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(20/12/2007 17:31:01)
Groupama détient 17,23% du capital de Cegid
Comme prévu, le groupe d'assurances Groupama et l'éditeur de logiciels de gestion Cegid ont signé le 19 décembre un partenariat industriel pour développer des offres destinées aux professionnels de l'expertise comptable et aux plus de 2,5 millions de TPE-PME. Cet accord s'accompagne d'une prise de participation de 17,23% de Groupama dans le capital de l'éditeur, qui correspond à 15,85% des droits de vote de Cegid Group. Le nouvel actionnaire a acquis le titre Cegid à 55 € alors que celui-ci était coté à 41 €. Christian Collin, secrétaire général de Groupama, a expliqué que « la valeur intrinsèque de l'éditeur » était « très supérieure au cours de la bourse », ce matin, lors d'une conférence de presse commune avec Jean-Michel Aulas et Patrick Bertrand, respectivement président et directeur général de Cegid. Il est précisé que le nombre de titres vendus à Groupama est susceptible de faire l'objet d'un ajustement en fonction de l'évolution des cours de bourse. Clause de non concurrence pour Jean-Michel Aulas Jean-Michel Aulas s'est engagé à rester quatre ans à la présidence du groupe qu'il a fondé. L'accord entre les sociétés prévoit aussi qu'il ne concurrence pas Cegid pendant dix ans et qu'il ne vende pas son solde d'actions à un concurrent de Groupama. Les autres actionnaires, Apax et Eurazeo, s'engagent également à ne pas céder leur solde à une banque ou une assurance. A court terme, Cegid et Groupama prévoient de proposer de nouveaux services aux dirigeants et aux experts comptables, mais aussi aux notaires, avocats, huissiers, collectivités locales, associations ou agriculteurs. Sur le terrain de la profession comptable libérale, Jean-Michel Aulas évalue à 60% la part de marché actuelle de sa société, en rappelant que ce secteur est sur le point d'évoluer de façon « extrêmement significative », notamment avec la fourniture de conseil aux entreprises. De son côté, Groupama apporte la force de son réseau (2 500 agences, 6 600 commerciaux) et sa place de troisième assureur des TPE/PME avec Gan Assurances. « Ce potentiel va nous permettre de mieux vendre nos produits de base, indique Patrick Bertrand. Chaque groupe reste sur son secteur d'expertise mais s'appuie sur l'autre pour développer son activité ». De fait, les deux acteurs escomptent ici bénéficier d'un effet de « prescription » pour démultiplier l'acquisition de nouveaux clients. Christian Collin, de Groupama, voit un potentiel de développement tout à fait considérable dans les TPE/PME, aux prises avec une réglementation qui évolue constamment. Les compétences métiers de Groupama permettront notamment à Cegid de compléter ses logiciels de finance (avec des services d'assurance multirisque industrielle, par exemple), de fiscalité (conseil sur la retraite complémentaire, bilan patrimonial...) et de gestion des ressources humaines (conseil sur la prévoyance ou l'épargne salariale...). Les deux acteurs prévoient aussi d'investir sur Comptanoo, le portail de solutions de gestion et d'outils de collaboration en ligne. (...)
(20/12/2007 12:37:44)Les applications tirent le 2e trimestre d'Oracle vers le haut
Oracle continue d'impressionner la bourse par la réussite insolente de sa massive politique de croissance externe. Tous les indicateurs sont au vert. Les bons résultats affichés traduisent le fait qu'Oracle est en passe de réussir son pari d'ajouter un gros morceau de logiciels applicatifs à l'imposant gâteau de son SGBD. C'est ainsi que le CA des nouvelles licences sur les applications a progressé de 63% contre seulement 28% pour les SGBD et le middleware. Sur le deuxième trimestre, le CA généré par les nouvelles licences SGBD a représenté 66% du CA licence, le reste revenant aux applications. Il y a un an, le rapport était de 72% pour les SGBD et de 28% pour les applications. Cerise sur le gâteau, Oracle conduit sa mutation en améliorant encore sa rentabilité. (...)
