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Fusions/Acquisitions

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(16/02/2012 12:07:06)

Microsoft/Skype : Cisco conteste l'autorisation de l'UE

Microsoft a annoncé son intention d'acheter Skype en mai 2011 et a reçu l'approbation de la Commission européenne en octobre 2011. Cisco va faire appel de cette décision auprès de la Cour de Justice de l'Union européenne a indiqué Marthin De Beer, vice-président senior de la division vidéo et collaboration de Ciso, dans un blog. Le constructeur réseau ne veut pas s'opposer au rachat, mais veut imposer certaines conditions à Microsoft, notamment sur les normes en matière de voix et de vidéo. « Si les sociétés ne prennent pas en charge les mêmes normes que les autres fournisseurs de videoconférence, comment les utilisateurs pourront passer aussi facilement de la video à la voix. Cela pourrait restreindre la concurrence et l'innovation dans l'industrie » explique le dirigeant de Cisco. Il ajoute « les plans de Microsoft pour intégrer Skype dans sa plateforme de collaboration et de communication, Lync, pourraient verrouiller les entreprises aux seuls abonnés de Skype ».

Un effort sur le codec H.264 et le protocole SIP

Cisco incriminerait les deux sociétés de ne pas utiliser le codec vidéo H.264 ou le protocole standard SIP (Session Initiation Protocol), explique une source proche du dossier qui veut rester anonyme. Elle précise que les utilisateurs de plateformes de vidéoconférence Cisco ou d'autres fournisseurs ne seraient pas en mesure d'appeler ceux sur le système Microsoft-Skype, sauf par le biais d'une passerelle coûteuse. Cisco a parlé des engagements sur l'interopérabilité avec Microsoft, mais devant l'absence de réponse, l'équipementier a utilisé son droit de faire appel de la décision de la Commission européenne qui expirait cette semaine.

De son côté, Microsoft a défendu l'acquisition. « La Commission européenne a mené une enquête approfondie sur l'acquisition, dans laquelle Cisco a participé activement, et a approuvé l'accord dans une décision de 36 pages sans aucune condition. Nous sommes confiants dans le fait que l'appel sera levé sur la décision » a expliqué un porte-parole de Microsoft.

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(14/02/2012 12:28:01)

Google/Motorola Mobility : UE et Etats-Unis valident le rachat

Les autorités de régulation européennes ont donné à Google le feu vert pour le rachat de Motorola Mobility. Le ministère américain de la justice (DOJ) vient également d'approuver cette acquisition. Google attend encore l'accord de la Chine, d'Israël et de Taïwan avant que le rachat puisse définitivement s'effectuer. Une enquête du Canada est également en cours.

En août 2011, Google a proposé de racheter Motorola Mobility pour un montant de 12,5 milliards de dollars. Une transaction par laquelle il se retrouverait à la tête de près de 17 000 brevets relatifs aux smartphones. L'enquête de la Commission européenne a conclu que cela ne changerait pas la situation du marché de façon significative en ce qui concerne les systèmes d'exploitation et les brevets pour ces terminaux mobiles.

Le DOJ estime lui aussi que l'acquisition de Motorola Mobility par Google ne devrait pas provoquer de changements majeurs dans l'industrie mobile. L'historique de Motorola Mobility montre que la société a cherché à capitaliser sur sa propriété intellectuelle et s'est engagé dans des querelles prolongées avec Apple, Microsoft et d'autres et que son rapprochement avec Google ne devrait pas modifier sensiblement cette politique. La dynamique actuelle des marchés ne devrait donc pas en être affectée.

Donner accès aux brevets standards essentiels

Certains brevets essentiels, portant sur la 3G ou le GSM (Global System for Mobile Communications), sont requis pour que les smartphones fonctionnent selon les standards industriels. Parce qu'ils sont cruciaux pour tous les acteurs du marché, les organismes de mise en place des standards demandent à ceux qui les possèdent d'en accorder la licence à tout tiers sur la base de conditions équitables, raisonnables et non discriminatoires (FRAND : fair, reasonable and non-discriminatory).

En approuvant la fusion entre les deux acteurs, Joaquin Almunia, le commissaire européen chargé de la concurrence, a prévenu que la Commission continuerait à regarder de près le comportement de tous les acteurs du marché dans le secteur, particulièrement l'utilisation de plus en plus stratégique des brevets. Intervenant à Paris vendredi dernier, il a aussi indiqué qu'il était prêt à recourir à toutes les mesures disponibles, telles que des amendes allant jusqu'à 10% du chiffre d'affaires d'une société, pour appliquer les règles. La Commission est déjà engagée dans une enquête officielle sur Samsung Electronics pour abus de brevets essentiels dans sa bataille contre Apple.

