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Gouvernance de la DSI

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(30/06/2011 09:24:55)

Gilbert Canameras arrive à la direction de L'AMRAE

L'AMRAE (Association pour le Management des Risques et des Assurances de l'Entreprise) a tenu son Assemblée Générale le 28 juin 2011. Elle a renouvelé son conseil d'administration, son conseil exécutif et élu son nouveau président, l'ancien ne pouvant plus se représenter pour des raisons statutaires.

Gilbert Canameras est entré au Conseil d'Administration, au Conseil Exécutif et a été élu président de l'association. A 62 ans, il est directeur des financements et du management des risques du Groupe Eramet spécialisé dans les minerais (Nickel, Manganèse) et les alliages. Membre de l'AMRAE depuis 2002, il a déjà animé plusieurs groupes de travail de cette association. Titulaire d'une Maîtrise en droit des affaires Paris-II Assas et d'un DEA en études politiques, il a successivement occupé les postes de secrétaire général du centre ISERM du Vésinet (1977-1980), plusieurs fonctions financières au sein du groupe Spie Batignolles jusqu'à en devenir DAF (1980-1995) et Directeur de la trésorerie et du trade finance chez SCHNEIDER (1996-2000). Il est tout d'abord entré chez Eramet en 2001 comme Directeur trésorerie financements et assurances avant d'en devenir, en 2010, directeur des financements et du management des risques.

L'ancien président, Gérard Lancner, qui ne pouvait pas se représenter, a été nommé délégué général de l'association. Frédéric Dhers, directeur des assurances de Veolia Environnement, est également entré au Conseil d'Administration. Il remplace Jean-Philippe Riehl, également de Veolia Environnement. L'entrée de Gilbert Canameras compensant celle de Michel Pozzo, de la Banque de France. Les deux sortants étaient gestionnaires de risques mais changeaient de fonction et ne se représentaient pas. Trois administrateurs ont été reconduits : Frédéric Lucas, Global Real Estate, Risk & Insurance Manager du groupe Publicis ; Laurent Barbagli, directeur des risques et assurances chez Lafarge ; et Gilbert Brat, directeur des assurances au sein du Groupe La Poste. Ce dernier est devenu vice-président de l'AMRAE, comme Bruno Dunoyer de Segonzac (Bouygues Telecom) et Anne-Marie Fournier (PPR). Frédéric Lucas est devenu secrétaire général et Yvon Colleu (Bouygues SA) confirmé comme trésorier.

L'AMRAE possède 764 membres de 416 entreprises dont 37 du CAC 40. (...)

(28/06/2011 12:22:18)

Trophées CIO 2011 : les résultats des meilleurs pratiques

Pour consulter le palmarès des Trophées CIO, rendez-vous à cette adresse :
https://www.cio-online.com/actualites/lire-trophees-cio-2011%C2%A0-les-meilleures-pratiques-mises-en-avant-3696.html (...)

(24/06/2011 10:28:51)

La médiation progresse pour résoudre les litiges informatiques

Le CMAP (Centre de Médiation et d'Arbitrage de Paris) a été créé en 1995 par la Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris. La procédure de médiation permet de rétablir le dialogue entre des parties en conflits en évitant, dans 70% des cas, de s'écharper durant des années devant des tribunaux. Même dans les 30% de cas d'échec de la médiation, la procédure a été utile pour clarifier les conflits et, parfois, aboutir tout de même à un accord amiable ultérieur.

En informatique, la procédure a de plus en plus de succès pour régler les litiges clients-fournisseurs, chaque partie ayant intérêt à ce qu'un projet en cours aboutisse. La médiation permet en effet le maintien de la confidentialité du conflit (un jugement est public), la pérennisation des relations entre parties en conflits et une meilleure gestion des relations interpersonnelles.

12% des conflits traités sont liés à l'informatique


Plusieurs tendances fortes se dessinent depuis 2010. Tout d'abord, si les médiateurs sont encore majoritairement des avocats ou des avocats honoraires (50% des effectifs), les dirigeants d'entreprises représentent aujourd'hui 38% d'entre eux, avec une tendance forte à la hausse, le solde (12%) étant composé de professions libérales diverses (comptables, médecins, architectes...).

