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Fusions/Acquisitions

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(10/05/2012 15:25:05)
Surenchère pour l'acquisition de Quest Software
Un certain nombre d'entreprises ont fait des offres pour acquérir Quest Software. Cet éditeur américain de logiciels de gestion est devenu une entreprise privée en mars dernier au cours d'une transaction de 2 milliards de dollars conclue avec le fonds d'investissement Insight Venture Partners.
Quest, qui est connu pour sa gamme de logiciels de gestion des systèmes d'information et des infrastructures, a révélé la surenchère dont il fait actuellement l'objet hier, sans pour autant nommer les prétendants.
Des offres raisonnablement prévisibles
Cette annonce n'est pas surprenante. Il y a deux mois, la firme avait déclaré qu'elle recherchait un acheteur, dans l'espoir d'obtenir un meilleur résultat auprès des actionnaires. Une commission spéciale constituée par Quest a estimé qu'un certain nombre des offres étaient « raisonnablement prévisibles » et qu'elles pourraient se concrétiser par un accord, mais rien n'a été confirmé, selon un communiqué.
Parmi les acquéreurs intéressés par Quest, on pense à une entreprise comme Dell, qui
a récemment créé une division logiciels et a depuis réalisé une série de rachats dans le domaine des solutions d'infrastructures. Il est également concevable que l'un des 4 principaux fournisseurs spécialisés dans l'administration de systèmes, comme BMC, IBM, CA Technologies, ou Hewlett-Packard soient également de la partie. Hier, le cours de l'action de Quest Sotware a augmenté d'environ 9% à 24,88 $ en début de séance.
(...)
Nokia pourrait céder sa gamme luxe Vertu à un fond d'investissement
Vertu, la branche luxe de Nokia, qui conçoit des appareils mobiles avec des métaux précieux et des services de conciergerie haut de gamme, pourrait être cédée au fonds d'investissement Permira. Après les récentes annonces de restructuration, Nokia semble donc déterminée à continuer à vendre des actifs non stratégiques pour résoudre ses difficultés financières, comme l'explique au Financial Times le directeur financier de Nokia Timo Ihamuotila : «Nous allons rapidement prendre des mesures pour positionner Nokia sur la voie de la croissance future et du succès.» Le constructeur finlandais a en effet annoncé une baisse de ces ventes de 30% au premier trimestre 2012 ainsi qu'un déficit de 929 millions d'euros. Pour mémoire, le fonds d'investissement détient déjà la marque Hugo Boss.
ICTjournal (...)
IBM complète ses solutions analytiques avec Varicent Software
Le portefeuille de solutions d'analyse de données d'IBM s'enrichit d'un axe complémentaire. Avec le rachat de l'éditeur canadien Varicent Software, il s'agit cette fois de logiciels de gérer la performance des équipes commerciales : gestion des territoires, des quotas et de la rémunération des vendeurs. L'acquisition a été annoncée vendredi dernier, mais les termes de la transaction n'ont pas été dévoilés.
Basée à Toronto, Varicent est une société privée fondée en 2003. Elle compte 180 entreprises clientes, parmi lesquelles des banques, des compagnies d'assurance, des chaînes de boutiques, des fournisseurs de solutions IT et de services de télécommunications. On trouve parmi les sociétés ayant utilisé ses produits des groupes comme Hertz et Office Depot. L'éditeur propose deux versions de son offre, l'une destinée aux entreprises ayant entre 50 à 250 commerciaux, l'autre s'adressant aux groupes comptant plus de 250 commerciaux. Ses produits sont disponibles en mode cloud ou en version traditionnelle à installer sur site.
Des packages logiciels assignés à des applications ciblées
Varicent Software rassemble et compile des informations gérées sur différents systèmes informatiques (finance, gestion commerciale, ressources humaines...) pour analyser les ventes et disposer d'éléments pour organiser les activités. Son logiciel sera versé au portefeuille Smarter Analytics d'IBM où il s'ajoutera aux solutions d'Algorithmics, de Clarity Systems, d'OpenPages, de Cognos et de SPSS. Pour se constituer une expertise dans le domaine de l'analyse de données, IBM rappelle qu'il a racheté 28 sociétés depuis 2005, ce qui lui a permis de se constituer un écosystème de 27 000 partenaires.
Les solutions sont combinées pour proposer des packages couvrant des applications spécifiques comme les Smarter Analytics Signature Solutions destinées à la détection des fraudes, par exemple, ou encore à l'optimisation de la gestion financière ou de la relation client. IBM a aussi récemment annoncé les Smart Analytics Systems associant une plateforme matérielle avec des logiciels analytiques, de la BI (business intelligence) et des systèmes de traitement d'importants volumes de transactions.