Le DOJ accepte le rachat de brevets par Apple, Microsoft et RIM

Les processus de standardisation doivent être justes et transparents, de façon à ce qu'ils ne soient pas entre les mains de sociétés établies qui entendraient imposer leurs technologies, a rappelé Joaquin Almunia. « Mais cela ne suffit pas. Nous devons aussi nous assurer que, lorsqu'elles détiennent des brevets standards essentiels, les entreprises y donnent accès de façon équitable, raisonnables et non discriminatoires ». Google s'est bien engagé à concéder en ces termes des licences des brevets qu'il a acquis. Toutefois, dans une lettre à quinze organismes de standardisation, il a également énuméré des cas d'exception.

L'expert en brevets Florian Mueller estime que cette lettre ne change rien. Pour lui, Google dit en fait qu'il fera exactement ce que Motorola fait déjà. L'annonce de l'approbation intervient alors que les tenants du marché mobile que sont Apple, Google et Samsung luttent pour sa domination multipliant les procès pour violation de brevets. L'OS Android de Google domine le marché mobile avec une part de marché de 38% contre 27% pour Apple.

Hier, le ministère américain de la justice a également approuvé les offres faites par Apple, Microsoft et Research in Motion (RIM) pour acquérir certains brevets de Nortel Networks, de même que l'acquisition par Apple de certains brevets de Novell.

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(13/02/2012 12:42:25)

Sopra Group veut renforcer ses activités au Royaume-Uni

Trois jours avant de présenter ses résultats financiers pour l'année 2011, la SSII française Sopra Group annonce son intention de renforcer ses activités outre-Manche par deux acquisitions. L'une porte sur la filiale britannique de Business & Decision qui intervient dans les domaines du décisionnel, du CRM (gestion de la relation client) et du e-business sur plusieurs secteurs (services financiers, distribution, secteur public, transports). L'autre projet de rachat concerne l'activité de Tieto consacrée aux services financiers sur le marché britannique. Ces deux entités ont respectivement réalisé un chiffre d'affaires de 26 M€ et 22 M€ en 2011, précise Sopra dans un communiqué.

Sur les neuf premiers mois de l'année dernière, la France pesait toujours plus de 80% du chiffre d'affaires de la SSII française, soit 632,4 millions d'euros sur un total de 769,8 M€. Les deux projets d'acquisition pourraient être finalisés au cours de ce trimestre, sous réserve des autorisations réglementaires requises. Les activités rachetées seront intégrées à la filiale britannique de Sopra Group. Cette dernière a réalisé un chiffre d'affaires de 58 millions d'euros environ pour l'année 2011.

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(10/02/2012 17:21:49)

Recap IT : Microsoft fait ses Tech.days, l'iPad 3 prévu début mars, Anonymous balance

La semaine a été marquée par les conférences de Microsoft aux Tech.days. Ces 3 jours qui réunissent les partenaires et les clients sont l'occasion de constater les efforts de la firme de Redmond dans différents domaines, le développement et le cloud, l'éducation, mais aussi dans des projets plus futuristes. Il a beaucoup été question pendant ces journées de la bêta de Windows 8 qui doit arriver à la fin du mois de février. Alors que certains s'inquiètent de la disparition du bouton démarrer, le président de la division Windows a révélé quelques détails sur la version de Windows 8 sur ARM. Microsoft a également publié les détails du prochain Patch Tuesday.

Autre acteur au coeur de l'actualité, Oracle, avec le rachat pour 1,9 milliard de dollars de Taleo, spécialisé dans la gestion des RH pour concurrencer l'acquisition récente de Success Factor par SAP. Toujours sur le plan des affaires, la firme de Redwood a saisi la justice américaine pour un nouveau procès dans l'affaire TomorrowNow. Enfin sur le plan technologique, notons qu'EMC a présenté ses cartes VFCache qui vont permettre d'accélérer les échanges entre les serveurs et les baies de stockage. Sur le cloud, Dassault Systèmes va s'appuyer sur SFR pour proposer une offre concurrente à Andromède.

Apple continue d'exacerber les sentiments. D'un côté, les revendeurs en France sont en colère contre les pratiques de la firme de Cupertino et l'on fait savoir en manifestant devant un Apple Store. De l'autre, les aficionados de la marque à la pomme scrute déjà les rumeurs annonçant la présentation de l'iPad 3 au début du mois de mars. Enfin, le FBI a été obligé de dévoiler un rapport secret sur Steve Jobs rédigé en 1991.

De l'Open Source clandestin à la rémunération pour pister l'internaute

La sécurité et la protection des données personnelles n'échappent à l'actualité. Facebook a été contraint de promettre que certaines données seraient définitivement effacées de ses serveurs. Plusieurs membres avaient retrouvé des photos supprimées depuis 3 ans. Google n'est pas en reste avec son programme Screenwise qui en échange de bons cadeaux sur Amazon, trace le comportement des internautes. Peut-être que les enseignements tirés par Google serviront aux recherches du laboratoire top-secret Google X qui vient de se dévoiler un peu sur la Toile.

