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(25/10/2007 12:48:39)

Exact Software rachète Longview et sa solution de CPM

L'éditeur de PGI néerlandais Exact Software vient d'annoncer le rachat, pour 51,5 M$, du Canadien Longview Solutions, fournisseur d'une solution de gestion de la performance de l'entreprise (CPM, corporate performance management). Les fonctions de CPM, qui apportent à l'entreprise des outils de pilotage de son activité, focalisent en ce moment l'intérêt de tous les éditeurs de progiciels. Exact Software développe et commercialise une offre de gestion intégrée et de gestion de la relation client qui vise les PME internationales de 200 à 500 personnes. En récupérant ces fonctions d'analyse financière (gestion de budget et des prévisions, tableaux de bord sur l'activité) qui s'adressent avant tout aux grandes entreprises, l'éditeur compte élargir sa base d'utilisateurs avec des clients de plus grande taille. Longview compte notamment des utilisateurs comme Boeing, Cisco, Time Warner et GE Healthcare. Installé à Toronto, l'éditeur racheté emploie 170 personnes et a réalisé un chiffre d'affaires de 29 M$ sur son exercice clôturé le 30 juin 2007. Quant à Exact Software, il a installé des filiales dans une quarantaine de pays et totalise 2 700 salariés. L'éditeur néerlandais a réalisé en 2006 un chiffre d'affaires de 242,1 M€. (...)

(24/10/2007 16:14:19)

IForum 07 : Citrix lève le voile sur Xen Desktop Server

D'ici à la fin du mois d'octobre, Citrix devrait publier sur son site Web une première version bêta de Xen Desktop Server, son outil de distribution de bureaux Windows virtuels attendu en version finale pour le premier semestre 2008. L'idée générale de Xen Desktop Server est de permettre de déconnecter l'environnement de travail de l'utilisateur de son PC physique afin de le rendre accessible depuis n'importe quel lieu ou terminal. Dans la version pré-bêta montrée par Citrix sur iForum, Xen Desktop Server permet à l'entreprise de délivrer son bureau de travail Windows à chaque utilisateur de l'entreprise où qu'il se trouve et quel que soit le terminal depuis lequel il se connecte (son propre PC ou client léger, un PC partagé, le PC d'un collègue ou un ordinateur personnel depuis la maison en télétravail). Un utilisateur pourra ainsi retrouver son environnement de travail complet s'il décide de travailler depuis la maison ou s'il utilise le PC d'un collègue depuis un autre site de l'entreprise pendant un déplacement. Une suite de trois produits Xen Desktop Server se compose de trois produits. Le premier est Provisionning Server, un outil de gestion et de distribution d'images systèmes fruit de l'acquisition d'Ardence en 2006. Provisioning Server permet de gérer une bibliothèque d'images systèmes et de les distribuer dynamiquement au travers du réseau à des serveurs, des PC ou des machines virtuelles. Le second composant de l'offre est l'hyperviseur Xen Server qui est utilisé pour héberger les machines virtuelles des PC accessibles par les utilisateurs finaux. Le dernier composant est Desktop Server, un broker qui assure le lien entre le client ICA installé sur un PC ou sur un client léger et la machine virtuelle que l'utilisateur se verra affecté. Desktop Server permet de gérer des politiques d'allocation précises. Selon son rôle, un utilisateur peut se voir allouer systématiquement la même machine virtuelle, ou une machine virtuelle dans un pool précis, en fonction de ses besoins de performance par exemple. Desktop Server assure aussi que la bonne image système est affectée dynamiquement à la bonne machine virtuelle en fonction du besoin de l'utilisateur. Dans la version actuelle du logiciel, l'administrateur doit pré-créer les machines virtuelles, car Desktop Broker est incapable d'instancier dynamiquement une nouvelle machine virtuelle si le pool disponible est épuisé et qu'une nouvel utilisateur cherche à se connecter. Citrix indique toutefois qu'une telle fonctionnalité devrait arriver rapidement avec l'intégration progressive des équipes de R&D de Citrix et de XenSource. Il est à noter que la solution de Citrix ne se limite pas au seul Xen Server et qu'elle peut aussi gérer des machines virtuelles hébergées sur une infrastructure VMWare. Desktop Server peut aussi servir de broker vers des PC lames comme ceux proposés par HP. Auquel cas l'utilisateur se voit affecter les pleines ressources d'un PC physique. (...)

