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Gouvernance de la DSI

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364 documents trouvés, affichage des résultats 201 à 210.

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(27/06/2007 17:53:27)

HP Software France change de directeur

La branche logicielle d'HP vient de désigner Christophe Bouchardeau à la tête d'HP Software France. Anciennement directeur général de Mercury France (racheté en juillet 2006 par HP), ce dernier avait notamment participé au développement de solutions permettant d'optimiser le capital applicatif existant dans les grandes entreprises. Sa mission consistera désormais à développer des solutions de BTO (optimisation des technologies et des services informatiques) pour le compte d'HP. Christophe Bouchardeau a débuté sa carrière chez ADP GSI (un éditeur de solutions de gestion des ressources humaines), avant de rejoindre Apple Computer. Il a également occupé diverses fonctions au sein de Sybase (dont la direction commerciale), et il est le co-fondateur de TempoSoft, un éditeur français spécialisé dans les logiciels de workforce management. (...)

(13/06/2007 14:05:36)

Philippe Germond, candidat officiel à la succession d'Atos Origin

C'est désormais officiel. En prenant les commandes opérationnelles et la vice-présidence du directoire d'Atos Origin, Philippe Germond est identifié comme successeur de Bernard Bourigeaud, actuel président du directoire du groupe de services informatiques. Une position de dauphin désigné quasiment acquise, depuis le récent départ de Dominique Illien chez Sopra Group, en tant que numéro deux. Bernard Bourigeaud et Philippe Germond travailleront ensemble afin de développer un plan stratégique pour le groupe et de gérer la transition en douceur. Même s'il est encore tôt pour définir un calendrier de passage de relais, le mandat de l'actuel dirigeant courant jusqu'à janvier 2009 Le directoire d'Atos Origin, qui passe de cinq à quatre membres, connaît parallèlement d'autres mouvements : les deux autres membres, qui dépendront hiérarchiquement de Philippe Germond, voient également leurs attributions évoluer. Ainsi, Eric Guilhou, abandonne la direction financière pour devenir directeur général délégué, en charge des fonctions, et Wilbert Kieboom, jusqu'ici responsable du Benelux et du Royaume-Uni, devient directeur général délégué, charge des opérations. Arrivé chez Atos Origin en décembre dernier, Philippe Germond était jusqu'ici membre du directoire en charge des régions Asie-Pacifique, Amérique du Nord et d'Atos Worldline. Il a exercé différentes fonctions de direction, notamment en tant que directeur général d'Alcatel (avant la fusion avec Lucent) et de PDG de Cegetel (groupe Vivendi). Lors de sa dernière publication financière, la SSII a annoncé un chiffre d'affaires trimestriel de 1,435 Md€, soit une croissance organique de 2,5% sur un an. Le groupe reste ambitieux sur ses objectifs en tablant sur une croissance de 8,5%, à taux courant, pour l'ensemble de l'exercice. Un nouveau défi à relever pour Philippe Germond ? (...)

(06/06/2007 16:43:34)

L'Afai met les pleins feux sur la version 4.1 de Cobit

Un an et demi après la sortie, aux Etats-Unis, de la version 4.0 de Cobit (Control Objectives for Information and Related Technology), les DSI hexagonales soucieuses de vérifier et valider l'alignement de leur activité sur la (les) stratégie(s) des métiers de l'entreprise ont désormais le choix de s'appuyer sur la version française (4.0) de ce référentiel de bonnes pratiques. Ou sur la version 4.1 (en anglais) qui vient d'être mise en ligne par l'organisme international - ITGI (IT Governance Institute) - qui le promeut. Les précédentes évolutions de ce guide de gouvernance portaient sur une formule allégée pour les PME (Cobit Quickstart) et sur l'accès en ligne (Cobit Online). Par les diverses avancées de ce référentiel, dont la première publication date maintenant d'une bonne dizaine d'années, il s'agit essentiellement de répondre au souhait implicite d'un nombre croissant de cadres informaticiens de confronter leur activité à des règles de bonne gestion et de maîtrise des risques. En 2005 déjà, selon diverses enquêtes, près de deux DSI sur trois pensaient que l'amélioration de la gouvernance informatique devait être mise au rang de composante clé de la compétitivité de l'entreprise. Sont concernées : les DSI, les DG, les directions métiers De la parole à l'acte... Le Cigref (club informatique des grandes entreprises françaises) avec l'Afai, en ont fait l'un des axes majeurs de leur évangélisation. Tant il est vrai que la gouvernance en question ne se limite pas, loin s'en faut, à l'implication des seuls informaticiens. Le cadre Cobit, s'il couvre les processus impliqués dans la totalité du cycle de vie des investissements informatiques, de la planification et l'organisation, jusqu'à la maintenance et au support, s'adresse aussi aux directions générales et à leur contrôle de gestion (trouver le bon équilibre entre les risques pris, la production de valeur et les investissements consentis pour l'informatique), ainsi qu'aux directions métiers, aux auditeurs et aux consultants (l'oeil extérieur). Aux dires de l'état-major de l'Afai, les « plus » de la version 4.1 de Cobit, en tant que « mise à jour incrémentielle » de la v.4, sont à rechercher plutôt du côté de la métrique permettant le pilotage et l'amélioration systématique des processus (amélioration de la mesure des performances, des objectifs de contrôle, etc.) Comme le CMM (autre méthodologie de référence en matière d'amélioration des processus, notamment pour la conception-réalisation des systèmes d'information), la v.4 de Cobit inclut une proposition de modèle de maturité, soit l'évaluation de chaque processus sur une échelle de maturité à six degrés, permettant à la fois de cerner où en sont les pratiques de l'entreprise et de fixer des objectifs de progrès. (...)

