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(27/11/2008 17:48:35)

Le ministre Eric Woerth assume les coûts de Copernic et Chorus

Dans une interview accordée à nos confrères de La Tribune et de BFM, le ministre du Budget et des Comptes publics Eric Woerth est revenu sur le coût de deux des grands projets informatiques de son ministère, à savoir Copernic et Chorus. Il a émis aujourd'hui un communiqué pour corriger une mauvaise impression de dérive financière. Copernic est le nouveau système d'information fiscal, c'est-à-dire un grand ensemble de logiciels spécifiques visant à traiter les recettes de l'Etat et possédant quelques fonctions connexes nécessaires au fonctionnement administratif. Copernic, par sa nature modulaire, est l'objet de livraisons régulières, comme par exemple la télé-déclaration des revenus. Chorus, pour sa part, est destiné à succéder à Accord Palier 2006 (et à une série de logiciels connexes) comme progiciel de gestion intégré unique de toutes les administrations d'Etat pour gérer les dépenses publiques. Chorus est basé sur SAP. Son déploiement était prévu dans les prochains mois. Le coût annoncé de ces deux projets était d'environ 900 M€ pour Copernic et entre 419 et 566 M€ pour Chorus. Or un rapport de la Cour des Comptes discuté à l'Assemblée Nationale en présence d'Eric Woerth mentionnait un coût de 1,8 Md€ pour Copernic et une certaine dérive pour Chorus. Ne pas confondre coût de développement et coût complet Eric Woerth a donc voulu remettre les pendules à l'heure. Selon lui, nos confrères ont confondu le coût de développement et le coût complet. Sur dix ans, le ministre confirme que le coût global de Copernic sera bien de 1,8 Md€ mais le coût d'acquisition reste de 911,5 M€. La différence inclut notamment la mise à disposition d'agents publics pour faire fonctionner Copernic. Pour Chorus, la Cour des Comptes a estimé le coût actuel d'acquisition à 552 M€, ce qui reste dans la fourchette initiale de 419 à 566 M€. Mais il reste 100 M€ par an de frais de fonctionnement à ajouter. Sur cinq ans, le coût global de Chorus sera donc d'environ 1,1 Md€. Par contre, le ministre a reconnu que le projet Chorus connaissait une dérive de délais. [Mise à jour] De source proche du dossier, il est admis que le ministre était parfaitement fondé à distinguer les coûts directs et les coûts complets. Mais, d'une part, l'estimation de ces coûts complets n'avait jamais été présentée à l'Assemblée Nationale et n'est de toutes façons pas définitive. Les principales interrogations concernent Chorus. Le projet n'est en effet pas terminé et, au delà de la fin du déploiement, il y aura la maintenance alors même que SAP a modifié récemment ses conditions. A l'inverse, la mutualisation de l'exploitation entre les différents ministères sera une source attendue d'économies par rapport à la situation actuelle, ce qui viendra amoindrir la facture finale. Le coût total final du projet ne pourra pas être estimée sérieusement avant un ou deux ans. Et il ne faut pas oublier le coût du projet Accord qui dépasse les 300 millions d'euros, « ce qui commence à faire beaucoup pour la seule fonction informatique »... (...)

(27/11/2008 16:47:24)

