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(14/12/2007 11:28:15)

Le Parlement néerlandais veut imposer l'Open Source dans les administrations

Les administrations des Pays-Bas devront opter systématiquement pour l'Open Source, ou bien motiver une demande de dérogation. Le Parlement néerlandais a en effet voté une loi exigeant le recours à l'Open Source et aux formats de document ouverts. L'administration centrale a jusque fin avril 2008 pour se conformer à la règle, les administrations locales jusqu'à 2009. Une « brigade » sera mise sur pied pour veiller à ce que cette règle soit bien appliquée, et une hotline mise en place. De même, un bureau permettra aux citoyens de se plaindre au sujet des formats fermés. L'usage des logiciels propriétaire sera strictement encadré : les DSI devront justifier leur utilisation par l'absence d'alternative Open Source viable, et élaborer un plan de migration vers le Libre. Et tant que Microsoft Open XML ne sera pas approuvé comme un format ouvert, il faudra privilégier le recours à ODF (Open Document Format). Quant aux programmes développés en interne, ils sont déjà censés être en Open Source. Le Parlement néerlandais dit se conformer ainsi à une tendance européenne, et espère économiser plusieurs millions d'euros. Mais le but affiché est surtout de pérenniser la conservation de l'information par l'adoption de standards ouverts. Microsoft met en avant son écosystème formé d'acteurs locaux Des élus travaillistes et socialistes se sont félicités de ce que le lobbying de Microsoft n'ait pas empêché la loi de passer. L'éditeur a en effet vivement critiqué ce projet. Un porte-parole de l'éditeur a ainsi ironisé sur le fait que les députés favorisaient expressément ODF, et non des formats ouverts en général. Que se passera-t-il si une administration veut utiliser PDF, XML ou encore MP3, a-t-il fait remarquer. Il a aussi pointé le fait que nombre d'éditeurs locaux et sociétés de service font reposer leur activité sur les technologies Microsoft : « Il y a un écosystème autour de nos produits qui emploie 170 000 personnes. » De fait, si personne n'a contré ce projet au Parlement, certains élus se sont demandés quel impact cela pourrait avoir sur les acteurs locaux. Jan Baan, qui avait fondé l'éditeur de progiciels Baan, et est aujourd'hui à la tête de Cordys, une plateforme d'intégration, s'est ainsi rangé aux côtés de Microsoft. Pour un porte-parole de Cordys, « il est étrange que le gouvernement limite le choix en formulant des règles, l'Open Source est une alternative viable, mais souvent combiner des modèles de licence est préférable ». (...)

(13/12/2007 16:18:52)

SAP va supporter ses applications sous VMware ESX

Dans le cadre d'un partenariat technologique avec VMware, SAP va commencer à supporter ses progiciels de gestion sur la plateforme de virtualisation de serveurs VMware ESX. Parag Patel, vice-président des alliances chez VMware, précise que l'éditeur allemand est en train de certifier les versions 64 bit de ses solutions d'intégration Netweaver, de même que son application de gestion de la relation client, afin qu'elles puissent être utilisées au sein d'environnements virtuels sous Linux ou Windows, sur plateformes Dell, Fujitsu-Siemens, HP et IBM. Parag Patel ne connaît pas exactement le nombre de clients de SAP exploitant leurs applications sous VMware, mais il ne serait pas surpris qu'il y en ait déjà quelques centaines ou quelques milliers (SAP a 40 000 clients et VMware 25 000). Désormais, ceux-ci pourront directement contacter SAP pour leurs problèmes techniques, tout en continuant à s'adresser à VMware pour des questions portant plus spécialement sur la virtualisation. Pour Parag Patel, l'engagement de SAP autour des technologies de VMware est significatif, en raison du caractère sensible des applications exploitées par les clients de l'éditeur allemand et, donc, de la prudence dont ils font généralement preuve dans la mise en oeuvre de nouveaux environnements. Mais il est vrai, par ailleurs, que SAP a déjà recours aux technologies de VMware dans l'infrastructure d'hébergement qu'il a mise en place pour sa nouvelle offre de gestion en ligne pour PME, SAP Business ByDesign (une offre proposée en mode SaaS, software as a service). Vive concurrence pour VMware A ce jour, plus d'une centaine d'éditeurs (parmi lesquels IBM, CA et BEA) ont porté leurs applications dans l'environnement de VMware, indique Parag Patel. Rappelons néanmoins que VMware doit désormais faire face à une très vive concurrence sur le marché de la virtualisation de serveurs avec le rachat cet été de Xen par Citrix et l'arrivée récente des offres de virtualisation gratuites d'Oracle et de Sun, toutes deux s'appuyant justement sur la technologie de Xen. (...)