(18/12/2007 17:59:58)La dépense IT de la distribution augmentera de 6,7% en 2008
En 2007, la dépense informatique des acteurs français du commerce et de la distribution a augmenté de 5,5%, à 4,74 milliards d'euros, selon le baromètre que viennent de diffuser IDC France et Microsoft. Ce faisant, elle a cette année progressé davantage que la dépense informatique professionnelle globale (+3,55%), alors que la distribution a longtemps investi moins que les autres secteurs dans son système d'information. D'ailleurs, en dépit de son augmentation, la dépense IT ne représente que 0,4% du chiffre d'affaires de la distribution, quand le secteur du transport y consacre 0,6%, l'industrie 1,4% et le secteur des services aux personnes, 1,6%. La hausse des investissements est tirée à la fois par les contraintes réglementaires qui s'imposent au secteur et entraînent la mise en place de nouveaux outils, et par la stagnation des profits (en dépit de l'augmentation du chiffre d'affaires), ce qui pousse la grande distribution à renforcer son efficacité opérationnelle et à réduire ses coûts. En 2008, IDC prévoit une progression globale de 6,7% de cette dépense informatique, et plus encore sur trois domaines clés : d'une part, l'équipement des magasins et les outils de gestion de la relation client, d'autre part, la gestion de la chaîne logistique (afin d'optimiser les relations avec les fournisseurs et de mieux gérer les stocks) et, enfin, les applications de pilotage prévisionnel qui, rappelle Alain Pétrissans, directeur études et conseil d'IDC France, « nécessiteront un gros travail de mise en cohérence des données issues de différentes bases ». + 8,7 % en 2008 sur les outils de pilotage En 2007, ces trois domaines clés ont pesé 53,3 %, soit 2,5 Md€ des 4,74 Md€ investis par la distribution dans les solutions informatiques : 1,13 Md€ consacrés aux solutions exploitées dans les magasins (23,9% du total), 822 M€ (17,3 %) pour l'optimisation de la chaîne logistique et 570 M€ (11,8 %) pour les outils de pilotage prévisionnel. L'an prochain, IDC France prévoit, sur ces postes, des progressions respectives de +7,8%, +7,4% et jusqu'à +8,7% pour les solutions de pilotage. En 2007, les 2,2 Md€ restants (46,7% du total) ont été dépensés dans les applications et l'équipement du back-office (progiciels de comptabilité, de gestion des ressources humaines, serveurs, PC, périphériques...). Pour ce premier baromètre de la distribution, IDC France a mené une cinquantaine d'interviews auprès des directions métiers des grands groupes de distribution français. A l'échelle européenne, le cabinet d'études a également créé un centre de recherche spécifique, Global Retail Insights, pour suivre les évolutions importantes qui s'opèrent actuellement sur ce marché autour de l'outil informatique. Des mouvements qui intéressent beaucoup de fournisseurs, tant Microsoft, Oracle, SAP ou Sage, que des acteurs locaux bien implantés dans le monde de la distribution, comme Generix ou Cegid. (...)
(18/12/2007 16:07:09)Les applications Open Source à la traîne par rapport à Linux
Hormis Linux, les 2500 entreprises européennes et américaines interrogées par Forrester Research implémentent relativement peu d'applications Open Source dans leurs systèmes d'information, même si elles s'y intéressent fortement d'un point de vue tactique. Les analystes Michael Gould, John Rumer et David D'Silva notent ainsi que « l'Open Source n'a pas une grande priorité parmi les initiatives de stratégie logicielle à venir. Elle apparaît plus comme une tactique pour atteindre des objectifs prioritaires. » Comme l'implantation de stratégies collaboratives reconnue prioritaire par 49% des sondés, d'architecture orientée services (SOA) ou de technologies Web 2.0, ces deux derniers points étant une priorité pour 44% des sondés. A titre de comparaison, seules 23% des entreprises ont reconnu qu'installer plus de logiciels Open Source était critique, pour 41% d'entre elle, ce n'est même pas à leur agenda. Parmi les freins à l'adoption de produits Open Source, les sondés citent principalement la sécurité (à 88%) et le support technique (à 79%). « Si l'Open Source veut s'imposer comme un outil tactique important, son écosystème doit répondre à ces inquiétudes », concluent les analystes de Forrester Research. D'autant que la part de l'Open Source pourrait être plus importante en entreprise que ne l'estiment les utilisateurs. De nombreux éditeurs commerciaux utilisent des briques Open Source dans leur produit sans le mentionner très clairement. « Si vous utilisez Java, il y a des chances pour que quelque part dans votre plateforme il y ait de l'Open Source », rappellent-ils. (...)
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