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Gouvernance de la DSI

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(21/11/2008 16:26:19)
Départ du patron de la sécurité de VMware
L'hémorragie continue chez VMware. Nand Mulchandani quitte la direction du groupe des produits de sécurité de l'éditeur pour devenir le directeur général d'OpenDNS, fournisseur d'infrastructures Internet. Nand Mulchandani avait rejoint le groupe l'an dernier, lorsque celui-ci avait acheté sa société Determina. Depuis que Diane Green, fondatrice de VMware, a été démise de ses fonctions de directrice générale de VMware en juillet dernier, l'éditeur a subi une vague de départs de dirigeants de haut niveau : son éviction a été suivie par la démission de son mari, Mendel Rosenblum, qui occupait le poste de Chief Scientist, et de celle de Richard Sarwal, patron de la R&D. Ce dernier retourne chez Oracle après quelques mois passés chez VMware. (...)
(19/11/2008 15:09:36)Exclusif : Laurent Baudart devient délégué général de Syntec Informatique
Francis Jubert a quitté ses fonctions de délégué général du Syntec Informatique la semaine dernière. Son remplaçant, Laurent Baudart, était jusqu'alors directeur des services clients internationaux chez ECS. Cette dernière fonction l'a conduit à être recruté par le Syntec Informatique qui vient de fédérer plusieurs de ses homologues européens pour mieux peser à Bruxelles. Entré chez ECS en décembre 2003, Laurent Baudart a d'abord dirigé les opérations en Europe pendant deux ans. Ensuite, il anima la « business unit » services aux infrastructures, de 2005 à 2007. Depuis, il était responsable des services au plan international. Membre du « board », il a également piloté plusieurs acquisitions en Italie et en Espagne et assuré la fusion avec Technoservice en Allemagne. Avant ECS, Laurent Baudart a été directeur des ventes en Europe du sud pour Corvis (de août 2000 à octobre 2003), responsable commercial puis directeur des ventes de MCI Worldcom (mai 1997 - juillet 2000), responsable commercial chez l'intégrateur Datastaff (avril 1996 - mai 1997), Cabletron (avril 1995 - avril 1996), France Télécom (janvier 1992 - avril 1995), TRT Philips (décembre 1988 - janvier 1992). Laurent Baudart est diplômé de l'ESCP-EAP et ingénieur diplômé de l'Eudil (Lille). (...)
(18/11/2008 17:19:48)Du mouvement à la tête de Symantec
Après 28 ans chez IBM, puis une décennie chez Symantec, John Thompson prend sa retraite. En tant que PDG de Symantec, il aura orchestré la transition de cette société spécialiste des logiciels de sécurité grand public en éditeur presque généraliste tournés vers les problématiques d'entreprise : sécurité, mais également administration de parc, stockage et gouvernance des systèmes d'information. Il a notamment supervisé l'achat de Veritas en 2004, puis l'acquisition d'Altiris, en janvier 2007. Cette transformation achevée, John Thompson s'apprête donc à passer la main. Le 4 avril 2009, il prendra officiellement sa retraite et laissera son poste de PDG à Enrique Salem, directeur opérationnel de Symantec depuis 2008. Celui-ci était notamment chargé de superviser le travail de R&D pour améliorer l'intégration entre tous les produits, en particulier ceux acquis via des sociétés absorbées. Quelle orientation choisira-il pour la société ? Comment lui fera-t-il traverser la crise économique actuelle ? Enrique Salem ne veut pas s'aventurer dans une direction particulière, même s'il pense qu'il y a encore de fortes marges de croissance dans le stockage et l'administration des systèmes. Il s'affirme plutôt confiant : « Je suis ravi d'avoir cette opportunité de diriger une grande compagnie à travers sa prochaine phase de croissance et de création de valeur pour nos actionnaires. » Et pour se préparer à son prochain poste, il se penche déjà sur les structures de coûts de l'entreprise. De toute façon, John Thompson gardera un pied dans la société, puisque même retraité, il restera président du conseil d'administration. (...)