(06/12/2007 09:14:45)

Les clients anglais d'Oracle satisfaits des produits mais pas du support

Satisfaits de la technologie et des logiciels d'Oracle, les utilisateurs britanniques le sont moins quand il s'agit du support fourni par l'éditeur sur ses produits. C'est ce qu'indique l'enquête menée cette année, auprès de 600 personnes, par le club des utilisateurs Oracle du Royaume-Uni (UK Oracle User Group). Ce sondage révèle qu'un utilisateur sur cinq se plaint de la qualité du service fourni par le centre de support globalisé d'Oracle. La proportion de ces insatisfaits a plus que doublé par rapport à l'an dernier, passant de 7 à 17% des répondants. Ce qui semble poser un problème, c'est le faible niveau d'expression en anglais des équipes de support qui travaillent dans ces centres externalisés, souligne Ronan Miles, président du club des utilisateurs britanniques. Pour contrebalancer ce point négatif, il signale que les outils de support fournis en ligne par Oracle sont unanimement appréciés par ceux qui y ont recours. « Toutefois, seule la moitié des utilisateurs s'en sert et on peut se demander pourquoi l'autre moitié ne le fait pas ». Insatisfaction sur le mode de vente de licences Le président du club britannique a rappelé qu'en revanche le niveau de satisfaction sur les produits Oracle a augmenté, ajoutant que l'éditeur devrait être content de voir que ses efforts sur la qualité de ses logiciels semblaient payer. Mais il a enchaîné sur le deuxième grief important constaté cette année chez les utilisateurs : 32 % d'entre eux se plaignent du mode de vente des licences, contre seulement 15 % s'en déclarant satisfaits (un taux en baisse de 5% par rapport à 2006). Plus que sur le tarif, le motif d'insatisfaction semble surtout porter sur la façon dont Oracle vend ses différentes gammes de produits, séparant les applications des solutions technologiques (base de données, serveur d'application, outils de développement...). Au début de l'année, l'éditeur a scindé en deux ses structures commerciales. Chaque client est donc en contact avec deux forces de vente distinctes, l'une chargée des progiciels, l'autre de la technologie, ce qui ne semble pas convenir à tout le monde. « Je ne comprends pas pourquoi Oracle a pensé que cela pourrait aider ses clients, avance Ronan Miles. Je n'aurais pas procédé ainsi. » L'enquête du club utilisateurs indique par ailleurs un fort taux de satisfaction sur les offres de formation, Oracle University (44% de sondés satisfaits, +16% par rapport à l'an dernier) et de conseil, Oracle Consulting (54% sont contents de ces prestations et 76% les recommanderaient à d'autres entreprises). (...)

