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(12/12/2006 14:35:16)
Virtual Iron et XenSource défient VMware
Virtual Iron et XenSource viennent tout deux de mettre à jour une offre de virtualisation qui se veut bien plus économique que celle de VMware, avec l'ambition de rattraper l'éditeur dominant du marché. Virtual Iron vient en effet de présenter la version 3.1 de sa plate-forme de virtualisation pour entreprises, commercialisée à partir de 499 $ par support processeur, soit 80 % moins cher qu'une licence VMware équivalente, selon l'éditeur. De son côté, XenSource vient de mettre à jour son offre, avec une gamme complète de solutions de virtualisation pour entreprises, serveurs isolés et développeurs, à travers les produits XenEnterprise, XenServer et XenExpress. Le dernier produit est proposé gratuitement tandis que les deux premiers bénéficient d'une tarification agressive : 488 $ par serveur bi-processeur pour une licence annuelle de XenEnterprise, 750 $ par serveur bi-processeur pour licence perpétuelle de XenEnterprise, et 99 $ pour une licence annuelle de XenServer pour serveur bi-processeur. VMware Infrastructure 3 Enterprise est commercialisé à partir de 5 750 $ par serveur bi-processeur. VMware profite actuellement à plein du succès de la virtualisation. Son chiffre d'affaires a progressé de 86 % au troisième trimestre par rapport à la même période en 2005, à 188,5 M$. Virtual Iron et XenSource entendent bien profiter également de cette tendance. Simon Crosby, directeur technique de XenSource ne s'en cache pas : « notre intention est de couper l'herbe sous les pieds de VMware. » (...)
(11/12/2006 12:36:18)Infosys : premier Indien à intégrer le Nasdaq 100
Lundi prochain, 18 décembre, à l'ouverture du Nasdaq Stock Market, le spécialiste indien de l'externalisation Infosys deviendra le premier acteur IT du sous-continent à intégrer le prestigieux top 100 américain. Le Nasdaq-100 est composé des cent plus importants titre - en termes de capitalisation boursière - cotés à l'indice technologique. L'intégration d'Infosys s'effectue à l'occasion de la révision annuelle de l'index du Nasdaq Stock Market. Infosys, le numéro un indien de l'externalisation, a été coté pour la première fois au Nasdaq en 1999. Sept ans plus tard, le groupe intègre donc le saint des saints en accédant au Top 100, rejoignant ainsi les Google, Dell et autres Microsoft. Pour l'anecdote, il a fallu 23 ans à Infosys pour hisser son revenu annuel à un milliard de dollars, un cap franchi en 2004. Pour doubler cette somme, seuls 23 mois ont ensuite été nécessaires. Selon Infosys, il s'agit d'une étape importante dans son histoire. Depuis des années, l'entreprise tâche de se départir de l'image d'un fournisseur de service indien pour se poser en concurrent direct de groupes à portée internationale comme Accenture ou EDS. (...)
(07/12/2006 17:47:27)La filiale de Sopra Axway veut racheter l'activité B2B d'Atos en Allemagne
La filiale Axway du groupe Sopra s'apprête à faire l'acquisition de l'activité B2B d'Atos Origin en Allemagne. Outre-Rhin, cette activité d'Atos Origin se concentre sur le développement et l'intégration d'applications de type EDI, notamment pour l'industrie automobile. Avec ce rachat, Axway entend « devenir l'un des premiers fournisseurs de logiciels B2B en Allemagne et le leader de l'EDI et du B2B en Europe. » L'accord prévoit l'intégration, à terme, des logiciels dédiés aux relations entre entreprises d'Atos Origin en Allemagne au sein de la plateforme Synchrony d'Axway. Pour autant, Atos Origin ne prévoit pas de se détacher complètement de son activité B2B d'outre-Rhin. Ainsi, la SSII devrait collaborer avec Axway au développement de son offre SaaS, en assurant l'externalisation de son infrastructure. Pour Atos Origin, cette cession est l'occasion de la poursuite de « sa stratégie de recentrage sur son c?ur de métier, à savoir le conseil, l'intégration de systèmes et l'infogérance. » Les délais et le montant de l'opération n'ont pas été précisés. (...)
