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(25/03/2008 13:04:22)

L'informatique décisionnelle s'émancipe des DSI

A en croire Gartner, les DSI pourraient bien être à leur tour victimes du progrès technologique. Les analystes de ce cabinet prédisent que, d'ici à 2012, l'évolution des technologies qui permettent de s'adonner à l'informatique décisionnelle (alias Business Intelligence) aura été telle que les utilisateurs pourront mettre en place eux-mêmes les outils dont ils auront besoin. Sans avoir à faire appel à la DSI... Cette mutation profitera bien sûr à l'informatique décisionnelle. Aujourd'hui, elle souffre d'une réputation, somme toute méritée, de complexité. Du coup, seulement 15% à 20% des utilisateurs exploitent pleinement ses possibilités. Demain, prédit Gartner, les technologies de visualisation interactive, les moteurs de recherche, les architectures orientées services, voire les offres de logiciels en ligne concourront à faciliter la mise en place et l'usage d'outils décisionnels. Gartner est convaincu que ces progrès technologiques et ergonomiques permettront de toucher les 80% d'utilisateurs potentiels restants. Ils devraient y trouver doublement leur compte. En effet, ils pourront enfin se débarrasser des fastidieuses tâches de mise à jour de tableaux de bord personnels, seul moyen à leur portée aujourd'hui pour disposer d'indicateurs. Les DSI ne doivent pas s'illusionner : la tendance est irréversible. Gartner leur déconseille d'adopter une attitude de résistance - comment détourner des utilisateurs d'interfaces et d'outils qui vont modifier leur façon de travailler autant que les tableurs en leur temps ? La bonne attitude est celle de l'accompagnement de la démarche. (...)

(21/03/2008 09:37:39)

Les DSI majoritairement tenus à l'écart des grandes décisions, selon The Economist

Les DSI sont tenus à l'écart des principales décisions dans les technologies de l'information par leurs conseils d'administration, en dépit de l'importance de ces technologies dans les stratégies d'entreprise. C'est le verdict d'un nouveau rapport publié par l'Economist Intelligence Unit, émanation de la revue britannique The Economist, qui a interrogé 185 cadres dirigeants, dont des DSI et des PDG, en Europe, Moyen-Orient et Afrique, pour le compte de McAfee, l'éditeur de sécurité bien connu. Moins de la moitié des DSI présentent des problématiques tenant aux systèmes d'information au comité de direction, selon le rapport. Et 45% d'entre eux voient leur PDG prendre le leadership lors de débats impliquant la technologie. Dans 20% des cas, ce sont les directeurs financiers qui représentent les équipes informatiques dans les réunions dirigeantes, et ils voient dans leur écrasante majorité l'informatique comme une simple fonction d'appui, fournissant des services, y compris de sécurité. La contribution du DSI tout de même mieux perçue [[page]] Néanmoins, 83% des répondants déclarent que le profil du DSI s'améliore aux yeux du comité de direction, car de plus en plus de dirigeants voient la contribution du système d'information à la génération de revenus, à la sécurité et à la gouvernance d'entreprise. Mais les DSI peuvent s'attendre à ce que l'on leur demande de toujours fournir plus pour moins cher, car la dépense en technologies de l'information pour ce qui concerne la gestion de risques et la conformité réglementaire n'augmentera pas dans nombre d'entreprises, même si huit dirigeants sur dix s'attendent à ce que le fardeau réglementaire s'alourdisse. Clint Witchalls, rédacteur en chef à l'Economist Intelligence Unit, estime que la bataille des DSI, afin d'être reconnus au niveau du comité de direction, « n'est pas encore terminée ». Il ajoute : « Le DSI doit faire attention à ce que le ralentissement économique actuel ne les ramène pas à leur ancien rôle de pousseurs de boîtes réducteurs de coût.s » (...)

(12/03/2008 15:06:18)