Big Blue prévoit de générer 16 milliards de dollars d'ici 2015 dans la commercialisation de systèmes d'analyse de données et de services associés. Il dit réunir à ce jour près de 9 000 consultants et équipes opérationnelles se consacrant à ces systèmes. S'y ajoutent 400 chercheurs travaillant dans ce domaine, qui garantissent au groupe américain plusieurs centaines de brevets par an.
Solucom croque Eveho et ses 2 filiales
Solucom a de l'appétit. Après l'acquisition de son homologue Alturia Consulting le 2 avril, le cabinet de conseil vient de racheter la société Eveho et ses deux filiales, Eveho Actuariat et Eveho Services. Comme Alturia Consulting, ces entreprises délivrent des prestations de conseil en organisation et management, tout particulièrement aux acteurs du monde l'assurance, de la bancassurance, ainsi qu'aux groupes mutualistes et de protection sociale.
Fondée en 2005, le groupe Eveho compte aujourd'hui plus d'une trentaine de collaborateurs. L'an dernier, l'entreprise a réalisé un chiffre d'affaires supérieur à 3,5 M€. Une envergure moindre que celle d'Alturia Consulting qui affichait de son côté 80 collaborateurs et un chiffre d'affaires de 9 M€ au moment de son rachat. Ces deux opérations ont été financées en numéraire. (...)
Facebook débourse 1 milliard de dollars pour Instagram
Facebook crée la surprise en déboursant 1 milliard de dollars pour racheter Instagram qui développe une application de partage de photos pour terminaux mobiles dont l'utilisation s'est popularisée. Une transaction qui s'effectue en numéraire et en action, alors que la société de Mark Zuckerberg prépare son entrée en bourse. Le fondateur de la société rappelle que ses équipes travaillent depuis des années pour offrir le meilleur environnement de partage de photos en famille et entre amis. Désormais, elles vont collaborer étroitement avec celles d'Instagram pour le partage de photos sur mobiles entre personnes ayant les mêmes centres d'intérêt.
« C'est une étape importante pour Facebook parce que c'est la première fois que nous rachetons un produit et une société ayant autant d'utilisateurs », a souligné le jeune entrepreneur. « Nous ne prévoyons pas de faire beaucoup d'autres acquisitions de ce type, si ce n'est aucune autre ».
Des données sur les usages d'Instragram
L'application rachetée a d'abord été disponible sur iPhone avant d'être également proposée pour les terminaux sous Android. Mark Zuckerberg a insisté sur le fait qu'il voulait conserver son indépendance à Instagram, ajoutant que les utilisateurs du logiciel pourraient continuer à publier leurs photos vers d'autres médias sociaux tels que Twitter et n'auraient pas à les partager sur Facebook.
Le montant élevé de cette acquisition surprend beaucoup d'observateurs. Néanmoins, Dan Olds, analyste du cabinet The Gabriel Consulting Group, trouve que c'est intéressant pour Facebook. Il estime que ce rachat peut l'aider de diverses façons. « D'abord, il y a près de 10 millions d'utilisateurs d'Instagram, la grande majorité d'entre eux s'en servant pour publier sur Facebook. » L'analyse note qu'en possédant Instagram, la société de Mark Zuckerberg pourra renforcer l'intégration entre les deux. Un rapprochement plus étroit fournira au réseau social davantage d'informations sur ce que les utilisateurs font avec Instagram. Cette transaction aidera aussi à trouver des moyens d'analyser ces données et de les monétiser. « Cela pourrait aussi apporter à Facebook une brique qu'ils pourront utiliser avec leur propre application de type 'Pinterest' », ajoute Dan Olds.
Pour Patrick Moorhead, analyste chez Moor Insights & Strategyt, Facebook devra étendre ce qu'Instagram peut faire. « C'est une initiative judicieuse pour eux s'ils l'intègrent comme une marque séparée et continuent à innover », estime-t-il. « Sinon, cela deviendra une répétition sans vie de Flickr ».
(...)(05/04/2012 11:40:18)Croissance externe pour Damilo avec les rachats d'Arkes Informatique et Timarance
Le groupe de conseil et de services d'ingénierie informatique présidé par Michel Teman continue de grandir à coup de rachats. Déjà acquéreur de huit sociétés depuis 2008, Damilo a repris Timarance et Arkes Informatique fin mars 2012. Ces deux structures ont été créées en 2001 par Hali Hassaine qui en devient aujourd'hui le directeur des opérations. Basées à Paris, elles ciblent les grands comptes, notamment ceux des secteurs de la banque et de l'industrie. Une clientèle à qui elles proposent des services autour de l'infrastructure des systèmes d'information (gestion des ressources IT, intégration et infogérance d'exploitation).
