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(03/06/2009 10:44:13)
SAP France met en place un programme de benchmarking
SAP France attend 3 000 personnes sur deux jours (2-3 juin) à la Porte de Versailles pour son World Tour 2009, organisé trois semaines après sa conférence utilisateurs mondiale d'Orlando. Pour les clients français, c'est l'occasion notamment d'en savoir plus sur l'offre décisionnelle SAP Business Objects Explorer Accelerated dévoilée par l'éditeur sur Sapphire. En ouverture de la conférence, Pascal Rialland, directeur général de SAP France, a annoncé l'arrivée d'un programme gratuit de benchmarking qui permettra aux entreprises françaises de comparer leurs processus métiers à ceux des autres clients SAP de même taille ou évoluant dans le même secteur d'activité. Ce programme passe en revue 28 processus-clé. Il a été lancé il y a un an aux Etats-Unis et 4 000 entreprises américaines y ont déjà contribué. « Nous travaillons à sa mise en place en France avec l'USF [club des utilisateurs de SAP francophones] », a précisé Pascal Rialland.
Entre démonstrations d'applications et témoignages clients, SAP a programmé quelque 150 présentations dans le Hall 1 de la Porte de Versailles. Celles-ci sont réparties entre sept espaces suivant que les thématiques abordées s'adressent aux directions informatiques, aux directions financières, aux acteurs de la banque/assurance, au secteur public et au monde de la santé, aux autres secteurs industriels ou aux PME. Le dernier espace est consacré aux plus récentes évolutions de l'offre SAP : la Business Suite 7 qui unifie l'ERP avec les autres applications -en particulier avec la gestion de la relation client (CRM) et la gestion de la relation fournisseur (SRM), l'offre de maintenance Enterprise Support qui prévaut désormais et la solution décisionnelle Explorer Accelerated. Cette dernière sera d'abord livrée pour les utilisateurs de l'entrepôt de données SAP BW. Elle sortira plus tard pour les applications non SAP. Le nouveau produit associe l'interface de recherche intuitive de BO, jusque-là connue sous le nom de Polestar, et le logiciel SAP Netweaver BW Accelerator, qui exploite la technologie d'analyse en mémoire TREX de SAP et s'appuie sur une partie matérielle pour parcourir et indexer les données de BW. Elle a été conçue pour avoir la capacité d'explorer plusieurs téraoctets de données et délivrer une réponse en moins d'une seconde. Pour la partie matérielle, livrée sous forme de serveurs lames, SAP s'appuie sur des partenaires (HP, IBM, Sun et Siemens). Avec l'interface d'Explorer, l'affichage de la réponse livre aussi d'autres informations associées aux éléments de la requête, qui peuvent fournir un éclairage complémentaire pour prendre une décision.
En dépit des importants remous générés depuis un an par l'augmentation du tarif de la maintenance, la session qui a été consacrée hier aux services apportés par Enterprise Support n'a guère attiré les participants du SAP World Tour. Dans la grande salle plénière, une trentaine de personnes seulement y ont assisté, tandis qu'au même moment, à la mi-journée, les espaces thématiques faisaient le plein : une soixantaine de personnes sur le village Direction financière, par exemple, où l'on expliquait comment réduire les cycles de clôture, et une cinquantaine sur le village Direction informatique, où l'exposé portait sur l'industrialisation des tests logiciels.
Les limites des critères de performance
Plus tôt dans la matinée, en ouverture de la conférence, SAP avait convié des orateurs plus inhabituels. Les analyses de l'économiste Daniel Cohen et du philosophe et ancien ministre de l'Education nationale Luc Ferry ont montré les limites des critères de performances imposés aux entreprises. Le premier a rappelé les risques de la sous-traitance à outrance. « Quand on externalise tout, on n'a plus aucun contrôle de ce qu'on met sur le marché », a-t-il notamment argumenté au fil de son exposé. « L'immatériel pur ne peut pas se substituer à la chaîne de valeur traditionnelle de l'entreprise. Le curseur va revenir, on va sans doute réinternaliser un certain nombre de risques pour s'assurer de la qualité de cette chaîne de valeur. » Quant à Luc Ferry, il a rappelé que nous avancions à toute vitesse mais sans savoir où ni pourquoi. Poussées par la concurrence, « il faut que les entreprises tournent, sinon elles tomberont. Mais cela ne constitue pas un projet. Le monde nous échappe de toute part, mais comment reprendre la main et à quel niveau ? », interroge le politique, en précisant que ce ne peut certainement pas être au seul niveau national.