Les trois quarts du temps, la menace vient de l'intérieur

EuroCACS, conférence européenne sur les politiques de sécurité (audit, gouvernance, conformité.), s'est achevée à Stockholm sur l'habituel constat désabusé : la majorité des risques provient de l'intérieur d'une entreprise. Evoquant le récent scandale de la Société générale avec les faux emails de Jérôme Kerviel, les conférenciers ont rappelé les chiffres du cabinet ISCSA : « Malgré toute l'attention portée aux intrusions et aux virus, il y a 72% de chances que la prochaine attaque réussie provienne de l'intérieur. » Comme il a été souligné lors de cette European Computer Audit Control and Security Conference, ces attaques ont en outre des conséquences plus fâcheuses, dans la mesure où un collaborateur peut avoir accès à plus de systèmes, et sur un temps plus long. Les motivations sont également plus diverses : gain financier, bien sûr, mais aussi curiosité, revanche, etc. Les mesures contre ce type de délinquance doivent, selon les conférenciers, passer d'une part par des actions menées par le département RH de l'entreprise, en vue de renforcer la loyauté des collaborateurs, et d'autre part par une politique de surveillance menée par le département sécurité. Mais attention, a souligné Urs Fischer, vice-président responsable de la gouvernance et de la gestion du risque chez SwissLife, cette politique doit être clairement expliquée aux salariés : « Il faut le faire, mais le faire de façon très ouverte, et surtout pas surveiller les employés en douce. » Comme dans toute affaire de sécurité, les participant ont convenu qu'il n'y avait pas de réponse technologique capable de parer à toute éventualité. (...)

(01/02/2008 17:08:15)

Etude DSI : trop de responsables tue l'esprit de décision

Les directeurs des services informatiques européens ne sont pas heureux. Selon l'étude Pressure Point Index menée par le cabinet Penn, Schoen et Berland Associates pour HP, 82% d'entre eux estiment qu'il y a trop de personnes impliquées (notamment les actionnaires et les consultants extérieurs) dans les prises de décisions concernant les systèmes d'information. Pour 76% des 234 responsables informatiques de sociétés de plus de 1000 salariés interrogés en Allemagne, en France, au Royaume-Uni et en Italie, cette multiplication des décisionnaires conduit à l'absence de stratégie IT claire dans leur entreprise. Alors qu'ils sont 90% à reconnaître qu'une ligne directrice forte dans ce domaine aurait un impact bénéfique sur leur business. L'une des explication de ce phénomène est l'accroissement des connaissances IT - plus ou moins bien assimilées - par l'encadrement. Ils sont de plus en plus nombreux à se sentir aptes à prendre des décisions eux-mêmes, quitte à passer par dessus l'avis des directeurs informatiques. Pour HP, qui a sponsorisé cette étude, ce sont les directeurs informatiques eux-mêmes qui doivent reprendre en main la stratégie IT de leur groupe, en mettant en avant auprès de chaque business unit leur valeur ajoutée. Sinon, à terme, c'est leur poste même qui sera menacé. De grandes sociétés, dont Boots (l'équivalent anglais de Séphora) ou Tesco, n'ont plus de directeur informatique distinct. (...)

(24/01/2008 16:44:43)

Avec FOSSology, HP traque l'Open Source dans les systèmes d'informations

Comme toutes les grandes sociétés, le système d'informations d'HP regorge de logiciels divers et variés, notamment en Open Source. Or savoir quelle licence s'applique à quelle partie du SI relève parfois du vrai casse-tête. Les développeurs d'HP ont donc conçu un produit maison, nommé FOSSology, qui - à la manière de Black Duck - retrouve les logiciels Open Source installés dans un système d'informations et en analyse le code source pour savoir quelles sont les licences utilisées. Si les informations ainsi remontées sont de bonnes indications sur ce qu'il est possible de faire ou de ne pas faire avec un logiciel, les développeurs d'HP se déchargent de tout problème juridique en précisant : « En général, les résultats d'analyses sont très bons, mais ne devraient pas être considérés comme faisant autorité. (ou pour faire simple : nous ne sommes pas des avocats. Le code fait de son mieux, mais laissez les décisions juridiques à vos juristes.) » FOSSology est disponible gratuitement sous licence GPL 2.0. Dans le futur, il devrait également servir pour faire l'analyse des patches installés, détecter la réutilisation de code, et remonter les alertes de sécurité. (...)

(16/01/2008 08:39:11)

La région Ile-de-France rejoint l'April pour soutenir davantage le logiciel libre

