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(21/12/2007 15:39:36)

De la VoiP aux télédéclarations : un Echangeur PME pour évaluer les outils

La Chambre de commerce et d'industrie de Paris (CCIP) a inauguré hier soir, à la Bourse de commerce, une version PME de l'Echangeur Paris Ile-de-France. A l'instar de cet espace créé en 1997 par LaSer, rue des Archives, pour y exposer les principales innovations informatiques, le nouvel Echangeur PME Paris Ile de France a vocation à recevoir les entreprises pour leur présenter technologies et outils susceptibles de les aider à optimiser leurs activités et accélérer leur développement : télédéclarations, signature électronique, téléphonie sur IP, applications de mobilité pour les commerciaux, solutions de commerce électronique, outils de e-marketing... « Depuis presque dix ans, la CCIP accompagne les TPE/PME dans l'appropriation des technologies de l'information et de la communication, a rappelé Geneviève Roy, vice-présidente de la CCIP. Néanmoins, certains des usages que l'on peut faire de ces outils sont encore méconnus des petites entreprises. » D'où l'idée de décliner le principe de l'Echangeur en s'adressant cette fois aux PME. Veille, logistique, publicité sur le lieu de vente... Des visites découvertes de l'espace (trente minutes pour assister à cinq ou six démonstrations) alterneront avec des visites thématiques de deux heures qui permettront d'approfondir un sujet : une présentation suivie d'une dizaine de démonstrations. Six thématiques peuvent être abordées : la gestion de la relation client et e-marketing, le commerce électronique, la veille et le partage de connaissances, la relation avec les fournisseurs et logistique, la relation avec l'administration et, enfin, les outils destinés aux commerçants (gestion commerciale, publicité interactive sur le lieu de vente, e-mailing, outils de publicité sur Internet...). Le calendrier du premier semestre 2008 démarre le mardi 08 janvier prochain. Au menu : plusieurs visites découvertes, présentation de Second Life (le 10), conférence sur « La fabrique du futur » (le 15), visite thématique sur le commerce électronique (le 24), conférence sur les places de marché (le 29) ou encore, démonstration sur l'e-administration (le 30). L'Echangeur PME est soutenu par quatre partenaires principaux, Acropolis Telecom, Bouygues Telecom, eBay et Oracle, auxquels se joignent une soixantaine de partenaires techniques (...)

(19/12/2007 16:39:18)

CA et Planview en tête de l'évaluation des outils de PPM par Forrester

CA et Planview dominent d'une courte tête le marché du PPM (Project and portfolio management, gestion de portefeuille et de projets), d'après Forrester. Le cabinet d'étude vient de publier une synthèse des évaluations qu'il a réalisées entre janvier et novembre de cette année. Sur 14 solutions évaluées, Forrester distingue en premier lieu celles de CA et Planview, tout en indiquant que les offres de HP, IBM et Primavera suivent de près.

Le marché du PPM a le vent en poupe, comme le montre la consolidation de ces dernières années, CA absorbant NikuHP rachetant Mercury, ou Serena reprenant Pacific Edge. De fait, soulignent les consultants de Forrester, les DSI ont besoin de ces outils pour de multiples raisons. Il leur faut gérer des ressources limitées, alors que les demandes des directions fonctionnelles augmentent, et que la législation en matière de gouvernance impose la plus grande transparence sur les processus.

Des offres de PPM appelées à être utilisées en dehors de la sphère IT

Forrester indique encore que les DSI jugent de façon plutôt positive l'utilisation des outils de PPM. Néanmoins, les analystes expliquent que ces derniers ont encore quelques points à améliorer. En premier lieu, ces outils devraient permettre de réaliser des simulations, tant au niveau du reporting qu'au niveau opérationnel, pour juger de la pertinence de chaque investissement. Forrester appelle également les éditeurs à simplifier l'utilisation de leur logiciel, afin que des non-informaticiens puissent le prendre en main aussi facilement, dans la mesure où les décisions stratégiques en matière de système d'information ne sont pas l'apanage du seul DSI. En outre, souligne Forrester, ces solutions de PPM pourraient bien à terme s'étendre pour gérer l'ensemble des projets de l'entreprise, et non seulement les projets informatiques.

Forrester a noté, pour établir son classement, une multitude de critères, répartis en trois grandes catégories. A titre d'information, nous publions ci-dessous les notes sur 5 dans chacune de ces catégories des 14 offres évaluées. Néanmoins, comme le souligne Forrester, chaque entreprise devrait pour choisir sa solution déterminer ses critères prioritaires et pondérer les notes en fonction. (...)

