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(20/05/2010 14:20:51)

Michaël Bokobza arrive chez Alvarion (erratum)

Le directeur général d'Alvarion est Michaël Bokobza, ancien d'AOL et d'Orange et non pas Michaël Boukobza, l'ancien DG de Free, contrairement à ce que nous avions indiqué. (...)

(20/05/2010 14:04:01)

Google I/O 2010 : Adobe met du HTML5 dans sa CS5

« Le Pack d'extension CS5 d'Adobe Dreamweaver, apporte aux développeurs le support de ces nouvelles spécifications, ajoutées à d'autres fonctionnalités comme le code-hinting qui permet de compléter des lignes de code en se basant sur celui saisi auparavant, » a déclaré Léa Hickman, directeur produits pour la Creative Suite d'Adobe. Le Pack d'extension HTML5, disponible gratuitement depuis le 30 avril sur le site d'Adobe, comporte également des mises à jour du moteur WebKit et des améliorations dans la restitution de la vidéo et de l'audio pour la fonction de prévisualisation Dreamweaver Live View. En outre, elle comprend des formats pour démarrer avec le HTML5. «Désormais, vous disposez d'un outil de première classe pour le HTML5, lequel permet d'éviter le codage manuel comme vous le faisiez auparavant, » souligne Léa Hickman. Avec CS5, les développeurs peuvent également concevoir des sites adaptés à des tailles d'écran multiples.

Kevin Lynch, le PDG d'Adobe, a fait la démonstration des dernières fonctionnalités de l'outil de design lors de la conférence Google I/O qui se tient actuellement à San Francisco. « L'ajout de capacités HTML5 à Dreamweaver n'est pas surprenant, » a déclaré l'analyste Ben Bajarin, directeur de la technologie grand public chez Creative Strategies. « Bien sûr, il y a eu beaucoup de bruit au sujet du HTML5 et de son importance pour pousser le Web en avant sur le plan du langage de description de pages, » a t-il ajouté.

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Adobe a récemment fustigé Apple publiquement pour avoir nié l'importance de son plug-in Flash et de sa technologie. Apple a en effet affirmé qu'avec le HTML5 et les capacités multimédia qu'il apporte au format HTML, Flash est désormais inutile. Au final, Adobe a pris l'option de supporter le HTML5 et de lui concéder une place sur le Web aux côtés de son Flash. « L'un des défis autour du HTML5, c'est qu'il introduit différentes implémentations possibles pour les navigateurs, » a déclaré Léa Hickman.  « Flash, quant à lui, représente une offre plus cohérente pour un ensemble de navigateurs, a t-elle estimé. « Le HTML5 englobe le CSS3 et JavaScript, » a t-elle ajouté.

Un autre analyste a souligné que, selon lui, Flash et HTML5 allaient coexister. « Il appartient à Adobe de tirer le meilleur parti du HTML5 en définissant une stratégie complémentaire à Flash, car les deux formats vont devoir coexister pendant une période à venir qui risque de durer, » a déclaré Al Hilwa, analyste chez IDC. « Il semble que c'est exactement ce que l'éditeur vient de faire en intégrant le soutient à l'HTML5 dans son outil de création. » Dreamweaver peut certes favoriser Flash comme média type. «La plupart de nos clients utilisent Dreamweaver ainsi que Flash pour créer des sites Web, mais si nous considérons notre expérience de l'outil, nous n'avons pas de préférence, » a déclaré Léa Hickman.

(...)

(20/05/2010 12:31:40)

HP veut automatiser la migration vers le cloud

Philippe Roux, responsable marketing solutions chez HP a planté le décor pour la présentation de la solution CSA : une infrastructure dynamique, des outils de facturation et une approche orientée service. Le service proposé par HP est une suite logicielle permettant aux DSI des entreprises d'optimiser le déploiement de leurs applications dans des nuages privés ou publics. L'objectif est d'automatiser les process, comme l'attribution de VM avec les OS dédiés, l'affectation de ressources de stockage, la facturation de chaque outil, la puissance de calcul dispensé, etc. L'offre HP CSA s'intègre plus globalement à l'initiative HP Software & Solutions, conçue précisément pour faciliter l'adoption du cloud.

Elle comprend outre CSA, les offres logicielles pour l'administration de systèmes « HP BTO Services for Cloud Infrastructure » ainsi que des services de conseil. Cette solution logicielle se veut agnostique, « on peut construire un cloud à partir de l'existant, en créant des templates et CSA devient la colle pour orchestrer ces différents éléments » souligne Philippe Roux, même s'il met en avant la solution tout en un, Blade Matrix System. Dans ce tableau idyllique, certains DSI présents lors de la présentation s'interroger quand même sur le prix des licences des différents éléments de l'automatisation. « Avec la virtualisation, il sera nécessaire d'adapter notre tarification » a répondu Philippe Maillant, responsable commerciale infrastructures chez HP, sans toutefois donner plus de détail.

