Flux RSS

Gouvernance de la DSI

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

364 documents trouvés, affichage des résultats 191 à 200.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(19/09/2007 09:43:49)

Le Syntec donne un coup de projecteur sur le conseil en technologie

Le Syntec est une organisation professionnelle regroupant des entreprises dans trois activités : les SSII, l'édition de logiciels et le conseil en technologie. Ce dernier, « mal connu » selon le Syntec malgré l'existence de sociétés comme Alten ou Altran , fait l'objet d'une mise en lumière en ce moment, notamment avec une étude OPIIEC/IDC. En effet, même si le secteur du conseil en technologie est en forte croissance, si ses acteurs sont essentiellement nationaux en France et si, en plus, ceux-ci exportent, ses entreprises ont du mal à recruter. Le métier du conseil en technologie est défini comme la fourniture de prestations d'assistance, de conception et d'industrialisation de produits et d'équipements à dominante industrielle, c'est-à-dire destinés à être produits et vendus, à l'exclusion de toute opération de production, de l'ingénierie BTP et de ce qui relève de l'informatique de gestion (domaine relevant de la SSII). Selon IDC, les donneurs d'ordre attendent des sociétés prestatrices une compétence dans toutes les sciences de l'ingénieur. L'informatique est certes un domaine important du conseil en technologie mais ce n'est qu'une partie d'un tout. Quelque 606 entreprises de plus de dix salariés ont été étudiées par IDC dans toute la France. Selon ce cabinet, le marché du conseil en technologie serait d'un montant global de 5,3 milliards d'euros en 2006 dont 3,8 pour les sociétés étudiées. Un secteur porteur Le secteur se caractérise par une assez forte concentration géographique et financière associée à une focalisation sur quelques clients. Les 25 prestataires les plus importants représentent ainsi 37% du marché. Et l'essentiel des sièges sociaux des sociétés se situe en Ile-de-France, à Toulouse, à Lyon et à Lille. L'ensemble des zones frontalières françaises sont par ailleurs riches d'un tissu de petits prestataires avec une activité transfrontalière importante. De plus, les secteurs de l'automobile, de l'aéronautique et de l'énergie représentent une part essentielle du marché. 78% des prestataires sont présents sur ces trois secteurs et seulement 3% en sont totalement absents. Le conseil en technologie, toujours selon IDC, représenterait 65 000 emplois dont 43 000 ingénieurs et techniciens, avec entre 14 000 et 15 000 recrutements cette année pour environ 3500 créations d'emploi nettes, la moitié des recrutements concernant des juniors (jeunes diplômés ou avec moins de deux ans d'expérience). 75% des sociétés interrogées par IDC déclarent avoir du mal à recruter. Côté donneurs d'ordre, la tendance est à la forfaitisation de l'achat de conseil en technologie, plus avec un engagement sur le niveau de service et de compétence de l'équipe qu'avec un cahier des charges détaillé et formalisé. Mais, à l'inverse de ce qui se passe dans le secteur des SSII, la tendance ne serait pas ici au développement du référencement. Les prestataires de conseil en technologie ne sont plus juste une variable d'ajustement en expertise métier mais de plus en plus de véritables délégués externalisés à l'innovation. (...)

(18/09/2007 16:33:13)

Les DSI appelées à muter jusqu'au point de disparaître

Selon le Gartner Group, les DSI sont appelées à muter. Selon John Mahoney, vice-président du cabinet, d'ici cinq ans, les grandes DSI devraient se scinder en deux pour donner naissance à deux entités. L'une sera en charge de la ressource informatique proprement dite, l'infrastructure et les applications, l'autre de l'architecture et de la gestion des flux d'information par métier. Cette césure correspond à l'évolution du métier de DSI. De technicien, il devient progressivement organisateur de processus métier. Le Gartner décrit cinq types de DSI. Le spectre s'étend de la DSI traditionnelle, centrée sur la technologie, à une DSI qui aurait disparu, chaque dirigeant ayant en charge les aspects informatiques de sa charge. C'est ainsi que fonctionnent les universités, souligne le Gartner. (...)