(24/10/2007 12:58:16)

Gestion de la performance : Microsoft mise sur l'intégration avec Office

Pour le lancement français de Microsoft Office PerformancePoint Server 2007, mardi 23 octobre, les retardataires ont dû se rabattre sur les escaliers, dans cette salle de 500 personnes de l'UGC Ciné Cité retenue par l'éditeur. Cette offre de gestion de la performance économique vient compléter les outils décisionnels que Microsoft livre déjà avec sa base de données SQL Server (reporting, datamining, intégration de données et stockage analytique). Destinée d'abord aux contrôleurs de gestion et aux directions opérationnelles, même si l'éditeur ambitionne de l'étendre au plus grand nombre d'utilisateurs, elle apporte des fonctions de tableaux de bord, d'analyse interactive de données (des outils issus du rachat de ProClarity) et de planification (analyse prévisionnelle de l'activité d'une entreprise). La version française sera disponible le 02 novembre, mais les plus curieux peuvent déjà télécharger une version d'évaluation sur le site de l'éditeur. Une concurrence musclée Microsoft arrive ici sur un marché très convoité, et par les plus grands éditeurs (SAP, Oracle, SAS, Cognos). Les solutions de gestion de la performance, ayant effectivement vocation à sortir des directions financières pour toucher toute l'entreprise, ont fait l'objet de tous les appétits ces derniers temps. Rappelons que ces derniers huit mois ont vu, dans ce domaine bien précis, le rachat d'Hyperion par Oracle, de Cartesis par Business Objects, d'OutlookSoft (une offre basée sur les technologies Microsoft) par SAP, d'Applix par Cognos et, surtout, finalement, de Business Objects par SAP. En dépit de cette concurrence musclée, Microsoft semble avancer avec sérénité sur ce terrain. Comme souvent, le prix de son offre, inférieur à celui des autres solutions bâties surtout pour les grandes entreprises, le conforte dans sa certitude d'attirer l'attention. La tarification d'Office PerformancePoint Server démarre à 20 000 € et va jusqu'à 35 000 € avec une maintenance de trois ans. Elle est assortie d'un droit d'usage de 300 € par utilisateur. L'éditeur, confiant sur ses chances dans le décisionnel, avance une récente étude de Gartner qui vient de le créditer de la plus forte progression des fournisseurs de solutions d'analyse de données d'entreprise (en anglais, Business Intelligence). Mais, comme à l'accoutumée, Microsoft compte surtout pousser son offre de gestion de la performance grâce à l'intégration qu'elle propose avec les logiciels de sa gamme Office. Ainsi, c'est un add-in pour Excel qui permet d'exploiter l'outil de planification et de saisir les prévisions. Et pour partager les outils d'analyse et les tableaux de bord, on recourra au portail Sharepoint. Microsoft affiche ses ambitions. Aujourd'hui, seuls 18 % des utilisateurs ciblés par le décisionnel l'utilisent vraiment. L'objectif, selon Laurent Delaporte, directeur général adjoint de Microsoft, c'est de porter cette proportion à 40 %, en partie grâce à l'intégration des outils avec Office. [[page]] Des démonstrations didactiques Pour convaincre de la facilité d'utilisation de PerformancePoint, l'éditeur a misé sur des démonstrations didactiques. A l'UGC Ciné Cité, les officiants ont décortiqué la constitution et l'exploration d'un indicateur de performance (mixant chiffre d'affaires et prévisions de ventes), l'exploration des données et leur manipulation graphique selon différentes vues (les ventes de l'entreprise par pays, produits, commerciaux, en histogrammes variés et en quelques clics), ou encore, les mécanismes de collecte d'informations entre différents utilisateurs, pour les démarches de prévisions de ventes, par exemple. Microsoft signale un premier client français, signé en fin de semaine dernière. C'est une société de 170 collaborateurs intervenant dans le secteur du service à la personne. Et pour illustrer l'intérêt des grandes entreprises pour ses solutions décisionnelles, Microsoft avait convié TF1, Auchan et Energizer. Ce dernier sera l'un des tout premiers clients à déployer au niveau mondial le module de planification de PerformancePoint. Le fournisseur de piles témoigne de l'importance que revêtent les prévisions annuelles de ventes, définissant la stratégie de son entreprise sur l'année à venir. Combiné à divers autres critères, son catalogue de 2 300 références génère 13 millions de possibilités de prévisions. Energizer entend donc simplifier son processus de planification, lourd et long à réaliser, en s'appuyant sur un référentiel commun à toutes ses entités. (...)