Les opérateurs télécoms en première ligne


Faciliter la vie des DSI, accompagner la migration vers le cloud, une telle musique ne pouvait pas échapper aux oreilles des opérateurs. Le premier à s'intéresser à ce sujet est Orange Business Services, Laurent Di Pietro, office manager cloud computing chez OBS explique que « cet outil nous permettra de répondre de manière plus rapide aux besoins de nos clients en leur fournissant, via l'offre flexible computing, un catalogue de services et d'applications » et de se définir comme « un tiers de confiance dans le cloud ». Car les opérateurs montent en puissance dans les services clouds, Philippe Roux a dévoilé que SFR allait proposer une offre similaire à celle d'OBS, au mois de juin, à travers un datacenter reposant sur 3000 serveurs. L'offre sera distribuée en indirecte via les SSII et les intégrateurs, mais également en direct par l'opérateur.

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(20/05/2010 11:56:38)

Les smartphones, un marché mondial dynamique

Selon Gartner, 314,7 millions de téléphones mobiles et de smartphones ont été vendus dans le monde lors du premier trimestre 2010, soit une hausse de 17% à période comparée de l'an passé. Une belle performance. Notamment parce que ce marché avait enregistré un recul en volume de 8,6% lors des trois premiers mois de 2009. Sans oublier le fait que les acquisitions de smartphones réalisées par les utilisateurs finaux entre janvier et mars derniers furent les plus nombreuses depuis 2006. Elles ont précisément progressé de 48,7% à 54,3 millions d'unités. De fait, les smartphones ont représenté 17,3% (+3,7% sur un an) des ventes totales de mobiles dans le monde au premier trimestre 2010. Une progression due à la profusion de modèles proposés ainsi qu'à des grilles tarifaires adaptées au marché grand public.

Nokia toujours en baisse, Apple et RIM en forte hausse


Parmi les fabricants qui ont le mieux profité de la croissance globale du marché des mobiles au premier trimestre figurent ceux qui contrôlent à la fois les plates-formes matérielles, les systèmes d'exploitation ainsi qu'une offre de services associés. C'est le cas d'Apple dont les ventes d'iPhone ont progressé de 112% à 8,4 millions d'unités. La firme de Steve Jobs devient ainsi le septième fabricant de mobiles avec 2,7% de parts de marché (PDM). C'est mieux que RIM qui a toutefois vu ses ventes croître de 46% pour atteindre 10,6 millions d'unités.

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Le canadien entre ainsi dans le Top 5 des fabricants de mobiles à la cinquième place avec 3,4% de PDM. Toujours en perte de vitesse et numéro un des constructeurs, Nokia a vu quant à lui ses livraisons de mobiles baisser de 1,2% à 110 millions d'unités. Il pâtit principalement, selon Gartner, de l'absence dans son offre d'un produit à fort potentiel de volumes de ventes sur le segment haut de gamme. De fait, Samsung n'a de cesse de se rapprocher de Nokia, lui qui dispose désormais de 20,6% de parts de marché atteintes grâce à une hausse de 26% de ses ventes au premier trimestre 2010.

Dans le classement des OS pour Smartphones, c'est Symbian qui continue de mener la danse. Principalement utilisée sur les appareils de Nokia qui en est le propriétaire, la plate-forme a été embarquée sur 44,3% des 54,3 millions de smartphones vendus au premier trimestre 2010. L'OS de RIM occupe la seconde position (19,4% de parts de marché), et celui d'Apple la troisième (15,4% de PDM). Android de Google arrive en quatrième position avec une part de marché mondiale de 9,6%. Elle n'était que de 1,6% il y a un an. Android relègue Windows Mobile et ses 6,8% de parts de marché à la cinquième place. Il y a un an, l'OS mobile de Microsoft équipait encore 10,2% des smartphones vendus dans le monde

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(20/05/2010 11:42:11)

Le Syntec Santé ausculte l'hôpital de demain

Depuis trois ans, le Syntec Informatique a mis sur pied une structure, Syntec Santé, chargée de baliser le chemin de ses adhérents sur le secteur informatique et santé. Trois groupes de travail fonctionnent : poste de travail, télémédecine et système d'information global.  Parallèlement, plusieurs rapports parlementaires  sortent (par exemple celui de Pierre Labordes sur la télémèdecine) suivis ou non de projets de loi. « Nous sommes là pour fédérer nos adhérents sur ces sujets, une cinquantaine actuellement travaillent sur Syntec Santé et porter nos propositions auprès des pouvoirs publics et des directions hospitalières souligne Christian Nibourel, président du comité Syntec Santé. Nous souhaitons, sur l'hôpital, sortir de l'approche strictement informatique pour aller vers les directions générales des hôpitaux ou des regroupements d'hôpitaux».

Le Syntec Informatique a donc présenté, sur l'hôpital numérique, un Livre Blanc qui balaye large. On trouve beaucoup de principes généraux. Par exemple, l'accompagnement du patient. « Il s'inscrit de plus en plus dans une chaîne de soins, dont le SI constitue la colonne vertébrale et plus dans une succession d'actes médicaux isolés » souligne Christian Nibourel. L'hôpital a besoin d'échanges sécurisés, en interne entre services, en externe en direction des ARS (les agences régionales de santé), c'est la notion d'hôpital étendu. Cet hôpital va également se porter sur des sujets bien connus au Syntec : CRM, ERP, BPM, systèmes de gestion finances et RH.  En bref, le syndicat professionnel et ses adhérents veulent se présenter avec une approche centrée sur les questions de santé plus que sur les technologies

« Un défaut de vision et de gestion globales »

Leurs  clients potentiels s'inscrivent en effet dans des logiques particulières. Orientation règlementaires, climat financier de vigilance budgétaire, mais aussi déploiements nouveaux. Le Syntec Informatique attend beaucoup du grand emprunt.

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Mais il ne cache pas au détour du Livre Blanc constater « une absence de sensibilisation et de formation des équipes, y compris de direction, aux bénéfices des systèmes d'information et de communication, qui se traduit par un défaut de vision et de gestion globales : faible intérêt accordé aux projets d'informatisation, carence du poste de maîtrise d'ouvrage, restriction des budgets dédiés au système d'information et de communication, positionnement inadapté de la DSI dans les structures de direction ». Le constat est sévère.

Pourtant, certains interlocuteurs changent.  En particulier, ils se regroupent. Peu d'hôpitaux ont la taille nécessaire pour développer des plateformes et les réalisent à plusieurs. De même, des procédures d'achat mutualisées se mettent en place.  C'est le cas de UniHA (Union  des Hôpitaux pour les Achats), créé en 2005, un regroupement de 32 CHU et 21 centres hospitaliers qui travaille sur douze filières : de l'achat de savon à celui d'ordinateurs !  Cette structure représente 45% de la dépense totale des hôpitaux français. UniHA vient d'être référencée par  Oracle discute avec Microsoft pour bénéficier de conditions particulières. Beaucoup de grands fournisseurs se positionnent ainsi sur ce marché. Les acteurs du marché français de taille moyenne vont-ils en pâtir ? Sur l'hôpital, les grands fournisseurs devraient s'entourer d'éditeurs spécialisés, ou de SSII et d'intégrateurs régionaux comme sous-traitants.

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(20/05/2010 11:38:01)

Google I/O 2010 : Un service de stockage en ligne pour les développeurs

Plus grand événement organisé par la société de Mountain View à l'attention des développeurs, Google I/O 2010 réunit cette semaine plus de 5000 participants au Moscone Center de San Francisco. Une belle occasion pour promouvoir - au milieu des 80 sessions et des 100 manifestations prévues sur le Web de prochaine génération, les applications mobiles et d'entreprise tournant sur les plates-formes maison -  un service de stockage de données en mode cloud qui met Google en concurrence avec l'offre S3 d'Amazon, mais avec les développeurs pour cible.

Ce que l'on sait pour l'instant de Google Storage for Developers, c'est qu'il offre une solution plus sûre, plus stable et plus robuste aux développeurs qui voudraient utiliser un service de stockage en ligne et collaboratif. Via le Google Storage for Developers, ils auront la possibilité de stocker des données - la taille maximum des objets peut atteindre 50 Go - et d'y accéder de n'importe où, à partir du moment où ils disposent d'une connexion Internet. Google, semble-t-il, s'est mis dans la tête de concurrencer Amazon et d'autres fournisseurs de stockage en ligne. Il est vrai que l'entreprise, sans doute le fournisseur le plus représentatif de services à base de cloud devant Amazon, bon second, semble donc légitimée à tenir un rôle prépondérant dans ce domaine.

Google offre bien, depuis un certain temps, un service de stockage en ligne parmi les fonctionnalités de son service de messagerie Gmail. Cependant, la taille des fichiers, et les types de fichiers autorisés à être transférés étaient fortement restreints. Les récentes modifications permettent désormais le téléchargement de tout type de fichiers, mais le stockage en ligne reste limité à 1 Go (sauf à vouloir payer 25 cents par Go et par an), et la taille maximale d'un fichier individuel fixée à 250 Mo.