(12/09/2007 17:31:41)

Microsoft France simplifie ses licences en douceur

Après l'annonce globale du 10 septembre dernier, Microsoft France vient de le confirmer. « La simplification de notre programme de licence aura également lieu en France », précise Emmanuelle Rusquart, responsable marketing pour les programmes de licences en volume pour les PME/PMI. « Il s'agit de répondre à une demande de nos partenaires et de nos clients qui veulent plus de visibilité et de simplicité dans nos contrats et nos tarifs. » Les tarifs justement seront les premiers touchés par ces modifications. A partir du 1er octobre, la politique « Single Language », qui vise à n'indiquer qu'une seule fois le prix d'un produit quelle que soit la langue d'installation, sera appliquée. Un petit changement qui va grandement diminuer les tarifs. Auparavant, chaque version d'un produit était classée en fonction de sa langue (environ 72 versions de Word) puis de son prix. En France, les programmes Open (à partir de cinq produits) passeront de 6000 à 4000 références, les Open Value de 6000 à 3000 et les licences Select de 22 000 à 11 000 références. En novembre, ce seront au tour des contrats eux-mêmes d'être modifiés pour être moins longs (jusqu'à 50 % de texte en moins), avec un vocabulaire plus simple et moins de formalités. Une seule signature sur la couverture suffira pour le valider. Enfin, les deux sites actuels MVLS (Microsoft Volume Licensing Services) et eOpen verront leur contenu et leur mode de navigation modifiés avant de fusionner complètement au sein d'un nouveau portail VLSC (Volume Licensing Service Center) au plus tard le 1er juin 2008. (...)

(07/09/2007 16:34:56)

Forrester : les entreprises prennent davantage en compte la gestion du risque

Plus de prise en compte de la gestion du risque et moins de technologies flamboyantes de protection. Tel est le constat réalisé par le cabinet Forrester lors du Security Forum. Si, historiquement, les précédentes éditions de l'événement étaient marquées par la consécration des nouvelles technologies « tendance » en termes de protection, cette version 2007 reflète, quant à elle, la maturité. Fi des gadgets brillants. Place aux programmes combinant sécurité et gestion du risque. « Pendant longtemps, la puissance de l'industrie de la sécurité était placée entre les mains des éditeurs, raconte Laura Koetze, analyste chez Forrester. Désormais, les applications professionnelles étant plus matures, nous assistons à un glissement vers des stratégies plus cohérentes qui mettent l'accent sur les besoins métiers spécifiques. » Selon elle, cela serait également le résultat de la maturité des compétences chez les experts en sécurité alors en poste. « Aujourd'hui, les personnes en charge de la sécurité ressemblent moins à des personnes en charge de technologies ésotériques qu'on ne voit jamais. Mais davantage à des professionnels prenant en compte les stratégies de gouvernance des entreprises et s'assurant qu'ils emploient les bonnes personnes avec les bonnes compétences. » (...)

(06/09/2007 14:44:51)

Une association US publie un guide pour une virtualisation sécurisée

Le CIS (Center for Internet Security), une association indépendante basée à Hershey (Pennsylvanie), vient de publier une série de guides de bonnes pratiques sur comment adapter ses politiques de sécurité à la virtualisation. Une problématique de plus en plus présente à l'esprit des DSI qui doivent désormais faire face à de nouvelles failles, ouvertes par la seule virtualisation. Jusqu'à présent, les sociétés devaient se fier à leurs fournisseurs pour assurer la sécurité de leur parc virtualisé. Ces guides se compose principalement de pas-à-pas. Le premier d'entre eux est un document généraliste de trente pages sur la sécurisation des machines virtuelles. D'ici à la fin du mois, le CIS en publiera un autre consacré à l'ESX Server de VMWare. Ces guides ont été réalisés avec l'aide de sociétés privées indépendantes de tout éditeur, celle du département américain pour la sécurité du territoire et enfin celle du NIST (National Institute of Standards and Technology). (...)

(05/09/2007 11:27:19)

AMD : l'hémorragie directionnelle se poursuit

Moins de deux semaines avant le lancement de son processeur Barcelona, AMD essuie un troisième gros départ. Après Dave Orton (ex-PDG d'ATI, un constructeur de cartes graphiques acquis par AMD en 2006) puis Henri Richard, dauphin d'Hector Ruiz, PDG d'AMD, ce serait le vice-président et responsable des ventes ATI Rick Hegberg qui devrait abandonner son poste, d'après nos confrères de Fudzilla. Toujours d'après ces mêmes sources, le départ de Rick Hegberg ne serait pas « amical », mais plutôt lié au traitement préférentiel affiché par Hector Ruiz vis à vis des ex-salariés de Motorola (dont il est l'ancien président de la division semi-conducteur) aux dépens des employés issus du rachat d'ATI. Pour rappel, AMD et Motorola avaient conclu une alliance stratégique en 1998. (...)

