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(21/08/2007 16:57:56)
Cisco et Microsoft en pleine co-opétition
Steve Ballmer et John Chambers, respectivement patron de Microsoft et de Cisco, ont déclaré d'une seule voix que leurs offres seront interopérables afin que leurs clients puissent les mélanger sans souci. Cette touchante scène s'est déroulée dans un hôtel new-yorkais et a été web-diffusée dans le monde entier. A défaut de garantir une évolution sans heurt, et sans incompatibilité, la déclaration commune de ces deux concurrents montre bien l'ampleur du problème que leur compétition exacerbée pose à leurs clients. Ainsi, la soi-disant collaboration au niveau de la gestion des accès au réseau entre Cisco (qui prône Network Admission Control) et Microsoft (tenant de Network Access Protection) traîne depuis trois ans sans donner grand résultat. Les analystes n'ont d'ailleurs pas été convaincus par le numéro de duettiste des deux patrons. Ils se contentent de constater qu'aujourd'hui les deux sociétés sont en concurrence sur 15% à 20% de leurs activités et que cette zone de recouvrement va s'étendre rapidement. En particulier dans le domaine des communications unifiées. Steve Ballmer et John Chambers ont énuméré sept domaines dans lesquels leur société respective allait tout particulièrement s'efforcer d'établir un bon esprit de "co-opétition". Il s'agit de l'architecture des systèmes d'information, de la sécurité, de l'administration, du sans-fil et de la mobilité, des communications unifiées, du foyer numérique (connected entertainment) et des PME. Il suffit que constater que ces "domaines" recouvrent en fait la quasi-totalité des zones de friction pour avoir des doutes sur la mise en pratique des principes annoncés. (...)
(21/08/2007 13:02:02)Wipro ouvre un centre de tests WiFi en Inde
L'Alliance WiFi a retenu la SSII indienne Wipro pour la mise en place, à Bangalore, d'un laboratoire de tests destiné à vérifier la compatibilité des matériels WiFi (sans fil). L'association à but non lucratif, basée au Texas, estime que se rapprocher des sites de production des matériels WiFi peut contribuer à réduire les délais de mise sur le marché des produits et leur coût de développement. L'Alliance WiFi rassemble plus de 300 acteurs de l'informatique et de l'électronique. Chez Wipro, on fait remarquer l'importance croissante de l'Inde comme plaque tournante dans le développement des produits WiFi, mis au point tant par des acteurs locaux que par les filiales d'entreprises internationales installées sur place. Le laboratoire de Wipro doit aider les fabricants à préparer leur dossier de certification pour l'Alliance WiFi. Cette phase de pré-examen permet de détecter des problèmes sur les équipements avant de se lancer dans la procédure classique de certification. L'Alliance WiFi dispose de douze laboratoires de tests dans le monde, incluant celui de Wipro. Elle a certifié quelque 3 500 produits depuis le lancement du programme de certification WiFi, en mars 2000. Sur le même sujet : - La France compromet-elle l'avenir du 802.1 - L'IEEE ratifie la deuxième version de la norme 802.1 - L'Alliance WiFi s'apprête à certifier des équipements pré 802.1 (...)
(28/06/2007 14:29:24)L'Apple iPhone vise aussi bien le grand public que les professionnels
L'iPhone, le pas encore né mais déjà célèbre téléphone mobile d'Apple, sera mis en vente demain aux Etats-Unis. Qui devrait l'acheter ? Depuis qu'Apple a annoncé son intention de sortir un téléphone, les analystes spécialisés se perdent en effet en conjectures sur le marché visé par cet iPhone. Dès janvier, certains expliquaient que l'iPhone ne serait qu'un iPod avec des fonctions de téléphonie. D'autres analystes ont ensuite affirmé qu'Apple redéfinirait le haut de gamme des téléphones mobiles. Plus récemment, Gartner a mis en garde les services informatiques des entreprises contre la tentation future des cadres d'introduire ce smartphone dans l'équation du système informatique. Et IDC a fait écho à son concurrent en décrivant l'iPhone comme « un outil personnel », « pas du tout positionné pour le monde de l'IT ». Toutefois, à lire le comparatif envoyé par Apple aux rédactions, il est clair que la firme de Cupertino entend positionner l'iPhone comme un concurrent de ces smartphones disposant de fonctions dites business mais qui peuvent aussi séduire le grand public avide de nouvelles fonctionnalités. Le comparatif établi par Apple place - avantageusement - l'iPhone face au Nokia N95, au Samsung Blackjack (vendu ici sous le nom i600), au Blackberry Curve 8300 et au Palm Treo 750. Tous appareils plébiscités par les cadres pour rester en contact avec leur bureau, alors même que les premiers mots d'Apple pour présenter son produit concernent plutôt un usage grand public : « le meilleur iPod que nous ayons jamais créé ». De fait, la marque à la pomme a récemment décidé d'accroître la durée de vie de la batterie de l'iPhone, un élément essentiel pour un usage multimédia d'un téléphone mobile. Le comparatif - établi après cette révision des spécifications - insiste d'ailleurs sur ce point en mentionnant l'autonomie de l'iPhone pour tous les usages multimédias (lecture audio, vidéo, navigation sur Internet), tout en indiquant que les autres constructeurs ne livrent pas ces données. Reste le problème du prix. L'iPhone devrait être vendu dans la même gamme de prix que les smartphones auxquels Apple le compare (entre 400 et 650 euros environ). Enfin, si l'on considère leur prix de vente sans abonnement, car les packs des opérateurs les positionnent beaucoup moins chers. Mais comme l'expliquait récemment Gartner, quand il s'agit d'Apple, le prix n'a qu'une importance relative : la marque et le design font vendre. (...)
(18/06/2007 18:33:10)Bouygues Télécom et Completel envisageraient une joint-venture
Voilà plusieurs mois qu'ils discutent, Bouygues Telecom et Completel ont décidé d'officialiser leur partenariat dans un communiqué laconique : les deux acteurs coopèrent sur le marché du fixe-mobile. Selon nos sources, il s'agirait toutefois de bien plus qu'une simple coopération, les deux opérateurs étudieraient en effet la possibilité de placer leurs forces en commun dans une joint-venture. Or, qui dit co-entreprise, dit moyens financiers communs, développements techniques coordonnés et commercialisation conjointe. (...)
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