En proposant à ses utilisateurs une vision élargie par rapport aux problématiques de gestion qui les ont attirés sur cette conférence, SAP rappelle aussi sa nouvelle ligne. Depuis quelques semaines, l'éditeur met l'accent sur ses solutions de développement durable appliquées à la gestion des risques sanitaires et de l'environnement, ainsi que sur son propre engagement dans cette voie. A l'occasion de Sapphire Orlando, il a publié son rapport de développement durable pour l'année 2008. Il vient également de racheter l'éditeur Clear Standards qui a développé une solution en ligne de calcul des émissions de gaz à effet de serre. (...)
Annuels : démembré, Arès atteint avec peine les 90 M€ de CA
Arès a publié un chiffre d'affaires en retrait de 9% (90,2 M€ contre 99,1 M€ en 2008). Si on prend en compte l'ancien périmètre du groupe, le CA s'écroule littéralement : il aurait du atteindre 329,1 M€ si Arès ne s'était pas, peu à peu, défait de certaines activités au cours des derniers mois. Le groupe s'est successivement débarrassé de SIS Ile-de-France (cédé à SCC), de SIS Régions (revendu en juillet 2008 à la SSII bordelaise Cheops Technology), d'Adequat (repris par D.FI), du pôle RMS (réseau, mobilité, sécurité) ainsi que de la société Databail. Ces différentes opérations ont valu à Arès un redressement judiciaire, entériné par le Tribunal de commerce d'Evry il y a deux mois seulement, après une longue période d'observation. Ces reventes ont provoqué une réduction drastique de la masse salariale d'Arès. En un an, elle est passée de 2 000 à 1 100 salariés. Par secteurs d'activités, c'est le pôle ITS (IT Services) qui permet à Arès d'engranger 68% de ses revenus. Vient ensuite le pôle SIT, qui distribue les solutions Autodesk (20% du chiffre d'affaires). La division ISA (Intégration de solutions applicatives) génère 12% du CA. Elle est chargée de distribuer et d'intégrer la gamme Arcole, une suite de progiciels (paie/RH) qu'Arès a lui-même développée mais qu'il a revendue à l'éditeur De Gamma pour 6 M€ en avril 2008. Pour 2010, le groupe entend mener à terme son redressement judiciaire et se concentrer sur des activités à valeur ajoutée, comme les services managés ou le PLM (gestion du cycle de vie du produit), et renforcer sa présence dans le secteur public, parapublic, la santé et le social. (...)
(14/05/2009 18:16:38)Sapphire 2009 : SAP s'affirme dans le décisionnel avec Explorer
La veille de l'ouverture de la conférence utilisateurs Sapphire (Orlando, 11-14 mai 2009), Léo Apotheker, co-PDG de SAP, a levé le voile sur deux nouvelles solutions d'analyse de données (business intelligence, BI), Explorer et Constellation, à l'occasion d'une conférence de presse organisée à New York.
Le premier des deux produits, Explorer, associe les fonctions de recherche et de navigation, mises au point par Business Objects avec son outil Polestar, aux capacités d'analyse en mémoire de SAP NetWeaver BW Accelerator qui vont lui permettre de traiter des téraoctets de données. « Des centaines de téraoctets », a souligné Léo Apotheker en ajoutant qu'il sera possible d'obtenir ainsi une réponse en moins d'une seconde en employant des mots familiers pour la requête. Le tout s'effectue à partir d'une interface utilisateur que le dirigeant, qui se retrouvera seul aux commandes de SAP à partir de la semaine prochaine (Henning Kagermann quittant son poste, comme prévu), s'est plu à comparer à celle d'iTunes, le lecteur de fichiers multimédia d'Apple.
