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(02/02/2010 14:46:22)

SAP propose la bêta publique de son outil collaboratif 12Sprints

L'objectif de l'éditeur est de proposer une « salle d'opérations » virtuelle ('war room') permettant aux collaborateurs d'une entreprise de résoudre des problèmes en temps réel, en mode collaboratif. Les utilisateurs disposent d'une série d'outils méthodologiques permettant d'établir « le pour et le contre » et de déterminer les options stratégiques les mieux adaptées à la situation. La matrice SWOT, par exemple, sert à lister les éléments positifs et négatifs, en distinguant ceux qui sont internes et ceux qui sont externes à l'entreprise.


« Dans l'entreprise, on peut se sentir frustré d'être obligé d'utiliser certains outils », explique David Meyer, vice-president senior responsable des technologies émergentes pour SAP BusinessObjects. Selon lui, 12Sprints offre une approche totalement différente. « Nous voulons donner aux gens la possibilité de faire le meilleur travail possible quelle que soit la façon dont ils s'y prennent ». Cela implique qu'il soit possible de récupérer des données venant d'applications SAP, mais aussi de solutions de collaboration concurrentes telles que la plateforme Google Wave ou Microsoft SharePoint, et jusqu'à la feuille de calcul qui se trouve sur le poste de travail de l'utilisateur. SAP parie aussi que les clients vont vouloir intégrer 12Sprints avec ses logiciels décisionnels 'on-demand' [venant de BO], pour effectuer des analyses en ligne.

Les développeurs proposent des clients sous iPhone et Android


La disponibilité générale de 12Sprints, qui sera alors renommé, devrait intervenir peu de temps après le lancement de la bêta publique, selon David Meyer qui précise toutefois que, d'une certaine façon, la phase 'bêta' ne devrait jamais être close. SAP prévoit en effet de livrer des mises à jour mensuelles et certaines fonctions seront toujours en mode bêta, explique le responsable des technologies émergentes. SAP recueille des conseils venant des testeurs et l'outil facilite à ses utilisateurs l'ajout de suggestions en leur permettant aussi de noter les propositions faites par les autres. « L'idée générale, c'est d'apprendre en utilisant », conclut David Meyer. Il rapporte que les premiers pas de l'application ont suscité un vif intérêt. Un récent concours d'idées lancé auprès des développeurs a fait remonter de nombreuses propositions, souvent étonnantes, allant de clients sous iPhone et Android jusqu'à des intégrations poussées avec les ERP.

A l'autre bout de la chaîne, SAP travaille aussi sur des composants classiques, à installer en interne ('on-premise'), de 12Sprints qui permettraient aux utilisateurs d'interroger de façon sécurisée leurs différentes bases ou entrepôts de données au sein de leur entreprise. David Meyer n'a pas souhaité indiquer de date de disponibilité pour ces composants. (...)

(25/01/2010 09:52:36)