(07/12/2007 14:11:45)

Coup d'envoi des Trophées CIO 2008 « Entreprises et Société de l'Information »

Pour la huitième année consécutive, les Trophées Entreprises et Société de l'Information décernés par le magazine CIO (édité par IT News Info, également éditeur de Lemondeinformatique.fr) vont récompenser la synergie entre la fonction informatique et la stratégie de l'entreprise / administration / association. La cérémonie de remise des prix aura lieu le 3 avril 2008, à Paris. Les projets sélectionnés feront l'objet de reportages sur le site Web CIO-Online.com et dans le magazine CIO d'Avril (une page pour les nominés, une double-page pour les gagnants). Chacun des trophées décernés récompensera un projet ou une stratégie globale et sera remis à un couple formé du DSI et d'un membre de la direction de l'entreprise / administration / association lauréate. Ces deux dirigeants montreront ainsi, sur scène, l'importance de leur synergie dans le succès du projet ou de la stratégie présenté. Des prix pour tous les types d'organisations Seront décernés cette année des trophées thématiques, des grands prix pour les PME, les grands comptes et le secteur public ainsi que des prix spéciaux. Les Grands Prix récompensent exclusivement une stratégie globale. Les trophées thématiques récompensent plutôt un projet ou un ensemble cohérent de projets. Les PME et les associations peuvent autant poser leur candidature que les grands groupes. Les palmarès des années passées montrent que chacun a sa chance. La composition du jury est indiquée dans l'encadré ci-dessous. Attention ! Les fournisseurs de technologies ou de services ne peuvent bien sûr poser leur candidature que pour des projets internes. Les dossiers sont à déposer avant le dimanche 3 février 2008. Télécharger le dossier de candidature au format Microsoft Word .doc Télécharger le dossier de candidature au format OpenDocument .odt Le dossier doit impérativement : - être envoyé par voie électronique à l'adresse candidaturestrophees((a))it-news-info.com (remplacer ((a)) par @) avant le 3 février 2008 - peser au maximum 1 Mo. - être en format Acrobat (.PDF. Outre Adobe Acrobat, le produit Open Source gratuit OpenOffice, par exemple, génère du PDF). (...)

(06/12/2007 09:12:49)

L'Insead propose d'évaluer et de valoriser les actifs logiciels

Et si, plutôt que de considérer les logiciels comme un centre de coûts, les entreprises les valorisaient ? Micro Focus, éditeur de logiciels de modernisation du patrimoine applicatif, s'est posé la question, et a demandé à l'Insead d'y répondre. Soumitra Dutta, titulaire de la chaire « Business & Technology » de l'école de commerce, a conduit une enquête tant quantitative que qualitative, qui montre que les entreprises n'ont globalement aucune idée de la valeur de leurs actifs logiciels. Les trois quarts des 250 personnes interrogées (CIO et CFO, c'est-à-dire directeurs informatiques et financiers) aux Etats-Unis et en Europe estiment que les actifs logiciels sont critiques, voire très critiques, pour la stratégie de l'entreprise. Mais 60% n'en connaissent pas le périmètre, et 29% ne savent pas combien elles dépensent pour les actifs essentiels. Autre chiffre étonnant : seulement 10% jugent excellents (et 26% très bons) leurs efforts pour communiquer la valeur des actifs logiciels au conseil d'administration. Dans ces conditions, pointe Soumitra Dutta, le DSI ne se retrouve pas en très bonne situation face à la direction générale au moment des attributions budgétaires. Pire, dans la mesure où le DSI ne valorise pas l'existant, ce dernier n'est plus géré que par les coûts, alors que ce sont généralement ces vieux systèmes, souligne-t-il, qui constituent la pierre angulaire du système d'information. A ce titre, « ils représentent la valeur cachée des entreprises ». Un essai pour appliquer la méthode de l'analyse conjointe aux actifs logiciels Certes, ces systèmes anciens coûtent énormément. On dit généralement que 70% des dépenses sont consacrées à la maintenance. « Mais tout dépend de ce qu'ils rapportent », répond Soumitra Dutta. Son étude donne l'exemple suivant : si on dépense 100 000 $ pour un système qui en rapporte 1 million, il n'y a pas de souci. S'il ne rapporte que 200 000 $, cela peut devenir un souci. Tout le problème est de déterminer la valeur d'un actif logiciel. Le professeur de l'Insead explique que les méthodes traditionnelles, par les coûts, par la valeur de marché ou par le revenu, ne sont pas adaptées au logiciel d'entreprise. Il propose plutôt d'appliquer une technique de marketing, dite d'analyse conjointe. Cette technique s'inspire de la façon dont un consommateur fait des choix entre différents produits, en évaluant l'intérêt d'un certain nombre d'attributs liés à ce produit. Pour l'instant, cette méthode n'a pas été mise en oeuvre. L'Insead prévoit de mener deux projets pilotes dans des entreprises, pour étudier sa possible mise en application. Micro Focus a de son côté pris rendez-vous avec le Cigref, Club informatique des grandes entreprises françaises, pour lui présenter cette étude et l'inviter à mieux considérer le patrimoine logiciel existant. Comme le dit Soumitra Dutta, cela peut aussi constituer une valeur à présenter aux actionnaires. (...)

