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ERP
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(17/01/2008 16:14:00)
Premières offres combinées de SAP et BO
Avec satisfaction, SAP a annoncé hier, dans ses locaux californien de Palo Alto, le succès de son offre d'achat amicale sur Business Objects. L'éditeur allemand de progiciels de gestion intégrés détient désormais 87,18% du capital de BO, c'est-à-dire bien plus que ce dont il avait besoin pour acquérir le contrôle de l'éditeur français, spécialiste des applications décisionnelles. Désormais division de SAP, Business Objects reste dirigée par John Schwarz, son PDG depuis septembre 2005. A Palo Alto, les trois dirigeants présents, Henning Kagermann et Léo Apotheker, respectivement PDG et PDG délégué de SAP, ainsi que John Schwarz, ont rappelé les objectifs déjà évoqués en octobre dernier lors de l'annonce de l'offre d'achat. Le rapprochement des deux acteurs va permettre de développer une forte intégration entre les offres de SAP et de Business Objects, tout en continuant, « avec un engagement équivalent », a insisté John Schwarz, à développer des solutions Business Objects totalement indépendantes de SAP, à associer aux autres plateformes applicatives du marché. « Mon intention est de proposer pour l'environnement Oracle des solutions décisionnelles meilleures que les propres solutions décisionnelles d'Oracle », a cité en exemple John Schwarz. Henning Kagermann a exposé son ambition de renforcer l'intégration entre l'offre de SAP et celle de BO, jusqu'à réduire à quelques heures les capacités d'accès à l'information nécessaire pour une prise de décision rapide, alors que certains besoins d'analyse nécessitent aujourd'hui des interventions de quelques jours ou de quelques semaines des départements informatiques des entreprises. La mise en oeuvre de cette intégration étroite nécessite, rappelle le dirigeant, de faire travailler ensemble les équipes d'ingénieurs respectives, opération qui peut maintenant démarrer. Une offre hébergée pour les PME En attendant, SAP annonce neuf offres commerciales constituées conjointement avec Business Objects. Ces offres combinent des applications de l'un et l'autre éditeurs dans trois domaines : l'optimisation de la performance (finance et efficacité opérationnelle, gouvernance), les outils décisionnels (tableaux de bord, reporting, analyse, intégration de données, synchronisation de données) et les solutions adaptées aux PME. Parmi ces dernières figure notamment un package permettant d'intégrer les solutions BusinessObjects Edge, livrées en 2007, aux applications de SAP. Henning Kagermann a également indiqué que les équipes développant la toute nouvelle offre de gestion en ligne pour PME, SAP Business ByDesign, pourront recourir aux fonctions d'analyse de Business Objects. Un terrain - celui des applications fournies en ligne - sur lequel Business Objects dispose déjà d'une certaine expérience, l'éditeur revendiquant quelque 70 000 abonnés à sa gamme OnDemand. (...)
(17/01/2008 13:01:48)BEA-Oracle : Gartner conseille aux clients de différer leurs investissements
« Les clients sont dans une situation classique de 'wait and see'. Pour des entreprises déjà clientes de BEA, sur WebLogic par exemple, il n'y a pas de raison de paniquer. En revanche, ce serait risqué d'investir maintenant sur des produits récents. » Massimo Pezzini, vice-président de Gartner et analyste distingué, estime que l'acquisition de BEA par Oracle conduira à « des décisions difficiles » ; il serait donc risqué, explique l'analyste, d'investir sur des produits de BEA qui ne disposent pas déjà d'une base installée conséquente, les rendant quasiment intouchables. « Beaucoup [de produits] seront mis en mode maintenance, d'autres intégrés au sein de l'offre Oracle. Certains continueront de vivre, des produits comme WebLogic ou Tuxedo qui ont probablement des centaines de milliers de déploiements, ce serait un suicide de les arrêter. D'autres produits sont complémentaires, comme la machine virtuelle Jrockit. Et beaucoup sont en situation de recouvrement. » Dans tous les cas, explique encore Massimo Pezzini, dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, même si Oracle choisit de privilégier certains produits de BEA par rapport aux siens, le projet Fusion aura le dernier mot : Oracle a en effet engagé une vaste réorganisation de son offre progicielle afin de l'appuyer sur son offre middleware. (...)
