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ERP
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(30/11/2007 12:47:21)
SAP autorisé à lancer son offre d'achat sur BO
SAP a annoncé qu'il avait obtenu l'ensemble des approbations réglementaires pour lancer son offre de rachat sur Business Objects. Rappelons que l'éditeur allemand de progiciels de gestion intégrés a annoncé le 07 octobre dernier son intention d'acquérir, pour 4,8 Md€, l'éditeur français de solutions décisionnelles. Le 06 novembre dernier, les autorités antitrust américaines ont donné leur accord pour cette opération suivies, le 27 novembre, par les autorités antitrust européennes. L'éditeur a également reçu, le 22 novembre, l'approbation du ministère français des Finances, ainsi que celle de l'Autorité des marchés financiers (AMF), le 27 novembre. SAP s'apprête donc à lancer son offre de rachat de Business Objects le 04 décembre prochain, en France et aux Etats-Unis. Celle-ci doit se clore le 10 janvier 2008 en France et cinq jours plus tard aux Etats-Unis. L'Autorité des marchés financiers (AMF) et Euronext Paris doivent publier le calendrier des opérations. Dans son projet d'offre publique d'achat, l'éditeur allemand rappelle que Business Objects opérera en tant qu'entité distincte au sein du groupe SAP. Il est également précisé que ni SAP ni BO n'envisagent de restructuration significative à l'issue de cette offre. Sous réserve de sa réussite, John Schwarz, actuel dirigeant de BO, continuera d'exercer la fonction de directeur général de la société et devrait être nommé membre du directoire de SAP. L'éditeur allemand indique également que Doug Merritt, responsable des utilisateurs professionnels chez SAP, rejoindra la société, sous la responsabilité de John Schwarz. Comme SAP l'avait également annoncé en octobre dernier, son conseil de surveillance a l'intention de proposer la nomination de Bernard Liautaud, fondateur et président du conseil d'administration de BO, « en qualité de membre du conseil de surveillance de SAP AG lors de la prochaine assemblée générale des actionnaires de SAP AG ». D'ici là, Bernard Liautaud occupe une fonction de conseiller, sur les aspects de stratégie et d'intégration, auprès d'Henning Kagermann, président du directoire de SAP AG. (...)
(28/11/2007 17:17:07)SAP met en place une politique d'évolution progressive
Très dynamique et clamant haut et fort son indépendance, le groupe des utilisateurs britanniques de SAP a organisé les 26 et 27 novembre derniers à Birmingham sa conférence annuelle à laquelle 600 personnes ont assisté (*). Alors que les utilisateurs britanniques de SAP seraient parmi les plus lents à mettre à jour leur progiciel de gestion, ils réclament une simplification des politiques de licence de SAP. Les dirigeants de la filiale britannique de SAP n'ont pas annoncé de révision de cette politique, mais ils ont déclaré avoir reçu le message.
"Enhancement packages"
Au cours d'une émouvante cession d'auto-critique, SAP UK a aussi reconnu avoir eu une attitude "un peu condescendante" envers ses clients. Travers que la filiale affirme s'employer à rectifier depuis un an déjà. Quant à la réticence à mettre à niveau sa version du PGI, SAP souligne qu'elle est un handicap d'autant plus important que ERP ne devrait plus être revu de fond en comble. "Il n'y aura pas d'ERP 7", a affirmé Martin Riedel, en charge des mises à jour chez SAP UK.
L'ère des grandes refontes tous les 18 mois serait donc achevée. A la place, SAP met en place une politique de "package" (les "Enhancement packages") qui porteront sur l'ajout de nouvelles fonctionnalités. Les corrections de bogues et les mises à jour réglementaires se trouveront dans des « Support packages ».
(*) Fondé en 1988 et fort de 400 entreprises adhérentes, le groupe britannique d'utilisateurs SAP revendique une totale indépendance vis-à-vis de cet éditeur depuis deux ans. (...)
