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(26/03/2007 16:28:51)

Oracle rachète Tangosol pour augmenter les performances des grilles de données

Oracle a annoncé son intention de racheter l'éditeur américain Tangosol dont le logiciel Coherence repose sur une technologie permettant d'exploiter des grilles de données en mémoire, pour des applications J2EE ou pour des serveurs d'application organisés en grappes (clusters). Oracle compte tirer profit de cette technologie pour améliorer les performances des architectures grid utilisées dans les environnements transactionnels. Le fournisseur va l'intégrer à sa plate-forme middleware Fusion afin d'en faire bénéficier les entreprises dont l'activité nécessite un accès très rapide aux données : les services financiers, notamment, ou encore le secteur des télécommunications ou de la logistique qui exigent souvent d'accéder en temps réel aux données. Oracle prévoit d'intégrer la technologie de Tangosol à plusieurs de ses produits : à son serveur d'application et à sa base de données, ainsi qu'à la base TimesTen, rachetée en 2005, cette dernière permettant déjà d'accélérer l'accès à certaines données par l'utilisation d'un système de mémoire cache. Il semble par ailleurs, selon ce que confiait Thomas Kurian, vice président d'Oracle, qu'Oracle souhaite également continuer à vendre l'offre de Tangosol de façon indépendante. Plus les entreprises font évoluer leur système d'information vers des architectures orientées services et tirées par les événements, plus la demande augmente pour les fonctionnalités permettant des accès de plus en plus rapides aux données. Depuis deux ans, les entreprises comprennent de mieux en mieux le bénéfice qu'elles peuvent tirer de technologies comme celles de Tangosol, et n'ont plus besoin être éduquées. « Voilà environ dix-huit mois que nous avons cessé de devoir expliquer à nos clients potentiels ce que nous pouvions leur apporter », atteste Cameron Purdy, PDG de Tangosol. Le dirigeant précise que la majorité du chiffre d'affaires de sa société est réalisé avec des entreprises évoluant dans le secteur des services financiers. (...)

(26/03/2007 11:36:36)

GRC : Salesforce.com ouvre ses applications aux clients de ses clients

Dans sa version de printemps (Spring'07), qui sera disponible en ligne courant avril, Salesforce.com permet à ses utilisateurs d'ouvrir des portails en self-service pour leurs clients depuis son application hébergée de GRC (gestion de la relation client). Ce modèle d'utilisation, baptisé AppSpace, inclut les logiciels publiés dans la plate-forme AppExchange, cette dernière rassemblant des applications complémentaires, développées par des éditeurs indépendants et certifiées par Salesforce.com. Dans le cadre d'AppSpace, les utilisateurs de Salesforce peuvent donc inviter leurs clients à partager certaines de leurs données. Les écrans qu'ils rendent ainsi accessibles combinent des informations issues de différents modules de la solution. A l'instar de Salesforce.com, AppSpace s'utilise entièrement en ligne, à partir d'une connexion Internet. Pour mettre au point cette version Spring'07, l'éditeur dit s'être inspiré des commentaires de sa communauté d'utilisateurs qui, depuis octobre dernier, lui suggère des améliorations fonctionnelles sur le site d'échanges http://ideas.salesforce.com. Parmi les apports de Spring'07 directement soutenus par le suffrage des utilisateurs, Salesforce cite la gestion chronologique des workflows. Cette fonctionnalité permet de mettre en place un système de validation pouvant générer des actions planifiées dans le temps. A noter que le logiciel d'automatisation des forces de vente (Salesforce SFA), l'une des briques les plus utilisées de Salesforce, bénéficie maintenant d'une fonction de recherche permettant de créer des filtres et de trier les résultats. Autre nouveauté, les informations issues des actions les plus récentes sont automatiquement proposées dans une fenêtre pop-up. La connexion avec la messagerie MS Outlook a également été renforcée. D'autres améliorations ont été par ailleurs apportées aux logiciels de gestion des services au client (Salesforce Service & Support) et de gestion des relations avec les partenaires (Salesforce PRM). Enfin, le connecteur ApexConnect pour Oracle permettra d'intégrer la solution avec les applications internes de l'entreprise exploitant la base de données Oracle 11i. L'utilisation de ce connecteur revient à 12 000 $ par an pour les clients de Salesforce Enterprise Edition et Unlimited Edition. (...)

