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(21/12/2006 10:43:14)
Oracle unifie sa facturation autour de 4 modèles de licence
Oracle va proposer une palette simplifiée de modèles de licence à ses clients afin de rendre ses pratiques tarifaires plus cohérentes d'une ligne de produits à une autre. Quatre modèles de licence seront désormais proposés aux clients de l'éditeur, que ce soit pour les produits développés à l'origine par Oracle, ou pour ceux rachetés à J.D.Edwards, PeopleSoft ou Siebel. Le "Component Model" permettra aux clients de se construire une facturation à la carte essentiellement basée sur le nombre d'utilisateurs nommés de chaque application. Le "Custom Application Suite Model" permettra, selon Oracle, "d'assembler la suite logicielle de leur choix en fonction de leurs besoins métiers". Pour les grands comptes, l'"Enterprise Applications Model" permettra un usage illimité des applications d'Oracle contre le paiement d'un montant établi à partir d'indicateurs comme le chiffre d'affaires de l'entreprise et son nombre d'employés. Enfin, Oracle n'oublie pas les PME avec un modèle tarifaire conçu spécifiquement pour les entreprises réalisant moins de 100 M$ de CA. Comme à l'accoutumée chez Oracle, les clients peuvent basculer vers l'un des nouveaux modèles de licence ou continuer à utiliser le modèle de licence qui leur est déjà appliqué. En revanche, l'utilisation de nouveaux produits ne peut se faire qu'en adoptant l'un des quatre nouveaux modèles tarifaires. Oracle précise que le coût de support pour ses applications reste inchangé à 22% du prix net de la licence. (...)
(20/12/2006 14:50:15)Semestriels Ares : les pertes se creusent
Résultats deuxième semestre Chiffre d'affaires : 202,9 M€ (-5%) Perte nette : 9,4 M€ (+168%) Le plan de redressement mis en place par Ares devra être sacrément efficace pour permettre à la SSII de remonter la pente dans les délais indiqués par Michel Berjamin, le directeur général. Selon lui, Ares devrait renouer avec les bénéfices au cours de l'exercice 2007-2008. Il reste donc un peu plus d'un semestre au groupe pour inverser la tendance à la perte amorcée depuis un peu plus d'un an. Pour le premier semestre de l'exercice 2006-07, Ares vient d'annoncer une aggravation de sa perte d'exploitation à 12,3 M€, contre 3,7 il y a un an. L'explication tient aux charges de restructuration liées au plan de redressement : elles ont pesé pour 5,1 M€ dans le résultat opérationnel au cours de la période. La perte nette s'inscrit à 9,4 M€, contre 3,5 M€ un an auparavant. Enfin, le chiffre d'affaires du groupe recule de 5%, à 202,9 M€. Il faut cependant prendre en considération la cession des activités de distribution de PC, imprimantes et consommables (dites "commodités") à inmac wstore. En excluant les activités cédées, les revenus d'Ares ne reculent plus que de 1,5%, bien aidés par les services (+9%) qui ne parviennent cependant pas à compenser la branche infrastructure (-6,6%, à 116,7 M€). En dépit de ces mauvais résultats, le directeur général tient son rôle et se montre confiant. Il estime ainsi que le plan de redressement devrait conduire à économiser entre 10 et 12 M€ sur l'année, voit Ares atteindre l'équilibre au deuxième semestre et renouer avec les profits au cours de l'exercice 2007-08. (...)