En terme de nature de litiges, l'inexécution contractuelle reste le domaine roi, avec 42% des cas traités, toujours en hausse. Mais les conflits internes commencent à peser de plus en plus lourds : 25% des médiations sont relatives à des conflits entre associés et 1% concerne le droit social ou le droit du travail, ce dernier point apparaissant depuis très peu de temps. La propriété intellectuelle est un autre domaine régulier de conflits traités par médiation avec 20% des cas.

Derrière l'industrie, l'immobilier et les services aux entreprises, l'informatique représente le quatrième domaine d'intervention du CMAP avec 12% des conflits traités. Plus de la moitié des litiges sont d'un montant compris entre 30 000 et 1 000 000 d'euros. Une médiation coûte en général de 2000 à 10 000 euros et dure entre 10 et 30 heures, un tiers durant moins de 10 heures. Le CMAP traite environ 300 dossiers par an.

(...)

(17/06/2011 12:22:01)

Le CIO de la Maison Blanche, Vivek Kundra, démissionne

C'est Jack Lew, directeur du management et du budget du gouvernement qui a annoncé le départ de Vivek Kundra. Cette démission est motivée par un changement de la vision IT de la Maison Blanche. Jack Lew, qui a salué le travail de Vivek Kundra, indique que ce dernier va intégrer l'université de Harvard et donnera des cours à la Kennedy School.

Vivek Kundra a été nommé CIO, quelques mois après la prise de fonction du président Barack Obama. Il a immédiatement proposé un agenda en militant pour l'adoption du cloud et la consommation des technologies à l'usage, pour rendre les données disponibles au public sur des sites, tels que data.gov. Il a été critique sur les grands contrats IT qui avançaient trop lentement et comportaient de risques d'échec.

Un plan trop ambitieux ?

Son départ six mois après la présentation d'un plan en 25 points suscite quand même quelques interrogations. Une des principales composantes de ce plan a été la consolidation des datacenters passant de 2100 à 800 en 2015. Ray Bjorklund, un vice-président senior de FedSources, un cabinet sur l'intelligence économique, explique que les actions de Vivek Kundra « ont été saluées, car cela faisait avancer les choses » et d'ajouter que « cela était positif pour le gouvernement. ». L'analyste se demande «si le DSI gouvernemental ne s'est pas essoufflé en menant son combat de changement ». Il rappelle qu'un bon tiers des résolutions dans son plan devaient être achevées au cours des six premiers mois, mais cela n'a pas été le cas.

En choisissant un nouveau DSI, Ray Bjorklund pense que Barack Obama choisira une personne capable de gérer des budgets IT à grande échelle (80 milliards de dollars de budget IT), tout en connaissant la complexité du gouvernement. Cela peut faire d'un CIO d'une agence fédérale, un candidat potentiel, conclut l'analyste.

(...)

(06/06/2011 12:06:16)

IBM dote les villes d'un outil de gouvernance IT

Karen Parrish, vice-présidente d'IBM sur l'activité solutions industrielles a annoncé « cette plateforme qui doit permettre aux municipalités de faire des économies et d'avoir une réponse rapide en cas de catastrophe ». Ce logiciel, baptisé Intelligent Operations Center, synthétise un ensemble de données issues d'une grande variété de systèmes IT, tels que les réseaux d'eau, la traçabilité des équipements publics, les transports ou la gestion du trafic routier. Il offrira visuellement un résumé des données recueillies, en utilisant un certain nombre de règles développées par IBM.

IOC proposera une série de tableaux de bord, ainsi que des connecteurs pour les différents systèmes de gestion back-end. Il comprend aussi un certain nombre de programmes IBM, comme le serveur d'applications WebSphere et la base de données DB2.  « Nous avons construit un centre opérationnel qui est capable de récupérer un ensemble de flux en temps réel, travailler et analyser les données et fournir des renseignements essentiels aux gestionnaires afin qu'ils puissent prendre des décisions plus rapidement et de manière plus efficace », précise Karen Parrish.

