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Gouvernance de la DSI

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(07/03/2007 13:40:48)

Création d'un comité pour accélérer la standardisation informatique de l'administration

Le décret d'application portant sur le référentiel général d'interopérabilité (RGI) et le référentiel général de sécurité (RGS) est paru au Journal Officiel. Une étape supplémentaire dans la mise en place de ce qui doit constituer le socle des bonnes pratiques de l'administration, notamment en matière d'échange de documents. Reste maintenant à constituer le comité créé par ce même décret et réunissant des représentants des administrations centrales et décentralisées ainsi que "des personnalités qualifiées choisies pour leur compétence et leur expérience dans le domaine de l'administration électronique et des technologies de l'information et de la communication". Il sera censé valider le document de base (voir ci-dessous), commenté durant l'été 2006. Ensuite, le référentiel - nécessairement évolutif dans le temps - permettra d'avoir un socle commun en matière de normes bureautiques (le choix s'est porté sur le standard Open Document d'OpenOffice), d'archivage, de présentations multimédias, de communications (messagerie électronique, messagerie instantanée), de sécurité, etc. Cette version officielle devrait être validée courant 2007. (...)

(27/02/2007 12:22:23)

Les éditeurs sont encore à des années d'une solution MDM complète, prévient Forrester

Il faudra attendre plusieurs années encore avant de voir un « vrai hub MDM fourni par un seul éditeur », prévient Forrester dans sa dernière étude sur le « Master data management », ou gestion des données de référence. Contrairement, dénonce le cabinet d'analystes, à ce qu'affirment les éditeurs à chaque acquisition ou nouvelle version de leur produit. Par « hub MDM », les auteurs de l'étude entendent un outil unique capable de supporter les différentes approches relevant aujourd'hui du MDM, telles que le CDI (Customer data integration, intégration des données clients) ou le PIM (Product information management, gestion des données produits). Ainsi, indique l'étude, les clients de SAP partent plutôt sur l'approche PIM, tandis que ceux d'Oracle entrent sur ce marché au travers des solutions de CDI. Pour Forrester, une véritable solution de MDM doit permettre d'identifier et de maintenir les données de référence dans tous les domaines, et servir tant aux processus métiers qu'aux applications décisionnelles. IBM serait le plus proche de cette définition, « à 18 ou 24 mois » d'une telle offre, estiment les auteurs de l'étude. L'étude, « Trends 2007 : Master Data Management », fournit un graphe positionnant les différents acteurs du marché en fonction de leur background respectif. Hormis IBM, les plus proches de parvenir à une solution globale sont Siperian, Initiate Systems, Oracle, Purisma, Dun&Bradstreet et Trillium. Le cabinet s'attend à nombre d'acquisitions dans ce domaine, pour accélérer le mouvement, mais s'étonne surtout de l'absence de Microsoft de ce marché, qui crée « un trou significatif dans l'écosystème .Net ». Un projet global doit commencer petit A condition de ne pas prendre pour argent comptant les « déclarations exubérantes » des éditeurs sur la complétude de leurs offres de MDM, cette technologie reste un élément essentiel des futurs systèmes d'information, complète Forrester. Simplement, dit l'étude, il vaut mieux commencer maintenant mais petit à petit, par entité métier ou par silo de données, de façon à pouvoir définir des métriques adaptées et prouver le retour sur investissement aux responsables métier, qui doivent être les sponsors de ce type de projet. Ce n'est qu'à terme que les projets se rejoindront - quand les solutions complètes seront vraiment prêtes. Cela laisse le temps également de former des compétences en interne. Forrester souligne en effet le manque de compétences en architectes de données et en experts de la gouvernance de données. Un bon créneau à prendre dans l'immédiat pour les cabinets de conseil. (...)

(06/02/2007 15:08:18)

HP acquiert Bristol Technology pour étoffer son offre BTO

HP a signé un accord définitif pour acquérir Bristol Technology, éditeur d'une technologie de supervision des transactions. L'achat - pour un montant non dévoilé - devrait être finalisé d'ici un mois. Le produit phare de Bristol, TransactionVision, sera alors intégré au portefeuille BTO (Business Technology Optimization) de HP. Cette offre BTO provient du rachat de Mercury (finalisé en décembre dernier, pour 4,5 Md$), qui collaborait déjà avec Bristol afin d'étendre ses capacités de supervision au monde mainframe. TransactionVision se targue de pouvoir superviser les transactions de façon non-intrusive, tout en en donnant une vision métier (contenu de la transaction, montant, client concerné...) et pas seulement technique. (...)