Sur le deuxième produit, Constellation, le PDG a donné moins de détail. On sait simplement qu'il combine fonctions de BI et réseau social pour faciliter la communication entre utilisateurs et qu'il s'appuiera sur la Business Suite, l'ERP de SAP.
Sur Sapphire, c'est bien Explorer qui fut au coeur de l'allocution d'ouverture de Léo Apotheker : « Il ne s'agit pas simplement d'un outil de reporting. Je suis convaincu qu'il va fondamentalement changer la façon dont les décisions sont prises dans les entreprises à travers le monde. Nous allons combler le gouffre qui existe entre "je pense que c'est une bonne décision" et "je sais que c'est une bonne décision" ».
Un peu plus tard, Marge Breya, executive vice-présidente de la division Intelligence Platform et des solutions SAP NetWeaver, a confié que SAP prévoyait d'infiltrer ces interfaces de type Web 2.0 au coeur d'autres applications. D'autres annonces sont prévues pour les mois à venir, a-t-elle évoqué, sans plus de détail. (...)
SAP se renforce dans le green avec le rachat de Clear Standards
SAP vient de procéder au rachat de Clear Standards, un jeune éditeur américain spécialisé dans les outils de mesure des émissions de gaz à effet de serre et de maîtrise de la consommation d'eau. En marge de la fusion Sun/Oracle ainsi que des spéculations autour d'une future grosse acquisition par Microsoft, l'éditeur allemand poursuit ses petites emplettes, pour se renforcer dans les technologies vertes cette fois. Pour Leo Apotheker, PDG du groupe allemand, il ne s'agit pas d'un simple phénomène de mode : « Il est essentiel que les entreprises aient une vision de l'impact de leurs émissions de carbone et de leur consommation d'eau sur l'environnement. » Les solutions de Clear Standards seront intégrées dans SAP Business Suite 7 ainsi que dans les applications métiers de l'éditeur (SAP environnement, santé et gestion de la sécurité). Elles seront disponibles en mode Saas (software as a service). Fondé en 2007, Clear Standards a levé 4 M$ auprès de deux fonds d'investissement, Kinetic et Novak Biddle Venture Partners, un an après sa création. L'éditeur américain a par ailleurs développé Carbon Tracker, son logiciel phare, de manière à pouvoir l'adapter à l'iPhone. Depuis le début de l'année, SAP a racheté plusieurs sociétés, dont le Français Highdeal, spécialisé dans les logiciels de tarification complexe. Lors de la publication de ses résultats trimestriels, l'éditeur allemand a précisé qu'il disposait de 2,95 Md$ de cash pour réaliser diverses acquisitions. (...)
(07/05/2009 15:15:35)SAP rachète Highdeal, spécialiste français des logiciels de tarification complexe
L'éditeur d'ERP SAP vient d'annoncer le rachat de l'éditeur français Highdeal, spécialisé dans les logiciels de tarification complexes et de valorisation conçus en particulier pour les opérateurs télécom. Ses solutions permettent entre autres de monétiser les transactions commerciales en temps réel et de prendre en compte un grand nombre de transactions impliquant de multiples partenaires. SAP compte intégrer ces logiciels au sein de ses propres applications de facturation. Issu des laboratoires de R&D de France Télécom, Highdeal a démarré son activité en 2000 en développant pour les opérateurs de télécommunication des solutions de facturation qui ont pu s'étendre à d'autres secteurs, tels que les médias, les services financiers, le transport et la logistique ou encore les services publics. La société est installée à Caen et à New-York, compte 90 collaborateurs et a constitué une base installée de 200 clients dans le monde. La semaine dernière, lors de l'annonce de ses résultats trimestriels, ponctués par un recul de 33% sur ses ventes de licences, SAP avait indiqué qu'il disposait de liquidités pour réaliser les acquisitions qui lui sembleraient opportunes. (...)
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