Green IT, « webciety » et Schwarzenegger à l'honneur du Cebit 2009

Après le Green IT, mis à l'honneur lors de l'édition 2008 du Cebit, le Cebit 2009 célébrera... l'informatique verte. Les organisateurs de la Deutsche Messe, le plus grand salon d'informatique professionnelle, qui se tiendra à Hanovre en Allemagne du 3 au 8 mars prochains, ont en effet décidé de miser encore une fois sur le Green IT. Sven Prüser, commissaire général du salon, explique qu'il est important, dans un contexte de crise financière mondiale, de montrer aux entreprises comment l'écologie permet de réaliser de grandes économies. « Le Green IT World montrera deux aspects : ce que fait l'industrie IT pour diminuer sa consommation énergétique, et ce que l'IT peut faire pour aider les autres industries. » Cette insistance sur l'écologie en informatique s'appuie sur une enquête réalisée auprès des abonnés aux lettres d'information du Cebit, en septembre dernier. Elle a ainsi démontré que 38% des gens n'avaient pris conscience de l'importance du thème Green IT qu'en venant au salon lors de l'édition 2008. Mais l'enquête a aussi mis en évidence qu'il reste beaucoup à faire : 23% ont déclaré qu'ils n'en avaient pris conscience qu'à l'occasion de cette enquête, 60% ont dit qu'ils n'avaient pas obtenu l'information désirée au Cebit 2008, et 68% estiment insuffisant le niveau d'information fourni par les fabricants de matériels IT. Le besoin d'information semble relativement élevé : pour 49%, le thème de l'informatique verte est pris en compte dans leur entreprise, et pour 93%, les questions environnementales interviennent peu ou prou dans les décisions d'achat des équipements (oui à 47%, partiellement à 46%), généralement (à 79%) dans le souci d'économiser de l'électricité. « Webciety » ou la société en réseau, vecteur d'opportunités pour l'industrie IT [[page]] Le Cebit 2009 propose un autre un sujet dans l'air du temps : la société numérique à l'ère du Web 2.0. Ou, dans le néologisme de la Deutsche Messe, la « Webciety » (pour Web society, ou société en réseau). Le but, expliquent les organisateurs, sera de montrer aux visiteurs l'importance prise par Internet et son caractère irremplaçable dans divers domaines : le 'cloud computing', les logiciels en ligne (Saas), les campagnes présidentielles (à la Obama), les réseaux sociaux, la WebTV, etc. « Autant de changements, précise Sven Prüser, qui créent beaucoup d'opportunités pour l'industrie. » Enfin, sauf « en cas de tremblement de terre ou de feux de forêt », c'est Arnold Schwarzenegger qui doit prononcer le discours d'ouverture du salon. Après la France, partenaire privilégiée l'année dernière, et un discours de Nicolas Sarkozy, la Californie est l'Etat à l'honneur de l'édition 2009. D'une part, parce qu'il s'agit de l'Etat le plus peuplé et économiquement le plus important des Etats-Unis, indique le commissaire général du Cebit, et d'autre part car « c'est le berceau de beaucoup de technologies du secteur ». Sans oublier que la Californie se veut aussi exemplaire en matière d'écologie. L'année dernière, le Cebit aurait attiré « 5 845 exposants venus de 77 pays ainsi qu'un demi-million de visiteurs environ, originaires de 100 pays ». Les organisateurs pensent accueillir environ le même nombre de visiteurs et d'exposants. Un représentant d'un voyagiste, présent lors de cette conférence de presse présentant le Cebit 2009, expliquait de son côté avoir revu quelque peu à la baisse le nombre des réservations. Au vu du contexte économique incertain, « tout se passera probablement au dernier moment ». (...)

(27/11/2008 16:17:28)

RosettaNet réinstaure l'accès gratuit à ses standards d'échange

A partir du 1er janvier 2009, le consortium RosettaNet réinstaure un accès libre aux langages standardisés basés sur XML qu'il développe pour faciliter les échanges interentreprises dans le cadre des transactions commerciales et des processus globaux de gestion logistique. Depuis 2007, les sociétés qui n'étaient pas membres du consortium devaient acquitter des droits d'abonnement pour accéder aux différents standards RosettaNet ; une barrière qui risquait d'exclure de la boucle certains acteurs, notamment les petits sous-traitants. RosettaNet va par ailleurs étendre certaines dispositions pour les sociétés membres de son consortium (fournisseurs de solutions, partenaires...) en leur permettant, par exemple, d'assister gratuitement à des sessions de formation et à des événements RosettaNet, ou en proposant des prix réduits sur le kit d'auto-test. Plus d'un millier de membres Créé en 1998 dans la Silicon Valley, le consortium a des antennes en Europe, en Asie et en Australie. Il rassemble plus d'un millier de membres, la majorité évoluant dans l'industrie électronique, la fabrication de semi-conducteurs (comme Intel), le secteur des télécommunications et l'industrie logistique. Ces entreprises utilisent les standards RosettaNet pour leurs processus métiers allant de la commande à l'encaissement (order-to-cash) et leurs processus collaboratifs de prévisions (collaborative forecasting). (...)

(27/11/2008 15:44:39)

Europeana : dissection d'une coquille vide fermée pour travaux

Officiellement, le site de la bibliothèque européenne Europeana « a croulé sous l'intérêt immense qu'il a suscité lors de son lancement (10 millions de hits par heure) ». Ouverte à peine quelques heures, sa page d'accueil a très vite été refermée, et le restera jusqu'à la mi-décembre. En réalité, le site était incroyablement sous-dimensionné. Installé sur trois « serveurs » (sans plus de précisions sur la configuration), Europeana a été incapable de supporter les 10 millions de "hits" émis par 3000 visiteurs (et non 10 millions de visiteurs, comme on l'a laissé entendre). La configuration ne permettait d'en supporter que la moitié. Dans la précipitation, la Commission a pourtant donné l'ordre d'augmenter la capacité de traitement. Le « doublement des serveurs » devait permettre de supporter 8 millions de hits. Las, entre-temps, 4000 visiteurs en émettaient 13 millions. Décision fut alors prise de fermer le site et d'y afficher un mot d'excuse : « Le site Europeana est momentanément inaccessible du fait de l'intérêt immense qu'il a suscité lors de son lancement (10 millions de hits par heure). » Peut-on, honnêtement, qualifier d'immense succès l'écroulement sous la pression de 3000 visiteurs/heure d'un site destiné à une population de plusieurs centaines de millions ? Dans les tristes traces de Galileo et Quaero Avec ce plantage, resurgit le vice qui hante la high-tech européenne, victime d'une ambition inversement proportionnelle à son efficacité. On passera rapidement sur les mois, pour ne pas dire les années, de retard du projet Galileo et le transfert de son financement sur des fonds publics (2,4 Md€). On se contentera d'évoquer la déconfiture du moteur européen de recherche multimédia Quaero qui n'est plus qu'un « projet de recherche » essentiellement français grassement subventionné (99 M€) et on ne citera le cas du Geoportail, qui fait toujours pâle figure face à Google Earth ou Maps, que par souci d'exhaustivité. Il est pourtant à craindre qu'il faille continuer d'apprécier Europeana à l'aune de ces déceptions. Tous les ingrédients sont réunis : à l'échec flagrant du lancement s'ajoute l'auto-satisfaction ambiante. Sans malice, le quotidien Le Monde a qualifié l'ouverture d'Europeana de « point d'orgue culturel de la présidence française de l'Union européenne ». Le ton est donné. Le reste est à l'avenant. Première maquette d'un projet initié en 2005 [[page]] En réalité, ce que l'Europe vient de présenter en grande pompe n'est que la première maquette d'un projet initié en 2005 avec seulement « 2 millions d'objets » parmi lesquels ont trouve aussi bien de l'écrit, de l'image, de l'audio et de la vidéo. Cette quantité est d'autant plus ridicule qu'elle est présentée comme pesant 1% des archives contenues dans les 1000 instituts européens associés. A Bruxelles, en 2001, on parlait pourtant déjà d'un total de 2,5 milliards d'ouvrages dans les bibliothèques des 25 pays membres de l'époque... 10 millions de titres promis pour 2010 A y regarder de plus près, la version 1.0 d'Europeana n'est programmée que pour 2010. D'ici là, tout reste à faire et la bibliothèque numérique demeure une simple façade, sans rien derrière. Pour exister, le site doit être alimenté par ceux des organismes culturels nationaux qui, de leur côté, peinent à numériser leurs fonds. Qu'à cela ne tienne, 10 millions de titres sont promis pour 2010. Ils seront le résultat concret d'une collaboration pour l'heure tout à fait théorique "entre 1000 instituts issus des 27 pays membres de l'Union". Aujourd'hui, les fichiers d'origine française représentent à eux seuls 52% du total. L'INA et la BnF ayant mis leurs stocks à disposition. Les fichiers d'origine anglaise et néerlandaise représentent 10% chacun et ceux venant de Suède 7%. Sur les 24 pays membres restants, aucune autre contribution n'atteint les 2%. Un effectif de 14 personnes et un budget annuel de 2 M€ pour faire mieux que Google [[page]] La numérisation coûte très cher. La BnF en estime le coût à 40€ par livre. Le New York Times évalue, quant à lui, le budget nécessaire entre 350 et 400 M€. Des sommes à la charge des finances de chaque pays. Par ailleurs, numériser les 8 millions d'ouvrages restant en deux ans revient à faire deux fois mieux que Google Books avec 7 millions d'exemplaires numérisés en quatre ans. A cette promesse inconsidérée, il faut ajouter l'extrême complexité de l'interfaçage et de l'indexation de chacune des ressources nationales avec le portail Europeana. Pour faire fonctionner la bibliothèque, où ne travaillent pour l'instant que quatorze personnes, la Commission ne prévoit que 2 M€ de budget annuel. Enfin, pour faire bonne mesure dans la démesure, l'ambition des concepteurs ne s'arrête pas là. Ils veulent aussi mettre en place des outils de traduction automatique dans la trentaine de langues européennes et proposer à tous les utilisateurs une interface interactive et personnalisable à la pointe du Web 2.0. Au niveau des budgets européens, Europeana, ce n'est pas un projet, mais plusieurs dizaines qui s'imbriquent les uns dans les autres. Grâce au financement de tous ces programmes de recherche, l'Europe peut ainsi afficher un budget de développement de l'ordre de 160 M€. Même si elle est impressionnante, cette gymnastique comptable a peu de chance de suffire pour alimenter un projet aussi complexe. Surtout quand aucun organisme en charge de la coordination n'apparaît dans l'organigramme. Microsoft, pourtant obsédé par l'idée de concurrencer Google et adossé à un colossal et très efficace budget annuel de R&D de 8 milliards de dollars, a décidé, début 2008, d'arrêter les frais sur Live Search Book. Qui, en Europe, fera les comptes ? (...)