(19/12/2006 12:29:49)Trimestriels Oracle : déception sur les ventes de logiciels
Résultats deuxième trimestre Chiffre d'affaires : 4,2 Md$ (+26%) Bénéfice net : 967 M$ (+21%) Oracle a bouclé un deuxième trimestre fiscal qui "n'a rien eu d'époustouflant", selon les termes employés par Safra Catz, la directrice financière. La croissance des ventes de logiciels s'est en effet inscrite dans le bas de la fourchette communiquée précédemment par le groupe. L'ensemble des licences a rapporté 3,21 Md$, soit 19% de plus qu'un an auparavant. Oracle attendait une progression comprise entre 19 et 21%. En ce qui concerne les souscriptions de nouvelles licences le constat est encore plus sévère. Là où le groupe escomptait en effet une croissance inscrite dans une fourchette de 15 à 20%, il ne réalise qu'une progression de 14%, à 1,2 Md$. Selon Safra Catz, Oracle a effectivement manqué ses objectifs de croissance des revenus tirés des logiciels. Un échec dû notamment à la finalisation de gros contrats qui a glissé sur le trimestre suivant. Le groupe pourra se consoler en voyant les services croître de 40,6% sur un an, à 949 M$ L'ensemble des revenus sur le deuxième trimestre atteint 4,2 Md$ et progresse de 26%. Enfin, soulignons que pour un groupe censé avoir réalisé un trimestre en demi-teinte, Oracle parvient tout de même à publier un bénéfice net en hausse de 21%, qui s'aligne à 967 M$. (...)
(15/12/2006 11:53:57)Externalisation : l'Inde concurrencée sur son terrain de prédilection
L'Indien Satyam Computer Services, un spécialiste de l'externalisation IT, a choisi d'ouvrir un centre de développement en Malaisie. Une initiative qui illustre une tendance : le Sous-Continent n'est plus l'unique gisement mondial de l'outsourcing et l'on assiste à une diversification galopante des zones géographiques accueillant cette activité. Des années durant, l'Inde s'est fait le réceptacle d'environ 80% des dépenses américaines en externalisation. Ce taux a largement décru récemment et s'aligne à moins de 60% des 26 Md$ dépensés chaque année par les Etats-Unis dans l'exportation de services IT. Ce recul s'explique par la montée en puissance d'autres pays : les Philippines représentent ainsi 9% des dépenses offshore américaines ; le Canada et le Brésil totalisent environ 8% ; l'Europe centrale et orientale s'en arroge 7% ; le Mexique 4% et la Chine 3%. Les prochaines années devraient donner lieu à "un nivellement de la répartition entre les pays", estime Frances Karamouzis, analyste au Gartner, qui base cette tendance sur d'autres facteurs que la simple recherche du moindre coût. Et l'analyste de citer, notamment, le besoin d'expertise IT spécifique à tel ou tel domaine d'activité ou la nécessité d'une continuité de service dans plusieurs fuseaux horaires. De fait "l'Inde n'est pas en position pour dire "nous pouvons tout faire"". Pour répondre à cette propension à l'éparpillement géographique des spécialistes de l'externalisation, les acteurs indiens entendent s'implanter sur d'autres terres que le seul Sous-Continent. Reprenons ainsi l'exemple de Satyam Services : son arrivée en Malaisie va ainsi lui donner accès à un marché du travail qui comprend de nombreux ingénieurs multi-qualifiés et parlant plusieurs langues. Selon Virender Aggarwal, le vice-président du groupe, ce départ s'explique par le fait "qu'il est temps d'adopter un nouveau modèle, plus global, s'appuyant sur de multiples implantations". En septembre, le numéro un indien de l'externalisation, Infosys, a indiqué qu'il allait doubler ses effectifs en République Tchèque, portant le total à 350, afin de mieux satisfaire la demande européenne. Cette semaine, c'était au tour de Tata Consultancy Services, un autre acteur majeur du Sous-Continent, de s'internationaliser en ouvrant un site en Uruguay. Le groupe compte désormais 3500 salariés en Amérique du Sud, pour un total de 78000 dans le monde. (...)