Les relations entre Anonymous et Symantec se sont encore plus tendues cette semaine après la publication du code source de pcAnywhere sur le site Pirate Bay. Cela a fait suite à une négociation rocambolesque entre un pirate et l'éditeur dans le cadre d'une enquête judiciaire. Les pirates ont en tout cas de l'imagination et s'appuie sur des solutions Open Source clandestines pour créer des malwares, comme c'est le cas avec Citadel qui s'attaque aux établissements financiers. Les gouvernements essayent de se protéger comme le montre la simulation de cyber-attaque organisée par l'Anssi.

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(09/02/2012 11:38:58)

Plus de détails sur le projet de fusion Temenos/Misys

Le suisse Temenos et le britannique Misys ont donné hier des détails sur leur projet de fusion. Les deux éditeurs de solutions bancaires estiment que leurs activités sont très complémentaires et que leur combinaison profiterait d'une échelle et de perspectives de croissance améliorées. Des économies et des synergies opérationnelles sont également attendues de l'opération.

A l'issue de la fusion, les actionnaires de Misys disposeraient de 53,9% des parts de la nouvelle entité, qui serait dirigée par Guy Dubois, actuellement CEO de Temenos, et aurait Guy Wilson de Misys pour CFO. Les deux exécutifs seraient également membres du conseil présidé par Andreas Andreades, l'actuel président de Temenos. Quant au CEO de Misys, il a informé son conseil d'administration qu'il quitterait la société. Une annonce formelle de la proposition de fusion devrait suivre ces prochains jours.

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(06/02/2012 10:22:26)

Temenos et Misys discutent d'une éventuelle fusion

Le suisse Temenos et le britannique Misys ont confirmé être en discussions préliminaires au sujet de diverses options stratégiques, dont une possible fusion de leurs sociétés. Selon Milan Radia de Jefferies International Ltd. cité par Businessweek, une telle fusion donnerait naissance au plus grand éditeur de logiciels bancaires mondial avec une valeur boursière de 3,1 milliards de dollars : «Si vous êtres un fournisseur de plateformes bancaires standard, vous allez assister ici à la création d'un fournisseur massif avec une énorme base installée, quelque chose de difficile à avaler au niveau concurrentiel pour les éditeurs indiens et certains éditeurs américains».

D'autre part, le fait que les offres des deux éditeurs sont en grande partie redondantes, conduit certains analystes à se demander quelle solution s'imposerait dans le cas d'une fusion, avec un avantage toutefois pour Temenos.

Fondée en 1993, Temenos a son siège à Genève et compte un millier de clients dans le secteur financier. Suite à ces annonces, son titre a progressé de 12,5% aujourd'hui à la Bourse de Zurich (vendredi 3.02.2012 à 15h).

ICTjournal.ch (...)

(01/02/2012 15:48:52)

IBM acquiert Worklight, spécialiste du développement d'applications mobiles

IBM va acquérir Worklight, une entreprise basée en Israël, avec laquelle elle avait déjà établi un partenariat. Cette acquisition va permettre à la société américaine de disposer d'une série de technologies de développement d'application mobiles cross-platform. Les termes du contrat, qui devrait être finalisé au premier trimestre de cette année, n'ont pas été divulgués. Parmi ses technologies, la société israélienne va apporter Worklight Studio, un environnement de développement intégré basé sur Eclipse, et Worklight Server, qui fournit, selon le site de l'entreprise, une « passerelle sécurisée et évolutive entre les applications, les services extérieurs et l'infrastructure. »

« La plate-forme Worklight est adaptée pour développer des applications mobiles aussi bien pour les particuliers que pour les entreprises, et permet de cibler différents types de marchés verticaux, » comme l'a précisé IBM. Elle comprend des SDK (kits de développement logiciel) pour iOS, Android, Blackberry et Windows Mobile, et « permet de créer des applications riches, cross-platform, sans avoir besoin de réécrire de code, de traducteurs propriétaires ou de langages de programmation hétéroclites, » toujours selon le site de Worklight.

IBM a également annoncé la sortie d'une plate-forme de logiciels IBM Endpoint Manager for Mobile Devices, destinée à sécuriser et à gérer les smartphones, tablettes et ordinateurs portables des salariés d'une entreprise. « La plate-forme utilise une technologie acquise par IBM avec le rachat de BigFix en 2010. Le système permet notamment de supprimer des données sensibles à distance sur des terminaux perdus ou volés, mais aussi de vérifier qu'un périphérique respecte les règles de sécurité conforme à la politique de l'entreprise, » comme l'a expliqué IBM dans un communiqué.