(10/11/2008 16:36:25)[Vidéo] Bruno Ménard, nouveau patron du Cigref, sur le plateau d'IT News TV
Un mois après avoir été élu président du Cigref, Bruno Ménard livre à IT News TV ses premières impressions et ses ambitions pour le Club informatique des grandes entreprises françaises. Interrogé par notre confrère de CIO-online.com, Bruno Ménard explique notamment qu'il faut « dépasser le débat entre informatique privée et informatique professionnelle », et « s'interroger non seulement sur ce que sera l'informatique d'entreprise en 2020, mais aussi sur ses usages dans la société». Ce n'est qu'ainsi, dit-il, que le Cigref pourra dégager des idées d'organisation et « d'opportunités de marché ». Bruno Ménard revient également sur l'épisode rocambolesque de la normalisation par l'ISO d'OpenXML, le format bureautique de Microsoft. Il refuse de dire que le Cigref a ménagé la chèvre et le chou dans cette affaire, préférant souligner la volonté d'agnosticisme de l'association. Qui, dit-il, « demande des standards qui facilitent l'interopérabilité, qu'ils viennent du fournisseur x, du fournisseur y ou de l'Open Source ». L'entretien est découpé en trois parties : - La présentation du Cigref, et la façon dont ce non-technicien, au cursus de contrôleur de gestion et de direction opérationnelle, a pris la tête de l'IT chez Sanofi puis la présidence du Cigref. - La situation du Cigref et les activités à développer en 2009, notamment dans la perspective des 40 ans du club. - Le rôle du Cigref en tant qu'association de défense des DSI face à des fournisseurs parfois trop gourmands. (...)
(16/10/2008 15:43:46)Selon le Gartner, les DSI devront tailler dans les coûts de personnel
Les analystes du Gartner énumèrent une vingtaine de conseils pour aider les DSI à faire des économies. Cette liste est publiée alors que le cabinet révise à la baisse ses prévisions sur les investissements IT en raison de la crise actuelle. En envisageant le scénario le plus sombre, il table désormais sur une croissance mondiale des investissements informatiques de 2,3% contre 5,8% auparavant. Pire, ces quelques points de croissance ne seront dus qu'aux pays émergents. Les DSI européennes devraient réduire leurs budgets, tandis que les américaines parviendront à les maintenir. Alléger la hiérarchie C'est dans les coûts de personnel que le Gartner conseille de tailler en premier. Le cabinet se fonde sur le fait que ce poste représente 37% du budget total. Ces économies doivent s'accompagner d'un allègement de la hiérarchie en confiant la responsabilité d'équipe d'une vingtaine de personnes à un seul cadre, au lieu de six à sept auparavant. A équipe réduite, optimisation de la structure : le conseil est de regrouper le plus possible les compétences. Par exemple, en n'ayant plus qu'un service support. Réduire les coûts d'impression Un contrôleur de gestion attaché à la DSI est aussi préconisé. Il pourra, entre autres, s'attacher à chasser les coûts cachés comme ceux d'impression ou de consommation électrique. Cette chasse passe aussi par le dépouillement minutieux des factures des fournisseurs et par l'éradication des licences des logiciels inutilisés et par leur transfert d'un salarié à un autre. Les appels d'offres sont aussi l'occasion idéale pour mettre un fournisseur sur la sellette et pour évaluer le coût d'un changement. Passer à la téléphonie sur IP, abandonner le spécifique [[page]] Le poste télécommunications, tout particulièrement en France (ndlr), est aussi à scruter de près. Faire appel à un prestataire qui analyse les factures télécoms est toujours rentable. La centralisation des achats de mobiles vaut bien sûr mieux que leur remboursement aux utilisateurs. La mise en place de la téléphonie sur IP s'impose avec encore plus de force. L'écart de prix entre une garantie de services à cinq 9 (99,99999%) et une à seulement trois (99,999%) mérite que l'on s'interroge. L'abandon de toutes les solutions spécifiques saute aux yeux. En particulier dans le domaine des réseaux où l'usage de l'infrastructure d'Internet doit remplacer des WAN coûteux. Dans les datacenters, serveurs consolidés et virtualisés, doivent être associés à des systèmes de stockage optimisés (déduplication, thin provisionning). Enfin, le report d'un éventuel passage à Vista est fortement conseillé. (...)
(15/10/2008 08:07:53)Google et le Cigref partenaires pour étudier le Saas et le 'cloud computing'
Google a signé une charte de collaboration avec le Cigref (Club informatique des grandes entreprises françaises), comme Microsoft, IBM et Oracle l'ont fait avant lui. Le premier objet de cette collaboration sera de travailler autour des concepts chers à Google tels que le SaaS (Software as a service) et le 'Cloud Computing' afin de mieux définir les sources de création de valeur pour les entreprises utilisatrices confrontées à ces offres de services applicatifs disponibles en ligne et à la demande. Le partenariat vise également, comme pour chaque charte similaire signée par le Cigref, à mieux définir les feuilles de route de produits et services, la politique de licences, l'organisation commerciale du prestataire, etc. Même la communication officielle autour de cette charte reconnaît la nécessité pour Google de mieux comprendre le monde des grandes entreprises représentées par le Cigref. Comme disait Didier Lambert, président sortant du Cigref lors de la dernière Assemblée générale de l'association, « il faut apprendre aux entreprises ce qu'est Google et à à Google ce qu'est une entreprise ». Bruno Ménard, ancien administrateur et nouveau président du Cigref, a repris pratiquement les mêmes mots dans la communication autour de cette charte. (...)
