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(03/07/2008 14:15:47)
Microsoft achète Powerset et sa technologie de recherche sémantique
Microsoft met la main sur Powerset Inc et sa technologie de moteur de recherche sémantique. Le montant de la transaction n'a pas été précisé. Ce sont les talents de la jeune pousse de San Francisco qui a suscité l'enthousiasme du premier éditeur mondial, a précisé Satya Nadella, Senior VP en charge des activités Recherche, Portail et Publicité. Powerset est spécialisé dans la recherche en langage naturel. Une technologie qui permet, notamment, de faire la différence sémantique entre des homonymes (par exemple, le mot cancer qui désigne à la fois la maladie et le signe du zodiaque). Powerset fonde son savoir-faire sur des travaux réalisés au Xerox PARC (Palo Alto research center). En mai dernier, Powerset avait réussi une levée de fonds de 10 M$ et mis en ligne une démonstration de sa technologie à partir des articles de Wikipedia. Tous les porte-parole de cette petite société se réjouissent de son acquisition. Ils considèrent que la puissance financière de Microsoft va permettre de diffuser largement leur technologie. Deux acquisitions dans les moteurs de recherche en deux mois C'est la deuxième acquisition de Microsoft dans le domaine des moteurs de recherche en à peine deux mois. En avril dernier, il avait bouclé l'acquisition du Norvégien Fast Search and Transfer, annoncée en janvier, pour 1,2 Md$. L'achat de Powerset tombe juste après l'échec de la tentative de reprise de Yahoo. Les deux opérations n'ont qu'un objectif : combler le retard de Microsoft par rapport à Google. Selon Hitwise, ce dernier s'est arrogé en mai plus de 68% des requêtes des internautes américains, très loin devant Yahoo (20%) et MSN qui n'atteint pas les 5%. Microsoft a laissé entendre qu'il entendait ne pas s'attaquer directement à Google, mais qu'il comptait viser des prestations différentes. Avec le savoir-faire de Powerset, l'éditeur compte répondre aux tiers des requêtes auxquelles les moteurs actuels ne savent pas répondre. (...)
(03/07/2008 09:04:28)Avec Select Plus, Microsoft veut simplifier l'achat de licences en volume
Microsoft veut amener les entreprises à recourir plus largement à l'achat de licences en volume. Le modèle qu'il a imaginé pour les faire aller dans ce sens sera officialisé la semaine prochaine aux Etats-Unis, lors de sa conférence partenaires annuelle. Concrètement, il s'agit de proposer aux clients dotés de 250 postes et plus un nouveau type de contrat baptisé Select Plus. Sa mise en oeuvre en octobre prochain marquera une évolution du programme Select, le système d'achat massif de licences de Microsoft qui cohabitera avec Select Plus. Ce dernier permet aux entreprises de rassembler facilement l'ensemble de leurs achats de licences, qu'ils soient effectués par plusieurs de leurs département ou filiales, dans un seul contrat afin d'accroître leur niveau de remise. A l'heure actuelle, l'éditeur catégorise les entreprises selon leur niveau d'achat pour leur attribuer des rabais qui varient de 10 à 25%. Select Plus peut en outre être conclu sans date d'expiration, épargnant ainsi aux entreprises de devoir s'engager au bout de trois ans dans des négociations avec l'éditeur. Outre ces premiers avantages, Select Plus apporte aussi une avancée au niveau du seuil d'accès au programme d'achat de licences en volume de Microsoft. Avec Select, les entreprises doivent s'engager à réaliser un niveau d'achat minimum correspondant à 1500 points par famille de produit selon le système de comptage de Microsoft. Dans le cadre de Select Plus, ce seuil est ramené à 500 points. (...)
