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(09/01/2008 09:38:52)

L'offre de BAM de Systar se distingue par sa maturité, selon Yphise

La solution BusinessBridge BusinessVision, de Systar, sort une nouvelle fois en tête d'une étude d'Yphise portant sur quatre solutions de BAM (business activity monitoring). C'est sans surprise la maturité de l'offre de cet acteur spécialisé dans la supervision des activités métiers qui la distingue des autres produits analysés par Yphise, à savoir, BusinessFactor, de Tibco, webMethods Optimize, de Software AG, et Websphere Business Monitor, d'IBM. Rappelons que les produits de BAM sont utilisés par les entreprises pour superviser le déroulement de leurs activités métiers et fournir aux utilisateurs des informations en temps réel sur les dysfonctionnements et les opportunités qui auront été identifiés par les dits outils. Ces solutions ont vocation, de cette façon, à contribuer à augmenter la productivité des entreprises et à réduire les coûts des dysfonctionnements. Modélisation complexe et analyse prédictive des risques Yphise note des différences significatives entre les quatre offres qu'il a examinées sur plus de 220 critères techniques et fonctionnels. A l'issue de son analyse, c'est le produit de Systar qui, selon le cabinet, répond « le mieux aux bénéfices attendus par les grandes entreprises ». Cette solution se distingue par sa facilité de mise en oeuvre, simplifiée par l'existence de modèles prédifinis, de solutions verticales prêtes à l'emploi et d'assistants. Elle se démarque aussi par ses possibilités de modélisation complexe et de prise en compte des activités métiers non standard, ce qui lui permet de s'adapter à chaque secteur d'activité et aux besoins de chaque entreprise. Yphise souligne également sa capacité à anticiper les événements et opportunités, ce qui procure une analyse prédictive des risques efficace. Enfin, l'offre de Systar convient à la supervision d'activités reposant sur des systèmes d'information hétérogènes, le produit ayant été conçu pour rester indépendant des plateformes d'exécution et d'intégration. Le cabinet note par ailleurs la robustesse de BusinessFactor, de Tibco, la facilité d'utilisation de webMethodes Optimize, de Software AG, et l'intérêt de la solution d'IBM qui répond aux principales exigences de la supervision d'activité métiers (et dont les quelques faiblesses sont compensées par les autres produits de la gamme Websphere). (...)

(08/01/2008 15:49:47)

Microsoft veut racheter Fast Search and Transfer pour 1,2 Md$

Microsoft vient d'annoncer son intention de se payer le spécialiste de la recherche pour entreprise Fast Search and Transfer pour 1,2 Md$. Objectif : donner une impulsion supplémentaire à Sharepoint, socle premier des technologies de recherche professionnelle de l'éditeur. Et frapper fort dans un segment en constante progression. Le Norvégien Fast Search and Transfer, qui compte parmi ses concurrents Google (avec ses Search Appliance), Autonomy et le Français Exalead, dispose d'une solide notoriété chez les entreprises. Cette opération vient alors accélérer la présence de Microsoft sur le marché de la recherche professionnelle, mais également doper ses laboratoires en Europe (à Cambridge - GB - et Copenhague - Danemark) qui récupèrent les équipes de chercheurs de Fast. Pour son exercice fiscal 2006, Fast a réalisé un chiffre d'affaires de 162,2 M$, soit 7 fois moins que le montant proposé par Microsoft. La société a réalisé en revanche une progression de 62% de son CA en un an, signe d'un secteur en plein essor. Notons que l'offre de Microsoft dans le domaine repose aujourd'hui sur la plateforme Sharepoint 2007 et se compose de Search Server 2008 et de sa version gratuite Search Server Express 2008. Fast avait également développé des connecteurs qui permettaient de relier Entreprise Search Platform (ESP), le produit-phare du Norvégien, à SharePoint 2007. L'acquisition, qui reste encore sujette à l'approbation des actionnaires de Fast, devrait être finalisée au deuxième trimestre. (...)

(08/01/2008 13:13:46)

Memobox, éditeur de solutions en ligne, lève 1 million d'euros

Le Français Memobox, éditeur de services en ligne, vient de réaliser une première levée de fonds, d'un montant de 1 M€, auprès d'Alto Invest. L'éditeur, spécialisé dans les solutions de gestion financière des télécommunications (analyse de la consommation téléphonique, contrôle des factures des opérateurs, suivi des budgets...), compte sur cet apport pour accroître ses investissements en recherche et développement, renforcer ses équipes et s'étendre à l'international. Cette opération prouve encore une fois que le mode SaaS (software as a service), consistant à proposer des solutions en ligne, comme un service, est en train de se tailler une place de choix dans les entreprises. Il répond à la demande des utilisateurs et recueille l'aval des investisseurs, ce qui explique que de plus en plus d'éditeurs s'engagent dans cette voie. Fin 2007, NetSuite, un éditeur américain d'ERP en mode SaaS, a confirmé l'intérêt des investisseurs pour cette démarche en réussissant avec succès son entrée en bourse. Une étude du cabinet américain AMR Research, publiée en décembre dernier, établit que de plus en plus d'entreprises souscrivent à ce modèle. Selon ses prévisions, 39% des sociétés de 500 à 999 salariés devraient opter en 2008 pour un ERP distribué en mode SaaS. Situé à Saint-Aubin (91), Memobox compte actuellement 27 collaborateurs et table sur un chiffre d'affaires prévisionnel de 2,5 M€ en 2007. (...)