(10/10/2008 18:01:52)Cigref : une AG sous le signe du SaaS, de l'Open source et d'un nouveau président
Le Cigref (Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises ) a tenu son assemblée générale annuelle le 9 octobre 2008. Comme prévu, Didier Lambert, DSI d'Essilor, a cédé sa place de président. Et c'est Bruno Ménard, vice-président IT groupe de Sanofi Aventis, qui prend sa succession. Le passage de relais devrait s'effectuer sans grand bouleversement pour la politique et l'organisation du club. La réunion fut surtout l'occasion pour les DSI de dérouler quelques messages forts, notamment à l'attention des fournisseurs. Les patrons de l'IT rappellent qu'il sont de plus en plus un peu partout dans les processus de l'entreprise. Ils pointent du doigt par ailleurs les pressions croissantes exercées par les fournisseurs (en particulier les éditeurs) sur leurs pauvres budgets. Et ils n'hésitent pas à brandir les épouvantails du Saas et de l'Open-Source, régulièrement cités l'un comme l'autre au fil des discours. Pascal Buffard, DSI d'Axa et vice-président du Cigref, s'est appuyé sur les travaux menés en commun par le club et le cabinet Mc Kinsey pour rappeler qu'il faut donner la priorité à la valeur d'usage du système d'informations plus qu'à sa valeur comptable. Le DSI devrait être, selon ces travaux, au coeur des processus de redéploiement des ressources humaines et de reengeneering des processus. Selon lui, « la création de valeur est une co-création, liée à un partenariat entre le DSI et les autres directions.» Une étude pour définir la place du libre dans les systèmes d'information [[page]]Pour sa part, Marc Lagoutte, autre vice-président du Cigref et DSI groupe de Danone, a largement invoqué le SaaS et l'Open Source. Ce dernier est ainsi vécu comme « un contre-pouvoir » (sic) face aux logiciels propriétaires, mais aussi comme un moyen de mobiliser les équipes d'informaticiens, qui ont à coeur de bien faire puisque le monde entier pourra voir la qualité de leur travail « ouvert ». Cependant, le Cigref a du mal à estimer la véritable place du logiciel libre dans les systèmes d'information d'entreprise et va lancer une étude pour y voir plus clair. Marc Lagoutte s'est aussi interrogé sur la limitation des prérogatives des DSI. « Les systèmes collaboratifs de type web 2.0 sont à la marge du système d'information, au point que la question se pose de savoir si c'est bien au DSI de les gérer... » Il a également plaidé pour une remise à plat de la notion même de poste de travail, certains nouveaux périphériques comme les smartphones par exemple, venant empiéter sur son rôle traditionnel. Le choix d'un poste de travail léger, lourd ou semi-lourd a un impact clair sur l'architecture du système d'information, d'autant que la bureautique en SaaS ouvre des perspectives très intéressantes. Pour Marc Lagoutte, « le DSI est l'agent du changement et de l'adaptabilité de l'entreprise, celle-ci représentant la clé de la survie de l'entreprise dans un univers de concurrence darwinienne. » Le bulletin de notes aux grands fournisseurs [[page]] Francis Aaron, vice-président du Cigref et DSI du groupe Bolloré, a fait l'apologie des partenariats du Cigref avec d'autres organisations, comme le Syntec, mais surtout avec le CMAP (Centre de Médiation et d'Arbitrage de Paris, rattaché à la Chambre de Commerce et d'Industrie). Le 2 octobre, le Cigref a eu l'occasion de rencontrer Steve Ballmer lors de sa venue à Paris, et de renouveler son accord pluri-annuel de coopération avec l'éditeur. Les problèmes ne sont pas mineurs (licences, clés d'activation de Vista, formats de fichiers bureautique...) et des efforts restent àfournir, mais l'élève Microsoft semble avoir plutôt bien travaillé. Progressivement, IBM entre lui-aussi dans la logique du travail avec le Cigref, mais il a été considéré comme « trop scolaire, trop marketing ». Trois nouvelles conventions lient désormais le Cigref à Oracle (qui fait des efforts mais ne doit pas arrêter), SAP (dont le modèle de licence devra être travaillé) et Google. Les sujets de collaboration possibles entre ce dernier et le Cigref semblent potentiellement nombreux : SaaS, Green IT, etc. Francis Aaron a cependant fustigé l'explosion des tarifs de la maintenance établis par les éditeurs de logiciels propriétaires, explosion qui n'est pas compensé par un meilleur service. (...)
