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Gouvernance
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(21/12/2005 17:04:05)
Lenovo recrute son PDG chez Dell
Lenovo vient de débaucher William J. Amelio, président de Dell depuis 2001 pour la région Asie-Pacifique, pour lui confier le poste de président-directeur général. William Amelio succède à Stephen Ward, un ancien d'IBM passé chez Lenovo lorsque le chinois a racheté la division PC du constructeur américain. Dans un communiqué, Lenovo souligne en outre que William Amelio a occupé différents postes chez IBM de 1979 à 1997, y compris celui de directeur général monde pour la division PC de Big Blue. Par ailleurs, Lenovo s'apprête à racheter Lenovo Mobile Communication Technologie, une co-entreprise de production de téléphones mobiles fondée en partenariat avec Xiamen Overseas Chinese Electronic Company. Le constructeur justifie cette opération en invoquant les performances de cette co-entreprise. Le rachat est évalué à environ 8,9 M$. (...)
(15/12/2005 17:58:06)Philips fait de son pôle semi-conducteurs une entité distincte
Philips vient d'annoncer son intention de scinder son pôle semi-conducteurs afin d'en faire une entité indépendante. Une fois l'opération menée à bien, l'avenir de cette nouvelle filiale reste en suspend : mise en bourse, rachat, etc., toutes les options seront pesées afin d'obtenir de meilleures performances sur le long terme et apporter toute satisfaction aux actionnaires. Le PDG de Philips semi-conducteur, M. Van Houten estime que l'opération devrait permettre d'augmenter leur flexibilité afin de mieux investir, développer et gravir les échelons d'un marché très concurrentiel. En effectuant cette scission, Philips reprend le modèle de Siemens qui avait créé il y a quelques années Infineon qui aujourd'hui pense renouveler l'opération avec la filialisation de son activité mémoire. (...)
(10/10/2005 18:06:44)Capgemini débarque Pierre Danon
Pierre Danon n'est plus directeur général adjoint de Capgemini. Après seulement six mois passés dans le groupe, Danon a été remercié par la direction. Il paye sa candidature à la présidence d'Accor, qui a échoué en raison de la volonté de Gérard Pélisson, le cofondateur du groupe hôtelier avec Paul Dubrule, de voir son neveu Gilles lui succéder. La pression exercée par Pélisson et Dubrule a conduit au retrait de trois institutions financières du processus de recrutement. BNP Paribas, la Société Générale et la Caisse des Dépôts, qui soutenaient la candidature de Pierre Danon, ont ainsi préféré jeter l'éponge, hypothéquant du même coup les chances de succès de leur poulain.
Comble de malchance pour l'ambitieux Danon, ses appétences hôtelières se sont ébruitées et furent bientôt reprises par la presse. C'était, dès lors, son maintien au sein de Capgemini qui devenait incertain. Le 9 octobre, la direction du groupe officialisait la rumeur : Pierre Danon ne fait plus partie de la société, « en dépit du souhait exprimé par ce dernier de poursuivre sa mission. »
Capgemini explique que « les conditions nécessaires à son maintien à un poste d'autorité dans le groupe ne pourront plus être réunies ». Danon, de son côté, déplore le manque de confidentialité ayant entouré cette affaire. (...)
Capgemini : les jours de Danon seraient comptés
L'avenir de Pierre Danon en tant que numéro deux de Capgemini est, pour le moins, incertain.
Arrivé dans le groupe en novembre 2004, en provenance de BT, Danon a souvent été présenté comme l'un des dauphins du PDG Paul Hermelin. Il s'est illustré en appliquant avec succès à Capgemini les principes de réduction des coûts qu'il avait mis en place naguère pour l'opérateur britannique. Après moins d'un an passé au sein de Capgemini, Danon paraît avoir eu soif de promotion et s'est porté candidat au poste de numéro un du groupe hôtelier Accor, en remplacement de Jean-Marc Espalioux.
L'affaire semblait bien engagée pour le prétendant, dont le grand oral devant le conseil de surveillance d'Accor avait séduit les pontes. Mais Pierre Danon a subi la farouche volonté du fondateur Gérard Pélisson de voir son neveu occuper le poste d'Espalioux, au risque de faire passer le processus de recrutement pour une pantalonnade aux yeux des observateurs. Selon le journal Le Monde, Pélisson aurait téléphoné à Serge Kampf, le fondateur de Capgemini, afin de l'informer de la candidature de Danon. Si ce dernier a finalement mis un terme à ses ambitions hôtelières, il doit maintenant subir les conséquences de son escapade, qui aurait fortement déplu à Hermelin et Kampf. Le retour au bercail risque d'être délicat à négocier.