(31/12/2007 13:12:24)

En 2008, les DSI ont les moyens de briser le joug financier des éditeurs

Dans la lutte entre éditeurs de logiciels et utilisateurs, la roue pourrait tourner dans le bon sens en 2008. Tous en coeur, des analystes du Gartner Group, de Forrester Research et de PricewaterhouseCoopers s'accordent à distinguer une conjonction de facteurs favorables à une baisse des prix. On aurait pu croire que la vague de concentration et de retraits de la cote boursière allait avoir pour effet de renforcer les positions des éditeurs de logiciels dominants. Si des géants comme Oracle ou Microsoft continuent d'accroître leurs parts de marché, ce dernier est soumis à la concurrence de nouvelles façons d'utiliser les logiciels. Les logiciels en ligne (SaaS, Software as a service) arrivent en tête de cette nouvelle donne. Avec SalesForce.com en figure de proue, qui attire les regards sur la gestion de la relation client (GRC, CRM), ils vont profondément modifier le paysage. Il convient aussi de se tourner vers la bureautique en ligne. La vache à lait de Microsoft Office est trop grasse pour laisser indifférents les DSI. Sur ce créneau, c'est Google, avec Google Documents, qui occupe l'espace médiatique. Mais il ne faut pas oublier que les communautés du logiciel libre proposent une alternative aux logiciels surfacturés par Microsoft. Toutefois, la bureautique ne figure pas dans le coeur de cible des partisans du logiciel libre. Leur domaine de prédilection demeure l'infrastructure. Là, le succès de Linux estompe ceux obtenus sur les créneaux des SGBD et du middleware. A eux tous, les logiciels à code ouvert mettent sous pression les fournisseurs traditionnels. Ces derniers sont aussi mis sur la sellette avec l'émergence d'une véritable industrie de la tierce maintenance applicative. Pouvoir obtenir du support pour un logiciel auprès d'un autre que le fournisseur de ce dernier fait s'effondrer tout un pan du mur d'enceinte de la prison dans laquelle les clients s'étaient fait enfermer. Enfin, la virtualisation fait aussi souffler un vent de liberté là où l'on s'y attendait le moins : au coeur même des serveurs. Au couple processeur - application, par essence monogame et que l'on croyait indéfectible, succède un esprit libertaire qui préside à une cohabitation communautaire et hétérogène. Une douzaine de machines virtuelles qui se partagent un seul serveur est en passe de devenir monnaie courante. Même s'ils font tout pour verrouiller leurs contrats de licence, les éditeurs sont bien obligés de prendre en compte cette nouvelle souplesse. L'antithèse du carcan dans lequel ils cherchent à enfermer leurs clients. (...)

(28/12/2007 14:30:31)