(03/09/2007 17:52:58)

Les PME empêtrées dans le quotidien de leur informatique

Les nouvelles technologies ? Inutile d'en parler aux directeurs informatiques des PME anglaises. Ils sont noyés dans l'opérationnel au quotidien, constate Connect après avoir commandé une étude sur le sujet au cabinet Vanson Bourne. Conduit entre juin et juillet derniers auprès de 200 directeurs et responsables informatiques d'entreprises britanniques fortes de 5 à 250 salariés, ce sondage montre que les services informatiques de 37% des entreprises interrogées sont sur la brèche au quotidien pour résoudre en priorité des problèmes opérationnels. A eux s'ajoutent les 32% qui déclarent d'abord se débattre avec la sécurité. A noter que la sécurité arrive en tête parmi les plus petites entreprises (moins de 50 salariés). Contrairement aux directions informatiques des grands comptes qui parviennent à détourner des ressources du quotidien pour les consacrer à la préparation de l'avenir, celles des PME ont vraiment la tête "dans le guidon". Elles sont absorbées par des problèmes aussi triviaux que chronophages : Problèmes de gestion des utilisateurs (accès, mots de passe), de la messagerie et interventions pour palier les défaillances des postes de travail et des serveurs. Dans ces conditions, difficile de dégager du temps pour s'intéresser à des concepts comme le Web 2.0, le système d'information mobile ou, même, l'alternative du logiciel libre. Notons enfin que, parmi les deux principaux casse-têtes informatiques des PME anglaises, figurent les lacunes informatiques des utilisateurs et l'inflation de la facture IT. (...)

(24/08/2007 16:05:08)

Le Gartner invite les DSI à devenir des directions de l'information

D'ici cinq ans, le Gartner group prédit que 50% des DSI seront devenus des prestataires de services business, alors qu'elles n'étaient que 5% dans ce cas en 2004. De plus, toujours selon le Gartner Group, la DSI dont la mission principale était d'automatiser des tâches répétitives occupe désormais de plus en plus de poids dans le domaine de la prise de décision. Les directions informatiques doivent se départir de leur rôle de fournisseur de ressources technologiques pour se concentrer sur les fondamentaux de l'activité d'une entreprise : l'information, les processus et les échanges. Dans le même temps, le cabinet voit une nette tendance à l'externalisation s'affirmer. Le Gartner estime qu'il faut deux ans pour qu'une DSI opère sa mutation. Plus elles seront nombreuses à muter, plus elles pousseront à la transformation des fournisseurs. Le Gartner constate déjà que, parmi eux, ceux qui vendent des services progressent rapidement aux côtés de ceux qui vendent licences et équipements. Et, parmi les nouveaux entrants, nombre d'entre eux s'attachent à fournir des services sous leur aspect business plutôt que pour leur dimension technologique. D'ailleurs, le Gartner estime que le marché du logiciel en ligne devrait doubler d'ici 2010 pour dépasser 11,5 Md$. Pour illustrer ce changement fondamental, le Gartner invite à changer le nom des actuelles directions informatiques. Le cabinet prône l'adoption du mot "information" ou des vocables anglophones comme "business transformation" voire "corporate transformation". (...)

(17/08/2007 10:17:10)

Manipulations comptables chez Dell qui doit réévaluer 4 ans d'exercices

Dell va devoir réévaluer et republier quelque 17 annonces de résultats trimestriels - couvrant les exercices de 2003 à 2006 et le 1er trimestre 2007 - suite à des manipulations comptables ! Sous la pression de ses annonces trimestrielles aux analystes, des financiers du constructeur texans ont visiblement arrangés les chiffres afin qu'ils correspondent aux objectifs. Selon Don Carty, Directeur financier du groupe, "il apparaît clairement que certains ajustements sont liés à l'atteinte des objectifs financiers trimestriels". Le pot au rose a été découvert suite à un audit interne réalisé par Dell et débuté en août 2006 alors que le constructeur se savait la cible d'une enquête de la SEC, l'autorité boursière américaine. Selon Dell une équipe de 125 avocats et de 250 comptables a travaillé sur l'enquête étudiant quelque 5 millions de documents et interrogeant des centaines d'employés du groupe. Le montant global de la manipulation porte sur 50 à 150 M$ de bénéfices nets sur la période qui devront être retranchés des 12 Md$ de résultats cumulés enregistrés. Certaines modifications étaient modiques d'autres plus importantes selon Don Carty, impactant directement le résultat du trimestre. Aucun nom n'est précisé dans le communiqué du constructeur paru le 16 août mais, selon Dell, l'enquête a décelé une responsabilité collective jusqu'à un haut niveau d'encadrement. La société texane prévoit une série de sanctions à venir allant du licenciement à la réprimande de certains employés pour leur rôle dans le dispositif. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >