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(27/11/2008 10:40:13)

Antitrust : Intel cherche à gagner du temps en poursuivant la Commission européenne

Intel, poursuivi pour pratiques anticoncurrentielles par la Commission européenne, joue la montre et se fait procédurier. Le Journal officiel de l'Union européenne daté du 22 novembre indique ainsi que le fondeur poursuit à son tour la Commission, qu'il accuse de mener une enquête « discriminatoire et partiale » à son encontre. Selon Intel, l'exécutif européen a commis des erreurs de droit en décidant de lui refuser la communication de documents piochés directement chez AMD, à l'origine des poursuites lancées contre Intel. Sans ces documents, estime le numéro un des processeurs, il ne saurait exister de véritable droit de la défense. De plus, la Commission ne saurait prendre de décision sans avoir consulté ces informations. Cela relèverait en effet, selon Intel, d'une violation du principe de bonne administration. Des documents d'AMD jugés indispensables En juillet, la Commission européenne a allongé la liste des accusations qu'elle porte contre Intel. Une liste initiée en juillet 2007 et qui trouve son origine dans les pratiques commerciales déloyales mises en place par le fondeur pour conforter son avance sur le marché des processeurs. Intel aurait ainsi offert des remises aux constructeurs de PC pour qu'ils n'équipent pas leurs machines de puces fabriquées par AMD. A l'issue de cette deuxième batterie d'incriminations, la Commission avait fixé une date limite au fondeur pour présenter ses explications. L'échéance a expiré depuis plus d'un mois, sans qu'Intel n'apporte la moindre précision. En poursuivant à son tour Bruxelles, Intel entend gagner du temps et repousser l'issue de la procédure. Il exige en effet qu'un nouveau délai soit instauré. Un délai de trente jours qui ne commencerait à courir que lorsque les documents réclamés auront été communiqués. (...)

(27/11/2008 09:13:41)

Palantir dessine un Facebook vu du ciel, en temps réel

La Terre, comme vue du ciel, parcourue de lignes, d'étoiles filantes, de points, d'icônes... Cette vision futuriste de notre bonne vieille planète est en réalité une représentation graphique en 3D animée de l'activité quotidienne qui se déroule sur Facebook. Une activité plutôt dense puique le réseau aurait dépassé largement 100 millions d'utilisateurs, dont la moitié seraient quotidiennement actifs. A l'occasion d'un « Facebook Hackaton », une des nuits de codage organisées par le réseau, trois ingénieurs, Jack Lindamood, Kevin Der, et Dan Weatherford, ont projeté Palantir, cette animation qui donne vie aux millions d'échanges virtuels qui ont lieu chaque jour sur Facebook. Les images montrent en temps réel les différentes actions qui se déroulent sur le réseau, chaque information étant géolocalisée. Sous nos yeux se matérialisent ainsi tous les échanges qui ont lieu en Europe, en Amérique, entre la France et les Etats-Unis, etc. Chaque couleur représente un type d'action différente, mais il est possible d'isoler une catégorie et de n'observer ainsi que les demandes d'amis ou... les 'pokes' (attaques purement virtuelles et amicales d'un utilisateur Facebook sur un autre), par exemple. On peut aussi choisir de voir sous forme d'icônes toutes les images utilisées sur le site (celles qui illustrent les profils des utilisateurs aussi bien que les photos qu'ils ont publiées). Mais, parmi les représentations graphiques, le « maillage de traînes », qui montre la Terre comme parcourue d'étoiles filantes, est la plus spectaculaire. Le nom complet du projet est Palantir d'Orthanc, du nom d'un artefact magique, sorte de boule translucide, évoqué dans le Seigneur des Anneaux et au travers duquel il est possible de voir ce qui se passe dans la Terre du Milieu. Il a été développé en Java à l'aide du moteur 3D open source JME (JmonkeyEngine). (...)

(27/11/2008 09:06:30)

Moins d'un PC sur deux entre sur le marché d'occasion

Les PC d'occasion, bons pour la casse, pas pour les pauvres. C'est ce que laisse penser une étude du Gartner, aux termes de laquelle il apparaît que seuls 44% des PC ayant quitté les mains de leur premier propriétaire terminent entre celles d'un second acquéreur. Et ce, en dépit d'une forte demande pour ce type de produits. Parmi les embûches semées sur la route des PC de seconde main, Gartner évoque les frais de douane, les différentes législations nationales relatives à l'environnement et les coûts de transport. Des éléments qui freinent l'émigration des machines des économies développées vers les marchés émergents. Autre facteur limitant la seconde vie des PC, la baisse continue des prix des machines neuves, et notamment l'apparition des netbooks, des PC ultra-portables et presque toujours bon marché. L'occasion, une opportunité pour les professionnels Sans surprise, c'est au Moyen-Orient, en Afrique, en Chine et dans les pays émergents asiatiques que la demande pour les PC d'occasion est la plus élevée. Et devrait encore progresser, note le Gartner, avec la soif de technologies ressentie dans ces régions. Les PC de seconde main répondent en effet aisément à des besoins comme l'accès au Web, l'envoi de courriels ou les tâches bureautiques, qu'expriment les populations les moins favorisées. Pourtant, seul un PC d'occasion sur cinq achève sa course dans un pays émergent. Pour les professionnels, l'opportunité que représentent les machines de seconde main est une chance à saisir, poursuit l'institut d'études. D'une part, pour les vendeurs, qui ont intérêt à constituer leurs stocks en mettant la main sur des lots issus d'entreprises ou d'administration souhaitant renouveler leur parc, plutôt que de récupérer les PC des particuliers. De l'autre, pour les acquéreurs, qui peuvent trouver avec les PC de seconde main des performances largement suffisantes, contribuant ainsi à améliorer leur marge opérationnelle. (...)

(27/11/2008 08:33:46)

Les projets étatiques Copernic et Chorus coûteraient deux fois plus cher que prévu

Dans une interview accordée hier à BFM, Eric Woerth, Le ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique, a reconnu que les budgets alloués à deux des trois grands chantiers informatiques de l'Etat, Copernic (gestion des recettes de l'Etat) et Chorus (futur progiciel unique de gestion des dépenses de l'Etat), dépasseraient largement les budgets initialement alloués, ainsi que le pointe la Cour des comptes, qui critique la réforme de l'Etat. Le ministre explique cela par le nombre de prestataires externes intervenant sur les projets (et dont le coût aurait été prévu mais pas évoqué au départ) et par les délais à rallonge inhérents à tous les grands projets informatiques. LeMondeInformatique.fr reviendra plus largement sur le sujet dans la journée. (...)

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