(17/01/2008 12:09:19)Oracle enrichit son offre d'ECM en rachetant Captovation
En arrière plan de l'imposante acquisition de BEA Systems, révélée hier 16 janvier, Oracle poursuit ses emplettes. L'éditeur vient d'annoncer avoir cette fois racheté Captovation, un spécialiste des solutions d'automatisation de capture de documents. La société est basée à Minneapolis. Avec ce rachat, Oracle compte renforcer son offre de gestion des contenus d'entreprise (ECM), Oracle Enterprise Content Management, qui fournit un ensemble d'applications pour gérer les contenus dynamiques, transactionnels et archivés. La gamme Oracle ECM fait partie de l'offre Oracle Fusion Middleware que l'éditeur de Redwood Shores vient d'enrichir de façon significative avec l'apport des technologies de BEA Systems. (...)
(17/01/2008 09:54:12)Cognos enrichit sa plateforme décisionnelle avant de rallier IBM
Cognos a présenté mardi 15 janvier la troisième mise à jour de sa plateforme décisionnelle Cognos 8 (lancée en 2005), la dernière qu'il livre en tant qu'éditeur indépendant, juste avant son acquisition définitive par IBM, approuvée par ses actionnaires il y a deux jours (12 novembre 2007 : IBM s'offre Cognos pour 5 Md$). Le lancement de cette nouvelle version, qui apporte de nouvelles fonctions de gestion de la performance dans une architecture SOA (orientée services), était bien entendu prévu bien avant la proposition de rachat faite par Big Blue. Pour Cognos, la plateforme 8 BI v3 répond autant aux attentes des grandes entreprises qu'à celles des PME, ces dernières représentant déjà, à l'instar de Business Objects, une part importante de sa base installée. Depuis un certain temps, les éditeurs d'outils décisionnels (dits aussi de Business Intelligence) cherchent à élargir la cible de leurs utilisateurs en proposant des interfaces et des fonctions plus directement accessibles. Cognos poursuit dans cette voie avec la version qu'il livre ici (le produit est disponible). Une interface simplifiée propose aux analystes métiers et financiers de faire du reporting « en libre-service » : accès aux sources de données financières et opérationnelles et génération de rapports. Pour l'analyse multidimensionnelle aussi, les équipes métiers peuvent créer elles-mêmes de nouveaux cubes Olap, plus rapidement, en utilisant des jeux de données plus ciblés. Le portail Cognos Connection permet [[page]]de rassembler des tableaux de bord pour fournir aux différents départements d'une entreprise une vue générale sur un ensemble d'indicateurs. Parallèlement, des « tables des matières » (briefing books) peuvent être constituées par les administrateurs systèmes et par les utilisateurs afin d'aider les équipes de direction à sélectionner les rapports qu'ils souhaitent consulter et imprimer de façon combinée. Enfin, les utilisateurs peuvent se programmer des alertes afin d'être avertis de la mise à disposition de rapports programmés. Déploiement et maintenance facilités Du côté de l'administration de la plateforme, des améliorations ont été apportées aux fonctions de déploiement et de maintenance des applications. Les équipes informatiques disposent d'un assistant pour constituer plus rapidement des modèles de qualité leur permettant de récupérer l'information recherchée. Elles disposent par ailleurs d'une vue consolidée de l'état du système qu'elles vont pouvoir surveiller de façon proactive. Enfin, la gestion des changements (test, comparaison...) peut se faire dans un double environnement. Autant d'apports qui, selon David O'Connell, analyste senior du cabinet Nucleus Research, faciliteront la tâche du service informatique pour maintenir la qualité de service aux utilisateurs. (...)