D'après une dépêche Reuters citant un proche du dossier, « Paul Hermelin est déterminé à se séparer de Pierre Danon. La décision pourrait être prise dès cette semaine ». Le quotidien du soir va dans le même sens en révélant que Danon a été reçu par Kampf « pour négocier son départ de la société ». (...)
L'ex-PDG de PeopleSoft rejoint Salesforce.com
Craig Conway, ancien PDG de PeopleSoft, vient de rallier le conseil d'administration de Salesforce.com. Craig Conway, qui avait été en première ligne de la résistance à l'OPA d'Oracle, s'est vu éconduit par le conseil d'administration de PeopleSoft, peu avant la conclusion de l'opération.
Marc Benioff, le PDG de Salesforce.com, estime que Craig Conway pourra le faire profiter de son expérience de l'industrie de la gestion de la relation client et de ses compétences opérationnelles.
Le mandat de Craig Conway au conseil d'administration de Salesforce.com est prévu pour une durée de deux ans. (...)
Tom Francese nommé président Emea de Novell
Novell annonce la nomination de Tom Francese au poste de président Emea. Un poste laissé vacant depuis le départ impromptu de Richard Siebt (président de Suse lors du rachat par Novell).
Depuis, les fonctions étaient assurées par Ron Hovsepian vice-président exécutif et président des opération Mondiales de Novell.
Tom Francese a passé 30 ans chez IBM. Successivement, vice-président des ventes du département Logiciels de la région Amérique Centrale, Vice-président des ventes, Services financiers mondiaux, et Directeur des ventes Entreprises, il termina sa carrière chez Big Blue au poste de vice-président du département Logiciels Emea, à l'age de 55 ans.
Il répondra directement à Ron Hovsepian. Sa mission : "aider Hovsepian à transférer le modèle de ventes mis en place aux Etats-Unis, vers la région Emea, indique le blog d'un responsable de l'éditeur. (...)
Nortel se restructure à nouveau
Nortel vient de revoir une nouvelle fois son organisation interne. La structure de l'équipementier canadien s'articule désormais autour de deux divisions produits - « Solutions d'entreprise et réseaux de paquets » et « Mobilité et coeur de réseau convergent » - et quatre divisions régionales chargées de la commercialisation et du support pour l'ensemble des produits de Nortel. Les présidents des deux divisions produits, Steve Lattery pour la première et Richard Lowe pour la seconde, ont été à la tête des activités de Nortel pour les réseaux sans fil d'opérateurs, par le passé. Malcolm Collins, qui dirigeait l'activité entreprise de Nortel depuis 2003, est sur le départ.
Selon Bill Owens, PDG de Nortel, cette nouvelle organisation doit permettre de répondre aux attentes des entreprises et opérateurs qui souhaitent des plates-formes convergentes de niveau opérateur.
La dernière réorganisation de Nortel remonte à un peu plus d'un an. L'équipementier avait alors fusionné ses quatre divisions produits - sans fil, filaire, optique et entreprise - en deux unités : entreprise et opérateur. (...)
Gemplus se réorganise par régions
Afin d'améliorer son service client, Gemplus adopte une structure régionale. Si la composition du comité de direction reste inchangée, la société sera divisée en trois grandes régions à compter du 1er janvier 2006.. Les Amériques, l'Asie et l'EMEA - Europe, Moyen Orient et Afrique. Les Amériques seront placées sous la responsabilité d'Ernie Berger, vice-Président exécutif. L'Asie sera placée sous celle de Martin McCourt, vice-Président exécutif et l'EMEA, sous la responsabilité de Jacques Seneca, une des dirigeants historiques de la firme aujourd'hui vice-Président exécutif. Une nouvelle fonction sera créée, à savoir celle de CTO - directeur technique- mais également responsable du développement produit et marketing - et elle sera prise en charge par Philippe Vallée, jusqu'alors en charge des activités Télécoms mondiales. Gemplus, qui a renoué cette année avec la rentabilité, précise que cette refonte organisationnelle ne sera pas associée à un plan de restructuration de l'entreprise. (...)