Top 10 de 2007 : quand le virtuel devient réel

Tous les indices récoltés au cours de l'année 2007 concordent : après de long mois de tests, 2008 sera la première année de la conversion de l'informatique à la virtualisation. Contraints et forcés sous les effets conjugués de la mauvaise conscience écologique, de l'augmentation du coût de l'électricité et de la pression à la réduction des coûts d'achat et d'exploitation, les centres de données vont entamer en 2008 une profonde mutation pour aboutir, d'ici quelques années, à une totale transformation de l'environnement informatique professionnel. A terme, la virtualisation permettra de découpler totalement le matériel du logiciel et des données. Si elle touche en tout premier lieu les serveurs, elle va étendre ses mérites au stockage, à l'architecture réseau, aux postes de travail et même aux applications. Pour ces dernières, la notion d'appliance virtuelle qui pointe son nez tant chez Red Hat que chez Ubuntu - Canonical, peut passer pour un rêve d'administrateur : une application prête à l'emploi qui se pose au dessus d'un hyperviseur et qui se met à jour tout aussi simplement. Effacer les adhérences, les adresses physiques et tout ce qui rend difficile une reconfiguration automatisée ouvrent d'immenses perspectives, mais il y a toujours plus loin de la coupe aux lèvres. L'optimisation des ressources serveur risque ainsi de créer des goulets d'étranglement an niveau des entrées sorties ; de plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer l'opportunisme malsain des éditeurs qui revoient à leur avantages leur politique de licence dont le calcul reposait jusque-là sur des machines bien réelles. Ces deux exemples donnent un indice des difficultés qu'il va falloir surmonter. Un effort d'autant plus difficile à réaliser que ce qui manque le plus pour l'instant, ce sont les compétences. Or, elles sont cruciales pour mettre en place l'armada d'outils d'administration que requiert un centre de données qui se pilotera à partir d'une console qui ramènera le tableau de bord d'un avion de ligne au rang de jeu pour les 5-6 ans. Quoi qu'il en soit, le mouvement est lancé et il est irréversible. [[page]] Les acteurs avec une position clé pour 2008 : - VMware , bien sûr, que sa mirifique introduction en bourse a propulsé en pleine lumière . Cette société, toujours contrôlée par EMC, s'impose comme la référence de la virtualisation sur architecture x64, tant pour ses hyperviseurs que pour ses outils d'administration. Un dossier complet, publié à l'occasion du VMWorld 2007 de septembre dernier, fait le point sur ce qui est en passe de devenir un énorme écosystème. - Microsoft , dont le retard est tel que l'on finit par se demander s'il ne découle pas d'un choix délibéré, devrait livrer son hyperviseur Hyper-V six mois après la sortie de Windows Server 2008. Soit en juillet prochain. En attendant, le premier éditeur mondial pose des jalons (ou des chausse-trappes, c'est selon) un peu partout. Déjà, Microsoft a rendu quasi impossible la virtualisation au niveau des postes clients sous Windows. Au niveau des centres de données, il place Virtual Machine Manager en embuscade au niveau de l'administration et indique qu'il faut payer le prix fort pour installer Windows Server en environnement virtuel, - Citrix , spécialiste du client déporté, a pris une position clé en rachetant XenSource, l'entité commerciale du projet Xen, hyperviseur Open Source concurrent de VMware, très en vogue dans le monde Linux. Allié objectif de Microsoft, Citrix veut jouer un double jeu, un pied dans chaque camp. Plutôt que de maintenir une division Xen, Citrix a fait le choix de disperser le savoir-faire de Xen dans toute l'entreprise. Cette décision montre que cet éditeur propose une troisième voie qui va directement du serveur au poste client. - Oracle , avec son talent unique de trouble-fête, a annoncé une offre de virtualisation maison fondée sur Xen. L'éditeur de SGBD et d'applicatifs, qui avait déjà semé le trouble en pillant le Linux de Red Hat, en profite pour sous-entendre qu'il serait risqué d'utiliser VMware. Même si cela est faux, ce genre de propos laisse des traces. Il reste aussi à citer Cisco, IBM, HP et Sun. Cisco parle depuis fin 2005 de VFrame, son outil d'administration des ressources virtualisées. Cette société a fait le choix de s'allier avec VMware en entrant à son capital et en annonçant l'intégration de VFrame Datacenter à Virtual Infrastructure. Quant à IBM et HP , très en retrait au niveau des logiciels systèmes, ils disposent de deux bras de levier : à eux deux ils fournissent la majorité des serveurs x64, sur lesquels ils peuvent préinstaller en mémoire flash l'hyperviseur de leur choix, et ils disposent de la palette d'outils d'administration la plus large. Dans le trio des constructeurs historiques, c'est Sun qui a la stratégie la plus originale. Non seulement, il a annoncé son propre hyperviseur pour faire cohabiter Solaris avec les autres OS x64 (Windows, Linux), mais il se lance aussi dans l'administration avec xVM Ops Center. Etant le moins bien implanté des trois sur le marché x64, il est celui qui a plus à perdre. (...)

(28/12/2007 09:02:14)

EMC se paie Document Sciences

EMC, spécialiste du stockage, a annoncé le rachat de Document Sciences, acteur expert dans l'envoi de mailing personnalisé, pour 85 M$ en numéraire. Dans un communiqué, le groupe explique que cette opération devrait renforcer sa position sur le marché de la gestion de contenu transactionnelle, un segment très porteur selon lui. Les actifs de Document Sciences seront transférés dans la division gestion de contenu et archivage d'EMC. Document Sciences édite notamment xPression, une application d'automatisation de création et de personnalisation de documents, qui pioche ses données dans les systèmes d'entreprise, comme les PGI et les GRC. xPression est intégré à Documentum, plateforme de gestion de contenu de la marque, depuis 2004. La transaction, encore sujette à l'approbation des autorités, doit être finalisée fin mars. (...)

