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(16/11/2007 10:57:46)

Alfresco propose une utilisation professionnelle de Facebook

Alfresco propose ce qu'il nomme « la première application Facebook pour les entreprises ». L'éditeur de logiciel de gestion de contenu Open Source s'appuie sur FBML (Facebook Markup Language), le langage mis à disposition par le réseau social, et sur les API (interfaces de programmation) publiées par Facebook. Les développeurs peuvent en tirer parti, explique Alfresco, pour « partager du contenu sur Facebook, entre clients, partenaires et salariés ». La sécurité est assurée au travers d'une authentification unique. Pour Alfresco, cette intégration avec Facebook est aussi un moyen économique, et dans l'air du temps, de se bâtir une plateforme collaborative reliée à la plateforme de gestion de contenu. L'éditeur cite une étude de McKinsey disant que « 37% des grandes entreprises du secteur informatique interrogées [à l'occasion de cette étude, ndlr] se penchent actuellement sur un projet de ce type ». A l'origine, raconte John Newton, directeur technique d'Alfresco, l'application aurait dû être développée pour MySpace. Puis l'éditeur a pensé que Facebook serait plus attractif pour des utilisateurs professionnels. Certains auraient déjà exprimé leur intérêt. « Pour l'essentiel des organisations qui cherchent à être aussi ouvertes que possible, notamment des communautés religieuses et des administrations. » (...)

(13/11/2007 11:39:29)

OpenWorld : applications composites et virtualisation de serveurs

Pas moins de 42 000 personnes se sont enregistrées cette année pour participer à OpenWorld, la conférence utilisateurs qu'Oracle tient à San Francisco, du 11 au 15 novembre. Pour l'occasion, l'éditeur n'a pas hésité à couper à la circulation automobile une portion de la très passante rue Howard, qui jouxte le Moscone Center, afin d'y planter d'immenses tentes. Lundi matin, devant un auditoire de quelque 8 000 participants, le président Charles Phillips a dévoilé les premières annonces, principalement concentrées sur l'intégration entre applications et sur la toute prochaine disponibilité d'une offre de virtualisation de serveurs. Baptisée Oracle VM, celle-ci exploite une partie de la technologie Open Source de Xen. Téléchargeable gratuitement à partir du 14 novembre, Oracle VM est destinée à agréger les différentes ressources informatiques disponibles. Le produit fonctionne avec une grande partie de l'offre applicative d'Oracle : les progiciels de gestion intégrés E-Business Suite versions 11.5.10 et 12, PeopleSoft Enterprise 9 .0, Oracle Siebel CRM 8, ainsi que l'offre décisionnelle Hyperion 9.3.1. Cette solution de virtualisation s'utilisera avec les bases de données version 10.2.0.3 et 11.1, le serveur d'application maison (v.10gR2 et R3), ainsi qu'avec la console d'administration Oracle Enterprise Manager. Elle s'accompagne d'une offre de support annuelle 24x7 tarifée à 499 $ jusqu'à deux processeurs et à 999 $ pour un nombre illimité de processeurs. Quant aux annonces portant sur l'intégration, elles étendent aux partenaires la portée de AIA (Application Integration Architecture), ensemble d'outils pour constituer des applications composites qu'Oracle a annoncé en avril dernier. Rappelons qu'AIA fournit des packs de processus prêts à l'emploi conçus pour relier entre eux des modules fonctionnels du catalogue d'Oracle et, même, d'offres tiers. L'éditeur a également présenté des packs de processus pré-établis destinés à faciliter l'intégration entre des applicatifs Oracle et SAP pour les entreprises exploitant les deux offres. Parmi les packs déjà disponibles figurent « Siebel CRM to SAP », « Agile PLM to SAP », « Hyperion to SAP », « Oracle Utilities to SAP » (pour les fournisseurs d'énergie) et, enfin, « Oracle communications Billing and Revenus Management to SAP », destiné aux opérateurs de télécommunications utilisant l'offre de facturation d'Oracle. Larry Ellison célèbre les trente ans d'Oracle La veille, c'est Larry Ellison lui-même, co-fondateur d'Oracle en 1977, qui a ouvert l'édition 2007 d'OpenWorld. Pour les trente ans de sa société, il a relaté par le menu, facétieusement, les multiples péripéties qui ont émaillé sa création. La soirée était dédiée à Bob Miner, autre co-fondateur (avec Ed Oates et Bruce Scott), mort en 1994. Larry Ellison a expliqué comment il avait fait le siège du domicile de Bob Miner, pendant des jours, afin de le convaincre de fonder une structure pour développer un logiciel commandé par Precision Instruments. Un premier contrat, signé à un tarif trop bas par les novices qu'ils étaient alors. La base de données fut ensuite conçue à l'occasion d'un contrat avec la CIA, première occasion de mettre un costume pour les nouveaux entrepreneurs ou « au moins, des pantalons », a plaisanté Larry Ellison. Le fondateur a aussi narré les doutes de Bob Miner sur la nécessité d'embaucher un commercial ou encore le recrutement, au poste de directeur financier, du livreur de pizzas qui les sustentaient lors des longues soirées de travail. (...)

(09/11/2007 17:43:25)

L'adoption du SaaS court-circuite les DSI, selon Gartner

Les trois quarts des applications dites « SaaS », c'est-à-dire fournies comme un service sur Internet, ont été achetées par les directions opérationnelles plutôt que par les directions informatiques, a alerté Ben Pring, vice-président recherche de Gartner, à l'occasion du Symposium ITxpo 2007, organisé par le cabinet d'analyse à Cannes (4-8 novembre). Ben Pring y a exhorté les directeurs informatiques à s'impliquer dans la décision d'achat des solutions SaaS. « De toutes façons, le SaaS entre dans vos entreprises que cela vous plaise ou non », a-t-il mis en garde. Si le modèle SaaS a gagné du crédit, c'est notamment parce qu'il attaquait le traditionnel modèle client/serveur. « Il y a quelques vérités gênantes dans notre industrie », a asséné Ben Pring, en qualifiant notamment de « coupable secret du secteur informatique » le nombre important de logiciels achetés par les entreprises, mais inutilisés. Selon lui, par exemple, 65% des licences de logiciels Siebel vendues avant qu'Oracle ne rachète l'éditeur « n'ont jamais été exploitées » dans les grandes structures. Ben Pring rappelle aussi la disproportion du ratio 1/10 indiquant que pour un dollar dépensé dans l'achat des licences, les entreprises en dépensaient dix dans la mise en oeuvre de l'application. Le mode SaaS a apporté un autre choix dans ce monde de « dysfonctionnement profitable », estime l'analyste de Gartner. Et « Salesforce.com a fourni la preuve que ce concept fonctionnait ». Miser sur une plateforme pour recueillir les vrais bénéfices du SaaS Tout en rappelant les nombreux atouts du mode SaaS (la flexibilité, le coût limité aux seules fonctions que l'on utilise, l'absence de maintenance, le déploiement rapide...), il rappelle aussi que la médaille a un revers. Les licences ne constituent plus un actif et les directeurs informatiques ont moins de contrôle sur les applications. Les problématiques de sécurité et les relations avec le fournisseur de l'application peuvent aussi poser des problèmes, de même que l'intégration avec le système d'information interne qui « continuera à être très compliqué », pronostique Ben Pring. Bien que l'on en sache encore peu sur les implications à long terme du modèle SaaS, cette formule peut finalement s'avérer plus coûteuse dans le temps que le modèle traditionnel, comme peut l'être le leasing d'une voiture comparé à son achat. Mais le constat que, quoi qu'il puisse advenir, les entreprises se mettent effectivement au SaaS rend essentielle l'implication des responsables informatiques dans la décision. Leur expertise est nécessaire pour retenir une solution SaaS qui combine à la fois une interface conviviale avec une infrastructure sous-jacente « très robuste et très industrielle », juge Ben Pring. Enfin, l'analyste du Gartner pense que les décideurs doivent miser sur une plateforme SaaS plutôt que sur des applications indépendantes. L'objectif étant là de faciliter l'ajout d'applications fournies par d'autres éditeurs en engageant le minimum d'intégration. « C'est en misant sur une plateforme que l'on récoltera les véritables bénéfices du modèle SaaS », conclut-il. (...)

(09/11/2007 12:21:37)

Grèves SNCF : des navettes vers les 9 salons du Cnit (ERP, BI, Demat, Sisqual...)

Du 13 au 15 novembre, des navettes sont mises en place pour que les visiteurs puissent se rendre, malgré les grèves de transport, sur les neuf salons qui se tiennent au Cnit : ERP, Solutions e-achats, MVI-CRM, Solutions BI, Solutions Finances, Solutions Demat, Solutions Finances, Système Serveurs & Applications, ainsi que Sysqual et Virtual Forum. Dès le mardi soir, à partir de 18 heures, trois départs de cars sont prévus vers Paris et deux autres vers la banlieue Ouest (près de 65 % des visiteurs enregistrés viennent de la Capitale et des Hauts de Seine). Le matin des jours suivants, deux navettes sont prévues au départ de Saint-Germain en laye et d'Issy-les-Moulineaux, à partir de 8 heures, et trois autres sur Paris, à Denfert-Rochereau, au Châtelet et à Opéra Saint-Lazare, à partir de 8 h 30. Le site Web "J'y vais quand même malgré la grève.com" a été ouvert pour fournir des détails sur les différents trajets. (...)

(07/11/2007 15:32:15)

SAP ne prévoit pas de modèle SaaS pour les grands comptes

SAP ne proposera pas de logiciels en mode hébergé (SaaS- Software as a Service) aux grands comptes, rapportent nos confrères de Computerwold. Cette annonce intervient un mois après le lancement par l'éditeur d'une offre de gestion en mode hébergé à destination des PME, SAP Business ByDesign. Henning Kagermann, PDG de SAP, a ainsi déclaré, à l'occasion du Gartner Symposium/IT Expo à Cannes, que l'éditeur allemand resterait campé sur ses positions, face à la montée en puissance des logiciels en ligne. Le président de SAP a également indiqué qu'il était difficile d'appliquer aux grands comptes un modèle développé pour les PME, tel que celui mis en place pour SAP Business ByDesign, tout simplement par manque de recul. « Nous avons posé la question aux utilisateurs de SAP, a indiqué le dirigeant. Il se trouve que ces derniers partagent notre opinion. Business ByDesign a été conçu pour répondre aux besoins du mid-market. Les grands comptes attendent que le concept ait fait ses preuves avant de penser à l'adopter. » (...)

(05/11/2007 16:38:44)

L'action Google dépasse les 710 dollars

Depuis mercredi dernier, l'action Google a franchi le cap des 700 dollars (711 dollars en ce lundi 5 novembre). Ce record a été pulvérisé en l'espace de trois semaines à peine, durant lesquelles l'action a grappillé pas moins de 100 dollars, se plaçant ainsi en quatrième position des sociétés les mieux cotées aux Etats-Unis. Une performance d'autant plus remarquable que l'action du célèbre moteur de recherche (créé dans un garage par deux étudiants) ne dépassait pas les 80 dollars lors de son entrée en bourse, en août 2004 ! Le brutal engouement observé ces derniers jours est le résultat d'une succession d'annonces toutes plus alléchantes les unes que les autres. Les premières concernent la création (pour la mi 2008) du Gphone, une plate-forme « mobile » rassemblant toute une panoplie de services destinés aux utilisateurs nomades. Afin de concurrencer Facebook et autres réseaux sociaux, Google a par ailleurs lancé Open Social, son propre réseau communautaire. La capitalisation boursière de la société atteint aujourd'hui les 219 Md$. Google attend pour cette année une hausse de de 45,8% de ses bénéfices et de 58% de son chiffre d'affaires, un revenu essentiellement porté par la publicité (Google détient 32% de ce marché). Pour rappel, Google compte 500 millions d'adeptes réguliers, soit les trois quart des internautes dans le monde, très loin devant son principal rival, Yahoo ! (14% des requêtes seulement). (...)

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