(31/05/2007 15:33:24)

SAP s'offre un directeur technique

Un peu plus d'un mois après le départ soudain de Shai Agassi du poste de président du groupe technologie et produit, SAP crée le poste de CTO (Chief Technology Officer, directeur technique) qui est confié à Vishal Sikka. Ce dernier était auparavant vice-président architecture et Chief Software architect. Contrairement à Shai Agassi qui supervisait directement tout le développement produit, Vishal Sikka aura surtout un rôle de coordination et de supervision. Il travaillera avec un conseil exécutif, lui aussi créé à la suite du départ de Shai Agassi, et qui regroupe tous les responsables en charge des différentes lignes de produits. (...)

(31/05/2007 14:34:25)

La version 3 d'Itil est publiée

L"Office of Government of Commerce (OGC, organisme qui dépend du ministère des finances anglais) vient de publier la version 3 d'Itil (IT Infrastructure Library), une version en travaux depuis 2004. Cette mouture met l'accent sur le cycle de vie administré par les services et fournit des moutures étoffées des bonnes pratiques développées dans les versions précédentes. Les cinq publications de base qui composent la version 3 d'Itil ont pour titre la stratégie de services (Service Strategy), le design de services (Service Design), la transition vers les services (Service Transition), les services dans l'opérationnel (Service Operation) et enfin, l'amélioration de la continuité de services (Continual Service Improvement). Selon le site itil.co.uk, chaque ouvrage est commercialisé 85 £ et 299 £ pour les cinq. (...)

(29/03/2007 15:29:13)

Retour à la vieille garde pour SAP après la démission de Shai Agassi

Les dents longues de Shai Agassi, qui se voyait déjà patron de SAP, se sont heurtées à un os. Hasso Plattner, fondateur de l'éditeur et président du Conseil d'administration, a demandé au directeur général (CEO) Henning Kagermann de rester en poste jusqu'en 2009, alors qu'il devait partir dès cette année. Shai Agassi a donc préféré annoncer son départ du groupe, un départ fixé au 1er avril. « J'avais partagé avec Shai mon plan, explique Hasso Plattner. Il devait succéder à Henning Kagermann en tant que co-CEO de SAP. Avec l'extension à 2009 du contrat d'Henning, il est devenu évident que cela ne plaisait pas à Shai de consacrer [à SAP] une période de 10 à 15 ans, cela ne coïncidait pas avec son plan de carrière. » Intervenant dans une conférence de presse téléphonique afin de préciser ce communiqué, Hasso Plattner a ajouté : « Il [Shai Agassi] m'a dit que ce n'était pas la dernière chose qu'il comptait faire dans sa vie. » Néanmoins, les deux se seraient quittés en bons termes, Shai Agassi disant qu'il se consacrerait à des projets personnels en rapport avec les problèmes d'environnement, les sources d'énergie renouvelable et le futur d'Israël (son pays natal), et Hasso Plattner expliquant combien la société lui était redevable. Agassi à la tête du développement technologique dès 2003 De fait, c'est Shai Agassi qui, en tant que président du Product & Technology Group de SAP, a élaboré et mené la stratégie de transformation du groupe. Sous son impulsion, SAP est passé d'un éditeur de progiciel à la structure monolithique à un éditeur d'une solution respectant les principes d'une architecture orientée services (SOA, ou ESA, Enterprise services architecture, dans le jargon SAP). Shai Agassi est entré chez SAP à l'occasion du rachat de sa société TopTier en 2001, un éditeur d'outils de création de portails. Il a rapidement monté les échelons, Hasso Plattner lui abandonnant dès 2003 son dernier rôle opérationnel dans SAP : la direction du développement technologique. C'est donc Shai Agassi qui a piloté l'élaboration de Netweaver, la plateforme middleware qui sert aujourd'hui de socle technologique à l'offre SAP. C'est également lui, jeune et brillant orateur, qui a parcouru le monde pour expliquer ce changement de stratégie afin d'inciter les clients et les partenaires à s'engager de nouveau avec SAP. Outre Netweaver, c'est lui aussi, plus récemment, qui a porté la stratégie On Demand, de fourniture d'applications en ligne, rappelle Denis Pombriant, analyste principal de Beagle Research. « Ces deux éléments sont absolument critiques pour le succès de SAP, dit-il. S'il n'est pas là pour pousser ces initiatives, je me demande si quelqu'un d'autre pourra le faire. » Leo Apotheker devient co-CEO immédiatement Le pire qui puisse arriver, indique de son côté David Bradshaw, analyste principal chez Ovum, est que Shai Agassi décide maintenant de s'impliquer chez un concurrent : « Interrogé afin de savoir si le contrat de Shai Agassi contenait une clause de non-concurrence, Hasso Plattner a fait une réponse qui semble vouloir dire qu'il n'y en a pas. » En revanche, le fondateur de SAP a insisté sur le fait que Shai Agassi conservait un bureau dans les locaux de R&D du groupe à Palo Alto, et serait dorénavant « consultant spécial » pour le conseil de surveillance. Le départ de Shai Agassi profite en tout cas à Leo Apotheker, président du groupe 'solutions & opérations clients' qui devait devenir co-CEO avec Shai Agassi. Il est immédiatement nommé CEO adjoint, en charge du marketing, des PME, et de la politique envers les partenaires. Henning Kagermann dirigera les équipes de développement du logiciel (Netweaver, CRM, Business Suite...). Pour Denis Pombriant, « on dirait que la nouvelle garde se fait mettre dehors par la vieille garde ». (...)

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