(14/12/2006 18:18:27)Projet Chorus : « l'offre présentée par Accenture était inacceptable »
Chorus, le chantier de progicialisation de la gestion des finances de l'Etat sera décalé d'au moins deux mois. Le choix de SAP a bien été arrêté au printemps dernier, mais la partie réalisation et intégration s'avère plus complexe. Ainsi que nos confrères des Echos l'ont révélé hier, Bercy a attribué hier trois des quatre lots de ce projet de 180 M€, mais laissé en suspens le lot principal, estimé à une fourchette de 62 à 88 M€, pour lequel seul Accenture avait fait acte de candidature. « L'offre présentée était inacceptable », nous a indiqué Bernard Limal, directeur de l'Agence pour l'informatique financière de l'Etat (AIFE). Néanmoins, tout n'est pas remis en cause ; le lot n°1 fera l'objet dans les jours qui viennent d'un nouvel appel à candidature, ce qui ne devrait entraîner qu'un décalage de deux mois, indique Bernard Limal. Qui passe par ailleurs le dossier dès demain à son successeur, Jacques Marzin, ancien directeur du programme Helios. Interview de Bernard Limal, directeur de l'Agence pour l'informatique financière de l'Etat. Le Monde Informatique : Le 13 décembre 2006, le quotidien Les Echos a publié une liste des gagnants des marchés Chorus. Pouvez-vous nous confirmer cette liste ? Bernard Limal : Conformément à la réglementation, nous avons écrit aux candidats qui n'étaient pas retenus pour les en informer. Les Echos ont réalisé la différence entre ceux à qui nous avons écrit et les candidats pour publier leur liste. Le lot 2, qui concerne l'infocentre, a été attribué à Unilog aux dépends de Steria et Bearing Point ; le lot 3 (système d'échanges avec les applications ministérielles) a été remporté par Sopra contre Atos Origin ; enfin, le lot 4 (architecture technique) sera confié à Bull, IBM n'ayant pas été retenu. Reste le lot 1, l'intégration, qui représente la plus grosse valeur du marché. Un seul candidat s'est présenté, Accenture associé à Steria. Mais l'offre présentée était inacceptable et, contrairement à ce qu'indique Les Echos, pas uniquement sur le plan financier. Allez-vous notifier tout de même le marché ou bien le déclarer infructueux ? Nous ne pourrions déclarer infructueux que l'ensemble du marché alors que seul le lot 1 pose problème. Conformément à la réglementation, nous avons choisi de basculer le lot 1 en marché négocié. Un nouvel appel à candidature va donc être lancé. Accenture pourra évidemment être de nouveau candidat... ou pas. Mais il pourrait y avoir d'autres candidats. En particulier, la clause d'incompatibilité entre la candidature à ce marché et la réalisation du cahier des charges dans le cadre du précédent marché d'assistance à maîtrise d'ouvrage sera désormais interprétée strictement. Nous notifierons le marché à l'ensemble des gagnants des différents lots en même temps. Quelles seront les conséquences en termes de délai pour le projet Chorus ? Le nouvel appel à candidature va être lancé mi-décembre. Comme il s'agit cette fois d'un marché négocié, nous estimons qu'il nous faudra trois mois de négociations pour aboutir. La notification globale des quatre lots aura donc lieu mi-mars, ce qui opère un décalage de deux mois par rapport au calendrier précédent qui prévoyait une notification mi-janvier. Quel est le budget concerné ? L'ensemble des quatre lots de ce marché correspond à un budget global d'environ 180 millions d'euros dont 62 à 88 millions pour le seul lot 1. Si on ajoute les précédents marchés d'assistance à maîtrise d'ouvrage et de licences SAP, on atteint les 250 millions d'euros. Le déploiement dans tous les ministères et les administrations déconcentrées fera l'objet de marchés ultérieurs dont la valeur a été estimée dans le cadre de l'audit de modernisation de l'Etat autour du demi-milliard d'euros, avec de grandes variations selon différentes hypothèses. Pouvez-vous nous confirmer le nom de votre remplaçant ? La nomination de Jacques Marzin sera officielle le vendredi 15 décembre 2006, simplement parce que j'effectue ma passation de service jeudi soir pour devenir effectivement trésorier payeur général dans l'Essonne. Quel bilan tirez-vous de votre passage à l'AIFE au moment où vous partez pour un poste moins exposé ? Ce fut passionnant mais épuisant. (...)