Combler un vide dans la couche mobilité

SAP, proche partenaire d'IBM, voudrait également jouer un rôle de premier plan dans le domaine de la mobilité, en profitant notamment de son acquisition de Sybase en 2010. Grâce à ce rachat, SAP avait hérité du middleware mobile très populaire Sybase Unwired et de la plateforme de gestion de périphériques Afaria. « La « grande tendance » du développement mobile tourne aujourd'hui autour du HTML5, qui permet aux développeurs d'écrire leur application une fois pour toute et de la déployer ensuite sur une grande variété de périphériques et d'OS mobiles, » a déclaré Kevin Benedict, un analyste indépendant. « Worklight a réalisé de gros investissements dans ce domaine, » a-t-il ajouté.

Mais, selon l'analyste, « le choix d'IBM d'acheter cette entreprise s'inscrit dans une stratégie plus large. » Celui-ci pense en effet que « tout vendeur ERP ou disposant d'une quantité conséquente de systèmes back-end devra acquérir une entreprise qui a développé une plate-forme mobile en vue de créer la couche d'intégration nécessaire entre leurs systèmes, les différents terminaux mobiles de l'entreprise et leurs systèmes d'exploitation mobiles, » a t-il expliqué. « Les interfaces de bureau pour accéder à ces applications métiers ont de moins en moins d'importance. »

Ainsi, « Oracle affiche un énorme déficit en mobilité et je suis absolument sûr qu'ils vont devoir le combler en 2012, » a encore déclaré Kevin Benedict. «Il semble que l'acquisition de Worklight par IBM vienne aussi combler un vide. » Les vendeurs de grosses plates-formes ne peuvent pas se permettre de prendre le temps de développer eux-mêmes des plates-formes mobiles efficaces. « Ils prendraient le risque de perdre des clients, compte tenu de l'état très concurrentiel de la mobilité aujourd'hui, » a encore estimé l'analyste. La mobilité requiert « d'importants investissements et encore plus de connaissances. Racheter une plate-forme de développement mobile est sans doute la meilleure chose à faire, » a-t-il ajouté.

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(20/01/2012 14:37:38)

Twitter acquiert Summify, agrégateur d'actualités sur les médias sociaux

« La vision à long terme de Summify a toujours été de recenser les actualités pertinentes pour les gens afin de gagner du temps » précise Summify sur son blog. En raison de l'acquisition de Twitter, Summify a cessé d'accueillir de nouveaux abonnés et devrait après intégration cesser son service. Le blog ne dit pas comment le site de micro-blogging va adapter les fonctionnalités de Summify, mais elles devraient apporter une réponse à la problématique de la pollution d'informations. Il est probable que Twitter s'en serve pour filtrer les actualités les plus pertinents en ne livrant qu'un résumé des posts sur un sujet particulier. (...)

(18/01/2012 15:20:46)

SAP rachète SAF, spécialiste de la gestion de prise de commande

C'est lors de la convention annuelle de la NRF (évènement sur la distribution) à New York que SAP a annoncé l'acquisition de SAF. L'acronyme du nom de la société signifie Simulation, Analysis, Forecasting et propose des solutions automatisées de prises de commandes et de prévisions.  Les solutions de SAF seront intégrées dans celles de SAP, dont l'application Forecasting and Replenishment. L'objectif est de donner aux distributeurs  les moyens d'interagir, en quasi temps réel, avec leurs chaînes d'approvisionnement pour éviter les risques liés aux excédents et aux sur-stocks.

Le montant de l'opération n'a pas été dévoilé

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(18/01/2012 10:20:14)

La SSII Eolen acquiert la société AS+

AS+ est spécialisée dans les télécoms et l'aéronautique avec une présence de 40 ingénieurs à Toulouse. Avec le rachat par Eolen, AS+ est filialisée à 100% comme l'était Amundis, acquise en septembre dernier. D'autres opérations de croissance externe devraient suivre chez Eolen.

« C'est dans la période actuelle de crise et de nervosité, qu'il est intéressant d'apporter aux sociétés de nouvelles orientations, note Pascal Leblanc, PDG de Groupe Eolen. « Je compte bien avoir des appels de dirigeants de sociétés situées entre 50 et 200 salariés souhaitant s'adosser à un groupe qui préservera leur ADN. Je cherche avant tout des niches d'expertises, des sociétés positionnées dans le conseil et l'ingénierie ».

La société compte ainsi toujours réaliser 80 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) en 2015. Sur 2011, la croissance organique fut supérieure à 15% avec 22 ME de CA. En 2012, ce CA devrait passer à 27 ME. L'été prochain un fonds d'investissement pourrait faire son entrée au capital, mais Pascal Leblanc semble totalement allergique à l'idée d'une entrée en bourse.



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