(27/11/2008 14:53:27)

Le Club américain des utilisateurs SAP se sépare de son président

Steve Strout, président de l'Asug, le club américain des utilisateurs SAP, a été débarqué. Premier président de l'American SAP User Group, qui revendique plus de 50 000 adhérents, il a quitté son poste à la suite d'une "décision stratégique" prise par son conseil d'administration. En poste depuis quinze mois, cet ancien directeur informatique de Morris Communications avait eu à faire face à la grogne des utilisateurs de SAP confronté à une augmentation obligatoire du prix de la maintenance de plus de 20%. Maintenant qu'il est parti, les reproches vont bon train sur une attitude jugée trop conciliante vis-à-vis de SAP. Il est vrai que l'Asug avait paru moins vindicative que les clubs utilisateurs européens. Le limogeage de Steve Strout laisserait entendre que le discours de l'Asug n'était pas le fidèle reflet de celui de ses membres. (...)

(27/11/2008 14:53:15)

Capgemini se renforce à l'Est en rachetant la SSII Empire

Capgemini renforce sa présence dans les pays de l'Est en rachetant la totalité d'Empire, un cabinet de conseil et de services informatiques tchèque, ainsi que 70% de sa filiale Sophia Solutions, spécialisée dans les secteurs du décisionnel, des ERP et des bases de données. Les deux sociétés ont réalisé ensemble un chiffre d'affaires de 10 M€ l'année dernière. La SSII française compte désormais 165 salariés de plus en République tchèque, ce qui porte son effectif sur place à 230 salariés. Capgemini devrait procéder à l'acquisition des 30% restant de Sophia Solutions dans les mois qui viennent. « Cette acquisition représente une étape importante dans notre stratégie de développement dans les pays de l'Est », a commenté Peter Laggner, PDG de Capgemini pour l'Europe centrale. En 2007, la SSII a réalisé 6,4% de son chiffre d'affaires global dans cette partie de l'Europe. Michal Kavale, PDG d'Empire et principal actionnaire de la société, rejoint la direction tchèque de Capgemini, basée à Prague. Cette filiale recrute par ailleurs des consultants et des spécialistes SAP (juniors et séniors). Les clients de Capgemini en République tchèque se situent essentiellement sur les marchés de l'agroalimentaire, de la banque, du secteur public et des industries de télécommunication. La transaction, dont le montant n'a pas été révélé, devrait être finalisée avant la fin de l'année. (...)

(27/11/2008 14:42:11)

Des datacenters entièrement automatisés d'ici cinq ans

Nous sommes à l'aube d'une automatisation complète des datacenters. D'ici cinq ans, selon Glenn O'Donnell, senior Analyst chez Forrester Research, les DSI auront entièrement automatisé l'administration de toutes les ressources de leur système d'information. L'idéal à atteindre étant une gestion de ces ressources (y compris celles en nuage) au travers des applications qu'elles servent. L'analyste en est tellement convaincu qu'il voit la crise actuelle comme un accélérateur du processus. Puisqu'elle impose d'en faire plus avec moins... Bien sûr, HP, IBM, BMC et Computer Associates (CA) se posent en acteurs majeurs sur le créneau de l'administration en général. Mais Glenn O'Donnell pense qu'au lieu de n'utiliser les logiciels que d'un seul éditeur, il faudra "orchestrer" les suites d'administration de plusieurs d'entre eux. En effet, "qui peut, mieux que Cisco, automatiser la gestion des ressources réseau ? Qui, mieux qu'EMC, sait faire la même chose pour le stockage ?" Un marché en pleine concentration Le nombre de fournisseurs sur ce marché tend à se réduire. Les grands acteurs ont fait leurs emplettes parmi les spécialistes. Opsware a été acheté par HP en juillet 2007, Onaro par NetApp en janvier 2008 et BladeLogic par BMC en avril. L'analyste susurre d'ailleurs que BMC et CA sont des cibles idéales pour des sociétés comme, par exemple, Oracle. Par ailleurs, Glenn O'Donnell compte aussi VMware et Microsoft parmi les acteurs clés. Le premier a déjà montré, avec Infrastructure 3, qu'il se voyait une vocation d'administrateur qui allait bien au-delà de celle de la seule virtualisation des serveurs stricto sensu. Filiale à près de 90% d'EMC et travaillant en étroite collaboration avec Cisco, VMware a bien compris que son avenir se joue au niveau des datacenters. Son projet de VDC-OS (Virtual Datacenter OS) en est la meilleure expression. Quant à Microsoft, même si son offre de virtualisation est encore embryonnaire, son omniprésence dans tous les systèmes d'information et l'emphase qu'il met sur son outil d'administration System Center montre aussi qu'il a compris l'importance des enjeux à venir. Glenn O'Donnell complète son tour d'horizon en citant aussi Oracle et Symantec. Les positions transversales de ces deux sociétés les conduisent à pouvoir prétendre jouer un rôle dans "l'orchestration" des datacenters automatisés de demain. (...)

(27/11/2008 14:18:23)

Xerox baisse ses prévisions pour 2009 et supprime 3 000 emplois

Pour faire face à la crise et à une année 2009 moins bonne que prévu, Xerox, envisage des mesures d'économies. Sur son quatrième trimestre 2008, le constructeur a provisionné une charge exceptionnelle de 400 millions de dollars. Xerox a parallèlement revu ses prévisions à la baisse pour l'année 2009: sur cette période, le groupe table sur un bénéfice opérationnel qui pourrait se situer entre 1,4 et 1,7 milliard de dollars. Le constructeur a également indiqué aux investisseurs que les restructurations annoncées il y un mois lui permettraient de dégager 200 millions de dollars d'économies à partir de l'année prochaine. Fin octobre, Xerox avait annoncé la suppression de quelque 3.000 emplois dans le monde (...)

(27/11/2008 10:34:55)

A l'approche de Noël, les ventes sur Internet baissent de 4% aux Etats-Unis

Entre le 1er et le 23 novembre, les ventes sur Internet étaient en retrait de 4% aux Etats-Unis par rapport à la même période de l'année dernière. Habituellement l'objet d'une croissance régulière avant la période de Noël, les cyberachats n'ont pas généré plus de 8,19 Md$ de chiffre d'affaires contre 8,51 Md$ un an plus tôt. « L'instabilité des places boursières, la crise immobilière, l'inflation ainsi que la faiblesse du marché de l'emploi sont autant de facteurs qui pèsent sur les achats en cette saison, détaille Gian Fulgoni, président de ComScore. La confiance des consommateurs à faible revenu s'est rétractée, ce qui explique que les dépenses en ligne sont décevantes en ce mois de novembre ». Les publications des résultats trimestriels de plusieurs site de e-commerce confirment le malaise observé par le cabinet. Selon ComScore, certains internautes pourraient tout simplement avoir reporté leurs achats en attendant des promotions plus alléchantes. Si aucun autre cataclysme financier n'a lieu d'ici à la fin de l'année, le cabinet table sur une progression de 9% des ventes en ligne pour l'ensemble de l'année (102,1 Md$ contre 93,6 Md$ l'an dernier). Pour la période des fêtes de fin d'année, ComScore prévoit au mieux une stabilisation des ventes, à 29,2 Md$ comme en 2007. 39% des consommateurs utiliseront le Web pour réduire leurs dépenses ComScore a également mené une étude sur le comportement et le ressenti des internautes à la veille de Noël. 33% d'entre eux n'ont pas encore commencé leurs emplettes sur le Net, 47% comptent réduire leurs dépenses en faisant moins de cadeaux ou en achetant des produits moins chers. 39% des consommateurs ont par ailleurs fait part de leur intention de se servir d'Internet pour réduire leurs dépenses (utilisation des comparateurs de prix, livraison gratuite, exemption de la TVA...). (...)

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