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(19/08/2008 15:54:21)

La version finale d'Android - et un téléphone - prévus pour novembre

La commission fédérale américaine en charge des télécommunications (FCC) a rendu publics des documents qui laissent penser que le premier téléphone mobile équipé de l'OS Android de Google sera disponible outre-Atlantique au mois de novembre. Les documents en question montrent que la FCC a donné son feu vert à la mise en vente d'un mobile fabriqué par HTC et baptisé Dream Phone. Or, selon la rumeur, cet appareil devrait être le premier mobile fonctionnant avec le logiciel développé par Google sur la base d'un noyau Linux. En outre, l'opérateur T-Mobile a confirmé à l'AFP qu'il commercialiserait avant la fin de l'année le premier téléphone basé sur Android et fabriqué par HTC. HTC a demandé à la FCC de ne pas dévoiler certains des détails qu'il lui a communiqués sur son nouveau produit, notamment des photographies et un manuel utilisateur, jusqu'au 10 novembre. Ce qui pourrait signifier que l'appareil sera disponible aux alentours de cette date. Le tout nouvel SDK pour Android ajoute plusieurs applications Ni HTC, ni Google, n'ont de leur côté confirmé que le Dream Phone fonctionnerait bien sous Android et les documents de la FCC ne font pas mention du logiciel qui l'équipera. On sait en revanche que le téléphone mobile sera doté du wifi et du bluetooth, qu'il fonctionnera sur les réseaux mobiles 3G et qu'il arborera un appareil photo numérique. Il sera également équipé d'une « jog ball », un dispositif comparable à un trackball permettant de naviguer dans l'interface utilisateur. Une date de lancement du Dream Phone en novembre coïnciderait en tout cas avec la sortie de la version finale d'Android. Google vient tout juste de mettre à jour le kit de développement, corrigeant nombre de bugs, et ajoutant quelques fonctions, parmi lesquelles un réveil, une calculatrice, un système de prise de vue, un lecteur de musique, et une messagerie. L'initiateur de l'alliance Android Open Handset a ajouté qu'il pourrait y avoir un autre SDK en septembre, avant la sortie de la version définitive au troisième ou au quatrième trimestre et une publication du code source avant la fin de l'année. (...)

(26/06/2008 12:52:22)

Une université belge teste les ondes GSM sur des rats

Après l'appel de 20 scientifiques, le 16 juin dernier, à rester prudent dans l'utilisation des téléphones mobiles, c'est au tour d'une expérience de l'Université de Louvain en Belgique d'inquiéter sur le même sujet. Si dans ce dernier cas, une étude existe bel et bien, on ne peut pas davantage tirer de conclusions (positives ou négatives) qu'après l'avertissement des médecins français. Une partie de la presse, en Belgique entre autres, a joué la sensation en expliquant que l'expérience aurait conclu à «un doublement de la mortalité parmi une population de rats exposés pendant 21 mois, deux heures par jour, à des ondes GSM et WiFi ». Que nenni. En réalité, l'étude conduite par Dirk Adang, chercheur à l'Université de Louvain, pour sa thèse, reposait sur un protocole très précis : trois générateurs d'onde ont été mis en place. Deux ont émis « à la fréquence du GSM - 970 MHz », l'un en onde continue et l'autre par impulsion. Le troisième, « à la demande de l'armée » émettait en onde continue à la fréquence des 10 GHz. Il ne peut donc être question de WiFi (2,4 GHz). Finalement, toujours aucun résultat probant Finalement, aucun document officiel sur l'expérience n'est encore consultable. Et la certitude d'un taux de mortalité effectivement élevée ne débouche encore sur aucune explication scientifique. (...)

(11/06/2008 17:55:46)

Wimax en France : des résultats très loin des objectifs fixés, mais le moral reste bon

L'Arcep publiera le 30 juin prochain le bilan des déploiements Wimax en France et ce qu'il en est du respect des engagements de couverture du territoire par les opérateurs détenteurs d'une licence. Pour l'Avicca (Association des villes et collectivités pour les communications électroniques et l'audiovisuel), le résultat est sans surprise très loin des objectifs fixés. L'Avicca estime que les procédures de sélection des opérateurs Wimax ont été inadaptées. De même, la mesure des engagements de couverture est mal ficelée. Les capacités de sanction de l'Arcep par rapport aux manquements des opérateurs sont également mal dimensionnées. Selon l'Avicca, les opérateurs privés (Free, Altitude, SHD, Bolloré, HDRR) n'ont pratiquement pas investi en l'absence de financements publics. Les déploiements en cours ou effectués sont le fait des collectivités, surtout dans les départements. Les glissements de calendrier des équipementiers n'expliquent pas tout. L'Avicca exhorte l'Arcep à être ferme sur les retards de déploiement des opérateurs, voudrait que la bande des 2,5 Ghz devienne utilisable car elle est mieux adaptée aux transmissions radio, et que l'on s'assure de la taille réelle de la bande passante. Un frein important au Wimax vient des stratégies des FAI et de leur très forte concentration. Un offreur de gros se trouvera en position très défavorable auprès des grands FAI afin de couvrir les zones blanches, qui ne sont qu'une niche. En France, les zones blanches de l'ADSL représentent environ 550 000 lignes, soit moins de 300 000 clients potentiels. C'est une goutte d'eau pour les FAI nationaux. On ne peut pas compter sur France Telecom dans cette équation car l'opérateur a mis en place sa propre stratégie de desserte en boucle locale (les NRA ZO). Il ne reste donc que les FAI alternatifs pour couvrir ce marché. [[page]]L'Avicca souligne que le Wimax est une véritable technologie d'opérateurs. Mais qu'elle a comme inconvénients d'être sensible au relief et à la végétation et de se situer en France dans une bande de fréquences (3,5 Ghz) non optimale avec une bande passante réduite, alors qu'aux Etats Unis les déploiements ont lieu en 2,5 GHz, nettement plus favorables aux ondes radio. En outre, le Wimax n'est pas encore mature. Ceci dit, l'Avicca pense que la débâcle de la BLR (Boucle Locale Radio) ne devrait pas se reproduire notamment grâce au coup d'accélérateur apporté par le lancement de l'opérateur Wimax ClearWire aux Etats Unis. L'Avicca poursuit en indiquant que des retards ont été constatés en 2007 et début de 2008 par rapport aux prévisions de montée en charge aussi bien sur la normalisation que sur la livraison des équipements. La normalisation du Wimax version 802.16 e est attendue pour début de l'année prochaine, en 3,5 GHz. Il est difficile de s'assurer que les premiers réseaux déployés en 802.16 d soient compatibles avec les réseaux 802.16 e. La France est l'un des premiers pays au monde à déployer dans la bande des 3,5 Ghz en 802. 16 e et la fabrication industrielle de masse n'est pas engagée. Les équipements demeurent chers, en particulier chez les particuliers. Ceci dit, l'Avicca estime que le glissement de planning du Wimax s'est stabilisé aujourd'hui. Reste que les composants sont d'abord fabriqués pour le 2,5 Ghz. Il y aura selon l'Avicca, un an de retard entre les bénéfices apportés aux produits en 2,5 Ghz avant qu'ils n'arrivent en 3,5 Ghz. Par ailleurs, les retours d'expérience indiquent que le Wimax a une portée de dix à douze kilomètres, pour obtenir un débit de 2 Mbit/s. (...)

(10/06/2008 06:45:26)

L'iPhone 3G disponible le 11 juillet

Deux fois plus rapide pour la moitié du prix. C'est en ces termes que Steve Jobs a présenté la version 3G de l'iPhone, à l'occasion du lancement de l'édition 2008 de la WWDC (conférence développeurs mondiale d'Apple, à San Francisco). En plus de la capacité de se connecter au haut débit mobile - Edge, 3G ou WiFi selon les cas -, le nouvel iPhone, attendu le 11 juillet en Europe (Orange pourrait attendre le 17 pour sa commercialisation en France), sera aussi pourvu de fonctions GPS et de plusieurs améliorations contenues dans la version 2.0 du logiciel d'exploitation. Parmi elles, citons des fonctions de recherche de contact, de filtre anti-spam pour les courriels, de sauvegarde des images jointes ou encore de contrôle parental. L'iPhone 2 sera synchronisé avec MS Exchange Côté entreprise, la sortie concomitante du nouveau SDK (kit de développement) et des fonctions de l'iPhone 2.0 (GPS, gestion du protocole IPsec pour les réseaux privés virtuels, gestion de la synchronisation par Microsoft Exchange Active Sync...) laisse entrevoir de nombreuses possibilités - même si les restrictions liées à l'utilisation du SDK perdurent. A noter que le SDK aurait été téléchargé quelque 250 000 fois. Apple et Orange donneront ultérieurement les prix de vente et les montants des forfaits disponibles en France. Toutefois, aux Etats-Unis, Steve Jobs a déjà frappé les esprits : alors que les sites spécialisés attendaient l'iPhone 2 au prix de 399 dollars pour la version 8 Go et 499 dollars pour la version 16 Go, le patron d'Apple propose son téléphone à 199 dollars (pour le 8 Go) et 299 dollars (pour le 16 Go). (...)