Après avoir rejoint l'Adullact (Association des Développeurs et des Utilisateurs de Logiciels Libres pour les Administrations et les Collectivités Territoriales), la région Ile-de-France vient d'adhérer en tant que personne morale à l'April (Association pour la Promotion et la Recherche en Informatique Libre). Autant l'adhésion à l'Adullact peut être purement opportuniste puisque cette association réalise essentiellement des développements mutualisés de logiciels métiers, autant celle à l'April ne peut qu'avoir une dimension politique. De fait, l'April remarque que la région développe une stratégie volontariste en termes de « rééquilibrage » de son parc logiciel, autrement dit de choix volontaire de logiciels libres lorsque c'est possible. Cité par l'April, Jean-Paul Huchon, président de la région, indique d'ailleurs que l'objectif de l'adhésion est bien de « participer au développement de l'écosystème du logiciel libre ». Après l'adhésion de la petite commune de Pierrefitte-sur-Seine en fin d'année dernière, l'ambition de l'April est de multiplier les adhésions de collectivités locales pour créer au plus vite un groupe de travail dédié au sein de l'association. Les collectivités locales sont classiquement dotées d'un système d'information aux petites applications métiers très nombreuses et une migration d'environnement de travail, notamment au niveau du poste de travail, y est donc particulièrement difficile. On y trouve d'ailleurs les réticences les plus fortes contre le futur RGI (Référentiel Général d'Interopérabilité). Les collectivités locales constituent donc une terre de mission particulièrement difficile pour les promoteurs du logiciel libre. (...)

(16/01/2008 08:32:07)

Les dépenses du secteur public dans l'IT progresseront de 800 M€ d'ici 2009

La dernière étude de Markess International sur le marché des logiciels et des services IT dans le secteur public évalue à 6,28 Md€ le montant des dépenses en informatique réalisées par les administrations centrales et locales françaises en 2007. Un investissement consacré pour plus de 63% au recours à des prestataires de services et, pour le reste, à l'acquisition de logiciels et de progiciels. Dans l'ensemble, les administrations centrales ont consacré 4,6% de leur budget global à leurs dépenses en informatique. Cette proportion n'atteint que 2% du budget des administrations locales. Les 8 premiers prestataires auxquels elles ont fait appel sont, dans l'ordre, Atos Origin, IBM Global Services, Thales, Cap Gemini, Steria, Bull, Accenture, Groupe LogicaCMG avec Unilog et Sopra Group. En 2008 et 2009, les dépenses totales en logiciels et services IT du secteur public devraient augmenter de 6,1% par an en moyenne pour s'élever à 7,07 Md€ à l'issue de cette période. La part des logiciels et des services devrait être la même que celle évaluée pour l'année passée. A travers l'analyse de 250 projets jugés prioritaires dans les administrations, il apparaît que sur ces deux années les chantiers liés à la gestion des contenus dématérialisés (numérisation des contenus, GED, systèmes de publications des contenus) devraient être les plus nombreux avec 13% du nombre des projets identifiés. Les problématiques liées à l'infrastructure arrivent en seconde position avec 10% des projets en volume. Viennent ensuite les projets liés aux ressources humaines satellites des grands chantiers de SIRH (systèmes d'information ressources humaines). A noter la progression des projets d'archivage électronique et de stockage qui occupent eux aussi la troisième place avec 9% des volumes contre 5% en 2007. (...)

(11/01/2008 15:56:44)

Selon Gartner, les entreprises ne sont pas prêtes pour des pannes de longue durée

Selon un récent sondage effectué par le cabinet d'étude Gartner auprès de 359 professionnels de la gestion des risques et de la sécurité informatique aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et au Canada, 60 % des entreprises ne prévoient pas de plan de continuité d'activité au-delà de sept jours, voire moins. Pour Roberta Witty, l'analyste responsable de cette étude, c'est une erreur qui « laisse un grand trou dans leurs organisations. L'impact d'un désastre durant plus d'une semaine peut avoir des répercussions énormes sur les revenus et la réputation de l'entreprise. Des incidents locaux, des épidémies, une attaque terroriste ou un problème avec les prestataires de services (ndlr, comme le fournisseur d'électricité) peuvent facilement durer plus de sept jours. » Elle recommande donc d'avoir un plan de continuité de service courant au moins pendant 30 jours. De plus, si la plupart des entreprises prévoient le cas où la panne provient d'un problème interne à leurs systèmes d'information, elle ne sont plus que 77 % à prévoir le cas d'un incendie ou d'une panne d'électricité, 72 % une catastrophe naturelle (de type inondation ou séisme), 50 % une attaque terroriste et seulement 29 % une épidémie. Sur ce dernier point, il y a tout de même une amélioration puisqu'en 2005, seules 8% des entreprises prenaient en compte le risque sanitaire. Côté mise en pratique, 37 % des plans de continuité prévoient la mise en place d'un centre de commande physique, et seulement 31 % un centre virtuel pour que les responsables concernés puissent intervenir même s'ils ne sont pas sur site. Plus inquiétant, 61 % des entreprises ont rencontré des problèmes lors d'exercice de leur plan de continuité de services. (...)

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