de restructuration

Les salariés d'HP et d'EDS ont majoritairement voté en faveur du plan de restructuration de la société, peaufiné depuis plusieurs semaines par les syndicats et la direction. Sur les 5 575 salariés appelés vendredi 10 juillet à donner leur avis, 3 548 ont participé (64%) et les deux tiers se sont prononcés en faveur du 'oui'. Cinq organisations syndicales (la CFTC, FO, la CFE-CGC, la CGT et Sud) ont approuvé ce protocole qui définit trois volets : les futures caractéristiques d' HP France, les conditions du transfert des salariés HP vers EDS ainsi que les modalités des licenciements annoncés par le groupe. Seule la CFDT a refusé de le signer, estimant que les dispositions concernant le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) n'étaient pas suffisantes. Un entêtement que les autres syndicats ne comprennent pas, la direction d'HP France s'étant engagée à faire baisser le nombre de postes supprimés (moins de 800, contre les 1 050 initialement prévus ). Sur le blog de l'intersyndicale, les salariés manifestent également leur mécontentement, dénonçant une série de mails contradictoires envoyés par le syndicat. Selon eux, la CFDT aurait d'abord demandé la consultation des salariés avant d'appeler à ne pas participer au referendum puis en les encourageant à voter non. Les syndicats et la direction d'HP devaient se réunir cette semaine pour signer le protocole approuvé par les salariés. Cette réunion a été repoussée à la semaine prochaine et pourrait tourner court, la direction ayant fait savoir qu'elle ne signerait que si l'ensemble des syndicats se mettaient d'accord. Les transferts des premiers salariés HP vers EDS et l'ouverture au volontariat pourraient être bloqués si la CFDT refuse toujours d'adhérer au plan. (...)

(10/07/2009 17:21:51)

Les salariés de Nortel Networks SA poursuivent leur grève

Depuis quatre jours, un collectif de salariés de Nortel Networks SA France conduit un mouvement de grève sur le site de Châteaufort (Yvelines) de la société. La filiale de l'équipementier télécom canadien, dont la mise en liquidation judiciaire a été acceptée fin mai, va supprimer 480 postes en France, sur les 700 salariés que compte NNSA, entité axée sur les réseaux mobiles aux normes GSM/GPRS/UMTS (la filiale commerciale, Nortel Networks France échappe pour l'instant à la restructuration). Cette première vague de licenciements pourrait être suivie d'autres suppressions de postes d'ici la fin de l'année, selon les délégués syndicaux CFTC. Indépendamment du rôle consultatif joué par le comité d'entreprise de la filiale, les grévistes, soutenus par la CFTC, entendent peser de tout leurs poids dans les négociations en cours avec les administrateurs nommés pour restructurer le groupe canadien. Complexe, le système qui a été mis en place, contraint l'administrateur français nommé en mai dernier à consulter régulièrement les administrateurs britanniques (Ernst & Young). Les négociations bloquent sur l'indemnité d'aide au départ Les salariés veulent obtenir pour les collaborateurs touchés par les licenciements de bien meilleures conditions de départ que celles qui sont pour l'instant proposées. Selon un communiqué diffusé ce matin par les collaborateurs de Nortel Networks SA en grève, les propositions de la direction se sont jusqu'à présent limitées aux indemnités conventionnelles minimum, complétées d'une indemnité d'aide au départ « conditionnée à la vente des activités du groupe Nortel en démantèlement ». Or, rien n'est garanti, puisqu'il faudrait attendre que toutes les ventes prévues au niveau mondial soient réalisées pour toucher ces indemnités, commente un délégué syndical en résumant : « C'est un marché de dupes ». Les salariés de Nortel Networks SA (NNSA) demandent donc qu'une partie de ces indemnités supplémentaires leur soit versée d'emblée, sans attendre que les ventes des activités soient effectuées. Cette revendication constitue pour l'instant le principal point de blocage des revendications. La direction a suggéré le télétravail à ses salariés Jeudi 9 juillet, à midi, 320 grévistes étaient rassemblés sur le site de Nortel Networks, soit une centaine de plus que les jours précédents, selon les délégués syndicaux CFTC. Ces derniers rappellent que la direction a demandé dès le premier jour aux salariés de ne pas se déplacer sur le site. Les salariés grévistes comptaient poursuivre leur action pendant le week-end. Contactée hier, la direction de Nortel indique que les structures de Nortel en France et à l'étranger au service des clients restent opérationnelles. « Bien qu'un certain nombre de nos employés au sein de NNSA soit en grève, l'administrateur français de la procédure secondaire est en négociation avec le Comité d'entreprise dans le cadre des discussions requises en vue de l'établissement d'un PSE conforme au droit français ». La direction confirme par ailleurs à la rédaction du MondeInformatique.fr qu'elle a encouragé « les employés qui désirent poursuivre leur activité à se connecter et travailler de chez eux ». Elle précise qu'elle a depuis plusieurs années déjà mis à leur disposition ses propres outils multimédia de travail collaboratifs et à distance. Lettre ouverte du CE aux administrateurs britanniques Ce matin, le Comité d'entreprise de Nortel Networks SA a adressé une lettre ouverte au cabinet Ernst & Young, administrateur du groupe Nortel en Europe, mandaté par décision de justice britannique en janvier pour restructurer les activités européennes de l'équipementier. Il rappelle dans ce courrier que la faillite de Nortel est gérée en France dans le cadre d'une procédure de liquidation secondaire qui ne bénéficie « d'aucun soutien financier du groupe, contrairement à Nortel UK et Nortel Canada ». Des fonds dont le liquidateur français « a cruellement besoin pour financer la continuation de l'exploitation et le plan social », souligne avec insistance les représentants des salariés. Une centaine de collaborateurs de NNSA sont allés manifester aujourd'hui, vendredi 10 juillet, devant le siège d'Ernst & Young de la Défense. Une rencontre pourrait avoir lieu, lundi, entre les représentants du personnel de NNSA France et les administrateurs britanniques du groupe. (...)