(23/10/2007 16:01:23)

Microsoft dévoile un système de gestion de téléphonie mobile à distance

Microsoft poursuit sa lancée sur le front de la téléphonie. Quelques jours après avoir annoncé la sortie d'Office Communications Server 2007, décrétant au passage la mort du sacro-saint PABX, l'éditeur de Redmond inaugure aujourd'hui un système de gestion à distance de parc de mobiles. La solution baptisée System Center Mobile Device Manager 2008 fonctionnera de concert avec Windows Mobile et bénéficiera de tout l'écosystème de la marque en matière de gestion de système. Une annonce que Steve Ballmer, PDG de Microsoft, s'apprête à réaliser à l'occasion du CTIA Wireless IT and Entertainment conference à San Francisco. Selon John O'Rourke, directeur de la division "Mobile Communications" de Microsoft, interviewé par nos confrères d'IDG News Service, la solution, qui comprend des modules serveur et client, doit "permettre aux administrateurs de sécuriser et de contrôler à distance les téléphones mobiles, comme ils le font pour des parcs de PC ou ordinateurs portables". Ils pourront par exemple couper l'utilisation d'un capteur d'un photophone ou interdire l'usage de services de messagerie, le tout à distance. "Un point important pour les entreprises qui doivent s'aligner sur les politiques de conformité, notamment autour du stockage". Un des points forts de System Center Mobile Device Manager 2008 est qu'il s'intègre à la famille d'outils de gestion de l'éditeur comme Microsoft Operations Manager. Un couplage qui donne aux administrateurs des moyens d'interactions étroits avec les offres de l'éditeur, comme par exemple Active Directory. Ainsi, les politiques de sécurité par groupe pourront être facilement propagées sur les téléphones à base de Windows Mobile. En outre, le support des connexions par VPN sécurisera l'accès aux données de l'entreprise. Selon John O'Rourke, Microsoft prévoit de lancer sa solution pour le premier semestre 2008. Selon lui, l'application serveur devrait supporter jusqu'à 5 000 utilisateurs. Pour l'heure, aucune tarification n'a été annoncée. Certains analystes, interrogés par nos confrères de Computerworld, tablent toutefois sur des prix s'échelonnant de 75 $ à 150 $ par utilisateur et par an. Si Microsoft n'est pas le premier à proposer ce type de produit, il s'appuie sur ses outils de gestion et de messagerie (comme Exchange) pour l'imposer. Sur le marché, quelques éditeurs ont, à l'inverse du géant de Redmond, décliné des offres de gestion de terminaux à distance multi-OS. C'est notamment le cas de Nokia qui commercialise Intellisync pour les appareils sous Symbian, Windows Mobile, Blackberry (Rim) et enfin Palm. Et aussi Rim avec le BlackBerry Enterprise Server. Notons enfin que Palm serait le premier constructeur à supporter la solution de Microsoft dans sa gamme Treo 750 (qui fonctionne avec Windows Mobile). (...)

(23/10/2007 09:11:29)

Analyse financière : Reuters intègre le décisionnel de Spotfire

Reuters va proposer les outils décisionnels de Spotfire (division de Tibco) au sein de ses services de diffusion d'informations financières aux entreprises, banques et sociétés de courtage. Les deux éditeurs ont travaillé ensemble pour intégrer aux logiciels de Reuters des fonctions d'analyse interactive et visuelle des données. Les utilisateurs pourront partager les informations au sein d'une équipe et y ajouter des données externes. Une bibliothèque d'analyses spécifiques a également été développée pour les différentes applications propres aux métiers de la finance : attribution des performances, risque de portefeuille, conformité réglementaire, risque de contrepartie, analyse de marché. Le partenariat entre les deux fournisseurs prévoit aussi que les équipes de Spotfire, spécialisées dans la vente de services financiers, collaborent avec celles de Reuters. (...)

(22/10/2007 17:19:53)

Markess évalue à 500 M€ le marché des outils d'interaction clients en 2009

Comment les technologies Web et mobiles s'insèrent-elles dans le traitement des interactions avec les clients ? Une étude de Markess International, effectuée en France au troisième trimestre 2007 sur 200 entreprises et organisations, répertorie les usages pour lesquels les solutions GRC de front office sont sollicitées et ébauche l'évolution des pratiques. Le cabinet d'études évalue à 400 M€ le marché français des logiciels et services autour de ces solutions en 2007. Un marché qui, selon Markess, devrait croître de 12 % par an en moyenne jusqu'en 2009 pour atteindre 500 M€. Rappelons que les outils de frontoffice impliquent un contact direct avec le client, par opposition aux applications de backoffice comme la comptabilité ou la gestion de la chaîne logistique. « La relation client couvre un domaine assez vaste et touche de nombreux processus, en avant-vente et en après-vente, rappelle Emmanuelle Olivié-Paul, directrice associée chez Markess International. Notre objectif était notamment d'évaluer si les entreprises avaient conscience de l'existence des nouveaux outils, basés sur Internet notamment, et d'établir leur niveau d'appropriation de ces technologies. » Sur la nature des solutions choisies, l'étude de Markess constate trois cas de figures. Soit l'entreprise a installé un centre d'appels interne, soit elle confie à un prestataire externe le suivi des appels, soit elle interagit avec le client en ajoutant à son backoffice des outils de frontoffice basés sur Internet, par exemple pour proposer un suivi de livraison ou une prise de commande sur le Web. Dans ces cas-là, les processus sont déroulés sans rupture avec les applications de gestion. A l'horizon 2009, flux multimédias, voix sur IP, blogs... D'ici à 2009, 42% des entreprises souhaitent mettre en place une gestion de contacts multi-canale, 32 % d'entre elles souhaitant mieux gérer les flux multimédias entrants et sortants. 28 % veulent recourir aux bases de connaissances, ainsi qu'aux services de « Web call back » ou « click to talk » permettant à un internaute d'être rappelé ou d'avoir un interlocuteur en ligne, en mode voix sur IP. Toujours à l'horizon 2009, les entreprises citent aussi le recours aux outils de pilotage d'activité (25 %), aux blogs (20 %), à la voix sur IP et au workflow (18 %), aux bornes interactives et à la visioconférence (16 %), à la messagerie instantanée (15%) et aux wikis (11 %). Dans 76 % des cas, les entreprises utilisent des solutions de front office pour gérer l'accueil fait au client. 57 % d'entre elles y recourent pour leur prospection commerciale, 56% pour le traitement des réclamations, 51 % pour la prise de rendez-vous et 44% pour des opérations de télémarketing. D'autres usages sont cités : les opérations de service après-vente et la prise de commandes, dans 37% des cas, les demandes d'informations (30 %), le support ou l'assistance (29 %) et la diffusion de messages d'alerte (28 %). (...)