(04/12/2007 16:49:09)

Les budgets IT américains 2008 en très légère hausse

Une première étude, menée par Computer Economics, semble indiquer que la croissance des budgets informatiques en Amérique du Nord va ralentir en 2008. Alors que cette année, les budgets informatiques parmi les 125 entreprises interrogées auront augmenté de 5%, ils ne devraient s'accroître que de 2,5% l'an prochain. Ce tassement s'explique par la frilosité des grands comptes (+ de 750 M$ de CA) qui se plaignent d'un manque de visibilité sur les tendances économiques. Ils ne prévoient pas plus de 2% d'augmentation. A l'inverse, les PME anticipent 2,75% de hausse et les TPE 3%. (...)

(19/11/2007 14:05:02)

Les DSI dépassés par l'essor des périphériques mobiles personnels

A l'occasion de la conférence Mobile Internet World qui s'est tenue à Boston jeudi dernier, plusieurs analystes et experts du marché sont revenus sur l'impact des technologies personnelles en entreprise. Pour les experts, quels que soient les mesures et effort déployés par les entreprises, la pénétration des périphériques personnels dans l'enceinte de la société ne va que s'accentuer au fil des années. Ce qui ne manque pas, bien entendu, de poser des problèmes en termes de sécurité, de maintenance ou encore d'administration puisque ces périphériques accèdent au système d'information. Pour Zeus Kerravala, analyste au Yankee Group, l'expérience prouve que l'interdiction est tout simplement impossible, les produits ne cessant d'arriver sur le marché, toujours plus séduisants : « à moins que les DSI n'apprennent à fonctionner différemment, le problème ne fera que s'accentuer, forçant les DSI à évoluer. » « Les entreprises veulent avoir le contrôle, ajoutait Lalit Canaran, directeur de l'entité services professionnels de Sybase, mais même le Blackberry (ndlr : le plus utilisé des périphériques mobiles par les entreprises américaines) est entré dans l'entreprise par l'utilisateur et c'est la DSI qui s'est pliée en trouvant un moyen pour le gérer. » Pour Zeus Kerravala, l'avenir du marché de la mobilité sera donc déterminé par la demande des utilisateurs en termes d'accès à l'information, de la façon la plus simple possible, indépendamment de l'endroit et du périphérique qu'ils sont ou non obligés d'utiliser. Reste que selon une enquête du Yankee Group, 68% des employés estiment qu'ils se débrouillent aussi bien voire mieux que leur service informatique dès lors qu'il s'agit d'installer des applications sur leur PC professionnel. Ils sont aussi 49% à penser que les technologies grand public, celles qu'ils ont précisément choisies avec leur périphérique mobile, sont plus avancées que celles que leur entreprise leur propose en environnement de travail. Enfin 54% estiment qu'ils seraient plus productifs si on leur laisser utiliser leur environnement informatique personnel sur le lieu de travail. Selon Zeus Kerravala, pour la première fois, les DSI sont dépassés par cette pénétration des technologies personnelles sur le lieu de travail. « Beaucoup d'entreprises admettent qu'elles ne savent pas comment gérer le phénomène », souligne encore l'analyste du Yankee Group. (...)