(15/01/2008 17:43:01)Infor réunit fonctions financières et décisionnel dans PM 10
Infor vient de faire évoluer sa solution de gestion de la performance financière, Infor PM, destinée aux groupes (gérant diverses filiales), grands ou moyens. L'offre regroupe en un seul produit l'application de gestion des processus métiers d'Extensity MPC (planification stratégique, élaboration budgétaire, consolidation et workflow) et les fonctions décisionnelles de Systems Union MIS (ETL, reporting avancé, analyse multidimensionnelle). « Ces deux grands domaines fonctionnels sont réunis au-dessus d'un seul référentiel de données », souligne Georges Vidal, consultant vente et avant-vente pour l'Europe sur la solution Infor PM. Depuis 2002, l'éditeur Infor, principalement détenu par le fonds Golden Gate Capital, a racheté une vingtaine d'éditeurs de logiciels, parmi lesquels Extensity et Systems Union, avec l'intention explicitement exposée de faire évoluer les différentes offres acquises et de les faire communiquer, à terme, sur la base d'une architecture orientée services (SOA). Cette stratégie a permis à Infor de conserver les portefeuilles de clients rachetés (le taux de rétention de sa base installée - 70 000 entreprises - atteint les 95%, selon AMR Research). Avec l'annonce d'Infor PM 10, la démarche se concrétise dans le domaine de la gestion de la performance. Sur ce terrain, Extensity bénéficiait déjà d'une certaine notoriété, ses capacités fonctionnelles ayant notamment été distinguées par le cabinet d'études américain Ventana Research. Le rapprochement avec les outils de MIS (racheté par Systems Union en 2003) permettent maintenant de disposer d'outils de Business Intelligence et d'intégration de données. « Infor PM 10 propose deux modes de stockage des données, poursuit Georges Vidal. Un mode de stockage relationnel, qui convient au traitement des processus financiers, et un mode de stockage multidimensionnel, mieux adapté pour traiter les volumes importants de données, dans le domaine commercial, notamment. » Au chapitre des nouveautés, en bref, notons l'apport d'outils pour contrôler la cohérence de la consolidation financière d'un groupe, la possibilité de tester plusieurs scénarios dans le module de planification et d'élaboration budgétaire et de réduire les cycles budgétaires à l'aide de circuits de workflow. Signalons aussi, avec Infor PM Office Plus, la capacité pour le contrôleur de gestion à intégrer lui-même, avec sécurité, des données d'un fichier Excel. Infor PM compte environ 2 000 clients dans le monde et 600 en Europe du Sud, dont environ 150 en France. (...)
(15/01/2008 13:55:02)Résultats : SAP dépasse les prévisions au 4e trimestre
SAP vient de communiquer pour son quatrième trimestre fiscal des résultats préliminaires supérieurs aux prévisions des analystes. Sur les trois derniers mois de l'année 2007, le chiffre d'affaires de l'éditeur allemand de progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP) s'est élevé à 3,25 Md€ (4,8 Md$), soit une progression de 10% par rapport au quatrième trimestre 2006. Le chiffre d'affaires issu des ventes de logiciels et de services associés a progressé de 13%, à 2,48 Md€. Sur l'ensemble de l'année 2007, le chiffre d'affaires total de SAP s'établit à 10,26 Md€ (+9%) et les ventes de logiciels et de services associés à 7,44 Md€ (+13%). A taux constant entre dollar et euro, les ventes de logiciels et de services du quatrième trimestre ont en fait progressé de 17% et le chiffre d'affaires total de 13% par rapport à 2006. La marge opérationnelle du groupe, en revanche, a reculé à 26,5% (contre 27,3% en 2006), une baisse que SAP attribue aux investissements qu'il a effectués dans sa suite de gestion intégrée en ligne, Business ByDesign, une solution destinée aux PME que l'éditeur héberge et propose d'exploiter comme un service (SaaS). Cette offre, annoncée en septembre dernier, est déjà utilisée par plusieurs entreprises pilotes et sa commercialisation doit se généraliser au cours des prochains mois. Région EMEA : +13% sur les ventes de logiciels et services Si l'ensemble des zones géographiques a contribué aux bons résultats du quatrième trimestre pour les ventes de logiciels et de services associés, l'éditeur souligne en particulier la progression de la région Asie/Pacifique/Japon où ces ventes ont augmenté de 27%, à 0,30 Md€ sur le quatrième trimestre, et devraient atteindre 0,96 Md€ sur l'année (+19%). Dans la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), ces ventes se sont établies à 1,40 Md€ (+13%) et à 3,98 Md€ (+13%) sur l'année. La croissance a été moins marquée sur le continent américain où les ventes de logiciels et de services associés ont progressé de 7%, à 0,78 Md€, au quatrième trimestre (2,5 Md€, +9% sur l'année). (...)
