Flux RSS
ERP

1519 documents trouvés, affichage des résultats 1051 à 1060.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(28/02/2007 17:38:45)
Pour Ray Ozzie, les suites hébergées riment avec compromis
Les applications hébergées ne sont finalement qu'une histoire de compromis entre fonctionnalités et connexion permanente à Internet. Ray Ozzie, architecte logiciel en chef de Microsoft, ne mâche pas ses mots. Et, à l'occasion d'une conférence entre analystes déclare que la méthode de distribution d'applications de productivité, comme celle de Google, est, au final, la mauvaise marche à suivre. La semaine dernière, Google a annoncé porter son offre de bureautique en ligne sur le terrain des entreprises. Se positionnant officiellement en frontal de Microsoft (et d'Office) sur les suites dites de productivité. Pour 50$ par an, Google Apps Premier Edition propose un traitement de texte et un tableur (Google Docs and Spreadsheets), une messagerie, un agenda et un outil de messagerie instantanée. Le tout en mode hébergé. Si Ray Ozzie admet toutefois que le modèle Google - soit le financement par la pub - a bien provoqué un électrochoc chez Microsoft, il considère en revanche que la stratégie de la pieuvre Google en termes de suites de productivité en ligne n'est résolument pas celle suivie par Microsoft. "Dans un modèle purement Web, les compromis sont importants. Vous devez être connectés [en permanence] pour les utiliser.[...] Et ce n'est pas ce que vise Microsoft". Notons que l'un des principaux inconvénients des suites hébergées est leur impossibilité de travailler en mode déconnecté. L'éditeur, selon Ozzie, se tourne davantage vers un service mixte qui mélange applications installées sur le PC et services en ligne complémentaires et compatibles avec des solutions mobiles. "La façon dont je conçois les services liés à la productivité va beaucoup plus loin que le simple portage d'applications depuis le PC vers le Web [...], il s'agit davantage d'imaginer d'autres scenarios de partage" a-t-il ajouté, sans finalement préciser la nature des développements de l'éditeur en la matière. (...)
(28/02/2007 10:30:03)Une version définitive de Microsoft Exchange 2007 avant la fin de l'année ?
Microsoft a annoncé la semaine dernière que les fonctionnalités manquant à Microsoft Exchange 2007 seraient incluses dans la prochaine version bêta du produit disponible en avril. La version finale d'Exchange Pack 1 devrait, quant à elle, apparaître sur le marché au cours du second semestre, en même temps que le successeur de Windows Server 2003, Longhorn Server. Il n'est toutefois pas sûr que les deux produits seront compatibles à cette date, le groupe de Redmond restant très discret sur ce point. Celui-ci s'est contenté d'annoncer par le biais du blog consacré à Microsoft Exchange 2007 que ce dernier serait pris en charge par Longhorn « à travers les réseaux natifs IPv6 », sans plus de précisions. Un porte-parole de Microsoft a également annoncé que les plans concernant Exchange Pack 1 évoluaient et que l'entreprise allait annoncer « à une date ultérieure » quelles seraient les fonctionnalités incluses dans la version définitive. Un spécialiste proche de Microsoft a toutefois affirmé avoir reçu des assurances que le produit serait alors compatible avec la plate-forme Longhorn et prendrait en charge les contrôleurs de domaine de l'OS. Le renforcement des contrôles de sécurité des terminaux mobiles, une nouvelle mouture de Move Mailbox - qui permet d'importer et d'exporter des boîtes aux lettres - ainsi qu'une version enrichie d'Outlook Web Access (OWA), devraient figurer parmi les fonctionnalités de la version bêta. Notons que la plupart d'entre elles existaient déjà dans Exchange 2003. (...)
(26/02/2007 17:05:49)Alfresco passe sous licence GPL
A l'occasion de la sortie de la version 2.0 de l'édition communautaire d'Alfresco, l'éditeur du gestionnaire de contenu Open Source a décidé de passer à la licence GPL. Alfresco, qui proposait jusqu'alors son édition Community sous licence MPL (avec une clause d'attribution), dit vouloir lutter contre la prolifération des licences Open Source, favoriser l'émergence d'une communauté, et ne pas obliger ceux qui embarqueraient son code à apposer obligatoirement un logo Alfresco (la clause d'attribution). Dans la foire aux questions écrite par Alfresco afin d'expliquer ce changement, l'éditeur indique que les éventuelles incompatibilités avec certaines portions de code sous licence Apache incluses dans l'offre n'ont en fait pas d'incidence, dans la mesure où ce code n'est protégé par aucun brevet. Par ailleurs, Alfresco propose une clause d'exception de façon à pouvoir intégrer plus facilement son code avec d'autres projets Open Source. Les détenteurs d'une licence commerciale d'Alfresco version Enterprise ne seront pas impactés par ce changement s'ils ne désirent pas passer à la GPL. (...)