Intelligent Operations Center IBM

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Du sur-mesure avec des « faisceaux de points communs »


IBM a conçu IOC de façon modulaire. Différents modules seront lancés au cours des 12 à 18 prochains mois. Ces unités complémentaires couvrent des données spécifiques, telles que la gestion de l'eau ou la sécurité publique. « Les responsables locaux pourront donc intégrer ces modules en fonction de leurs besoins les plus critiques », souligne Karen Parrish et d'ajouter « nous allons construire ces modules à partir des expériences de plusieurs projets individuels et en extraire les redondances ».  Aucun d'eux ne sera néanmoins disponible lors du lancement de la solution.

Pour construire ces unités additionnelles, IBM s'appuie sur 2 000 projets qu'elle a réalisés pour des villes comme New York, Memphis, Washington et Dubuque (on peut citer également la ville de Nice qui a emporté en mars dernier le Challenge Smarter Cities pour bénéficier de l'expertise d'IBM en matière de planification stratégique, de gestion des données et de compétences technologiques). Avec ce travail préalable, Big Blue a remarqué des « faisceaux de points communs», comme la gestion centralisée du personnel ou la décongestion du trafic routier.

IBM prévoit le lancement d'IOC à partir du 17 juin prochain. Karen Parrish n'a pas voulu révéler certains détails comme le prix ou la durée d'intégration d'un tel logiciel. Elle a simplement indiqué que le logiciel se connectera facilement à des systèmes IT normalisés et des adaptations particulières seront nécessaires si les systèmes sont plus anciens. La dirigeante a également indiqué que la version initiale du logiciel sera intégrable directement chez le client, mais une offre en mode hébergée est envisagée dans les futures versions.

Illustration: Intelligent Operations Center

Crédit Photo: IBM
(...)

(01/06/2011 11:37:48)

Orsyp Institute dévoile une mesure de la performance des opérations informatiques

Mesurer la performance des opérations informatiques se faisait jusqu'à présent uniquement via la multiplication d'indicateurs parcellaires comme le coût, des indicateurs-clés, des benchmarks ponctuels ou la perception de la qualité de service. Cette situation ne convenait pas à Orsyp Institute. Il a donc réuni une vingtaine de responsables informatiques de tous secteurs en 2010 pour constituer un groupe de réflexion à ce sujet. Le résultat des travaux se nomme le TRS : le taux de rendement synthétique.

Celui-ci s'exprime sous forme d'un pourcentage et est issu des travaux précédents du secteur industriel. Orsyp Institute estime que le TRS comble un manque important pour le pilotage par la performance à l'heure où la production informatique est un facteur déterminant de la survie d'une entreprise. Cela serait d'autant plus vrai que la production, grâce à la virtualisation, peut être aisément externalisée, notamment via l'informatique en nuage.

(...)

(18/05/2011 10:52:45)

Quelles priorités pour les DSI : Relation client, RH, décisionnel selon IBM

Tous les deux ans, en alternance annuelle avec une enquête auprès des CEO (DG), IBM mène une enquête mondiale auprès des DSI, l'IBM Global CIO Study 2011. D'autres enquêtes ont lieu selon un rythme similaire, auprès d'autres fonctions (DAF, DRH et bientôt directeurs marketing). A chaque fois, IBM s'intéresse à la vision des professionnels interrogés au sujet de l'IT, notamment en termes de priorités. L'alternance et la succession des études permettent de confronter les opinions des différentes fonctions.

68% des directeurs généraux tendent à considérer que l'IT est vitale au succès de l'entreprise, notamment pour lui permettre de retrouver de la croissance. « En 2009, outre la pression sur les coûts, les DSI devaient associer dextérité et efficacité opérationnelles mais, en 2011, il s'agit surtout d'accompagner le retour à la croissance » souligne Philippe Jarre, directeur général global technology services d'IBM. France. Globalement, il y a très peu de différences entre pays même si certaines sont parfois sensibles.

Un trio d'intérêt

Trois priorités sont partagées entre DSI et DG : intimité client, compétences humaines et décisionnel. Mais l'ordre de ces trois priorités n'est pas le même. Et il existe sur ce point des particularités en France. Pour les DG dans le monde et les DSI français, la priorité est « l'intimité client » (respectivement 88% et 83%), suivie des compétences humaines (81% et 65%) et, en dernier, l'intelligence décisionnelle (76% et 64%). Au niveau mondial, les DSI ne placent pas les trois priorités dans le même ordre, plaçant l'intelligence décisionnelle en tête (79%), devant l'intimité client (71%) et les compétences humaines (65%).