(05/11/2007 16:13:25)

Un avocat néo-zélandais succède à Vinton Cerf à la tête de l'Icann

Sans surprise, c'est Dengate Thrush, 52 ans, qui succède à Vinton Cerf, 64 ans, à la tête de l'Icann (Internet corporation for assigned names and numbers). Cet avocat de nationalité néo-zélandaise est membre actif de l'Icann depuis 1998. L'autre candidat, le spécialiste italien des télécoms Roberto Gaetano, 57 ans, a été élu vice-Chairman. L'ensemble des spécialistes de l'administration d'Internet considère l'Icann comme la chambre d'enregistrement des décisions du gouvernement américain et non comme un organisme indépendant, soucieux de l'intérêt général au niveau mondial. (...)

(26/10/2007 16:23:13)

L'Afdel explique les enjeux du Saas aux éditeurs français

« Si au niveau financier, l'impact peut être temporairement négatif lors de la phase de transition, les éditeurs en retard seront sanctionnés. » A l'occasion d'une conférence organisée par l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels), Pierre Marty, du cabinet PricewaterhouseCooper, a expliqué à un parterre d'éditeurs de l'Hexagone les enjeux, très pragmatiques, de se lancer dans un modèle Saas (Software as a service). Au programme, les avantages, les inconvénients et les risques de « transitionner » (sic), même partiellement, vers ce modèle. Selon lui, la transition vers le Saas est inévitable, et cela répond surtout à une façon de penser des utilisateurs actuels. « Aujourd'hui, les clients sont à la recherche d'alternatives, car ils sont partiellement satisfaits et ont l'impression de payer pour des fonctionnalités qu'ils n'utilisent pas », explique-t-il, en pointant du doigt le modèle traditionnel de licence. L'un des points importants soulevés à l'occasion de la conférence est la gestion du changement lors de la période de transition (du modèle traditionnel basé sur les licences vers le Saas). Des bouleversements d'abord financiers : « Les nouveaux modèles [le Saas, ndlr] induisent des flux de revenus réguliers, ce qui implique des changements fondamentaux dans les structures de coûts », insiste Pierre Marty. Si les coûts de développement sont plus élevés (hébergement, infrastructure, développement, fonctionnel), la croissance des revenus dans le Saas est plus nette que celle dans le modèle classique. « Ce qui impacte beaucoup sur le pricing [la tarification, ndlr] et le paiement », explique-t-il. Autre changement souligné par Pierre Marty, le modèle Saas implique une continuité des services. A l'inverse du modèle traditionnel où les nouvelles fonctionnalités arrivent avec les mises à jour des versions, le Saas doit sans cesse se renouveler. On parle alors de « continuous-improvement model ». Une continuité qui se répercute ensuite sur les équipes commerciales. Reste que si des risques existent, beaucoup d'éditeurs se sont engouffrés dans le Saas. Si comme le souligne Christophe Raymond de Cegid, tout ne peut être mis sous forme Saas, en particulier les PGI, « une vraie demande existe de la part des clients ». (...)

(16/10/2007 18:13:30)

ITSMF Forum : Orsyp lance une édition Itil du Trivial Pursuit

BMC avait tenté d'impliquer les utilisateurs à l'aide de jeux de rôles, Orsyp Consulting a décidé de le faire à l'aide d'une édition spéciale Itil du Trivial Pursuit. La branche conseil de l'éditeur de Dollar Universe a apporté un millier de boîtes de jeu à distribuer gratuitement aux participants des 5e rencontres annuelles de l'ITSMF France (aujourd'hui au Palais des Congrès de Paris). Le but : apprendre ou vérifier ses connaissances sur Itil, référentiel de bonnes pratiques à l'usage des DSI, en 408 questions. « Cela permet de s'appuyer sur un support ludique, précise Samuel Gaulay, chargé du marketing d'Orsyp Consulting. Et par rapport au jeu de rôles, dans la mesure où là, les règles sont connues par tous, cela permet d'aller directement au fond des choses. » Orsyp Consulting a fait fabriquer 5000 boîtes en tout. Les 4000 jeux restants seront distribués lors de petits-déjeuners sur Itil, ou de sessions de formation. Et Hasbro, détenteur des droits et fabricant du jeu, devrait suivre de près l'accueil réservé à cette édition hors du commun. « C'est un nouveau marché pour eux, il s'agit du premier Trivial B2B. Ce sont deux de nos consultants qui en ont eu l'idée il y a un an, en revenant d'un audit. J'ai commencé à travailler sur le projet en mai 2007, au moment du lancement de la v3 d'Itil, et nous avons dû faire vite, afin que tout soit prêt pour aujourd'hui. Nous en avons déjà distribué 750, et nous avons un très bon retour de la part des décideurs. » (...)

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