(05/02/2007 16:56:26)

Atos, toujours à la peine au Royaume-Uni, hérite d'un nouveau président en France

Résultats exercice 2006 Chiffre d'affaires : 5,39 Md€ (+1,5%) Marge opérationnelle : 5% (-2,6 points) D'un trimestre à l'autre, les ennuis que rencontre Atos Origin restent les mêmes : le groupe continue de pâtir d'une prestation médiocre au Royaume-Uni et en Italie, qui affecte la croissance de ses revenus et sa rentabilité. En raison du retard pris pour la signature de nouveaux contrats et de l'expiration de quatre grands accords non renouvelés sur le sol britannique (qui engendrent un recul de l'activité de 12,6% pour Atos UK), ainsi que de « conditions difficiles en Italie », Atos Origin voit son chiffre d'affaires progresser de seulement 1,5% en organique sur l'ensemble de l'exercice. Sans tenir compte des performances réalisées au Royaume-Uni, les revenus du groupe afficheraient une croissance de 5,4%. Pour les mêmes raisons, la marge opérationnelle n'atteint que 270 M€, soit 5% du CA, quand elle s'élevait à 7,6% un an plus tôt. Soucieux de rassurer les investisseurs et d'afficher des indicateurs plus flatteurs, le groupe a annoncé la mise en place d'un plan de transformation sur trois ans, qui devrait coûter 270 M€, dont 160 M€ en 2007. Le plan poursuit trois objectifs : l'accélération de la croissance organique, l'amélioration de l'efficacité et la globalisation des opérations. Il prévoit notamment la délocalisation de 20% des activités d'intégration de systèmes et l'organisation mondiale de la fonction achats en vue de réduire les coûts. Il mettra également en place un nouveau comité exécutif chargé d'harmoniser et de mutualiser le travail réalisé dans chaque filiale et rassemblant les patrons des grands pays. La SSII table sur un exercice 2007 fort, avec une croissance organique du chiffre d'affaires de 8,5% et l'augmentation de la marge opérationnelle au Royaume-Uni et en Italie. Bernard Bourigeaud, le président du directoire, espère même y « renouer avec la rentabilité [et] doubler, d'ici à 2009, la marge opérationnelle [pour l'ensemble du groupe] ». Dans le cadre de son plan de transformation, Atos Origin a procédé au changement des dirigeants pour le Royaume-Uni, les Pays-Bas, l'Italie, la Belgique et la France. Pour l'Hexagone, c'est Didier Zeitoun qui prend les rênes et rejoint, de fait, le comité exécutif. Après être passé par Accenture, Altis et Odyssée Conseil en Organisation, il rejoint Atos Origin en 2000. Quatre ans plus tard, il prend la présidence des activités d'intégration de systèmes pour la France. (...)

(19/12/2006 10:38:02)

Trop peu d'experts en sécurité

Le manque d'experts en sécurité freinerait l'établissement de nouvelles règles sur la conformité en entreprise, révèle une étude du London School of Economics (LSE), mandatée par McAfee. Ce phénomène est appuyé par la difficulté qu'ont les entreprises à embaucher et retenir le personnel qualifié. L'équipe de Jonathan Liebenau, responsable de l'étude, s'est adressée à des DSI et des responsables sécurité travaillant dans de grands comptes financiers en Europe, en Asie et aux Etats-Unis. Dès la mi-2006, le nombre de brèches de sécurité a oscillé entre huit et dix par semaine aux Etats-Unis. Ainsi, 94 millions d'enregistrements de données sensibles ont été compromis. Selon Jonathan Liebenau, les entreprises américaines atteignant une certaine taille ont l'obligation d'établir des rapports de leurs failles dès qu'elles sont découvertes. «Cette pratique tend à s'étendre aux autres régions du monde», assure-t-il. Cependant, les alertes que cela va générer risquent de détourner le personnel spécialisé des autres problématiques de sécurité au moins aussi importantes. Et le pool d'experts capables de jauger de l'importance d'une faille est relativement réduit, indique-t-il. Enfin, le rapport souligne que les personnes formulant les règles de sécurité ne sont bien souvent pas celles qui les gèrent. (...)