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Au-delà du trio de tête, certaines préoccupations sont partagées, comme la gestion des risques (55% des DG, 50% des DSI et 46% des DSI français), l'évolution du business model (57% des DG, 48% des DSI et 44% des DSI français), les évolutions du secteur d'activité (respectivement : 54%, 39% et 35%) ou les nouveaux modèles de croissance (54%, 35% et 26%). D'autres sont spécifiques aux DSI comme les outils collaboratifs et de communication (64% des DSI dans le monde, 60% en France).

Optimiser le présent pour préparer l'avenir

Si le rôle du DSI est évidemment de rendre possible la stratégie de l'entreprise, cela se décline d'une part en optimisation de l'existant (51% des DSI optimisent en priorité les processus, 12% accroissent avant tout l'efficience opérationnelle), d'autre part en préparation de l'avenir (innovation pour 16%, transformation de la chaîne de valeur pour 21%). Alex Loth, DSI de la Fédération Française de Tennis, a commenté : « le DSI a un mandat d'innovation, car il lui faut trouver les nouvelles sources de revenus de son entreprise et les nouveaux moyens d'y recourir ».

Même s'il y a des petites différences entre pays, les priorités technologiques des DSI sont globalement partagées au niveau mondial. En tête vient le décisionnel (83% dans le monde, 78% en France) suivi de la mobilité (74% dans les deux cas), la virtualisation (68% et 69%), le cloud computing (60% et 56%), la gestion des processus métier (60% et 63%), la gestion des risques et de la conformité (58% dans les deux cas), les portails en libre-service (57% et 46%) et enfin les outils collaboratifs et sociaux (55% et 46%).

« Aujourd'hui, l'informatique s'est tellement banalisée que chacun a l'impression d'être informaticien mais ça n'est bien sûr pas le cas » souligne Jean-Marc Lagoutte, DSI du groupe Danone. Pour lui, « le changement est très rapide dans tout et nous sommes tous en train d'apprendre en marchant. Le DSI ne sait pas plus que le directeur marketing comment tirer parti des nouveaux outils sociaux. Nous sommes au coeur d'une révolution sociétale liée à l'émergence du web qui a transformé le quotidien de chacun, pas seulement de la génération Y, et y compris en entreprise. Un DSI ne peut pas plus s'opposer à l'arrivée de nouveaux outils (smartphones, tablettes...) que de ne pas être l'acteur de la transformation de l'entreprise, sous peine de perdre toute crédibilité. »

(...)

(17/05/2011 09:47:59)

CIO lance un espace pour l'actualité juridique des managers IT

Maître Christiane Féral-Schuhl est une habituée de CIO, d'abord papier et désormais sur le web, depuis une quinzaine d'années. La bâtonnière du Barreau de Paris, élue en décembre dernier et qui prendra ses fonctions en fin d'année, a, en effet, développé une spécialité appréciée du droit du secteur des TIC.

C'est tout à fait naturellement que CIO s'est tourné vers son cabinet, Féral-Schuhl et Sainte-Marie, pour la mise en place d'un espace dédié à l'actualité juridique concernant les DSI et les autres managers IT, L'actualité juridique des DSI.

Cet espace comprend une tribune par un des avocats du cabinet. L'exercice est inauguré par Etienne Papin sur le sujet du « bring your own device », tendance venue des Etats-Unis qui n'est pas sans poser un certain nombre de questions juridiques. Il s'agit en effet de permettre aux salariés de travailler sur leurs propres outils (PC portable, smartphone...), voire de les inciter à le faire. S'il existe des avantages à la démarche, les inconvénients sont également à prendre en compte. Nous en parlions déjà dans CIO.PDF 33.

Un fil de brèves vient également alerter les managers IT sur l'actualité immédiate. En cas de besoin, nous creuserons le sujet dans des articles ultérieurs.

Enfin, en bas de l'espace, vous retrouverez les actualités juridiques du fil général de CIO-Online.

Une newsletter spécifique reprendra ces informations à l'attention des lecteurs de CIO-Online.
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