(02/07/2008 17:59:01)5000 pages pour prouver la volonté d'interopérabilité de Microsoft
Microsoft commence à traduire dans les faits l'injonction de la Commission européenne à ouvrir ses produits. Il met ainsi à disposition 5000 pages de documentation, ce qui s'inscrit dans la nouvelle politique d'ouverture qu'il a annoncée en février. L'objectif officiel ? Simplifier les échanges de données à partir de ses logiciels et faciliter la vie aux éditeurs tiers. L'éditeur entretient deux fers au feu. D'un côté, la compatibilité entre OOXML, le format natif d'Office 2007, et de l'autre, des formats comme html et ODF, le format bureautique qui fut le premier a accédé au rang de standard international. Microsoft avait déjà promis le support d'ODF par Office 2007 dans un Service Pack programmé pour début 2009. La commission avait déjà rejeté ce genre de documents indigestes L'éditeur de Redmond a aussi publié la version 1.0 de sa documentation technique sur les protocoles pour s'interfacer avec les logiciels d'Office et les serveurs Office SharePoint Server 2007 et Exchange Server 2007. A eux seuls, les documents concernant les anciens formats d'Office totalisent la bagatelle de 5000 pages. Dans son bras de fer avec Microsoft pour l'obliger à ouvrir ses logiciels, la Commission européenne a déjà rejeté ce type de documents censé prouver la bonne foi de Microsoft. Les commissaires européens avaient jugé les 30 000 pages de documentation sur les systèmes d'exploitation trop indigestes pour être utiles. Les dernières estimations portent sur un total de 50 000 pages à lire pour s'interfacer avec les produits Microsoft... A noter que certains observateurs ne peuvent s'empêcher de considérer ces annonces d'ouverture de la part de Microsoft comme des retombées positives de la position intransigeante de la Commission européenne sur le maintien de l'interopérabilité des systèmes. (...)
(01/07/2008 14:53:46)Microsoft publie la v1.0 de sa documentation technique
Comme promis en février dernier, lorsque Microsoft a lancé sa grande campagne de séduction des autorités européennes, l'éditeur propose aujourd'hui la première version finalisée de sa documentation technique des protocoles utilisés par Office 2007, Sharepoint 2007 et Exchange 2007. Le but de cette documentation est de permettre à des éditeurs tiers ou des développeurs de bâtir des ponts avec les fonctions des produits de bureautique et de collaboration de Microsoft. La version 1.0 de ces documents sur les protocoles techniques s'accompagne d'une liste des brevets qui y sont rattachés, et des conditions d'exploitation de ces derniers. Microsoft a aussi mis en ligne « près de 5 000 pages de nouvelle documentation technique sur les formats de fichiers binaires Microsoft Office pour Word, Excel et PowerPoint (doc, .xls, .xlsb et .ppt) », afin de permettre à des tiers de développer des convertisseurs. Côté convertisseurs toujours, Microsoft lance un projet sur Codeplex (son portail consacré aux projets Open Source - du moins selon la définition que Microsoft en a), dont le but est de pouvoir lire des fichiers Office Open XML (OOXML) à l'aide d'un simple navigateur HTML. Un autre projet Codeplex vise à doter Powershell, l'interface de script utilisée par les administrateurs de Windows Server, de fonctions pour manipuler des documents OOXML. (...)
(01/07/2008 11:18:18)Goojet propose des widgets pour mobiles
Le Web mobile est promis à un bel avenir... à condition de simplifier son usage. Tel est le constat de Goojet, un éditeur toulousain comptant une petite vingtaine de personnes, qui propose un mécanisme pour utiliser des 'widgets' sur les téléphones mobiles. Les 'widgets' sont des services applicatifs, fournissant le plus souvent du contenu (comme ceux proposés par Netvibes), parfois un service technique. Environ trois semaines après l'ouverture du service en bêta - et après une phase de bêta privée - Goojet compterait « plusieurs milliers d'utilisateurs », selon Sylvain Wallez, directeur technique. Les utilisateurs de Goojet peuvent gérer leur compte sur le Web, en rassemblant par exemple un ensemble de 'widgets', appelés ici 'goojets', qu'ils pourront utiliser sur leur téléphone mobile. Une logique de réseau social Parmi les services disponibles ou imaginables, Sylvain Wallez donne « des exemples de collaboration sur des micro-groupes », comme un service de téléconférence - pour mettre plusieurs personnes en relation, réécouter la conversation, etc. - ou la liste de courses à effectuer - qui donne la possibilité à quelqu'un de compléter la liste pendant que le porteur du mobile est au magasin. Ces outils de collaboration donnent ainsi un petit air de réseau social à Goojet. Toutefois, l'éditeur se défend de vouloir recréer un réseau communautaire de toutes pièces. « Il y a une dimension sociale, reconnaît Sylvain Wallez, mais plutôt sur l'échange de services. Il est logique de penser que les gens de votre carnet d'adresses puissent partager vos centres d'intérêt. Donc, l'idée est que si on trouve un service intéressant, on puisse le proposer à ses amis. » Goojet réfléchit actuellement au portage de l'API OpenSocial (pour échanger entre réseaux sociaux) sur les mobiles, et travaille à une procédure d'import des carnets d'adresses. Bientôt un client spécifique de Goojet pour les iPhone [[page]] Côté technique, il a fallu développer des navigateurs HTML en Java, pour la grande majorité des téléphones, « notamment parce que beaucoup de services ne sont pas accessibles à des navigateurs classiques, explique Sylvain Wallez. Enregistrer des photos, accéder à la localisation etc. » En ce qui concerne les smartphones, l'accès à Internet est déjà plus ergonomique, toutefois de nombreux services restent là aussi inaccessibles. Des développements sont donc en cours : « Nous proposerons bientôt un ajout au navigateur de l'iPhone, et à terme une application native. Nous prévoyons aussi un autre client spécifique pour Symbian. » Trois modes de financement Certains services seront payants, mais la majorité des 'widgets' devrait être utilisable gratuitement. Le financement proviendra alors de deux sources : des accords avec des éditeurs de contenu pour utilisateurs mobiles dont Goojet accroîtra l'audience, et de la publicité ciblée, à partir de l'analyse des actions des utilisateurs. Sylvain Wallez a en effet travaillé pour Joost, qui recourait à ce principe. A noter que Sylvain Wallez a aussi travaillé chez Anyware Technologies, dont le PDG était Ludovic Le Moan, un des fondateurs de Goojet. L'autre fondateur, Marc Rougier, vient d'un tout autre monde : il avait fondé un éditeur spécialisé dans les environnements de haute disponibilité, Meiosys, qu'il a vendu à IBM il y a trois ans. (...)
(26/06/2008 17:31:13)Annuels : Oracle se maintient mais prévoit un ralentissement
Oracle a présenté hier des résultats annuels, toujours très positifs malgré la crise qui perturbe l'économie américaine depuis plusieurs mois. Le chiffre d'affaires de l'exercice s'établit à 22,4 Md$, soit une progression de 25% par rapport à l'année précédente, et le bénéfice net atteint les 5,5 Md$, en hausse de 29% (+27% pour le quatrième trimestre de l'année). Oracle affiche un bénéfice par action de 1,30 $, dépassant ainsi les attentes des analystes, qui tablaient sur 1,27 $. La croissance au quatrième trimestre a été particulièrement soutenue en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique (2,68 Md$ contre 1,99 Md$ un an plus tôt, soit une augmentation de 34,7%). Elle est légèrement moins importante sur le continent américain (3,57 Md$ contre 3 Md$, soit +19%). Oracle est parvenu à maintenir le cap malgré les remous financiers outre-Atlantique en partie grâce à sa stratégie de croissance externe, qui lui a permis de verticaliser et d'étoffer son offre. L'éditeur a en effet procédé à l'acquisition d'une dizaine de sociétés au cours de l'année, dont BEA, en janvier dernier, pour un montant de 8,5 Md$. Rappelons qu'en mars 2007, Oracle avait mis la main sur Hyperion pour 3,3 Md$. Tout récemment, l'éditeur a procédé à une augmentation du tarif de ses solutions. Les prix de son SGBD et de son infrastructure augmentent de 15 à 20%, et pour les produits BEA, la facture s'alourdit de 50%. « Les tarifs présentés dans les catalogues ne reflètent pas toujours ce que le client paie au final, nuance toutefois Ray Wang, analyste chez Forrester Research. Le coût est souvent réduit à l'issu de négociations ». Sur un blog, Ray Wang explique en outre que la faiblesse et la fluctuation du dollar constituent la principale raison pour Oracle de faire ainsi flamber les prix. Pour le premier trimestre de l'exercice qu'il vient d'entamer, Oracle prévoit un léger repli, avec une croissance de son chiffre d'affaires de l'ordre de 18 à 20%. (...)
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