L'ERP d'EBP progresse sur le marché des PME

Il est encore trop tôt pour dire si EBP va réussir son pari de devenir une référence sur le marché des progiciels de gestion intégrés pour petites et moyennes entreprises. Toutefois, l'éditeur pense être sur la bonne voie. Lancée il y a près d'un an, sa solution Compta & Gestion Commerciale Open Line PRO pour les organisations de 50 à 200 salariés a déjà été déployée chez une centaine de clients. ces projets impliquent une dizaine d'utilisateurs pour un coût moyen de 5 à 6000 €. « La grande majorité de nos ventes a été réalisée lors du dernier trimestre 2009 », tient à préciser Philippe Leroy, le directeur commercial de l'éditeur. Une façon d'indiquer que, pour lui, la montée en puissance de la commercialisation du produit ne fait que commencer. Cette année, EBP table en effet sur 4 à 500 nouvelles ventes. Comme à son habitude, il compte sur son réseau de ventes indirectes. « A l'heure actuelle, nous avons agréé 300 revendeurs sur Open Line Pro, les seuls à pouvoir commercialiser notre logiciels de gestion intégré, indique Philippe Leroy. Un tiers d'entre eux n'avait jamais travaillé avec EBP jusqu'ici ». Pour constituer le réseau de distribution indirecte dont il a besoin, l'éditeur considère qu'il doit encore identifier et convaincre une centaine de revendeurs. « Au delà de 400 partenaires, le principe de sélectivité sur lequel nous basons notre recrutement n'aurait plus de sens », estime Philippe Leroy. Et c'est d'ailleurs dans les rangs des réseaux de distribution qualifiés de ses concurrents qu'EBP veut aller chercher les futurs nouveaux revendeurs de Compta & Gestion Commerciale Open Line PRO. Par exemple, dans celui de Sage et de sa ligne 100 qu'EBP identifie comme la principale concurrente de sa solution qui n'en a, toutefois, pas encore la richesse fonctionnelle. Seulement 3% de revenus en moins en 2009 [[page]] Seulement 3% de revenus en moins en 2009 Les premiers succès obtenus par Compta & Gestion Commerciale Open Line PRO ont, en partie, permis à EBP de finir l'année 2009 sur un chiffre d'affaires en recul de 3% seulement, sans baisse de profitabilité. « En outre, nous sommes parvenus à gagner des positions sur un marché des logiciels de gestion vendus dans la grande distribution en baisse annuelle de 23% en valeur selon GFK », ajoute Philippe Leroy. Citant l'institut d'études, le directeur commercial indique que les parts de marché d'EBP avaient progressé de 8% en volume et de 5% en valeur à fin octobre 2009. Pour soutenir son chiffre d'affaires sur le canal des revendeurs, l'éditeur a misé sur une optimisation des revenus issus de leurs clients. Pour cela, Il a créé une cellule interne chargée de contacter au nom de ses revendeurs les clients de ces derniers pour les inciter à souscrire à des contrats de maintenance, des mises à jours ou encore des extensions. Environ 900 revendeurs EBP ont accepté de jouer le jeux en contrepartie d'un pourcentage du chiffre d'affaires dégagé. Ce système imaginé pour soutenir l'activité continue d'être mis en oeuvre en 2010. En parallèle, EBP compte également étoffer son catalogue de produits avec les sorties de deux nouvelle applications. La première interviendra durant le deuxième trimestre avec le lancement d'un logiciel de gestion destiné aux marché du CHR (Cafés, hôtels, restaurants) qui représente un potentiel de deux cents mille clients. La sortie d'un logiciel de CRM est également attendue. Pour l'heure, EBP ne dispose que d'un outil de gestion de contacts lancé en août 2009. Rien n'est encore arrêté mais l'éditeur réfléchit sur l'opportunité d'intégrer son futur logiciel de CRM dans son PGI. (...)

(12/01/2010 09:25:16)

Le marché du e-achats s'annonce prometteur en 2010

Dans le vaste secteur du e-achat, trois segments paraissent bien développés, les entreprises en sont équipés à plus de 50% : le e-procurement (gestion administrative des achats) à 63%, le e-sourcing (sélection des fournisseurs) à 59%, les catalogues électroniques à 55%. Trois autres semblent en revanche « à la traîne » avec à peine 20% d'entreprises équipées : le SRM (gestion de la relation fournisseur), le décisionnel achats, le développement durable. Entre les deux, on trouve : le contract management, la démat', les enchères en ligne, le e-apaiement et du développement spécifique. Le secteur du e-achat balaye large, ce qui fait sa force. Les entreprises ont en effet un système d'information achats qui peut être amélioré en terme de couverture fonctionnelle. C'est la grande conclusion de l'étude. Les offres sont d'ailleurs largement disponibles. En plus, le parc installé date de plus de trois ans et plus d'un tiers des entreprises n'ont pas de service de e-achats externalisé. Les différents acteurs de ce marché, malgré la crise, ont moins de motifs de pessimisme que leurs homologues d'autres marchés. Des achats nombreux après une année marquée par la rigueur Dans les 12 à 18 mois à venir, les SI achats vont d'ailleurs investir souligne l'étude : à 25% dans leur enrichissement fonctionnel, à 18% dans l'upgrade des systèmes existants, à 15% dans l'installation de nouvelles solutions, à 12% dans la globalisation des systèmes au plan mondial, à 11% dans l'élargissement du périmètre d'usage, pour 8% dans la refonte de systèmes existants. 3% seulement des entreprises interrogées n'envisagent pas d'évolution. L'étude donne l'occasion aux offreurs de se reprendre après une année 2009 délicate. Sur ce secteur de l'e-achat, 32% des chiffres d'affaires se sont avérés moins bons que prévu, en face, 29% des entreprises ont repoussés ou abandonné leurs projets. En revanche, pour 2010, 29% des offreurs prévoient une hausse de leurs chiffres d'affaires et 24% des entreprises prévoient davantage de projets. Ces nouveaux projets porteraient : à 31% dans le conseil, à 20% dans l'ASP, à 12% en licences, à 11% en intégration, à 10% en maintenance à 8% en services, à 3% en externalisation. (*) Etude menée de mi novembre à mi décembre auprès de 50 entreprises, de la Pme aux grands comptes. (...)

