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Gouvernance de la DSI
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(11/10/2007 15:48:03)
La stagnation des budgets informatiques se confirme pour 2008
Selon une étude du cabinet Goldman Sachs auprès de 100 décideurs d'entreprises du Fortune 1000, la réduction des coûts serait passée en un an de la 20e à la 7e place dans la liste des priorités que se sont fixées les entreprises. 40% des décideurs interrogés estiment en effet que leur budget informatique pour 2008 sera équivalent à celui de 2007, 30% prévoit une augmentation inférieure à 5% et les 30% restants envisagent entre 5% et 15% d'accroissement. Pour Goldman Sachs, les dépenses informatiques porteront sur les six principaux pôles d'intérêt, à savoir la Buisiness Intelligence, la virtualisation des serveurs, la sécurité, l'intégration d'applications, la consolidation des serveurs et enfin les solutions autour des progiciels de gestion intégrés. D'autres tendances apparaissent également, dont un réel intérêt pour les architectures SOA, les solutions logicielles de stockage, le client léger et les applications hébergées, synonymes de réductions des coûts. A l'inverse, la VOIP et les consolidations de centres de calcul ou encore la migration vers Vista, la dernière version d'Office ou les solutions Open Source ne semblent pas faire partie des priorités des entreprises. « Malgré les études relativement positives sur l'adoption d'Enterprise Linux de Red Hat, il semblerait que les entreprises restent frileuses quant aux solutions Open Source ; ce qui pourrait signifier que les revenus des acteurs de l'Open Source dans les secteurs du middleware, des bases de données et des applications resteront assez limités », estime le rapport. (...)
(11/10/2007 15:15:35)Les DSI consacrent désormais 20% de leur budget à la sécurité
En 2006, 20 % du budget IT des sociétés était consacré à leur protection, contre seulement 15 % en 2005 et 12 % en 2004, selon une étude menée auprès de 1070 sociétés par CompTIA (Computing Technology Industry Association). De plus, sur chaque dollar dépensé pour la sécurité, 42 cents concernent l'achat de produits liés à la sécurité, 17 cents à la mise en place de processus, 15 cents à la formation, 12 à la gestion des acquis et 9 à la certification, le reste étant réparti dans des secteurs variés. Environ 50 % des entreprises interrogées comptent augmenter la part de la sécurité dans leur prochain budget par l'achat de nouveaux produits, et 33 % d'entre elles par la mise en place de formations liées à la sécurité. (...)
(10/10/2007 18:10:20)Le Gartner voit 2008 en dix technologies
Le Gartner a identifié dix technologies qu'il qualifie de "stratégiques" pour 2008. Nombre d'entre elles étaient déjà présentes dans un tour d'horizon similaire de l'an passé. Ces technologies ne s'inscrivent donc pas en rupture d'une évolution, mais bien comme les derniers avatars de tendances de fond qui emmène le monde de l'entreprise (et le reste) vers une omniprésence du numérique dans tous les processus. Les dix technologies de 2008
L'Open Invention Network rappelle ses engagements à Paris
« Attirer de nouveaux licenciés, et faire passer le message que nous fournissons une protection. » A l'occasion d'une tournée française, le PDG de Open Invention Network, Jerry Rosenthal, a tenu a rappeler à un parterre d'acteurs influents de l'industrie informatique la mission de sa société. Etaient présents des responsables d'IBM, d'Ars Aperta, de Mandriva, de l'April, de l'Aful, de Linagora, du cabinet, Herbert Smith et du consortium OW2. L'Open Invention Network vise à créer une protection juridique pour les utilisateurs de Linux en achetant des brevets pour les mettre à disposition gratuitement des développeurs et de la communauté Open Source. En retour, ces derniers s'engagent à ne pas utiliser leurs brevets contre Linux. IBM, Philips, Novell, Sony et Red Hat en sont les fondateurs. Dans le cadre enchanteur de l'hôtel Westin de Paris, Jerry Rosenthal, tout en annonçant avoir signé un contrat avec Ars Aperta (cabinet de conseil spécialisé dans les standards et l'Open Source), explique détenir un portefeuille de plus de cent brevets, « tous de grande qualité et qui portent sur de multiples applications ». Une façon également de confirmer que la tâche de l'OIN ne se limite pas au seul noyau Linux, mais bien à une distribution. Ainsi OpenOffice serait selon lui inclus. Fort de ce constat, l'OIN espère, outre le fait de poursuivre l'achat de brevets - « du fait d'une forte demande des entreprises » - recruter davantage de soutien, côté utilisateur. Et de citer l'exemple de Google qui fut un des premiers du camp des utilisateurs d'applications Open Source à prendre une licence auprès de la société en août 2007. Il a également indiqué que l'accord passé entre Microsoft et Novell (un des fondateurs de l'OIN) n'avait en aucun cas impacté l'adoption de Linux. Enfin, Jerry Rosenthal compte s'intéresser davantage aux start-up. (...)