(05/06/2008 13:24:25)

L'Europe autorise le Wimax sur les réseaux mobiles

La technologie Wimax vient de bénéficier d'un coup de pouce de la Commission européenne comme alternative aux évolutions des réseaux télécoms sans fil. Les instances européennes viennent de donner leur feu vert pour ouvrir les fréquences 3400 et 3800 MHz à des usages dits de "mobilité". Auparavant, elles n'étaient autorisées que pour des usages d'accès sans fil fixe ou nomade. La "mobilité" se définit par la possibiltié de conserver une connexion en déplacement, le réseau gérant le passage de cellule à cellule. C'est le cas pour les réseaux GSM. L'usage nomade ne permet que la connexion à une seule borne relai, perdue dès que l'on sort de sa zone de couverture. Un moyen de concurrencer la 3G A compter de 2012, la technologie Wimax, en version 802.16e-2005, sera donc exploitable sur des architectures réseau à même de concurrencer la 3G et ses éventuels successeurs. On ne peut que saluer la promesse d'une véritable concurrence comme ce fut le cas lorsque les FAI ont commencé à proposer de la téléphonie fixe. Aujourd'hui, les opérateurs de télécoms ne parviennent pas à faire décoller l'utilisation de la 3G pour des raisons évidentes de tarifs prohibitifs. On peut caresser l'espoir que Free, seule société en France à disposer d'une licence Wimax d'envergure nationale, vienne un jour stimuler l'agressivité commerciale de l'oligopole en place. (...)

(27/05/2008 18:05:00)

Bertrand Delanoë rappelle ses priorités sur l'innovation et le numérique

En ouverture de séance du Conseil de Paris qui s'est tenu hier, lundi 26 mai, Bertrand Delanoë, Maire de Paris, a fait un point sur l'ensemble des chantiers inclus dans le plan de développement que la Ville va consacrer à l'innovation, à la recherche et à l'enseignement supérieur. Un plan qui, rappelons-le, bénéficie d'un budget d'un milliard d'euros. Les projets numériques y tiennent une place importante. Soulignant l'enjeu stratégique que constitue la mise en place de réseaux « complets et performants de fibre optique » pour « l'attractivité scientifique et économique de Paris », le Maire a notamment rappelé que Paris soutiendrait la liaison expérimentale à très haut débit mise en place par le pôle de compétitivité Cap Digital avec la ville de San Francisco. Cette liaison doit favoriser l'éclosion de projets communs entre entreprises parisiennes et californiennes. 80% de parisiens connectés au très haut débit d'ici 2010 Sur le terrain, Bertrand Delanoë poursuit l'objectif de raccorder 80% des Parisiens au très haut débit (100 Mbit/s) d'ici 2010. Les bailleurs sociaux seront incités à proposer à leurs locataires des tarifs avantageux pour accéder à ce très haut débit (à l'instar de ce que l'OPAC vient de faire, a-t-il été précisé). Hier, l'élu a également évoqué le plan d'équipement des écoles et collèges (avec l'installation d'espaces numériques de travail), le développement des services municipaux (téléprocédures, paiement en ligne...) et les 400 points d'accès Wi-Fi gratuits dans les lieux publics, en précisant que la Municipalité restait attentive aux inquiétudes que ces technologies [NDLR : sans fil] pouvaient susciter. 100 000 m2 d'incubateurs et deux nouveaux pôles de compétitivité Pour favoriser le développement de projets innovants, Bertrand Delanoë a insisté sur le rôle joué par l'Agence Parisienne de l'Innovation. Deux missions essentielles lui sont confiées, avec le soutien d'un réseau d'experts et de structures spécialisées comme Oséo : d'une part « identifier les produits et services innovants », d'autre part, « nouer des partenariats avec les entreprises pour les expérimenter. » [[page]]La Ville prévoit de porter à 100 000 m2 la surface aménagée pour accueillir les jeunes pousses. Elle prévoit de créer 55 000 m2 supplémentaires de pépinières et d'incubateurs. Ces espaces viendront s'ajouter aux 44 000 déjà constitués, où l'on trouve notamment Biopark et ses 18 000 m2 réservés aux entreprises de biotechnologies, a rappelé Bertrand Delanoë. Le Maire a précisé par ailleurs que la programmation des activités économiques dans les zones d'aménagement immobilier donnerait « la priorité aux projets structurants portés par les filières de l'innovation, comme Cap Digital. » Deux nouveaux pôles de compétitivité Paris entend par ailleurs soutenir deux nouveaux pôles de compétitivité, l'un consacré aux métiers de la création, l'autre aux innovations urbaines. Ils viendront s'ajouter aux quatre pôles déjà en place. Outre Cap Digital axé sur les contenus numériques, rappelons que Medicen est spécialisé sur les biotechnologies, Systematic sur les logiciels et les systèmes embarqués et que Paris Finance Innovation, nouvellement mis sur pied, aidera les jeunes entreprises à décrocher leurs premières levées de fonds. (...)

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