(21/12/2009 16:15:52)

Trimestriels Oracle : les ventes de licences semblent repartir

Oracle a vu ses ventes de nouvelles licences augmenter de 2%, à 1,65 M$ (28% du CA) sur son deuxième trimestre fiscal, clos fin novembre. Et son président, Charles Phillips, ne s'est pas privé, lors de l'annonce de ces résultats, d'affirmer qu'il s'agissait du quatrième trimestre consécutif sur lequel sa société avait pris des parts de marché à SAP, dans chaque région du monde. Il est vrai que l'éditeur allemand a subi un recul de 31% sur ses ventes de licences au troisième trimestre 2009. Selon Safra Catz, les résultats ont été obtenus sur une base large et non à la seule faveur de gros contrats. « Le contexte économique semble s'améliorer. Nous voyons nettement que les clients recommencent à investir [...] de façon vraiment généralisée ». Effectif : près de 1 300 départs sur le trimestre De septembre à fin novembre, Oracle a par ailleurs enregistré une hausse de 14% sur les revenus issus de sa maintenance et de ses mises à jour de logiciels, à 3,28 M$ (56% du CA). En revanche, le chiffre d'affaires réalisé sur les services a reculé de 15%, à 958 M$. L'éditeur affiche par ailleurs un bénéfice net en hausse de 12%, à 1,46 M$, sur ce deuxième trimestre fiscal. Sur la période, Oracle a encore réduit son effectif, de 1 273 personnes, sans que l'on sache précisément ce qui résulte de licenciements. Il comptait fin novembre 83 366 employés (contre 86 657 l'an dernier à même époque). La présentation des résultats trimestriels a aussi permis à Safra Catz, présidente d'Oracle, d'exprimer son optimisme sur l'issue de l'enquête menée par Bruxelles autour du rachat de Sun. « Nous pensons que la Commission Européenne va autoriser sans condition l'acquisition de Sun en janvier, a-t-elle indiqué. Nous voulons remercier tous nos clients pour le soutien massif qu'ils nous ont apporté à Oracle pendant ce processus. » Exadata : des appliances de datawarehouse qui pourraient rapporter gros Parmi les produits sur lesquels Oracle semble miser dans les mois à venir, la récente gamme Exadata Database Machine, spécialisée dans les applications de datawarehouse, pourrait avoir un impact important. La deuxième version associe des serveurs de stockage Sun au logiciel d'Oracle (la première reposait sur des serveurs HP). « La vente [des appliances Exadata] devrait générer des milliards de dollars, a laissé entrevoir le président Charles Phillips. Sans même compter la redevance annuelle des contrats de maintenance. Mais nous ne pouvons pas encore déterminer à quel moment nous atteindrons ce stade ». Certains clients demanderaient des systèmes multiples. « Le problème que nous rencontrons actuellement se situe au niveau des capacités de production », a expliqué le président d'Oracle. (...)

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