Generix va racheter Infolog et ses solutions de logistique
Generix, éditeur d'un progiciel de gestion intégrée adapté aux métiers de la distribution, s'apprête à racheter Infolog Solutions, spécialiste des solutions d'exécution logistique (gestion d'entrepôts et du transport, de la traçabilité). Ce dernier compte 160 clients sur 750 sites (dont 110 à l'international). Il a réalisé un chiffre d'affaires de 17,3 M€ en 2006. Selon les informations communiquées, le rachat devrait s'effectuer par un paiement en numéraire de 10,4 M€ et par l'émission d'un million d'actions Generix correspondant à 7% du capital après opération. Rappelons que fin 2006, Generix s'était déjà rapproché d'un autre éditeur français, Influe, qui lui a apporté ses solutions d'optimisation des flux interenterprises. Generix va annoncer demain ses résultats semestriels. En 2006, l'éditeur a réalisé un chiffre d'affaires de 46 M€ avec 410 collaborateurs. Sa base installée rassemble quelque 6 000 clients (parmi lesquels Nestlé, Unilever, Carrefour, Metro, Leroy Merlin...) dans une trentaine de pays. (...)
(22/11/2007 18:23:37)Gestion des documents d'entreprise : Open Text premier éditeur indépendant, selon Forrester
Une étude de Forrester, datée de novembre 2007 et portant sur onze suites de gestion des contenus d'entreprise (ECM), place les offres d'IBM/Filenet, ECM/Documentum et Oracle/Stellent en tête du classement en raison de leur couverture fonctionnelle. Le cabinet d'analyse distingue juste après la suite d'Open Text, un spécialiste de l'ECM (acquéreur de Hummingbird), dont le noyau fonctionnel est également très étendu. Néanmoins, Kyle McNabb, auteur de l'étude, estime que le statut d'éditeur indépendant d'Open Text peut rendre son offre moins attrayante pour des entreprises qui voient l'ECM comme l'une des pièces d'une plateforme globale de gestion de l'information. L'analyste signale toutefois qu'Open Text compense résolument ce défaut en nouant des partenariats avec Microsoft et Oracle pour s'intégrer, d'une part avec la bureautique Office et le portail Sharepoint du premier, et d'autre part avec l'offre Fusion middleware du second. Kyle McNabb cite ensuite Interwoven, Hyland et Vignette, dont les offres sont solides mais, là encore, plus axées sur la gestion de contenus que sur la fourniture d'une plateforme d'ECM. A Microsoft, autre acteur de poids sur ce marché, il manque encore d'importantes fonctions (dans la gestion des images et de la conservation légale, notamment), mais son avenir est prometteur, juge l'analyste. Enfin, Forrester estime que les offres des trois derniers éditeurs retenus pour l'étude, SAP, Xerox et Alfresco Software (fournisseur d'une offre en Open Source), manquent encore d'étendue et de profondeur fonctionnelle, mais le cabinet pense qu'elles vont évoluer pour constituer des alternatives à EMC, IBM, Microsoft et Oracle. Rappelons par ailleurs qu'Open Text a racheté il y a quelques années Ixos, dont l'offre a été développée pour l'univers de SAP. Soixante critères en trois catégories Pour analyser les onze offres, Kyle McNabb s'est appuyé sur soixante critères répartis en trois catégories : la suite logicielle proprement dite, la stratégie mise en place par son éditeur (examen des sorties de produits prévues) et la présence du fournisseur sur son marché (taille de la base installée, chiffre d'affaires réalisé, répartition géographique). L'analyste de Forrester note que les entreprises veulent pouvoir gérer tout à la fois les documents, les images, la conservation légale des pièces et fichiers et l'archivage, ainsi que les contenus Web et les actifs numériques. Mais elles entendent aussi disposer d'une plateforme qui puisse s'intégrer dans le système d'information de l'entreprise et exploiter les outils de développement courants (support d'Eclipse et de Visual Studio .Net, notamment). L'analyste retient trois autres pré-requis : pouvoir déployer largement dans l'entreprise les outils de gestion de contenus, pouvoir appliquer les mêmes politiques à l'ensemble des contenus et être capable d'afficher les informations dans leur contexte. (...)
(22/11/2007 15:25:25)Une étude confirme l'ampleur croissante d'Oracle
Pas de doute, Oracle prend chaque jour une place plus importante dans les entreprises. Au-delà de ses résultats en forte croissance qui attestent visiblement sa progression, sur le terrain, les analystes prennent concrètement la mesure de l'adhésion des décideurs à son offre, qu'il s'agisse de sa base de données, de ses outils de middleware ou de ses applications. En octobre, l'enquête menée par le cabinet américain ChangeWave Investing sur les prévisions d'investissement en logiciel et sur les solutions installées, auprès de 1 780 membres de son réseau (constitué de 13 000 professionnels et experts issus de différents secteurs industriels), fait apparaître qu'Oracle est le seul fournisseur à gagner des parts dans plusieurs domaines. Principalement sur les applications décisionnelles (ou Business Intelligence, BI), la gestion de la relation client (GRC, en anglais CRM) et les progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Par rapport à sa précédente enquête, conduite en juillet 2007, ChangeWave Investing ne note pas de changement dans les prévisions globales d'investissement pour les trois mois à venir : 18% des responsables interrogés prévoient de dépenser davantage sur leur poste « logiciel » et 14 % pensent plutôt débourser moins. En revanche, ce qui frappe le cabinet d'analyse, c'est la proportion croissante d'entreprises prévoyant d'investir dans des solutions éditées par Oracle. Actuellement, dans le domaine du décisionnel, Oracle arrive en tête des logiciels utilisés avec 36% de parts de marché, progressant ainsi de 8 points par rapport à l'enquête de juillet dernier. Microsoft le suit de près avec 35%. Un zoom sur les solutions Hyperion permet de constater une augmentation de cinq points, à 19 %. Le rapprochement opéré entre les sociétés semble donc leur profiter à toutes les deux, rassurant sans doute sur la pérennité des offres. Sur le marché de la GRC, Oracle conserve son leadership (gagné avec le rachat de Siebel). Comme en juillet, 36% des professionnels sondés ont déclaré utiliser une solution vendue par Oracle. SAP, en revanche, perd deux points, à 17%, et Salesforce en perd 4, à 15%. Microsoft, lui, ne bouge pas, à 16 %. Le plus fort potentiel Sur le marché des PGI, ChangeWave Investing note une progression d'Oracle et de Microsoft sur les autres fournisseurs. Evidemment, SAP tient toujours la corde, mais il a perdu huit points depuis l'enquête de juillet, à 38%. Derrière, Oracle gagne deux points, à 32%. Toutefois, sur ce terrain, c'est Microsoft qui réalise la meilleure performance, prenant jusqu'à quinze points de plus, à 29%. Le cabinet d'analyse a également mesuré les tendances dans les domaines du stockage de données et des logiciels d'administration. Là, Microsoft est clairement en tête avec 30%, suivi de Symantec, avec 20%, et d'Oracle et EMC, avec 17% chacun. Mais ce qui surprend le plus ChangeWave Investing, [[page]]ce sont les intentions d'achats à 90 jours des entreprises interrogées. Alors que l'échantillon proposé n'était pas assez large pour englober tous les fournisseurs de solutions verticales pressentis, le cumul des choix désignait clairement Oracle comme l'éditeur ayant le plus fort potentiel, au détriment de Microsoft. Les positions de SAP, elles, ne bougeaient pas par rapport à l'enquête de juillet 2007. La technologie tire les applications et vice-versa Il apparaît nettement que la société de Larry Ellison reprend de la vitesse sur tous les terrains, alors qu'elle avait pu un temps se laisser distancer. Et son fondateur n'entend certes pas en rester là. Ses récentes annonces, à l'occasion de sa conférence OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre) l'ont confirmé : livraison d'une solution de virtualisation de serveurs, Oracle VM, renforcement des solutions middleware, présentation de la nouvelle génération d'applications (Fusion). Parallèlement, Oracle a également indiqué avoir gagné 1 500 clients en un an sur son offre de support autour des systèmes d'exploitation en Open Source Red Hat Enterprise Linux et Oracle Enterprise Linux. « Nous avons dépassé nos prévisions dans toutes les catégories de produits et nous n'avons pas l'intention de nous arrêter là », déclarait Safra Catz, vice-présidente et directrice financière d'Oracle, devant un parterre d'analystes financiers, à l'issue d'OpenWorld. « La technologie tire les applications et les applications tirent la technologie », a-t-elle rappelé pour expliquer comment les différentes gammes d'Oracle autogénéraient des ventes. Et pour justifier la succession des rachats opérés par l'éditeur et qui n'est sans doute pas près de s'arrêter, notamment sur les applications métiers : « Ce que nous faisons est très évident. Nous recherchons ce que nos clients souhaitent que nous prenions en charge pour eux. Et ce qui nous paraît financièrement possible et utile pour eux, nous le faisons. » Ce qui a conduit, notamment, au récent rachat d'Agile, acteur du PLM (gestion du cycle de vie des produits). Ce qui dirige, aussi, les prises de position sur les marchés verticaux avec les rachats de Portal Software, pour les opérateurs de télécommunications, ou d'i-flex, pour les banques. Des produits qui, estampillés Oracle, acquièrent une nouvelle visibilité. En retour, les acheteurs de produits métiers Oracle seront plus enclins à s'intéresser à sa base de données, à ses offres middleware, à sa déclinaison de Linux ou à sa solution de virtualisation. Le 'sondage flash' en cours sur notre site montre toutefois que les entreprises clientes ne sont pas forcément enclines à tout acheter chez le même acteur. Alors s'agit-il vraiment d'un cercle vertueux ? Larry Ellison en est persuadé. Devant le même parterre d'analystes la semaine dernière, il a déclaré ne craindre ni une récession, ni une baisse des prix. « Si les prix baissent, nous nous en sortirons très bien et si l'économie se porte mal, je pense, qu'au pire, nos performances seront étales. » (...)
(20/11/2007 11:17:47)Infor prépare ses composants applicatifs SOA pour 2008
Infor vient de clore à Franckfort, le 14 et 15 novembre, son cycle européen de conférences utilisateurs dont l'édition française s'est tenue en octobre à Paris. Cet éditeur américain, dont le nom est encore mal connu hors de sa conséquente base installée mondiale de 70 000 clients, y a présenté le calendrier 2008 de ses produits conçus pour une architecture orientée services (SOA). Dans le courant de l'année prochaine, l'éditeur livrera pour ses progiciels de gestion intégrés (PGI) des pages d'accueil Web s'appuyant sur Ajax, conçues pour offrir une interface personnalisée selon le rôle de l'utilisateur dans l'entreprise (direction, responsable commercial, administration des ventes...). Des pages d'accueil qui permettront d'afficher des données agrégées provenant de différents modules applicatifs. Pour fin 2008, Infor prépare une comptabilité multi-livres destinée aux entreprises évoluant à l'international et devant respecter différentes normes et plans comptables. L'éditeur a par ailleurs livré à ses clients sous maintenance de nouvelles versions de produits incluant des fonctions de pilotage sur événements. Maintien des solutions de SSA Global, Baan, Mapics, Extencity... Rappelons qu'Infor, dont le principal investisseur n'est autre que le fonds Golden Gate Capital, a racheté depuis mai 2002 une vingtaine d'éditeurs de logiciels de gestion (principalement pour grosses PME), et non des moindres. Parmi ceux-ci figurent des fournisseurs de PGI comme SSA Global (éditeur de BPCS et lui-même acquéreur de Baan) ou Mapics. C'est Infor, aussi, qui a racheté l'éditeur de logiciels de gestion britannique Systems Union, ainsi qu'Extensity (anciennement Geac), son offre de gestion de la performance et les logiciels de gestion des ressources humaines Anaël, ou encore Datastream et ses outils de gestion de parc. Loin d'obliger les clients à abandonner la solution qu'ils utilisent pour migrer vers une nouvelle offre, Infor maintient toutes les applications qu'il a acquises et continue de surcroît à les faire évoluer. Il y a tout intérêt. Les revenus qu'il tire des contrats de maintenance représentent près de la moitié de son chiffre d'affaires (2,3 Md$ sur l'exercice 2007), les licences comptant pour 24% et les services pour 27 %. Le taux de rétention de sa base installée atteint les 95%, une performance sensiblement supérieure à celle du marché des applications dans son ensemble, rappelle Jim Sheperd, analyste pour AMR Research. 1 700 nouveaux clients en un an L'éditeur entend rester sur le créneau qui lui réussit : les entreprises de taille moyenne et les secteurs verticaux (industrie, distribution, services). L'an dernier, la société dirigée par Jim Schaper y a gagné 1 700 clients entièrement nouveaux (ne possédant aucun autre produit Infor) tout en continuant à vendre des applicatifs supplémentaires à sa base installée. Sur son terrain, il considère que ses principaux concurrents, à l'échelle mondiale, sont SAP et Oracle, alors qu'il ne rencontre Microsoft ou Lawson que sur certains marchés. A l'instar des autres grands éditeurs de PGI, Infor prépare activement sa prochaine génération de logiciels, constituée de composants applicatifs à la mode SOA. Près d'un quart de son effectif mondial (2 400 personnes sur 9 200 employés) se consacre à la R&D. La filiale française d'Infor, qui a démarré avec sept personnes il y a vingt-deux mois, compte aujourd'hui 430 personnes. Elle est dirigée par Benoît de la Tour. (...)
(16/11/2007 17:55:18)OpenWorld : les premières pièces de Fusion Applications
C'est sur la présentation des trois premiers produits de sa nouvelle génération d'applications, Fusion Applications, que Larry Ellison, PDG d'Oracle, a clos l'édition 2007 de sa conférence utilisateurs OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre). Il s'agit de trois offres destinées aux équipes commerciales : Oracle Sales Prospector, Oracle Sales References et Oracle Sales Tools. Les fonctions qu'elles apportent sont complémentaires aux outils de gestion de la relation client (GRC) qui existent déjà, Siebel CRM notamment. Larry Ellison les qualifie d'outils de GRC de 2ème génération, Salesforce et Siebel constituant la 1ère génération. Oracle Sales Prospector s'appuie sur du datamining pour déterminer quels sont les produits achetés par les clients afin de leur suggérer d'autres achats, en lien avec ceux qu'ils ont déjà faits. Oracle Sales References va servir à déterminer quels clients satisfaits peuvent servir de références à présenter à de nouveaux prospects. Oracle Sales Tools, enfin, s'appuie sur un concept de réseau social pour permettre le partage de présentations commerciales. Ces produits sont attendus pour le premier semestre 2008. Ces trois nouvelles solutions ont vocation à cohabiter avec l'existant, à l'instar de tous les produits à venir dans la gamme Fusion Applications. « Il y aura une longue période de cohabition (entre les anciennes applications et les nouvelles), a rappelé Larry Ellison. On ne peut pas tout changer d'un seul coup en appuyant sur un bouton. Notre priorité n°1 est d'assurer une coexistence harmonieuse et c'est ce que permet l'architecture orientée services adoptée pour Fusion Applications. » La deuxième priorité d'Oracle, d'après Larry Ellison, c'est de livrer des outils procurant aux clients un gain véritablement mesurable (selon leur demande expresse), et la troisième, d'offrir pour chaque nouvelle application le choix entre une installation interne ou un mode « on demand », c'est-à-dire en ligne et immédiatement accessible. On le voit, les toutes premières offres de Fusion Applications apportent des outils supplémentaires. Il ne s'agit pas encore des offres existantes (e-Business Suite, PeopleSoft Enterprise, JD Edwards EnterpriseOne et World) redéveloppées pour l'architecture SOA. Celles-ci arriveront petit à petit, module par module, assure Larry Ellison. Le PDG maintient la date de 2008 pour l'arrivée des premiers éléments revisités à la sauce SOA. (...)
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