(06/12/2006 18:10:30)Compiere recrute un médiateur pour rassurer la communauté
Compiere, l'éditeur de progiciels Open Source, tient à resserrer les liens qui l'unissent à sa communauté. En témoigne le recrutement de Dawn Foster au poste de directrice des programmes communauté et partenaires. L'idée, selon Compiere, est de faciliter le développement du réseau communautaire et de l'encourager à apporter ses contributions aux projets Compiere. La nouvelle recrue aura également pour mission de gérer le réseau de partenaires, composé d'une centaine de membres (entreprises, intégrateurs, revendeurs, etc.) dont beaucoup participent par ailleurs aux travaux de la communauté.
Le but de Compiere est de profiter de cette embauche pour recoller les morceaux avec une partie de la communauté qui fait, depuis quelques mois, preuve de défiance. Emmenés par quelques membres influents, plusieurs dizaines de participants ont lancé il y a quelques semaines un fork, Adempiere. Leur mouvement de fronde s'appuyait sur le constat que Compiere négligeait les travaux de la communauté en ne prenant, par exemple, guère en compte les améliorations et autres correctifs apportés par les contributeurs. Soucieuse de se montrer rassurante, la direction de Compiere s'était alors empressée d'indiquer qu'elle allait recruter un médiateur pour se rapprocher de sa base. C'est désormais chose faite avec l'embauche de Dawn Foster. Reste maintenant à attendre les premières réactions de la communauté.
Oracle veut fédérer autour d'un framework ouvert de gestion d'identités
Oracle cherche à fédérer dans la gouvernance d'identités. Le spécialiste de la base de données vient d'annoncer la création d'un projet de framework ouvert pour assurer la gouvernance des identités en environnement hétérogène. Baptisées Identity Gouvernance Framework (IGF), les spécifications doivent établir, selon l'éditeur, des standards censés définir et contrôler la façon dont seront stockées, diffusées et sécurisées les données sensibles des utilisateurs -PIM, droits d'accès et rôles- entre applications. Il s'agit concrètement de fournir aux entreprises un mécanisme pour établir des "contrats" entre les applications et les différentes sources où sont stockées les informations liés aux identités, indique Oracle dans un communiqué. IGF entend également répondre aux besoins des entreprises en termes de conformité aux lois comptables. IGF a rassemblé quelques spécialistes de la gestion d'identité : CA, Novell, Sun, Ping Identity, Securent, qui, selon Oracle, ont contribué à l'élaboration de la première ébauche des spécifications, et devraient poursuivre leur collaboration pour définir la version finale. Notons également la présence de Layer7 Technology, expert des appliances XML. Outre ce dernier, chacun commercialise ou développe en Open Source une solution de gestion d'identité. Par exemple, Identity Manager 10g R3 chez Oracle et Higgins chez Novell. Techniquement, IGF s'appuie sur quatre composants XML: CARML (Client Attribute Requirement Markup Language), AAPML (Attribute Plolicy Markup Language), CARML API et Identity Service. (...)
(29/11/2006 17:26:21)Porté par ses acquisitions, Sage vante aussi sa croissance organique
Résultats exercice fiscal 2006 Chiffre d'affaires : 935,6 M£ (+22%) Bénéfice : 221,2 M£ (+14%) Sage a réalisé un chiffre d'affaires de 935,6 M£ au cours de son exercice fiscal clos le 30 septembre dernier, 22 % de mieux que pour l'exercice précédent, assorti d'un bénéfice net avant impôts de 221,2 M£ en progression de 14 %. Dans un communiqué, le directeur général de Sage, Paul Walker, reconnaît l'impact des acquisitions passées dans cette progression : « ça a été une année importante pour Sage avec un nombre significatif d'acquisitions élargissant autant nos offres de services que de produits à destination des PME». Ses nombreuses acquisition de l'année écoulées - dont Adonix en France ainsi que Verus et Emdeon aux Etats-Unis, notamment -, pour un total de 618 M£ selon Ovum, ont apporté à Sage 87,6 M£ de chiffre d'affaires mais, Paul Walker souligne tout de même une croissance organique estimée à 7 %. Reste à savoir dans quelle mesure Sage parvient à profiter pleinement de ses acquisitions. En effet, le cabinet Ovum relève une performance « décevante » outre Atlantique, avec une croissance limitée à 3 % - ou 6 % selon Sage hors effets de change - et indique souhaiter « voir des preuves de sa capacité à [y] faire progresser plus fortement ses activités. » Le cabinet souligne en outre une performance « passable » en Europe, avec une croissance de 5 % et, en ligne de mire, les marchés français et allemand. Néanmoins, Ovum s'attend à ce que Sage cherche à profiter « d'une croissance plus forte » outre-Rhin avec de nouvelles acquisitions. (...)
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