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La sécurité des données est un des éléments clés de Google Storage for Developers. Le service de stockage cloud permettra d'accéder aux données de manière sécurisée en utilisant des clés privées ou des adresses e-mail. Google Storage for Developers utilise aussi le protocole SSL pour garantir que les fichiers échangés sont protégés pendant leur transit sur Internet. L'accès peut être contrôlé via des listes de privilège permettant la gestion du partage et de la collaboration à travers le Web. Comparé aux infrastructures d'autres services similaires de Google, l'autre avantages de Google Storage for Developers est que les données sont répliquées à plusieurs endroits au sein du centre de calcul, et également réparties dans de multiples datacenters disséminés à travers les Etats-Unis de manière à ce que la panne d'une seule baie de stockage, ou une catastrophe dans n'importe quel centre, n'aura aucun effet sur la disponibilité ou l'intégrité des données.

Un premier test avec les développeurs ?

Et si cette première incursion dans le stockage Cloud de « classe entreprise » apparaît quelque peu squelettique, elle offre cependant aux développeurs, dont certains participent à la Google I/O, des atouts en termes de performance et de sécurité, des éléments dont ils ont besoin. Il faut s'attendre aussi à voir émerger plusieurs offres autour de ce service, mais espérons-le, avec des options plus attrayantes et une interface plus conviviale. Et si Google choisissait d'étendre le stockage en ligne sécurisé et évolutif à certains de ses autres services comme la vidéo, ou la géolocalisation, il prendrait un net avantage sur les services de stockage en ligne du type Amazon S3 ou Microsoft Azure. Pour l'instant, Google Storage for Developers est disponible en version bêta uniquement, et seulement sur invitation, selon la procédure habituelle appliquée aux nouveaux services de Google en version de test. La date de disponibilité et son prix ne sont pas encore connus.

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(19/05/2010 14:03:19)

Mobile et cancer, une étude peuplée d'incertitudes

(Source EuroTMT) Après quelques 2 ans de retard, la désormais célèbre étude internationale Interphone a été finalement publiée mardi par l'International Journal of Epidemiology. Lancée en 2000 dans 13 pays, principalement en Europe mais aussi au Japon, au Canada et en Nouvelle Zélande, cette étude devait répondre à la question soulevée par tous les opposants à la téléphonie mobile, le mobile est-il cancérigène ? Mais voilà, alors qu'elle devait être publiée en 2008, l'étude avait disparu.

Les rumeurs expliquaient le report de sa publication à une date inconnue en raison de dissensions entre les auteurs sur le sens à donner aux résultats obtenus. Une thèse confirmée implicitement par la Dr Elisabeth Cardis, la coordinatrice de l'étude à l'AFP : « l'étude ne met pas en évidence un risque accru, mais on ne peut pas conclure qu'il n'y a pas de risque, car il y a suffisamment de résultats qui suggèrent un risque possible ». Autrement dit, « pt'être ben que oui, pt'être ben que non ! »

Des critères et des conclusions contestés

Une incertitude qui s'explique par la faiblesse de l'échantillon. Bien qu'étant l'étude la plus vaste menée à ce jour, elle ne portait que sur environ 6000 cas de cancers, répartis donc dans 13 pays, comparés à des témoins sains. Un échantillon par pays jugé insuffisant pour éviter les biais statistiques pouvant conduire à une marge d'erreur importante. C'était notamment le cas de la partie française de l'étude, publiée dès 2007, qui mettait en évidence « une possibilité d'une augmentation » du risque de gliome pour les forts utilisateurs, à savoir ceux qui téléphonent plus de 5 minutes par appel. La conclusion a été relativisée par une forte marge d'erreur en raison du faible échantillon.

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Cette étude ne va donc pas mettre fin aux débats. Au contraire. En fonction, des intérêts des uns et des autres, on peut parier sur le fait que les uns et les autres vont justifier leurs positions en fonction de leur lecture de cette étude. Ainsi, la GSM Association, le lobby des opérateurs mobiles, s'est déjà félicité des conclusions de l'étude soulignant que « l'absence de risque concordait avec les études existantes qui concluent à l'absence de risque pour la santé des signaux radio, qui respectent les recommandations sanitaires internationales ».

A l'inverse, les associations qui dénoncent les risques liés aux ondes radio vont y voir une confirmation de leurs positions. D'autant que d'autres études moins médiatisées, comme Bioinitiative, faisaient état de conclusions plus fermes sur l'impact des ondes radios sur la santé. Et si les gouvernements européens réagissaient comme ils l'ont fait pour la grippe H1N1, le principe de précaution s'appliquerait avec la même vigueur pour la téléphonie mobile.

Mais voilà, ce secteur est devenu un secteur économique majeur. Et prendre des mesures supplémentaires comme l'abaissement des seuils d'émission aurait des impacts financiers importants pour les opérateurs mobiles, comme le déploiement supplémentaire d'antennes relais. On peut donc s'attendre à ce que le statu quo demeure, les pouvoirs publics continuant à communiquer sur le sujet de façon « soft » et recommandant l'utilisation des oreillettes.

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