(19/10/2007 10:01:08)

SAP France a accru ses ventes de licences de 84% au 3e trimestre

« Des résultats exceptionnels, sans commune mesure avec ce que connaît le marché », s'est plu à souligner Pascal Rialland, directeur général de SAP France, pour commenter les résultats de la filiale hexagonale sur les trois mois écoulés. De fait, en affichant une progression de 84% sur ses ventes de licences au troisième trimestre 2007 (par rapport au 3e trimestre 2006), l'éditeur de progiciels de gestion intégrés réalise une performance surprenante. Un résultat qui, selon le dirigeant français, a été obtenu hors de toute signature d'un énorme contrat, ce qui aurait expliqué facilement ce bond en avant. Pascal Rialland avance en revanche beaucoup plus de ventes dans les PME, en reconnaissant que ce chiffre d'affaires est toujours tiré davantage par l'offre All-in-one, qui génère des projets plus importants et rapporte presque dix fois plus que l'offre Business One, destinée aux petites PME. SAP France : un peu moins de 4% du CA mondial Sur le trimestre, les ventes de licences de SAP aux PME ont doublé tandis que celles réalisées dans les grandes entreprises ont augmenté de 78%. Lorsqu'on inclut les revenus des services associés (dont la maintenance), la croissance, moins spectaculaire, s'élève tout de même à 30%. Pascal Rialland espère finir l'année sur une croissance supérieure à 30% pour les ventes de licences de l'exercice. Aujourd'hui, la filiale française pèse un peu moins de 4% du chiffre d'affaires mondial de l'éditeur et un peu plus de 6% de son CA européen. Même dans les grands comptes, le potentiel de progression est encore très important pour l'éditeur, beaucoup d'entreprises n'utilisant pas encore de solutions SAP. Sur les neuf derniers mois, la filiale a notamment enregistré de bons résultats dans le secteur public et la distribution. « Il nous reste à conquérir le secteur de la banque qui utilise pour l'instant essentiellement des applications spécifiques », note son DG en ajoutant à la liste les collectivités locales. En France, un très gros contrat avec Axa a permis au fournisseur d'entrer dans le monde de l'assurance. Une véritable évolution culturelle En poste depuis deux ans, le patron de la filiale française juge que l'entreprise qu'il dirige a vécu une véritable évolution culturelle. 150 personnes ont été recrutées cette année chez SAP France (sur un total de 4 300 dans le monde) sur un effectif total de 600 collaborateurs. « La société attire beaucoup de monde », explique Pascal Rialland. Selon lui, les nouvelles recrues sont venues remplacer des personnes peut-être moins à l'aise avec les nouvelles générations de produits, très axées désormais sur l'architecture orientée services (SOA). La technologie va tellement vite que le turnover est presque indispensable, estime-t-il, ajoutant que « les entreprises stables, en termes d'effectif, c'est un peu sclérosant ». Sur les changements de mentalité interne, Pascal Rialland poursuit : « Nous avons appris deux choses sur lesquelles nous restons très vigilants. Premièrement, un projet SAP est un projet d'entreprise qui concerne toutes les directions et ne doit surtout pas être limité au département informatique, sous peine d'échec. Deuxièmement, nous avons renoncé aux méga-projets. L'architecture SOA permet d'installer les outils de manière progressive, en s'assurant que les collaborateurs auront le temps de les accepter. » Le dirigeant note que les projets se déroulent maintenant sur douze à dix-huit mois quand ils s'étalaient auparavant sur cinq ans. (...)

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