(08/07/2009 15:22:14)

Le Portail des métiers de l'Internet voit le jour

Flasheur, e-marketer, net planer, etc. Autant d'intitulés de postes qui, nés avec l'avènement des TIC, restent sibyllins, voire totalement inconnus aux yeux de nombreuses entreprises, des pouvoirs publics et même de certains instituts de formation. Pour accompagner ces professions récentes, Nathalie Kosciusko-Morizet a dévoilé ce 8 juillet le Portail des métiers de l'Internet, un site Web conçu comme un vaste espace collaboratif destiné à décrypter ce que sont ces nouveaux postes, dont certains n'existaient pas il y a seulement un ou deux ans. In fine, ce portail, qui s'inscrit dans le cadre du plan France numérique 2012, a vocation à « servir de référence pour la communauté d'Internet », comme le souligne Bernard Benhamou, le délégué général aux Usages de l'Internet. Elaboré avec des professionnels de la formation et des entreprises du secteur des TIC, il permet aux internautes de consulter des fiches présentant des métiers et des formations répartis autour de douze grandes familles : gestion de projet, maîtrise d'ouvrage, éditorial, marketing et commerce, etc. La catégorie 'suivi Web', par exemple, contient des fiches présentant les métiers d'analyste de trafic et de responsable help desk. Pour chacun de ces postes, le portail propose un descriptif, plusieurs instituts dispensant des formations débouchant sur ces métiers, et des entreprises susceptibles d'embaucher des salariés les exerçant. Le portail des métiers de l'Internet ne prétend pas s'appuyer sur un contenu exhaustif. Au contraire, les internautes, entreprises et autres universités sont invités à enrichir la base de connaissances en détaillant les fiches déjà existantes, en suggérant de nouveaux métiers pas encore recensés, en présentant de nouvelles formations, etc. Au final, Nathalie Kosciusko-Morizet nourrit l'ambition de « fédérer un écosystème autour du portail et de contribuer à le rendre interopérable avec d'autres plateformes autour d'un langage commun : le référentiel ». Ainsi, la secrétaire d'Etat à l'Economie numérique prévoit-elle déjà de faire du portail des métiers de l'Internet un élément incontournable du paysage de l'emploi dans les TIC, non seulement pour les recruteurs et leurs futurs salariés, mais aussi pour les grands services publics. Selon NKM, le portail doit devenir « la référence autour de laquelle s'agrègent les services de l'éducation nationale et de recherche d'emploi ». (...)

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