(23/02/2007 17:55:38)SAP prépare son offre de gestion hébergée « à la demande » pour les PME
SAP prévoit de livrer une suite d'applications hébergée pour les PME dans le courant de cette année sur certains marchés. L'éditeur donnera davantage de précisions sur le prix et les fonctionnalités de cette offre, connue en interne sous le nom d'A1S, après le Cebit de Hanovre. Henning Kagermann, PDG de SAP, a néanmoins fourni quelques indications sur cette solution de gestion intégrée en ligne. A1S s'adressera aux PME qui recherchent une suite applicative financièrement abordable, facile à déployer et n'obligeant pas l'entreprise à s'engager à long terme. Elle proposera les fonctions de gestion d'un PGI (progiciel de gestion intégré), c'est-à-dire, principalement la comptabilité, la gestion commerciale (facturation, gestion du catalogue produits et des stocks, etc.), mais aussi les fonctions de GRC (gestion de la relation avec les clients). Le produit s'utilisera sur la base d'un abonnement mensuel, ce qui donnera aux petites entreprises ayant des ressources financières limitées la possibilité de tester le service et de ne pas y donner suite s'il ne leur convient pas. Cette nouvelle offre se prépare alors que SAP se réorganise afin d'étendre sa présence sur l'énorme segment de marché que représentent les PME à un moment où celles-ci manifestent leur intérêt pour les applications de gestion hébergées comme celles que propose Salesforce.com (ou encore Google, depuis hier, dans le domaine de la bureautique et des outils de communication). Forte préconfiguration, personnalisation réduite Henning Kagermann présente A1S comme un produit entièrement nouveau qui ne sera pas une version hébergée du progiciel All-in-One. Rappelons que ce dernier est une version adaptée aux PME de mySAP Business Suite, le produit phare de SAP conçu pour les grandes entreprises. Ce produit hébergé sera très fortement préconfiguré. Il s'agira d'un produit « prêt à utiliser » qui n'est pas destiné à être adapté par les entreprises. « Pour être en mesure de proposer un prix réduit, il faut que le produit soit très standard, rappelle Henning Kagermann. La nécessité de se borner à un jeu standard de fonctions signifie donc, aussi, moins d'options pour personnaliser le produit ». En limitant la personnalisation, mais ce faisant, en réduisant la complexité de l'offre, SAP et ses partenaires pourront déployer plus rapidement l'application, précise le PDG. « Les entreprises auront besoin de moins de consultants pour la mettre en place et les coûts s'en trouveront réduits. » Entre All-in-One et Business One Dans son offre, SAP prévoit d'intercaler cette solution hébergée entre ces deux produits déjà disponibles pour les PME : All-in-One et Business One. A1S visera les entreprises comptant entre 100 et 1 000 salariés, tandis que All-in-One s'adressera aux structures ayant de 1 000 à 2 500 salariés et Business One à celles de 10 et 100 personnes. SAP estime que le lancement du produit en ligne ne détournera pas les clients de Business One, une offre également très préconfigurée et abordable (2 500 € HT par utilisateur incluant la licence, le matériel, la base de données et vingt jours d'intégration). Au contraire, Henning Kagermann espère bien que, sur l'objectif de 100 000 clients qu'il vise d'ici 2010, la moitié sera des utilisateurs de Business One. Quant aux clients qui souhaitent disposer d'une couverture fonctionnelle plus large et d'une plus grande flexibilité dans l'adaptation du progiciel, ils porteront leur choix sur All-in-One. La base installée de SAP compte actuellement 39 000 clients. Henning Kagermann pense que c'est aux Etats-Unis que la demande pour l'offre hébergée sera la plus forte. Le marché américain étant plus avancé que l'Europe sur ce terrain des applications fournies « comme un service » ou « à la demande » (Saas, software as a service, ou on-demand services). La tarification sera très claire, précise encore le PDG de SAP, mais sans fournir plus de précisions pour l'instant. Il n'entend pas non plus révéler le nom définitif du produit. « Nous discutons en ce moment avec nos clients et partenaires sur de nombreux points de cette offre, incluant les tarifs et les fonctionnalités. Il est trop tôt pour donner des détails ». (...)
(19/02/2007 18:10:47)L'écosystème de SAP en Inde compterait quelque 50 000 personnes selon AMR Research
Si l'on en croit les estimations de Bruce Richardson, analyste senior pour le cabinet d'études AMR Research, l'écosystème constitué autour de l'offre de SAP en Inde rassemblerait quelque 50 000 consultants et développeurs. C'est ce que confie ce spécialiste de l'offre SAP dans sa chronique du 16 février : « The Nasscom Diaries, part 2 : Four new ideas », en analysant les données engrangées au cours de ses deux derniers voyages sur le sous-continent indien. « A lui seul, Siemens Information Systems dit avoir formé quelque 5 000 développeurs SAP », précise-t-il encore. Pour illustrer l'implication des informaticiens indiens sur l'offre applicative de l'éditeur allemand, Bruce Richardson invite à une petite visite sur le site des développeurs SAP, www.sdn.sap.com. Des sociétés de services comme Intelligroup ou Wipro figurent, selon les périodes considérées, parmi les principaux contributeurs (cf « Contributor Recognition Program »). Suit une société comme Cognizant, américaine certes, mais dont les racines et la plupart des employés sont en Inde, note encore l'analyste d'AMR Research. On trouve également des sociétés comme Accenture (« la plupart des contributeurs sont indiens », note l'analyste), IBM India et TCS. D'autres, comme HCL, Satyam et Patni ne sont pas loin derrière. Hors l'Allemagne, Bangalore est le plus gros centre de développement de SAP L'été dernier, Henning Kagermann, PDG de SAP, avait lui-même annoncé que son entreprise allait investir 1 milliard de dollars en Inde sur les cinq prochaines années. L'éditeur avait à cette occasion précisé que 20% de ses activités globales de R&D, de services et de support seraient réalisées en Inde d'ici à la fin 2006. SAP Labs India, situé à Bangalore, est son plus important centre de développement en dehors de l'Allemagne. Le fournisseur prévoyait alors de porter à 3 500, fin 2006, le nombre de personnes travaillant dans ce centre. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |