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(30/10/2007 15:08:36)

Microsoft étend à dix ans le support de ses progiciels

C'est à Copenhague, à l'occasion de sa conférence utilisateurs européenne (du 23 au 25 octobre), que Microsoft a annoncé, sous le nom de Business Ready Customer Care, l'extension de son offre de support sur sa gamme d'applications de gestion Dynamics. L'avancée principale de cette initiative réside dans l'allongement de la durée de la maintenance sur les produits qui passe de cinq ans (avec l'actuel support Mainstream) à dix ans. Cette disposition s'accompagne d'une offre de support à haute disponibilité, Premier Support. Assortie d'un engagement de la part de l'éditeur, cette assistance donne accès 24 h/24 aux services de dépannage et inclut l'intervention sur site en cas de situation critique. La gamme Dynamics comprend la solution de gestion de la relation client Dynamics CRM, ainsi que les progiciels de gestion intégrés pour PME Dynamics NAV et Dynamics AX. Ces deux PGI (progiciels de gestion intégrés), bien implantés en Europe, ont été rachetés au Suédois Navision en 2003 et sont toujours développés à Copenhague par Microsoft. La gamme Dynamics comprend également deux autres PGI, Dynamics GP et SL, principalement utilisés outre-Atlantique. Un programme de location/acquisition L'initiative Business Ready Customer Care prévoit par ailleurs de fournir aux clients et partenaires une meilleure visibilité sur la feuille de route des applications Dynamics. Les améliorations sur les produits seront présentées dans des documents d'orientation douze à dix-huit mois avant la sortie des versions concernées. L'objectif est de permettre aux clients de mieux planifier l'évolution de leur système d'information. Microsoft a également annoncé une offre de location/acquisition des solutions Dynamics courant sur 24 à 60 mois, dans le cadre du programme TSF (Total Solution Financing) de Microsoft Financing. En complément, la solution SmartPay va permettre aux clients de choisir leur mensualité (à partir de 50 E) sur les douze premiers mois. A noter que le programme TSF ne couvre pas uniquement l'achat du logiciel, mais porte aussi sur les prestations de services, le matériel et les logiciels de tierces parties. (...)

(29/10/2007 16:28:54)

Avec Doc@Post, La Poste couvre la chaîne du flux documentaire

Forte d'une expertise dans le domaine de la gestion documentaire, La Poste capitalise sur son savoir faire pour mettre en place, dans le secteur des services aux entreprises, une approche globale allant de la dématérialisation du document reçu jusqu'à l'édition, l'envoi et la distribution de courrier, en prenant en compte le suivi de la vie électronique d'un document, sans oublier les échanges, l'archivage ou encore la traçabilité et la préservation de la valeur juridique. Pour ce faire, La Poste vient de regrouper neuf filiales existantes au sein de Doc@Post. Aux côtés d'Aspheria & Orsid, spécialisées dans l'externalisation documentaire, l'archivage électronique et la publication en ligne, on trouve ainsi CertiNomis pour la gestion des certificats, Dynapost pour l'externalisation du courrier et du document, ou encore LADSERVICES, spécialisée dans le traitement automatisé des courriers par reconnaissance optique. La filiale Maileva expédie des courriers électroniques sous enveloppe à la demande et propose de l'archivage de documents. Seres est spécialisé dans l'échange de données informatisé (EDI) et SF7 sur l'externalisation de la gestion de la relation client. Enfin, ISC (Ingénierie Solutions Courrier) dispense du conseil sur les projets de gestion documentaire. Sur fond d'ouverture totale du marché du courrier en janvier 2011 Avec ce regroupement de moyens au sein d'une seule entité pour accompagner les entreprises sur toute la chaîne des flux documentaires, La poste espère dynamiser ses activités pour devenir l'opérateur leader en Europe du courrier sous toutes ses formes. Une initiative mise en en place pour faire face à l'ouverture totale du marché du courrier prévue en Europe au 1er janvier 2011. Avec cette réorganisation, La Poste espère atteindre 500 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2012, soit faire passer ces activités de gestion documentaire de 10% actuellement à 20% du chiffre d'affaires du courrier dans le domaine des services en 2012. (...)

(26/10/2007 17:44:22)

IBM propose le décisionnel d'Information Builders sur System i

IBM va proposer sur sa gamme System i une version du serveur de reporting WebFocus d'Information Builders à laquelle pourront être ajoutées des fonctions décisionnelles complémentaires. L'environnement System i (ex iSeries, ex AS/400) est très présent dans les PME de toutes tailles et l'offre d'Information Builders concerne plutôt le haut de ce segment d'entreprises. Accessible en mode Web, cette solution de requête ad hoc et de création de rapports, baptisée DB2 Web Query for System i, vient remplacer le logiciel de requête d'IBM, Query for iSeries (ou Query/400). Il sera néanmoins possible de récupérer les rapports précédemment bâtis avec Query/400. Cette offre résulte d'un accord de partenariat OEM entre IBM et Information Builders, ce dernier précisant qu'il s'agit de la première commercialisation sur ce mode de son logiciel WebFocus. Outre les requêtes ad hoc (Power Painter), la création et la diffusion de rapports (Graph Assist et Report Assist), la version de base de DB2 Web Query for System i propose un tableau de bord pré-paramétré. La solution intègre les fonctions de sécurité pour gérer l'accès aux rapports, ainsi que des adaptateurs natifs à DB2 et DB File. Add-on et fonctions décisionnelles complémentaires L'offre de base démarre à 1 600 $ (System i P05, niveau 1) pour deux utilisateurs. Pour un projet incluant une vingtaine d'utilisateurs, il en coûtera 48 000 $ dans un environnement P60, niveau 7. En option, IBM propose d'ajouter un add-on pour créer des cubes OLAP (analyse multidimensionnelle), ainsi que l'add-on Active Report permettant d'envoyer des rapports HTML dynamiques (possibilité d'explorer les données, de les modifier et de les enregistrer dans Excel ou PowerPoint), à consulter en mode déconnecté. L'évolution vers DB2 Web Query est gratuite pour les utilisateurs de Query/400 et Query for iSeries, sous v5r4, en cours de maintenance logicielle. De son côté, Information Builders propose de compléter DB2 Web Query for System i avec tout l'éventail de ses solutions décisionnelles (Active Dashboard, pour créer des tableaux de bord dynamiques, Developer Studio, Quick Data for Excel...), son ETL et ses adaptateurs iWay permettant de se connecter à de nombreuses applications pour y récupérer des données. (...)

(26/10/2007 09:42:04)

Avaya veut profiter de son autonomie pour monter dans les couches applicatives

Avaya réunissait hier ses clients et partenaires pour une session d'information bienvenue après le rachat de l'équipementier - pour 8,2 Md$ - par des fonds d'investissement. L'opération amorcée en juin dernier n'est pas encore tout à fait finalisée, mais l'accord des actionnaires a été obtenu, c'est donc « une question de jours, peut-être même d'heures », estime Jocelyne Attal, directrice du marketing. Premier changement, Avaya espère justement changer son image de fournisseur de produits de télécommunications, en montant dans les couches applicatives. Jocelyne Attal indique que l'entreprise adoptera « un comportement d'éditeur de logiciels plutôt que celui d'un équipementier », dans la mesure où le focus est mis dorénavant sur les logiciels de communications unifiées (« intelligentes », même, pour reprendre le vocabulaire officiel). Premier bénéfice : « En téléphonie, on retournait voir un client tous les 5 ans, mais avec toutes les applications aujourd'hui, on peut le revoir tous les mois. » Investir dans l'applicatif sans subir la pression de Wall Street Ce changement de culture est à la fois une conséquence et une nécessité liées au rachat par TPG Capital et Silver Lake Partners. Car, comme l'explique Jocelyne Attal, « la logique des fonds d'investissement est d'obtenir 3 à 5 fois l'investissement initial, en diminuant les coûts et en augmentant le chiffre d'affaires et les bénéfices ». Monter dans les couches applicatives devrait donc permettre d'améliorer la marge, de démarcher le client plus souvent, et de lui proposer en plus des services de consulting. Quant à la réduction des coûts, l'objectif d'Avaya est de se débarrasser des habitudes et du système d'information hérités de son passé (lorsque son activité appartenait à l'opérateur AT&T). En aucun cas de couper dans les effectifs. Au contraire, explique Jocelyne Attal, l'entreprise a embauché des commerciaux, et entend investir dans les applications, ce qu'elle n'aurait pu faire sous la pression d'actionnaires attendant un retour sur investissement tous les trimestres. Exemple de cette montée dans les couches applicatives, Avaya a lancé hier une solution de « Communications enabled business processes ». Autrement dit, un ensemble de services Web exposant des fonctions de son offre de gestion des communications et destinés à être intégrés dans des applications de pilotage, telles que du workflow. Avaya donne ainsi l'exemple de Black & Decker, qui a implémenté le logiciel Avaya Communications Process Manager pour améliorer l'efficacité de son service après vente. Avant, raconte Eric Buhagiar, directeur marketing France d'Avaya, le technicien devait joindre lui-même le client une première fois pour obtenir son accord pour l'intervention, puis une seconde fois pour lui indiquer que l'objet était réparé. Désormais, c'est le logiciel qui cherche à joindre le client via tous les canaux de communication disponibles, le technicien ne perd plus son temps. Avaya s'impose donc un autre challenge : prendre son bâton de pèlerin et aller convaincre les éditeurs de progiciels de l'intérêt d'intégrer son offre dans la leur. Cela lui ouvrirait notamment les portes des PME, qu'Avaya a plus de mal à toucher que les grands comptes. « Si Sage décidait d'inclure dans ses progiciels l'invocation de nos services Web, nous servirions des milliers de PME », rêve tout haut Jocelyne Attal. (...)

(25/10/2007 16:15:41)

Groupama devrait entrer au capital de Cegid

C'est donc Groupama qui devrait entrer au capital de l'éditeur lyonnais Cegid. Rappelons que ce dernier avait révélé, début octobre, avoir engagé des discussions avec un groupe de services hors du secteur informatique en vue d'une prise participation et d'un partenariat industriel. Ces pourparlers viennent de déboucher sur une lettre d'intention, signée par Cegid et le groupe d'assurance et de banque (30 000 collaborateurs, 11 millions de clients et 14,2 Md€ de chiffre d'affaires en 2006), en vue de développer des logiciels collaboratifs et des contenus informatifs destinés aux experts comptables et aux professionnels du conseil. Il est prévu qu'ICMI, l'un des trois actionnaires principaux de Cegid, cède une partie de ses actions à Groupama qui, à l'issue de cette opération, détiendra alors 17,25 % du capital de Cegid Group. Deux postes d'administrateurs (sur douze) seront occupés par Groupama au conseil d'administration de l'éditeur. Rappelons qu'ICMI est majoritairement détenu par Jean-Michel Aulas, président de Cegid. Une présidence que le fondateur de Cegid s'engage d'ailleurs à conserver pendant une période minimum de quatre ans, dès que l'accord avec Groupama sera finalisé. Cegid sur le développement, Groupama sur le fonctionnel Les deux sociétés prévoient de créer une co-entreprise dont l'unique vocation sera de porter le droit de propriété des solutions conjointement mises au point. Ces futurs produits se concrétiseront, par exemple, par l'ajout dans les logiciels de paie de Cegid de fonctions de simulation et de calcul d'optimisation sur la retraite, la protection santé, le statut du dirigeant, la prévoyance, l'épargne salariale ou encore, la gestion des risques. Il s'agira d'outils collaboratifs qui permettront aux experts comptables de partager des informations avec leurs clients en PME, ainsi qu'avec la compagnie d'assurance de ces clients. « L'objectif est d'apporter des outils complémentaires sur l'ensemble d'une chaîne de traitement, la paie par exemple », rappelle Patrick Bertrand, directeur général de Cegid, qui se déclare très satisfait du processus d'accord engagé avec Groupama. Une opération qu'il espère voir se finaliser avant la fin de cette année. Des portails d'informations La collaboration pourrait démarrer au début de l'année prochaine. Les solutions logicielles seront élaborées par les actuelles ressources de développement de Cegid, en particulier les équipes travaillant sur les logiciels de paie, de fiscalité et de gestion de la relation client. De leur côté, les collaborateurs de Groupama, chargés des aspects fonctionnels de la conception du produit, apporteront aux développeurs de Cegid leurs connaissances métiers. En complément, il est également prévu de développer des portails d'informations. « Par l'intermédiaire de notre portail Comptanoo, nous proposerons du contenu fiscal et légal fourni par Groupama, explique Patrick Bertrand. Un contenu qui pourra également être repris sur les portails que nos clients experts comptables peuvent créer avec les solutions que nous leur proposons. » Accélérer la pénétration de nouveaux secteurs et le déploiement international L'arrivée de Groupama dans l'entité Cegid va aussi permettre à l'éditeur d'accroître son activité sur des terrains où l'assureur s'est imposé (avec l'appui d'une force commerciale de 7 000 personnes) : les collectivités territoriales et le transport, ainsi que les secteurs agricoles et associatifs. Cegid devrait également disposer d'un fort soutien à l'international, Groupama ayant développé sa présence en Europe, en Turquie et en Asie (notamment en Chine, où Cegid déploie en ce moment ses offres axées sur les métiers de la mode et de la distribution, et au Vietnam). « En Europe, en particulier en Espagne et en Italie où nous sommes déjà implantés, l'appui de Groupama nous permettra d'accélérer notre développement. » (...)

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