(15/01/2008 10:25:07)Salesforce.com vise 1 milliard de dollars sur son prochain exercice
Marc Benioff, PDG de l'éditeur Salesforce.com, se plaît à souligner l'adoption croissante du mode SaaS (software as a service) qui conduit les entreprises à consommer les logiciels comme un service. Un modèle sur lequel il a exclusivement misé, dès la création de sa société en mars 1999, en proposant un logiciel de gestion de la relation client (GRC) à utiliser en ligne sur la base d'un abonnement. Fort du million d'abonnés qu'il vient de franchir en décembre dernier, Marc Benioff prévoit de réaliser un chiffre d'affaires de 1 Md$ sur son exercice 2009 qui débute en février 2008. Ce faisant, il rejoindrait le groupe restreint des éditeurs qui dépassent le milliard de dollars de chiffre d'affaires. Parmi ceux-ci figurent notamment Business Objects (1,254 Md$ en 2006), BEA Systems (1,4 Md$), Dassault Systèmes (1,157 Md€) et SAS (1,9 Md$), Cognos n'en étant également pas très loin (979 M$) sur son exercice 2006. Devant eux, Adobe (3,15 Md$), SAP (9,4 Md$), Oracle (18 Md$), Computer Associates, IBM, HP et Microsoft (51 Md$ au 30 juin 2007). La concurrence n'inquiète pas Salesforce.com En 2008, la société de Marc Benioff a lancé Force.com qui fournit aux entreprises et aux éditeurs tiers un cadre et des outils pour effectuer des développements d'applications, ces dernières ayant vocation à s'exécuter sur la plateforme de Salesforce. L'intérêt étant d'épargner aux entreprises de redévelopper des fondements que Salesforce.com a déjà mis en place. Le PDG rappelle que la consolidation du marché du logiciel se poursuit et il affirme que lui-même ne s'inquiète pas de la présence ou de l'arrivée sur le marché de la GRC en ligne d'acteurs aussi importants qu'Oracle (avec Siebel On Demand), Microsoft, avec Dynamics CRM Live, ou encore SAP. De façon assez présomptueuse, Marc Benioff estime qu'aucun de ces fournisseurs « n'a la capacité de fournir un service multi-instance (multi-tenant) qui puisse réellement concurrencer les solutions existantes ». (...)
(10/01/2008 11:19:02)Microsoft livre Dynamics CRM 4.0, sur site et en ligne
Microsoft vient de lancer la version 4.0 de son logiciel de gestion de la relation client Dynamics CRM, sur laquelle il travaillait d'arrache-pied depuis plusieurs mois (un projet longtemps connu sous le nom de code de Titan). L'avancée la plus attendue du produit, c'est la capacité multi-instance du serveur applicatif, ce qui permet désormais à Microsoft de mutualiser son utilisation pour proposer le produit en mode SaaS (software as a service), c'est-à-dire en mode connecté, à l'instar de ce que fait un Salesforce.com, ou Oracle avec son offre CRM On Demand (ex-Siebel On Demand). Toutefois, en phase avec sa stratégie « software + services », Microsoft continue à donner aux entreprises le choix entre une installation classique du logiciel sur site et une exploitation en mode connecté. Il ne veut surtout pas opposer les deux modes de fonctionnement qu'il juge complémentaires, a rappelé Bertrand Launay, directeur de la division PME de Microsoft France, lors de la conférence de lancement à Paris. Aux Etats-Unis, l'éditeur jouera lui-même le rôle de l'hébergeur pour la version « Live » de l'offre, accessible sur le Web. En France, il s'appuie sur des partenaires comme Prodware, Infoclip et Plenium pour commercialiser le logiciel en ligne, à partir de 45 € par mois par utilisateur. Cibles : PME, grandes entreprises et centres d'appels Initialement, l'offre CRM de Microsoft a d'abord touché les PME. Cette fois, la version 4.0 vise aussi les grandes entreprises et les centres d'appels, deux cibles pouvant tirer parti des capacités de mutualisation du serveur. Aux clients choisissant l'installation sur site, l'éditeur ne propose pas moins de six types de licences : par utilisateur nommé, par poste de travail (pour les centres d'appels), par connecteur (pour les utilisateurs externes à l'entreprise), chacune de ces trois licences existant en usage plein ou en lecture seule (accès par un portail, notamment). Le logiciel s'utilise aussi depuis un terminal mobile. Depuis le début, l'intégration avec Outlook constitue l'un des points forts de Dynamics CRM. Elle facilite l'adoption du produit auprès de tous les utilisateurs qui connaissent déjà le client de messagerie et réduit les temps de formation. Il en va de même des liens avec MS Office, de nouveau renforcés. Dans la version 4.0 sur site, les fonctions de reporting sont assistées. L'utilisateur peut aussi constituer ses rapports sans assistance du service informatique. D'autres outils l'aident à personnaliser lui-même son interface. L'import/export des données dans le module de marketing se font plus facilement. La modélisation des relations entre différentes entités d'une entreprise, un assistant de workflow (dispensant du recours à Visual Studio) et des capacités supérieures de montée en charge (notamment sur la base de données) s'ajoutent à la liste des nouveautés d'un logiciel qui sera, à terme, disponible en 25 langues. La base installée de Dynamics CRM compte actuellement 300 clients en France et 11 000 dans le monde (correspondant à quelque 500 000 utilisateurs). Microsoft lui-même est en train de déployer le produit en interne. 6 000 de ses collaborateurs l'utilisent déjà, les autres devraient le faire d'ici 18 mois. (...)
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