(27/12/2007 12:55:35)

NetSuite, éditeur en mode SaaS, réussit son entrée en bourse

L'introduction en bourse de NetSuite, éditeur californien de progiciels intégrés de gestion en ligne pour PME, a atteint 185,4 M$. Le montant récupéré, deux fois plus élevé que ce que l'éditeur pensait au départ générer par cette opération, est un signe positif pour le marché des logiciels fournis comme un service (Software as a service, SaaS). NetSuite a été créée en octobre 1998 par Evan Goldberg, un ancien d'Oracle, sur l'idée de proposer des logiciels en souscription, à exploiter à partir d'une connexion Internet. Quelques mois après, en mars 1999, Marc Benioff, un autre ex-collaborateur d'Oracle, créait Salesforce.com sur le même principe. Après avoir mis un certain temps à convaincre, ce mode d'utilisation des logiciels professionnels constitue désormais une alternative sérieuse aux applications installées dans l'entreprise. Contrairement à Salesforce, NetSuite n'est pas encore implanté en France, mais dispose d'une antenne en Grande-Bretagne. Il compte 5 400 clients actifs dans le monde selon son prospectus d'introduction en bourse. En 2006, il a réalisé un chiffre d'affaires de 67,2 M$ et une perte nette de 35,7 M$. Au cours des neuf premiers mois de cette année, son chiffre d'affaires s'est élevé à 76,8 M$ et sa perte nette de 20,6 M$. Larry Ellison, PDG d'Oracle, qui détenait 31,9 millions d'actions de NetSuite au 30 novembre, les a transférées vers une holding, NetSuite Restricted Holdings. L'objectif est d'éliminer le pouvoir de son vote afin d'éviter les potentiels conflits d'intérêts, indique encore le prospectus. (...)

(24/12/2007 10:09:20)

SAP met son offre CRM 2007 à l'heure du Web 2.0 et de la VoIP

Pour faciliter l'adoption de ses solutions, SAP s'est mis au diapason des usages popularisés sur Internet. SAP CRM 2007, la dernière version, tout juste livrée, de son application de gestion de la relation client (GRC) tire ainsi parti des technologies Web 2.0. « Les attentes des utilisateurs sont dictées par les expériences qu'ils vivent quotidiennement, admet Renaud Sibel, responsable du développement de l'offre CRM pour l'Europe. Dans un contexte professionnel, ils s'attendent donc à pouvoir personnaliser leur environnement de travail à la manière d'un Yahoo ou d'un iGoogle. » Des fonctions qui n'ont rien d'accessoires dans des projets de CRM qui requièrent une réelle adhésion des utilisateurs pour réussir. L'éditeur s'est appuyé sur Ajax pour développer l'interface de SAP CRM 2007. Il est devenu possible de réorganiser l'affichage, de déplacer ou de masquer des zones de saisie, de renommer des libellés, de recevoir des flux RSS ou d'afficher placer des widgets. Des fonctions de VoIP dans un processus complet L'autre évolution importante de cette nouvelle version réside dans l'ajout de fonctions de communication dans des processus métiers complets, avec l'arrivée de SAP Business Communications Management. Un recours à la voix sur IP qui sera notamment mis à profit dans le centre d'appels. Les agents qui traitent les appels entrants pourront, par exemple, faire intervenir directement un expert dans la conversation en lui transférant parallèlement la fiche client. Si l'expert n'est pas à son poste, il sera joint de la même façon sur son mobile et à la fin de l'appel, c'est lui qui clôturera le ticket d'incident avec un SMS. SAP CRM 2007 inclut une nouvelle application de gestion prévisions de vente qui propose de recourir à des scénarios de type « what if » (que se passera-t-il si ?) pour effectuer des mesures d'impact sur les objectifs. Dans la démarche de vente, une autre application, Real-Time Offer Management, permet de récupérer sur les clients des informations qui serviront à augmenter le volume des ventes par des recommandations ou des offres pertinentes (vente incitative, vente croisée...). La nouvelle version couvre aussi la gestion des pièces de rechange (approvisionnement, inventaire, visibilité par dépôts, réservation, retour). Des solutions verticales pour les télécoms, la high tech... SAP propose des déclinaisons verticales de SAP CRM 2007. L'une de ces solutions, adaptée aux besoins du secteur des télécommunications, servira par exemple à gérer les campagnes de marketing dans le cas d'offres packagées composées d'éléments vendus habituellement de façon séparée. Elle s'ajoute à la solution de prise de commande déjà disponible. D'autres versions verticalisées de l'offre (il en existe 19) ont été développées pour le secteur public, la finance, l'industrie de la high tech et celle des biens de consommation. Le mois dernier, Oracle, le principal concurrent de SAP sur cette offre CRM, profitait de sa conférence utilisateurs annuelle pour pré-annoncer trois solutions destinées aux équipes commerciales. Ces nouveautés, qui ne sont attendues que pour le premier semestre 2008, seront les premières pièces de Fusion Applications, la nouvelle génération d'applications d'Oracle, construite sur une architecture orientée services. (...)

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