(08/10/2008 15:48:00)HP et Itil v3 visiblement en avance sur les utilisateurs
Améliorer l'efficacité de ses processus informatiques tout en réduisant les coûts ne suffit plus. Voilà le constat, un peu décourageant, qu'on pourrait tirer du Forum ITSM organisé par HP ce matin à Paris. Présentant la version 3 d'Itil, le référentiel de bonnes pratiques en matière de gestion des services informatiques (ITSM, IT service management), Stuart Rance, expert Itil de HP, a en effet mis l'accent sur le hiatus existant parfois entre les résultats obtenus avec Itil v2 et le ressenti de la direction générale. Elaboré dans les années 80 par le gouvernement britannique, Itil vise à aider les directions informatiques à mieux s'organiser. Le but global n'a pas changé, mais entre-temps le monde informatique a fortement évolué. « Il y a 10 ou 15 ans, explique ainsi Stuart Rance, les gens étaient prêts à payer davantage pour améliorer l'efficacité de leurs services informatiques. Il y a 5 ans, leur but était de réduire les coûts. Aujourd'hui, ils veulent faire les deux. » Itil a servi à réduire les coûts, mais pas encore à aligner métier et IT La version 2 d'Itil a aidé les entreprises à atteindre cet objectif. Selon l'enquête HP/IDC présentée en ouverture du Forum par Karim Bahloul, directeur du consulting chez IDC, Itil a permis aux entreprises d'améliorer principalement la gestion des changements et la gestion des incidents. Et si les Etats-Unis ont massivement adopté cette méthodologie, l'Europe n'est pas tant à la traîne que cela, puisque, dixit Karim Bahloul, « environ 40% des entreprises européennes se sont lancées dans Itil v2 ». Toutefois, Stuart Rance soulève un paradoxe : certaines directions informatiques ont, grâce à Itil, réussi à améliorer la qualité de leur service et réduit leurs coûts, mais sans parvenir à satisfaire leur direction générale. Car la v2 d'Itil définissait une série de processus mais ne prenait pas en compte l'alignement entre métier et informatique. Le leitmotiv d'Itil v3 : créer de la valeur pour le métier [[page]] « En Itil v3, continue Stuart Rance, un service informatique doit créer de la valeur à la fois pour le métier et pour le client final, diminuer les coûts ou améliorer la productivité, gérer les risques et aider les entreprises à atteindre leurs objectifs. » Prenant l'exemple d'un industriel comme Renault qui n'imaginerait pas mettre en oeuvre des services - comme une chaîne de fabrication de voitures - sans connaître à l'avance le coût de ce service ni sa valeur pour le métier, Stuart Rance enfonce le clou : « En IT, on le fait tout le temps. » Les utilisateurs cherchent avant tout à mieux gérer les incidents Dans sa version 3, Itil répond à cette problématique en définissant un cycle de vie démarrant par une définition de la stratégie à suivre. Bien entendu, Stuart Rance ne conseille pas de tout implémenter d'un coup. Il peut s'agir de plans à long terme comme de projets simples et rapides, dit-il, des « quick wins ». En revanche, sachant que « à quelques petites exceptions près, tout ce qui existe en Itil v2 est aussi dans Itil v3 », il encourage fortement les directions informatiques à se pencher sur le sujet. Visiblement, le conseil n'est pas inutile : un sondage à mains levées dans la salle a montré que si la majorité avait déjà commencé à implémenter Itil, une petite minorité a pris la peine de se renseigner sur la version 3 de ces bonnes pratiques. Cependant, comme l'ont rappelé les participants à la table ronde utilisateurs, l'important n'est pas d'implémenter Itil de façon dogmatique, mais de choisir les bonnes pratiques qui conviennent à l'entreprise et à son existant. Et en l'occurrence, les entreprises se contentent bien souvent d'un outil de gestion des incidents supportant les bonnes pratiques Itil. (...)
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