(10/10/2007 12:35:49)Le Cigref exhorte les fournisseurs à s'engager sur des résultats
Les DSI du Cigref, Club informatique des grandes entreprises françaises, aimeraient que les fournisseurs s'engagent sur des résultats, afin qu'eux-mêmes puissent s'engager auprès des directions générales et des utilisateurs. C'est le message essentiel qu'a tenu à faire passer Didier Lambert, DSI d'Essilor et président du Cigref, lors d'une conférence hier soir, tenue à l'issue de son assemblée générale. Après avoir évoqué l'accord renouvelé avec Microsoft et les discussions fréquentes avec SAP, Oracle et IBM, Didier Lambert a tenu à mettre les choses au point, en expliquant que cette demande ne se fait pas contre les fournisseurs, mais pour le bien commun : « Nous ne sommes pas une association anti-fournisseurs. Nous sommes dans le même bateau, engagés dans la même chaîne de valeur. » Et, s'adressant directement aux fournisseurs : « Les DSI sont vos revendeurs dans les entreprises. » Le Cigref préfère l'interopérabilité aux standards Faisant le bilan des événements marquants de l'année, Didier Lambert a noté la concentration continue des éditeurs, déplorant la disparition d'un acteur majeur de l'édition française (BO racheté par SAP). Côté technologies, il estime que la virtualisation et le logiciel délivré comme un service (Saas, software as a service) constituent deux tendances de fond, dont un des intérêts est d'améliorer le contrôle des coûts. Il a également profité de l'occasion pour rappeler que les DSI ne sont pas hostiles à ce que certaines directions métier reprennent la main en adoptant du Saas, dans la mesure où cela leur simplifie la vie. Evoquant par ailleurs la guerre des standards entre ODF et OpenXML, Didier Lambert explique que le Cigref n'a pas vocation à choisir : « Le maître-mot pour nous, ce n'est pas les standards, mais l'interopérabilité. On passe 50% de notre temps à raccorder des bouts de ficelle entre eux. Au début, ça amuse, à la fin, ça lasse. » Un peu plus tôt, Jean-Marc Lagoutte, DSI du groupe Danone, avait évoqué lui aussi des tendances de fond. Notamment le Saas, qui permet de « variabiliser les coûts » (sic), mais qui présente encore des « besoins de maturation », et l'Open Source, dont « les briques sont de plus en plus nombreuses et crédibles ». Sur ce dernier point, Jean-Marc Lagoutte adresse pour sa part un message aux sociétés de services en logiciels libres, en leur demandant de mieux prendre en compte l'existant. (...)
(04/10/2007 14:28:37)Les entreprises maîtrisent mal la valeur de leur informatique
Le principe qu' « une entreprise qui réussit est forcément une entreprise capable de mesurer la rentabilité et la productivité de chaque service, chaque acquisition, chaque recrutement » ne s'appliquerait pas forcément au secteur de l'informatique. Selon une étude menée par le cabinet Vanson Bourne auprès d'entreprise américaines, françaises, allemandes, italiennes et du Royaume-Uni, seulement 60% des responsables financiers auraient essayé de mesurer la valeur de leur informatique. Ils ne seraient que 37% parmi les responsables informatiques. Sur les 250 responsables informatiques et financiers interrogés, plus de la moitié estiment toutefois que le problème se pose moins quand il s'agit de connaître ou pas la valeur de son informatique, que de s'y intéresser sous l'angle de la rentabilité. « Quand on sait que plus d'un trillion de dollars ont été dépensés l'an dernier en informatique, on est en droit d'attendre que les résultats de cette enquête alertent les entreprises », souligne Stephen Kelly, DG de Micro Focus, éditeur qui a commandité l'étude, qui ajoute : « Si les entreprises ne connaissent pas le coût et la valeur de leur informatique, elles doivent avoir beaucoup de mal à prendre les bonnes décisions quand il s'agit d'investir pour évoluer ». Bonne élève, l'Allemagne serait la plus sérieuse avec 60% des responsables qui estiment avoir une idée précise de la valeur de leur informatique, contre 12% au Royaume-Uni, le plus mauvais élève de l'étude. Il faudra attendre novembre pour avoir une version complète de l'étude et connaître notamment la position des entreprises françaises dans ce palmarès. Quelle qu'elle soit, on sait déjà que la France n'échappe pas à cette aberration qui voudrait que la rentabilité de l'informatique ne soit pas mesurée au même titre que toutes les autres valeurs de l'entreprise. (...)
(27/09/2007 11:46:29)Le secteur public, moteur des TIC
« La tendance reste à une croissance forte des budgets » dans le secteur public, a indiqué Emmanuelle Olivié-Paul de Markess International lors de la matinée « Comment le secteur public s'investit dans les TIC ? » organisée par CIO et Le Monde Informatique le 25 septembre 2007 au Park Hyatt Paris Vendôme. Parmi les facteurs à l'origine de cette forte dynamique, l'évolution réglementaire est une source importante des évolutions régulières des systèmes d'information. Cependant, l'uniformité n'est pas de mise dans le secteur public. Les ministères sont surtout mobilisés autour de projets d'urbanisation, de téléservices, de sécurité et de signature électronique autour de la dématérialisation. Les établissements rattachés ont, eux, en plus, des problématiques de PGI et de VoIP. Les collectivités locales sont, quant à elles, surtout orientées vers des problématiques) à forte composante applicative : la dématérialisation, les téléservices, les SIG et l'archivage électronique. La part du budget consacrée à l'informatique est très variable selon les situations : de 1 à 10% (avec une moyenne de 6%) dans les administrations centrales, de 1 à 2% (avec une moyenne à 1,5%) dans les collectivités locales. De manière transverse, le secteur public a besoin de rationaliser ses procédures et ses SI, de rationaliser son exploitation, ainsi que de moderniser ses compétences. (...)