(30/11/2007 18:11:37)

Sage France réalise 50% de son CA dans les PME de + de 100 personnes

« Le mid market et les solutions verticales - qui concernent directement les entreprises de taille moyenne - représentent une part importante de notre chiffre d'affaires », a souligné hier Pascal Houillon, PDG de Sage France, à l'occasion de l'annonce des résultats annuels de l'éditeur britannique (1,713 Md€ de chiffre d'affaires pour Sage Group plc). Sur son année fiscale 2007, échue le 30 septembre dernier, la filiale française aura réalisé plus de 50% de ses 280 M€ de chiffre d'affaires dans les entreprises de plus de cent salariés. Ainsi, Sage France, dont l'image était jusque-là solidement rattachée au marché des petites PME, est enfin parvenue à orienter son activité de façon significative vers des entreprises plus importantes, une ambition poursuivie depuis le début des années 2000 (*). Sur l'exercice, la filiale française affiche une croissance organique légèrement inférieure à celle de sa maison mère (6% contre 7% pour Sage Group). Pascal Houillon l'impute à trois acquisitions importantes réalisées en 2005, en soulignant que cette croissance organique s'établit en fait à +4% pour le premier semestre fiscal et à +9% sur le second semestre. Sur les perspectives de l'exercice qui s'ouvre, le dirigeant est plutôt confiant : « Les changements réglementaires et les réformes dans le domaine social, par exemple sur le suivi des heures supplémentaires ou la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, vont nécessiter la mise en place d'outils plus performants, incluant notamment des fonctions de pilotage avancées. » Le développement des activités d'exportation des entreprises françaises devrait par ailleurs favoriser la vente de solutions de GRC (gestion de la relation client), activité pour laquelle Sage a créé une division spécifique. Toucher 90% d'utilisateurs contre 10 à 15% actuellement Pascal Houillon mise beaucoup sur l'adoption des solutions décisionnelles. Il note que plus de 60% des ventes réalisées sur la gamme Sage 100 se font sur l'édition dite « pilotée », complétée de fonctions exploitant la technologie de Business Objects. « L'utilisation de ces outils se 'démocratise', note le dirigeant. C'est une tendance de fond. Les utilisateurs voudront accéder à des informations gérées dans les logiciels de gestion sans pour autant utiliser ceux-ci. Nous allons nous adresser à 90% des utilisateurs d'une entreprise au lieu des seuls 10 à 15% aujourd'hui concernés par les outils de gestion. » Sur ce terrain, Pascal Houillon table aussi sur l'engouement pour les outils du Web 2.0 qui permettent de personnaliser le poste client et de fournir certaines informations de gestion par l'intermédiaire de « widgets », applications gadgets accessibles sur le bureau du PC. Des « objets évolués » qui peuvent, en outre, être réutilisés par les équipes de développement d'une ligne de produit à l'autre. Rappelons que toutes les applications du catalogue de Sage France sont développées dans l'Hexagone et que la filiale française consacre 20% de ses effectifs (2 500 personnes) aux activités de R&D. Un soutien au recrutement pour ses partenaires[[page]] Sage France, dont le modèle commercial repose sur une distribution indirecte, renforce par ailleurs l'accompagnement de ses partenaires. Au cours des six derniers mois, il a formé et placé 80 personnes dans son réseau de distribution. Entre ses besoins propres et ceux de ses partenaires, la filiale aura besoin d'un millier de personnes dans les mois à venir, dont les deux tiers pour son réseau. « Nous avons lancé un programme d'accompagnement sur le recrutement », explique Pascal Houillon, en précisant que deux tiers des personnes sont recherchées pour des postes de consultants, les autres postes concernant plutôt des profils commerciaux. Sage France a par ailleurs signé deux partenariats, l'un avec le courtier d'assurance AON, pour permettre à son réseau de bénéficier d'une couverture de responsabilité civile, l'autre avec SVP pour fournir à ses partenaires (souvent des PME) des réponses sur les questions fiscales et légales. (*) Pour tirer son activité vers le mid-market, Sage France a successivement lancé le développement de la Ligne 1000, aujourd'hui Sage 1000, racheté Concept, acquis Adonix (fin 2005) et son PGI X3 pour entreprises de taille moyenne, puis recruté Christophe Letellier, ancien directeur général de PeopleSoft France, à la tête de sa division Moyennes et Grandes Entreprises. En septembre dernier, Sage a également pris 70% de l'éditeur de logiciels financiers XRT. (...)

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