(23/03/2007 17:16:42)

Business Objects crée un centre d'excellence autour de la gestion de la performance

Business Objects veut mettre toutes les chances de son côté pour se faire une place sur le marché des solutions de gestion de la performance (CPM, corporate performance management ou BPM, business performance management) sur lequel se déplacent en ce moment de nombreux acteurs du décisionnel et non des moindres. Avec, en toile de fond le récent rachat d'Hyperion par Oracle, Business Objects vient d'annoncer la création d'un centre d'excellence pour accompagner le développement de ses solutions dans ce domaine. La direction de ce centre est confiée à Peri Pierone, vice-président de la planification et des outils d'analyse EPM (entreprise performance management) de Business Objects. L'éditeur indique que ce centre rassemblera « des stratèges d'entreprise, des experts de l'industrie, des directeurs de produits et des développeurs ». Il sera structuré autour des « disciplines-clés de l'entreprise : planification, profitabilité, tableaux de bord et analyse », appliquées à différents secteurs d'activité (banque, assurance, administration, distribution, santé, biens de consommation). Pour Vincent Lieffroy, analyste au CXP sur les domaines financiers et les progiciels de gestion intégrés, la création de ce centre d'excellence est assez logique. « Elle fait suite aux rachats que l'éditeur a effectués dans le domaine des outils de gestion de la performance. En juillet 2005, il a acquis SRC Software, spécialisé dans la planification et l'élaboration budgétaire, et en septembre 2006, ALG Software et ses solutions basées sur la méthode ABC (Activity Based Costing, méthode permettant un contrôle de gestion basé sur les activités plutôt que sur les coûts).» L'intégration entre les différents outils n'est pas encore réalisée L'analyste du CXP estime que Business Objects se doit d'aller sur le terrain de la gestion des performances de l'entreprise. « L'ensemble des acteurs du décisionnel complètent leur offre dans ce sens, tandis qu'à l'inverse, les spécialistes de la gestion financière ajoutent des outils de reporting à leur solution. C'est une tendance lourde comme en atteste la récente acquisition d'Hyperion par Oracle. Les éditeurs cherchent des relais de croissance. » Et de rappeler que Microsoft, déjà présent sur le décisionnel, s'apprête également à sortir une offre de ce type. Son produit Office Performance Point Server est attendu pour ce semestre avec des fonctions d'élaboration budgétaire, de reporting et de Balanced Scorecard. Cela ne peut qu'inciter un éditeur comme Business Objects à réagir. Le marché des outils de CPM/BPM se développe. Vincent Lieffroy rappelle que les réglementations liées au renforcement des contrôles (loi Sarbanes-Oxley, loi de sécurité financière, etc.) imposent aux entreprises de structurer leurs outils et d'en sécuriser l'utilisation. « Le rapprochement des logiciels d'élaboration et de simulation budgétaires avec les fonctions décisionnelles conduit à unifier l'utilisation de ces outils, et permet ainsi une meilleure collaboration dans ce domaine entre les différents métiers de l'entreprise. Cela dit, les éditeurs ayant généralement complété leur offre par rachats, l'intégration de leurs logiciels autour d'une architecture technologique unique n'est pas encore définitivement réalisée. » (...)

(19/03/2007 14:36:48)