(26/09/2007 16:58:39)Sun ouvre une communauté écolo, openeco.org
L'heure est aux communautés en ligne écolo. Après le projet lesswatts.org d'Intel, Sun a inauguré lundi 24 septembre openeco.org, un site communautaire qui calcule, analyse et compare l'émission de gaz à effet de serre des entreprises. Surfant sur le très en vogue aspect participatif du Web, openeco.org vise à fédérer les résultats, les expériences et les démarches entrepris par ses membres pour baisser leur consommation énergétique. L'opération se penchera dans un premier temps à limiter le gaspillage énergétique dans les bureaux, promouvoir l'usage d'énergies renouvelables et réduire les parcs de voitures des entreprises. Le projet est accompagné d'un ensemble d'outils ouverts à tous, dans le but de faciliter les analyses. Natural Logic et Ceres, deux spécialistes de l'économie « verte », sont pour l'heure cités en tant que participants au projet. (...)
(21/09/2007 12:22:56)Pour Gartner, l'Open Source est incontournable
Lors du sommet Gartner sur l'Open Source, Mark Driver, vice-président du cabinet d'analyse, a été très clair : Les sociétés peuvent essayer d'éviter l'Open Source, mais il sera alors plus simple de se passer entièrement d'infrastructures high-tech. « L'Open Source s'intègrera à votre réseau que vous le vouliez ou non. Il est devenu totalement impossible d'éviter le sujet », affirme Mark Driver, soulignant que d'ici 2011, 80 % des logiciels commerciaux contiendront au moins une partie de code Open Source. Il propose également quatre éléments pour juger de l'intérêt d'intégrer un logiciel ouvert dans son organisation. Le premier est l'utilité du logiciel. « L'Open Source, plus que les autres modèles dans l'industrie, a de nombreux promoteurs, à la limite fanatiques [...].» Le deuxième est le ratio risque/amortissement, en s'assurant que le produit est suffisamment stable et dispose d'un support technique. Le troisième est l'autonomie technique de l'entreprise et sa capacité à absorber de nouvelles technologies. Et enfin, le quatrième facteur est l'aspect critique de l'application. Sur ce point, l'Open Source n'est pas forcément une mauvaise solution si l'entreprise est - par rapport aux trois autres facteurs - prête. Selon Gartner, 49,7 % des applications critiques pour les sociétés sont issues de l'Open Source, contre 59 % issues de logiciels commerciaux et 58,5 % développées en interne (ndlr : le total dépasse 100 % car une société a souvent plus d'une application critique). Et Mark Driver de conclure : « Vous devez établir vos critères pour évaluer les logiciels Open Source, ainsi que des procédures pour les adopter et les maintenir. L'Open Source n'est plus un marché de niche ou une mode, c'est devenu un produit courant et qui le restera. » (...)
(20/09/2007 08:39:18)Les politiques de sécurité manquent de structure, estime Gartner
Selon Les Stevens, analyste chez Gartner, il est primordial pour les entreprises d'établir une politique de sécurité claire et assimilable par tous les employés. Pour cela, elles doivent avant tout identifier les facteurs clés de cette politique, garantissant le succès ou conduisant à un échec de leur plan de gestion . «Beaucoup d'entreprises ont négligé d'apprendre les actions à mener pour développer une politique de sécurité», a-t-il déclaré lors de l'IT Security Summit de Londres. Elles ont davantage mis l'accent sur la satisfaction des responsables et leur capacité à mener à bien les audits. Leur attention ne s'est pas assez focalisée sur les besoins liés à l'activité, en termes de risques et d'implémentation. Selon l'analyste, le contenu de la politique doit «être clair et concis, définir les rôles et les responsabilités de chacun et faire apparaître de façon claire les conséquences du non respect des règles par le personnel». De plus, il doit être rédigé dans une langue compréhensible par tous. Sa mise en oeuvre doit être adaptée à la culture de l'entreprise, régulièrement revue et maintenue à jour. Enfin, les entreprises doivent être auditées pour vérifier la bonne correspondance entre la politique déployée et leurs activités. Pour mettre en place une politique de sécurité de façon optimale, les entreprises doivent utiliser une charte, associée à des règles génériques et d'autres plus spécifiques en fonction de chaque département. Les responsables informatiques et directeurs exécutifs devraient, selon Les Stevens, avoir la responsabilité du développement de la politique, tandis qu'un comité aurait la charge de l'approuver et de l'implémenter. (...)
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