Pour Damilo, les activités menées par Timarance et Arkes constituent un axe de développement stratégique. Principalement présent dans le monde de l'applicatif, le groupe souhaite en effet renforcer ses positions sur les marchés de la production et l'infrastructure « où les gros contrats se signent aujourd'hui ». En 2010, Damilo avait commencé à opérer ce mouvement en rachetant Architech, une société justement présente sur le marché des infrastructures. Celle-ci passe également sous la direction opérationnelle d'Ali Hassaine pour développer les synergies avec Timarance et Arkes.
Un pôle infrastructure de 70 personnes et bientôt 100
Au total, le pôle infrastructure de Damilo dispose aujourd'hui d'un effectif de 70 personnes constitué pour moitié des collaborateurs d'Architech d'une part, et de ceux de Timarance et d'Arkes d'autre part. A très court terme, l'effectif des trois sociétés devrait passer à 100 personnes. Avec ses deux dernières acquisitions, le groupe dispose d'ores et déjà d'un effectif de 480 collaborateurs, présents en France, en Belgique et au Canada. En 2011, il a dégagé un chiffre d'affaires de 48 M€ (dont 15% hors de France et 10% dans l'infrastructure) tandis que Timarance et Arkes en réalisaient 3 M€. Fort de son nouveau périmètre d'activité, Damilo anticipe que ses revenus atteindront 54 M€ cette année.
OMGPOP, le créateur de Draw Something, racheté par Zynga
Au début de la semaine les blogueurs suspectaient Zynga d'être en négociations pour racheter OMGPOP, créateur du jeu à succès Draw Something. Quelques jours plus tard, Zynga a levé les doutes, confirmant que l'équipe OMGPOP rejoindrait bientôt sa propre équipe. Zynga a déboursé $210 millions pour racheter cette compagnie. (...)
(09/03/2012 10:05:58)Les actifs de Syn'Actives repris par OpenIP
Fin de partie pour Syn'Actives, opérateur télécoms nantais, lancé en 2007. Sa liquidation judiciaire a été prononcée le 25 janvier dernier. OpenIP reprend les actifs de cet opérateur , actif sur l'ouest avec une antenne à Vannes. Syn'Actives réalisait 0,46 million d'euros de chiffre d'affaires en 2011. OpenIP pour sa part était à 3,7 ME de CA en 2011, contre 2,6 l'année précédente. (...)
(08/03/2012 11:51:48)La fusion Temenos-Misys peut être compromise
Le fabricant de logiciels bancaires Temenos va devoir patienter encore pour une éventuelle fusion avec son concurrent anglais Misys. Dans un communiqué publié mardi soir, Temenos a indiqué que le délai a été prolongé jusqu'au 2 avril prochain.
Lundi, les fonds CVC et ValueAct (qui se présente comme le premier actionnaire de Misys) ont précisé par voie de communiqué qu'ils pourraient présenter une offre conjointe en numéraire pour racheter l'éditeur de logiciels Misys. Ils ont désormais jusqu'au 2 avril pour annoncer leurs intentions définitives.
Temenos n'a pas manqué de réagir et de faire savoir que malgré ce nouveau paramètre, elle maintenait ses intentions de fusion avec Misys. Dans un communiqué, l'éditeur genevois a précisé que les discussions continuaient et que cette fusion recelait un fort potentiel de synergies. Une autre offre de rachat avait déjà été déposée par la société de capital-risque Vista Equity Partners (Vista). Elle propose 1,2 milliard de livres (1,75 milliard de francs) en argent comptant.
Misys a précisé que la décision finale serait prise par le Conseil d'administration au sein d'un comité où il occupe également le poste de directeur général de ValueAct.
ICTjournal.ch (...)(05/03/2012 10:53:02)France Télécom finalise la cession d'Orange Suisse
France Télécom Orange a annoncé avoir finalisé la vente de 100% d'Orange Communication («Orange Suisse») à Matterhorn Mobile. La cession a été autorisée par le conseil d'administration du groupe français et par la Commission de la concurrence (COMCO), l'Office fédéral de la communication (OFCOM) et la Commission fédérale de la communication (ComCom). Finalement, le montant de la vente s'élève à 1,83 milliard de francs. L'endettement net externe de la société, qui inclut essentiellement le paiement à venir pour les fréquences qu'Orange Suisse vient d'acquérir, a d'ores-et-déjà été déduit.
Matterhorn Mobile, société détenue indirectement par des fonds conseillés par Apax Partners LLP, continuera d'utiliser la marque Orange. En effet, France Télécom et Apax ont signé un accord de licence pour la marque qui permet à Orange Suisse d'utiliser la marque Orange dans le futur. La durée et les droits de licence n'ont pas été rendus publics. Les abonnés de l'opérateur suisse ne devraient donc pas voir immédiatement un logo en forme de Cervin - Matterhorn est la traduction de Cervin en allemand - orner leur facture.
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