SaaS Summit 2007 : Microsoft reprend le refrain SaaS

Même si Microsoft n'est pas encore au centre de l'arène Saas (Software as a service) dans laquelle évoluent les éditeurs qui fournissent leurs applications en ligne et à la demande, comme un service, l'éditeur de Windows envisage cette façon de vendre ses logiciels comme un bon moyen d'augmenter son chiffre d'affaires. C'est en substance les propos tenus par l'un de ses représentants, à l'occasion du SaaS Summit 2007 qui s'est tenu à Monterey (Californie), du 14 au 16 mars. Cliff Reeves est responsable chez l'éditeur de l'équipe chargée de découvrir de nouveaux gisements de développement. Pour lui, Microsoft est bel et bien un acteur de la sphère SaaS. Entre des applications comme la plateforme Office Live, les services hébergés autour de la messagerie Exchange et le futur Dynamics CRM Live (présenté au même moment par le PDG Steve Ballmer à la conférence utilisateurs Convergence), Microsoft possède déjà un ensemble important de produits délivrés sous forme de services. « Un éventail plus significatif que la plupart des autres acteurs intervenant sur le marché SaaS, juge Cliff Reeves. C'est une source de croissance financière énorme pour nous. » Il évoque aussi une autre piste qui conduirait Microsoft à développer des versions hors-ligne pour les applications SaaS. Microsoft prévoit des partenariats pour fournir d'autres types de services applicatifs. Cliff Reeves cite des accords avec Rearden Commerce qui propose de gérer les achats de fonctionnement (procurement) en ligne, ainsi qu'avec American Express qui complète cette offre avec des outils d'analyse de données. Etre capable de transformer un essai d'utilisation en abonnement payant Pour preuve de l'intérêt des grandes fournisseurs pour les applications en ligne, alors que le SaaS Summit battait son plein, Cisco annonçait son intention de racheter, pour 3,2 milliards de dollars, la société WebEx qui délivre des services de collaboration en ligne sur le modèle SaaS. « La démarche SaaS va plus loin que la simple fourniture de logiciel à un client, estime Treb Ryan, PDG d'OpSource, organisateur du SaaS Summit et lui-même hébergeur et pourvoyeur de services pour les éditeurs souhaitant proposer leurs produits en ligne. Selon lui, un fournisseur de solutions SaaS doit penser comme une entreprise dont le modèle d'activité repose sur le Web, c'est-à-dire être sans cesse à la recherche de meilleurs modes de fonctionnement, recourir aux développements itératifs, mettre l'accent sur le marketing et la recherche de nouveaux utilisateurs. « Les meilleurs éditeurs SaaS sont ceux qui offrent le plus de facilités aux entreprises et aux utilisateurs pour accéder à leurs produits et les tester et qui, ensuite, sont capables de transformer cet essai en abonnement payant. » Le mode SaaS permet aussi aux utilisateurs de se conformer aux réglementations légales ou administratives (celles imposées par la loi Sarbanes-Oxley, par exemple). Treb Ryan pointe aussi l'intérêt du concept SaaS 2.0 qui permet aux applications SaaS d'être reliées à d'autres services sur le Web pour disposer de fonctions comme la facturation et la gestion de documents. « Cela permet aux éditeurs de logiciels en ligne de se concentrer sur les domaines qu'ils maîtrisent le mieux ». Distribution indirecte : des services à la clé Pour Ken Rudin, PDG fondateur de LucidEra, fournisseur de fonctions décisionnelles en ligne, le modèle SaaS, ou « à la demande », dépasse largement la notion d'hébergement de logiciel. L'hébergement consiste simplement à déplacer le lieu d'exploitation du logiciel, des locaux de l'entreprise à ceux de l'hébergeur. Or, fournir un logiciel « à la demande » ne se limite pas à cela. Ce type d'application se doit avant tout d'être simple dans sa mise en route, dans son utilisation et dans son mode d'achat. Quand on lui demande quels sont les logiciels qui conviennent le mieux à ce mode d'utilisation, il répond par une question : « je demanderais plutôt, quels sont les produits dont l'exploitation ne se ferait pas plus facilement sous forme de service ? ». Argument que réfute Mark Binford, responsable du développement commercial chez BMC. « Je ne partage pas l'idée selon laquelle n'importe quelle solution serait plus facile à utiliser sous forme de service. Les logiciels installés de façon classique, dans l'entreprise, vont continuer à être utilisés sous cette forme pendant très longtemps, selon moi. » BMC édite des logiciels de gestion des services et voit surtout dans le mode SaaS un moyen d'accéder au marché des PME. Sur le plan de la commercialisation des logiciels, enfin, le modèle SaaS pose quelques problèmes lorsqu'il s'agit de s'appuyer sur un réseau de distribution indirect. Les revendeurs ont l'habitude de vendre le logiciel en réalisant une marge. Or, dans un monde SaaS, il faut passer de la vente de licence classique à la fourniture d'un contrat de valeur globale. Pour s'y retrouver, les revendeurs doivent donc apporter en plus des prestations de conseil. (...)

