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Haut débit mobile
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(18/06/2007 12:46:18)
Un prototype de transmission sans fil à 1 Gbit/s chez Toshiba
Toshiba vient titiller la bande des 60 GHz pour parvenir à transmettre plus d'un Gbit/s. Rappelons qu'un réseau WiFi à la norme 802.11g n'atteint que 50Mbit/s. Certes, il ne peut s'agir que d'un réseau très local puisque la portée des ondes ultra-courtes est limitée à quelques mètres. Pour Toshiba, c'est toutefois suffisant dans le cadre d'un réseau domestique, en particulier pour partager un signal de télévision HD sur plusieurs écrans. Toshiba est parvenu à mettre au point un récepteur de 1,1x2,4 mm en technologie CMOS. Le Japonais affirme que sa technologie permet d'atteindre des performances proches de celles obtenues en utilisant de l'arséniure de gallium, mais à moindre coût. (...)
(15/06/2007 15:50:13)29% des réseaux WiFi parisiens ne sont pas sûrs, alarme RSA
En matière de sécurisation des réseaux WiFi, « la France est à la traîne », dénonce Bernard Montel, directeur technique pour la France et Israël de RSA, la division sécurité d'EMC. Selon la dernière étude sur la sécurité des réseaux sans fil des grandes villes réalisée par RSA, le nombre de réseaux WiFi détectés à Paris a en effet augmenté de 44% entre 2006 et 2007. RSA recense ainsi 566 points d'accès sécurisés, 93 hotspots et 145 points d'accès non sécurisés. Globalement, le nombre de réseau non sécurisés augmente de 35% par rapport à 2006. Toutefois, alors qu'ils représentaient 31% des réseaux en 2006, ce taux tombe à 29% cette année. Selon RSA, les hotspots publics sont également vulnérables. « Les collaborateurs nomades s'appuient sur des hospots fournis par des opérateurs ou établissements offrant un accès à Internet. Ces réseaux peuvent être sources de menaces importantes », assure Bernard Montel. RSA indique dans son rapport que, souvent, ces hotspots n'utilisent aucun système de sécurité. Aucune technologie ne serait aujourd'hui capable de garantir l'identité du fournisseur du point d'accès. Certains hotspots frauduleux sont tagués avec des noms de fournisseurs connus et de confiance. Pourtant, ils sont contrôlés par des pirates qui s'en servent pour soutirer des informations personnelles (numéros de cartes de crédit, login, mot de passe, etc.) aux utilisateurs connectés. Ce procédé est connu sous le nom de 'man in the middle'. Pour s'assurer de la sécurité d'un réseau WiFi, RSA recommande de mettre en place un VPN SSL ou IPSec, des processus d'authentification par mots de passe et certificats « et surtout d'adopter des règles de bon usage », énumère Bernard Montel. A Paris, même si le taux de réseaux sûrs atteint 71%, « il reste encore beaucoup d'entreprises pour lesquelles il y a beaucoup à faire ». Entre 20 et 25% des réseaux WiFi d'entreprise sont sans protection, à Paris comme à New York et Londres. La capitale française est cependant légèrement en retard en matière d'adoption de systèmes évolués de cryptage. Seuls 41% des réseaux sécurisés utilisent les normes 802.11i ou WPA. (...)
(22/05/2007 16:59:33)Toshiba et Nortel unis pour promouvoir le WiMax mobile
Nortel et Toshiba s'allient pour développer des relais WiMax Mobile. Les deux sociétés visent à la fois le marché japonais et le reste du monde. Toshiba assurera le développement de la partie radio des stations tandis que Nortel se focalisera sur les éléments numériques. Cet accord de co-développement intervient après une première expérience grandeur nature conduite par les deux sociétés dans le nord du Japon. (...)
(16/05/2007 17:59:57)La France compromet-elle l'avenir du 802.11n ?
La France risque-t-elle de compromettre le 802.11n, basé sur la technologie MIMO (Multiple Inputs Multiple Outputs) ? C'est ce que craignent certains fabricants comme Trapeze Network. En effet, si l'Arcep a bien libéré la bande des 5 GHz après celle des 2,5 GHz, elle a soumis cette ouverture a certaines conditions, notamment l'absence d'interférence avec les installations militaires qui utilisent également cette fréquence. Les normes DFS (Dynamic Frequency Selection) - qui sont l'un des moyens de lutter contre ces parasites - adoptées par l'Europe correspondent à la version 1.2.3 des spécifications définies par l'ETSI (Institut Européen des Normes de Télécommunications). Or la France, par la voix de son autorité de régulation des télécoms, l'Arcep, se réfère à une version ultérieure (1.3.1) adoptée par l'Institut. C'est ce qui inquiète les équipementiers, les puces correspondant à la version 1.3.1 n'étant pas disponibles en quantité suffisante. Les chips actuels peuvent toutefois être utilisés. Malheureusement, leurs performances ne correspondent pas aux objectifs du 802.11n. On serait ainsi assez loin des débits annoncés de 540 Mbp/s. Légalement, les équipements conformes à l'ETSI dans les pays européens ne le sont donc pas en France. A l'EICTA (l'Association européenne des technologies de l'information), qui défend le point de vue des constructeurs, on estime que la France est sur ce point en contradiction avec les lois communautaires. Il n'est cependant pas sûr que la position française pose réellement problème dans la mesure où les tests préliminaires à la certification définitive du 802.11n par l'IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers) débutent en juin. On ne verra donc pas de produits correspondants avant 2008. L'Europe sera sans doute alignée sur la France à ce moment là. (...)
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