(14/12/2006 17:29:21)

Le partage des services : une option pour réduire les coûts

Pour la réduction des coût d'approvisionnement, Hackett Group (études de benchmarking et accompagnement des entreprises pour la mise en place des transformations nécessaires pour leur permettre de s'améliorer) prône l'examen des dépenses indirectes. Il ne faut pas uniquement étudier les dépenses directes, il faut sérieusement « se concentrer sur les dépenses indirectes », indique Chris Sawchuk du groupe Hackett. Le but est de développer une stratégie externe axée sur le long terme avec des fournisseurs choisis, en vue de construire avec eux une relation de qualité. Les entreprises qui sont parvenues à économiser 25% de leurs coûts d'approvisionnement l'ont fait par la limitation du nombre de fournisseurs, induisant un mode relationnel qui permet une meilleure gestion des fluctuations du marché et la réduction des augmentations de prix. Les autres économies peuvent être réalisées en interne : les partenariats multifonctionnels sont nécessaires pour réaliser des économies d'échelle et pour réduire les coûts de négociation. La réorganisation dans le sens d'une meilleure communication entre services est indispensable. Enfin, les choix technologiques judicieux simplifient les process et réduisent les coûts salariaux. Un autre levier à étudier : les services partagés Hackett indique que 20% des entreprises peuvent réduire leurs coûts financiers de plus de 40 % grâce aux centres de services partagés. Penny Weller, analyste en chef pour Hackett indique que "les entreprises qui savent considérer ces centres de services partagés comme des filiales à part entière de l'entreprise avec leurs objectifs de productivité, sont plus à même de réussir cette mutation. Il leur faudra éduquer leurs directions et faire en sorte de conduire le changement subtilement et en prenant le temps nécessaire pour ne pas brusquer les publics concernés. Si les entreprises ne respectent pas ces principes de bon sens, il est possible que leurs employés minent le projet et fassent en sorte de contourner celui-ci via une organisation parallèle. La réussite d'un centre de services partagés est également une étape nécessaire pour une entreprise qui voudra par la suite faire appel aux opportunités de délocaliser certaines de ses fonctions". A une nuance près : plus de 30% des entreprises étudiées par Hackett voient leurs coûts financiers inchangés ou s'élever après la mise en place d'un centre de service partagé. L'offshoring et la sous-traitance sont donc des stratégies à examiner à la loupe selon la situation de l'entreprise. D'où l'intérêt de savoir sur quels aspects opérationnels (informatique, finances, RH, approvisionnement) jouer afin, comme pour les meilleurs élèves d'Hackett, de réduire les coûts administratifs de 60 millions de dollars pour chaque milliard de chiffre d'affaires réalisé ! (...)

(11/12/2006 15:02:26)

La réorganisation des équipes informatiques: priorité numéro un des DSI en 2007

La guerre des talents qui, selon les analystes du Gartner, va guider la compétition entre entreprises, tous métiers confondus, implique, dès 2007, de redéployer les équipes informatiques. La priorité des priorités est de préparer le passage de témoin aux générations montantes, notamment grâce au lancement de projets innovants. Charité bien ordonnée... Les transformations attendues (ou en cours) dans la conduite des affaires, liées à l'usage intensif des technologies (création de valeur et travail en réseaux, etc.) doivent inciter les directions des systèmes d'information à se préparer à cette nouvelle donne, à la fois pour elles-mêmes et pour les services qu'elles doivent assumer envers les divers métiers et fonctions de l'entreprise. Ainsi, dans la liste des résolutions à prendre pour 2007, le Gartner place en tête la préparation du plan de succession au sein de la DSI. Et ce, en trois temps, trois mouvements : -1 : Saisir l'opportunité ouverte par les nombreux départs en retraite qui se profilent pour "couper le bois mort", les activités qui n'ont plus lieu d'être ou de relever de la DSI. -2 : Identifier les pistes d'amélioration des performances de la DSI -3 : Lancer des projets réellement innovants qui mettent en jeu les responsabilités des générations montantes (les 30-40 ans), afin qu'elles puissent, par l'expérience, compléter leur "paquetage" de compétences. Dans le même esprit de repositionnement des informaticiens, cette fois, vis-à-vis de l'entreprise, le Gartner leur conseille de se rendre encore plus visibles sur trois fronts : -1 : aider les DRH à prendre en compte leur rôle stratégique (technologie aidant) -2 . renforcer la présence des informaticiens à l'avant-garde de l'entreprise ("frontline business experience") -3 : ré-établir le sens et la visibilité des dépenses informatiques de l'entreprise Quant aux apprentissages à inscrire au menu de 2007, le Gartner cite : l'impression en 3D, les outils d'analyse des effets des processus d'interaction sociale ("social information", gestion de contenu, gestion de connaissance, etc.), la nouvelle génération de langages de programmation (plus puissants et plus simples à utiliser, accessibles du coup aux utilisateurs les plus avertis), les outils et usages des communautés virtuelles. (...)

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