(14/12/2006 12:53:58)Infor certifie son PGI pour la base Open Source Ingres
Ingres a annoncé hier la signature d'un partenariat avec Infor Global Solutions, qui devient le premier éditeur de progiciel intégré partenaire de l'éditeur de la base de données depuis que ce dernier a quitté le giron de CA, il y a un peu plus d'un an. Le PGI d'Infor, Adage, est en cours de certification sur la base de données et la plate-forme middleware d'Ingres. Roger Burkhart, le PDG d'Ingres (et ancien directeur technique du Nyse, la Bourse de New-York), a précisé qu'il s'agissait d'un partenariat non exclusif, l'éditeur entendant multiplier ce type d'initiatives, particulièrement dans le domaine vertical, en jouant sur la robustesse et le coût de son offre (qualités soulignées par Forrester en juillet dernier). L'éditeur a par ailleurs précisé que le projet Icebreaker était sur les rails. Il s'agit d'un serveur virtuel réalisé en partenariat avec Rpath, composé d'une base Ingres sur Linux - le but est de proposer une solution intégrée, donc plus aisée à maintenir, et entièrement logicielle, donc instanciable partout à tout instant. Il devrait être disponible début 2007. (...)
(13/12/2006 09:32:32)Cegid acquiert un spécialiste de la comptabilité pour TPE
En rachetant Comptanoo, l'éditeur lyonnais Cegid élargit son offre de logiciels de gestion accessibles en ligne, en direction cette fois des très petites entreprises (soit un marché de quelque trois millions de TPE et associations). Installé à Cesson-Sévigné, près de Rennes (Ille-et-Vilaine), l'éditeur Comptanoo propose, à partir de 18 euros hors taxes par mois, d'exploiter une gestion comptable permettant une collaboration entre la TPE et son expert-comptable. Le tarif comprend aussi l'accès à un logiciel d'édition de devis et de facturation. Ces outils peuvent s'utiliser à partir d'une connexion Internet, ou de façon classique, c'est-à-dire installés sur un PC. En 2005, Comptanoo a réalisé un chiffre d'affaires de 600 000 euros, dont la moitié en revenus récurrents. Entre ses deux sites Web, Comptanoo.com et Club-comptable.com, l'éditeur rassemble quelque 51 000 adhérents ou abonnés. Son PDG, Laurent Raison, poursuivra ses activités au sein de Cegid. Il sera responsable du marketing interactif à destination des TPE dans la branche d'activité Profession Comptable Libérale et TPE du groupe lyonnais. Rappelons que Cegid rassemble plus de 2 000 collaborateurs et affiche un chiffre d'affaires de 224 millions d'euros. Des espaces d'échanges entre professionnels Sur le site www.comptanoo.com, outre l'accès aux logiciels, l'éditeur breton fournit également un ensemble de services : une rubrique formation (pratique d'Excel, comment négocier, établir un business plan...), une zone d'échange entre professionnels et des espaces par communautés (créateurs, agriculteurs, professions libérales, franchises...). En complément, une rubrique d'informations renseigne sur les dernières dispositions en faveur des TPE : prêts à la création d'entreprise, par exemple, ou encore démarches simplifiées pour gérer les emplois occasionnels, etc. Quant au site Club Comptable (www.club-comptable.com), il est destiné à faciliter les échanges d'informations entre professionnels de la comptabilité : experts-comptables, étudiants et chefs d'entreprise. Outre une base de 7 000 questions/réponses, on y trouve des espaces de recrutement, de dépôt d'appels d'offres et de formation comptable en ligne. (...)
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