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(21/11/2008 16:38:22)

Après Lively, Google abandonne SearchMash

« SearchMash has gone the way of the dinosaurs. » En français, SearchMash s'en est allé à la manière des dinosaures. Si ce trait d'humour, en guise de page d'accueil, a le mérite d'être clair, il est aussi très laconique sur les raisons qui ont incité Google à fermer son moteur de recherche expérimental, lancé en octobre 2006. Est-ce pour ne pas faire d'ombre à WikiSearch, lancé aujourd'hui ? Peut être, cette fonction de personnalisation était déjà présente sur SearchMash dès le départ, avant d'en être retirée il y a quelques mois. De plus, d'autres innovations testées sur ce moteur de recherche expérimental ont progressivement été intégrées aux sites principaux de Google, comme le bloc de données dans la colonne de droite déjà présent dans la version coréenne du site. Ou tout simplement, à l'image de l'explication donnée pour la fermeture de Lively , en cette période de crise, Google veut faire des économies en coupant les branches qui ne sont pas potentiellement rentables. D'autant plus que les ingénieurs de la société et les utilisateurs fondus de nouveautés, ont déjà une autre possibilité de jouer avec leur moteur préféré : la page Google Experimental des Google Labs. (...)

(21/11/2008 16:26:19)

Départ du patron de la sécurité de VMware

L'hémorragie continue chez VMware. Nand Mulchandani quitte la direction du groupe des produits de sécurité de l'éditeur pour devenir le directeur général d'OpenDNS, fournisseur d'infrastructures Internet. Nand Mulchandani avait rejoint le groupe l'an dernier, lorsque celui-ci avait acheté sa société Determina. Depuis que Diane Green, fondatrice de VMware, a été démise de ses fonctions de directrice générale de VMware en juillet dernier, l'éditeur a subi une vague de départs de dirigeants de haut niveau : son éviction a été suivie par la démission de son mari, Mendel Rosenblum, qui occupait le poste de Chief Scientist, et de celle de Richard Sarwal, patron de la R&D. Ce dernier retourne chez Oracle après quelques mois passés chez VMware. (...)

(21/11/2008 16:22:52)

Lefebvre Software rachète ASGroupe et son offre de consolidation financière

En rachetant ASGroupe, Lefebvre Software ajoute à ses solutions de gestion comptable et financière, bien implantées dans les entreprises de taille moyenne, une gamme de logiciels de consolidation et de reporting financier reconnue sur le marché français. Ensemble, les deux éditeurs forment un groupe de 300 personnes qui pèse [mise à jour : 31,7 M€] de chiffre d'affaires (Lefebvre Software réalisant [environ 23 M€] avec 200 collaborateurs) avec l'ambition d'atteindre les 60 M€ en 2010. Le montant de la transaction n'a pas été communiqué. Créé en 1986 et présidé par Elisabeth Bély, ASGroupe évolue sur un marché, celui de la consolidation financière, qui a connu d'importants mouvements, l'an dernier, avec l'absorption de grands acteurs indépendants par des éditeurs généralistes (Hyperion par Oracle et Cartesis par Business Objects, puis par SAP). Chacun de leur côté, Lefebvre Software et ASGroupe ont constitué une base installée de 1 500 clients. Ensemble, ils ne comptent que 100 clients communs, même si ces deux éditeurs présentent « une similitude de marché », comme le souligne Viviane Ribeiro, présidente de Lefebvre Software, en mettant aussi l'accent sur la complémentarité entre les offres. Une stratégie de ventes croisées sera bien sûr mise en place entre les deux gammes. Accélérer le développement européen Le rapprochement permettra aussi à Lefebvre Software de gagner du temps dans son développement européen. Les deux sociétés ont implanté une filiale en Espagne et ASGroupe (qui réalise 30% de son chiffre d'affaires à l'international) dispose par ailleurs de filiales en Grande Bretagne et en Italie. Historiquement, Lefebvre Software compte une forte proportion de clients iSeries (anciens AS/400) dans sa base installée. Mais Viviane Ribeiro rappelle que sa suite de gestion intégrée a été entièrement redéveloppée dans une architecture Java/J2EE, ce qui permet d'offrir le choix de la plateforme. Une évolution qui, estime la dirigeante, place l'éditeur en bonne position face à ses concurrents (Infor, Cegid, Sage -en particulier avec l'offre Adonix...), à un moment où certaines entreprises entrent dans un processus de renouvellement de leur système de gestion... malgré la crise. « Ces dernières semaines, les cahiers des charges se sont multipliés », affirme Viviane Ribeiro. (...)