(21/09/2005 17:51:10)Microsoft se réorganise en trois divisions autonomes
Microsoft a annoncé hier sa réorganisation en trois division autonomes chacune dirigée par un président, Jim Allchin (assisté de Kevin Johnson) pour la divisions plates-formes et services, Jeff Raikes, pour la division Microsoft Business et Robbie Bach (Monsieur "Xbox") pour la division Entertainment et Devices.
Le nouveau groupe plates-formes et services a la responsabilité des produits OS et serveurs ainsi que celle des outils de développements et des services en lignes, dont MSN. Le groupe "Business" chapote notamment Office et les outils ERP et CRM, hérités des rachats de Navision et Great Plains. Enfin la nouvelle division "entertainment" a en charge le développement de la Xbox, mais aussi des équipements grand public, tels que les décodeurs pour la télévision sur IP.
Comme l'explique Rob Enderle, le patron du cabinet d'analyse Enderle Group, un familier de Microsoft, la réorganisation devrait permettre au géant de livrer plus efficacement des technologies jusqu'alors éparpillées dans des divisions séparées. Selon Enderle, la société était récemment devenue ingouvernable : "au cours des deux dernières années et demi, il semblait que rien ne pouvait avancer. Les guerres de clans étaient devenues plus prononcées... ". En fait le commentaire d'Enderle sonne presque comme une sous-estimation. Au cours des deux dernières années, Microsoft n'a livré aucune version majeure de ses produits clés et a pris du retard ou réarchitecturé certains produits stratégiques comme SQL Server, Exchange ou Windows Vista.
Certains analystes comme Ted Schadler, vice-président de Forrester Research, s'étonnent toutefois du rattachement de MSN au groupe plates-formes et services. Mais au vu de la convergence à marche forcée que Microsoft espère imposer entre ses technologies Windows Vista et Internet, elle prend un peu plus de sens. MSN devrait ainsi servir de démonstrateur de choix des technologies de présentation avancées de Vista, même si cette démonstration doit s'effectuer au détriment de la compatibilité avec les standards du web. Il pourrait aussi devenir l'un des canaux de distribution de futurs logiciels et services Microsoft.
Notons pour terminer que la réorganisation s'accompagne de l'annonce du départ de Jim Allchin dès la livraison de Windows Vista et de la nomination de Ray Ozzie au poste de CTO de Microsoft. Ozzie, l'un des technologistes les plus réputés de l'industrie est notamment connu pour avoir inventé Lotus Notes et aussi pour avoir créé Groove, le premier logiciel de collaboration pair à pair du monde. (...)
Kai-Fu Lee autorisé "partiellement" à rejoindre Google
Le juge a tranché. Kai-Fu Lee pourra finalement rejoindre les « Googlers » (nom de baptême donné aux employés de Google), et aider le n° 1 des moteurs de recherche à monter son centre de recherche chinois. Mais avec certaines restrictions toutefois.
Le jugement maintient certaines limites limites imposées précédemment : Lee ne pourra pas intervenir sur le développement de technologies de recherche Internet et desktop, de langage naturel, et sur la reconnaissance vocales. Autre bride plus administrative : pas de définition de budget, ni de la politique de développement et de recherche du centre chinois. En d'autres termes, aucune intervention là où Lee était impliqué chez Microsoft.
En revanche, Lee pourra pleinement « utiliser ses connaissances et compétences personnelles ainsi que ses aptitudes » pour travailler chez Google. Plus concrètement, l'ex-employé de Microsoft a légalement la possibilité de bâtir des usines, embaucher des ingénieurs et de nommer des dirigeants, et de négocier avec les autorités locales. Il pourra également conseiller Google sur le marché chinois, sans intervenir techniquement.
Pour Microsoft, il s'agit d'une victoire. Les restrictions imposées par la cour ne permettent pas à Google et à Lee de monter efficacement leur centre chinois.
A tel point que quelques heures suivant le verdict, un des avocats de Microsoft expliquait que l'éditeur de Redmond serait prêt à renoncer à toute poursuite si Lee et Google respectaient ces restrictions...jusqu'en juillet. Le procès devrait avoir lieu en janvier 2006.
Google confirmait pourtant n'avoir reçu aucune proposition officielle de Microsoft. (...)
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