(16/03/2007 16:03:37)

Cebit 2007 : SAP va livrer des mises à jour régulières pour Business One

Davantage d'améliorations, livrées plus vite. C'est ce que SAP annonce vouloir faire sur sa ligne Business One, solution de gestion intégrée conçue pour les entreprises de moins de 250 personnes. L'éditeur allemand a indiqué, lors d'une conférence de presse donnée sur le Cebit, qu'il allait commencer à livrer de fréquentes mises à jour sous forme de packages qui comprendront des correctifs, de nouvelles fonctions et des outils de méthodologie. « Nous continuerons à livrer une nouvelle version par an, mais dans l'intervalle, de nouvelles fonctions seront fournies tous les deux mois », a indiqué Astrid Pölchen, l'une des responsables de la communication de SAP. L'éditeur allemand a lancé un service similaire en janvier dernier pour ses grands clients utilisant son produit phare, mySAP ERP. Le premier package de mise à jour pour Business One est prévu pour le second trimestre. Ses améliorations porteront sur les fonctions financières. SAP compte actuellement quelque 13 000 clients sur son produit Business One et propose environ 350 add-ons pour cette solution, développés par des éditeurs indépendants. (...)

(16/03/2007 16:02:19)

Cebit 2007 : SAP dévoile sa future application hébergée A1S à un public choisi

SAP a profité du Cebit pour montrer à quelques groupes sélectionnés une version bêta de sa nouvelle application hébergée, destinée aux PME. Connue sous le nom de code A1S, celle-ci est actuellement testée par 150 clients, a précisé Henning Kagermann, PDG de SAP. Aucune date ferme n'a été fixée pour le lancement commercial. Néanmoins, toujours selon le dirigeant, la disponibilité devrait intervenir au second semestre de cette année. « C'est un modèle entièrement nouveau pour nous, ajoute Henning Kagermann. Nous devons nous assurer que, non seulement le produit, mais également les services, sont au meilleur niveau. » A1S cible les entreprises de taille moyenne recherchant une solution de gestion abordable et facile à déployer, incluant les fonctions d'un progiciel de gestion intégré (PGI), celles d'un outil de gestion de la relation client (GRC) et celles qui sont nécessaires à la gestion de la chaîne logistique (SCM, supply chain management). L'application hébergée sera disponible sur la base d'un abonnement mensuel. Ce modèle permettra aux entreprises d'essayer le logiciel avant de l'acheter. En découvrant l'application, les utilisateurs vont s'apercevoir que son interface se fond dans l'environnement Windows, a fait remarquer Henning Kagermann. « Il y a eu un gros effort de fait pour concevoir une interface utilisateur simple, intuitive et présentant une uniformité », a relaté Peter Zencke, qui dirige l'équipe de développement du produit A1S. Une icône d'aide apparaît sur chaque écran. Quand elle est activée, une liste d'options s'affiche, incluant un lien vidéo pour visionner comment réaliser une tâche. Pour les problèmes techniques, une autre icône permet d'envoyer un courriel à l'équipe service de SAP fournissant le support. L'application engage un dialogue avec l'utilisateur, demandant quel type de tâches il souhaite effectuer et comment il compte le faire, le tout en proposant des exemples dans un langage simple. Selon Henning Kagermann, certaines entreprises démarreront A1S seules alors que d'autres auront besoin d'un soutien initial. « Nous prévoyons qu'un nouveau profil de consultants propose ses services aux entreprises pour les aider à démarrer, mais seulement sur cette phase de démarrage. Une fois que les premières utilisations auront commencé, les entreprises s'approprieront très rapidement l'application, » estime le PDG. Il s'attend même à ce que certains dirigeants, qui ne consacrent habituellement pas beaucoup de temps aux logiciels, montrent un certain intérêt pour l'application et mettent en place eux-mêmes un certain nombre de fonctions. « Traditionnellement, l'industrie du logiciel développe des applications auxquelles les entreprises doivent s'adapter. Avec A1S, ce sont les utilisateurs qui définiront leurs besoins. » Cette nouvelle application, qui fonctionne au-dessus de la plate-forme d'infrastructure NetWeaver, a été conçue pour s'intégrer avec la suite applicative de SAP, mySAP ERP. Henning Kagermann pense qu'elle intéressera des filiales de grandes entreprises. Est-ce que les utilisateurs de mySAP All-in-One, version préparamétrée de la suite mySAP ERP, pourraient être intéressés par A1S pour réduire leurs coûts ? « Laissez-moi tenter une comparaison avec l'industrie automobile, avance le PDG de SAP. Vous pouvez acheter une voiture standard qui vous transporte d'un point A à un point B. Mais si vous voulez avoir des options particulières, vous allez les payer. C'est la différence entre A1S et All-in-One ». (...)

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