(21/11/2008 16:17:30)

Les Français de la Silicon Valley parlent aux Français d'Issy

C'est sous le titre énigmatique « Web 2.0 - soirée live Silicon Valley » que l'Institut G9+ a proposé sa dernière conférence hier soir, aux Jardins de l'Innovation Orange à Issy-les-Moulineaux. L'association, qui fédère les clubs IT des grandes écoles, invitait cette fois à discuter, en visioconférence, avec des entrepreneurs de la Silicon Valley, impliqués notamment dans les nouveaux modes de financement. Etaient conviés, côté parisien, « 150 cadres supérieurs du secteur IT et une vingtaine d'élèves des options IT des Ecoles Centrales ». Luc Bretones (à droite sur la photo), représentant G9+ Centrales et Essec Business & Technologies (et contributeur régulier de notre blog Experts), a réussi, en tant que directeur d'unité chez Orange, à obtenir qu'Orange mette en place cette visioconférence entre deux centres de recherches. Cerise sur le gâteau, quelques innovations, dont un écran LCD présentant des images 3D bluffantes, étaient exposées au public. Thierry Bonhomme (debout sur la photo), directeur exécutif d'Orange Labs, a accepté de prononcer le discours d'ouverture et de participer aux débats, Georges Nahon, président de l'Orange Lab San Francisco, faisant de même de l'autre côté de l'Atlantique. Des gens à la pointe de l'innovation, donc, mais qui n'étaient guère aidés par la technique, la salle n'ayant droit qu'à une image basse définition agrandie - et donc floue - pour tenir sur grand écran. Comme on l'explique du côté de l'organisation : la salle n'est pas faite à l'origine pour la visioconférence, il était donc déjà exceptionnel de pouvoir se réunir là. Premier conseil : ne pas se focaliser sur les capitaux risqueurs La qualité de l'image n'a toutefois pas handicapé les échanges, pendant deux bonnes heures. Si Thierry Bonhomme et Georges Nahon se sont contentés de rappeler le contexte et les évolutions en cours (arrivée prochaine du très haut débit fixe et mobile, crise financière, diffusion du contenu télévisuel sur le Web, déclin voir arrêt des publications papier...), les entrepreneurs ont pu, de leur côté, exposer leurs projets et la façon dont ils voient les choses. Premier constat, face à des Isséens d'un jour plutôt inquiets des possibilités économiques dans l'industrie IT française, ces Français exilés ont totalement assimilé la culture américaine décomplexée. Ils ont ainsi souligné combien il est simple aux Etats-Unis d'embaucher et de licencier, ou comment les échecs peuvent y être valorisés. Ils ont également insisté sur les solutions de financement existant en-dehors des investisseurs traditionnels. Marc Dangeard, banquier d'affaires et fondateur de entrepreneurcommons.org : « Sur la dernière enquête Top 5000 Fastest Growing Companies [NDLR : les 5000 sociétés à la croissance la plus rapide, cf. le commentaire de M. Dangeard ci-dessous], seulement 3% étaient financées par des VC [venture capitalists, capitaux risqueurs]. Pour les autres, en moyenne, l'investissement initial n'était que de 25 000 dollars. Les VC ne sont qu'une toute petite partie de l'équation. Tant qu'à avoir une démarche proactive pour chercher de l'argent, le plus simple aujourd'hui est de trouver des clients. » Un créneau porteur : le prêt entre particuliers grâce à Internet [[page]] Il n'en reste pas moins qu'il faut un peu de financement au départ pour transformer une idée en business. Renaud Laplanche a expérimenté le problème lorsqu'il a lancé sa première société, TripleHop Technologies (vendue à Oracle en 2005). « J'utilisais ma carte de crédit, mais je me suis aperçu que le taux d'intérêt était de 18% ! Un ami m'a dit qu'à ce taux-là, il voulait bien me prêter l'argent. Cela a été le déclic. » Désormais, Renaud Laplanche dirige lendingclub.com, service d'intermédiation pour le prêt entre particuliers. « Lending Club compte plus de 20 000 prêteurs, plus de 60 000 emprunteurs, gère environ 21 millions de dollars pour un rendement de 10 à 12% par an. » Conseil : ne pas compter que sur la publicité en ligne Autre aspect du financement, le marché publicitaire se tend. A entendre les invités de cette soirée, les éditeurs de sites comptant uniquement sur ce type de revenus ont du souci à se faire. Pour Daniel Laury, fondateur et dirigeant de l'agence LSF Interactive, les investissements publicitaires diminuent non seulement parce que les entreprises ont réduit leurs budgets de communication, mais aussi parce qu'elles craignent que de toute façon les gens n'aient plus grand chose à dépenser. Du coup, indique encore Béatrice Tarka, cofondatrice et dirigeante de Mobissimo.com, « il y a un focus sur le retour sur investissement et une évolution vers le modèle à la performance », où l'annonceur ne se contente pas d'un coût pour mille (impressions de rétines), mais veut pouvoir mesurer concrètement le revenu généré par dollar de publicité dépensé. Crise financière aidant, sans doute, il aura donc été davantage question de financement que d'innovation ou de Web 2.0. Le plus pur représentant de l'esprit Web 2.0 n'était en fait pas français : John D. Bergeron a exposé la philosophie de Kiva, qui organise le prêt de particuliers de tous pays vers des pays en voie de développement, à taux zéro. Kiva, qui compte beaucoup sur le travail des volontaires et se rémunère grâce aux dons, traite 1 M$ de prêts tous les 10 jours. Une belle histoire de microfinance, donc, mais sachant qu'il s'agit d'un organisme à but non lucratif, ce n'est pas forcément l'exemple de société Web 2.0 ayant réussi que les participants étaient venus chercher. (...)

(21/11/2008 13:04:02)

Google ouvre son moteur de recherche à la personnalisation avec WikiSearch

Il est désormais possible de personnaliser les résultats de recherche de Google, avec SearchWiki. Grâce à un ensemble de nouvelles fonctions, les internautes peuvent ajouter des informations, les trier, voire les supprimer de la page en cliquant sur un simple onglet. Il est également possible de publier une nouvelle URL, des commentaires ou de poser des questions. Ces nouveautés ne sont disponibles que sur google.com, et uniquement pour les utilisateurs connectés à leur compte Gmail. Les changements effectués ne sont visibles que pour la personne qui les a enregistrés (contrairement à Wikia, le moteur de recherche participatif de Wikipedia), mais il est possible de visionner toutes les modifications en cliquant sur le lien « Voir tous les billets pour ce SearchWiki », en bas de page. Le nom de l'internaute apparaît à côté de chaque modification qu'il exécute. Pour le moment Google n'a pas précisé s'il comptait exploiter les contributions des internautes pour améliorer la pertinence des résultats de son moteur de recherche. (...)

(21/11/2008 13:01:54)

Le rythme des ventes de PC devrait s'écrouler l'an prochain

Le marché des PC, habitué à des taux de croissance à deux chiffres, va subir de plein fouet la crise économique. L'information, issue d'une étude du cabinet iSuppli, n'est guère surprenante. Ce qui l'est davantage, c'est l'ampleur du decrescendo sur lequel table l'institut. Alors qu'il prévoyait jusqu'alors sur une croissance de 11,9% du volume des ventes pour 2009, iSuppli prophétise désormais seulement 4,3% de progression. « Depuis les dernières prévisions, le paysage de l'économie mondiale a changé de manière spectaculaire et, de plusieurs manières, irrévocable », commente le cabinet. Le secteur des PC de bureau devrait être le plus affecté par ce coup de frein, avec un recul des ventes estimé à 5%. Heureusement, les machines portables, en progressant de 15%, compenseront cette décrépitude, notamment grâce aux netbooks, des machines ultra-portables et surtout peu dispendieuses. Cibles d'un engouement fracassant, les netbooks ont ainsi représenté 15% des livraisons de PC portables au troisième trimestre en France. En 2010, le marché des PC devrait relever la tête. Mais, là encore, les prévisions d'iSuppli ont été revues à la baisse. L'institut anticipe une croissance des ventes de 7,1%, contre 9,4% auparavant. (...)

(21/11/2008 12:55:21)

Imagine Cup 2009 : cap sur les objectifs du Millénaire de l'ONU

Microsoft vient de donner le coup d'envoi de la 7ème édition d'Imagine Cup. Créée il y a six ans par l'éditeur, cette compétition technologique est ouverte aux lycéens et étudiants du monde entier qui pourront déposer un dossier d'inscription jusqu'au 31 janvier 2009. Après la France l'an dernier, c'est en Egypte, et plus précisément au Caire, que se rencontreront les finalistes du championnat, début juillet 2009. Le thème de cette nouvelle édition s'inspirera des huit objectifs du Millénaire pour le développement définis par l'O.N.U. (Réduire l'extrême pauvreté, assurer l'éducation primaire pour tous, mettre en place un partenariat mondial pour le développement, préserver l'environnement, promouvoir l'égalité des sexes...). Les étudiants devront ainsi réfléchir à la problématique suivante : « Imagine un monde où la technologie nous aide à répondre aux enjeux les plus cruciaux de notre société ». Introduction de nouvelles disciplines Parmi les nouvelles catégories de l'édition 2009, « Mashup & Web » propose de combiner des services Web entre eux pour créer de nouveaux sites plus performants. « Robots virtuels » consiste à développer la stratégie la plus efficace permettant à un robot de remplir un certain nombre de missions grâce à l'intelligence artificielle. Quant à la catégorie Design (élaboration d'un concept d'interaction homme/machine innovant), elle inclut les interfaces graphiques classiques mais également les objets communicants et intelligents. Les heureux gagnants du championnat se répartiront un gain de quelque 210 000 dollars. (...)

(21/11/2008 10:56:47)

Didier Lombard réclame une plus grosse part du gâteau Internet

Didier Lombard, PDG de France Télécom - Orange anticipe la "deuxième vie des réseaux". Auteur de l'intéressant ouvrage paru en mai "Le village numérique mondial", il se fait l'apôtre d'une redistribution des cartes de ce qu'est devenu aujourd'hui Internet. Dans une interview accordée à notre confère l'Expansion, il n'hésite pas à comparer Internet à un super-coucou qui aurait fait gratuitement son nid - et son beurre - sur les réseaux télécoms existants. Dans la foulée, il dénonce l'appropriation de la valeur générée par la couche intermédiaire des "fournisseurs de service" qui se place entre les opérateurs de réseaux (comme France Télécom) et les créateurs de contenu. Avec Google comme archétype. L'appellation englobe aussi, par exemple, les sites sociaux. Presque tous Américains, ces fournisseurs de services occupent des positions dominantes et, pour la seule Europe, vont drainer cette année 7 milliards d'euros en recette publicitaire. La somme atteindra 10 milliards dans deux ans. Des risques pour les opérateurs européens face aux géants américains Didier Lombard réclame que les opérateurs de réseaux puissent « participer au 'festin' de la couche des services ». Tout en expliquant que le déploiement nécessaire de la fibre optique pour répondre à la demande croissante de débit doit s'accompagner d'une meilleure rétribution des opérateurs réseaux, il a la finesse d'évincer élégamment le sujet sulfureux de la mise en place d'un Internet à deux vitesses. Apparemment plus visionnaire que ses prédécesseurs, Didier Lombard déplore aussi la concentration des grands datacenters entre les mains des sociétés américaines. L'Europe en manque cruellement. Jean-Michel Planche, spécialiste des technologies Internet et défenseur de la neutralité du réseau des réseaux partage une bonne partie de l'analyse de Didier Lombard. "Elle est plutôt raisonnable", constate celui qui fonda Oléane en 1989, le pionnier français de l'Internet professionnel, avant de le vendre à FT à la fin des années 90 et de fonder Witbe. Aujourd'hui, les deux hommes semblent partager une même inquiétude sur le risque des dépendances des Européens vis-à-vis des poids lourds américains du Net et de leurs infrastructures. (...)

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