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Haut débit mobile
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(05/04/2007 17:57:38)
Les entreprises intègrent de plus en plus la mobilité
La deuxième édition du baromètre de la mobilité en entreprise, réalisé chaque semestre par IDC et Dell, montre que le marché de la mobilité est en train de passer d'une phase de croissance à une phase de maturité. L'étude montre également une dynamique forte autour de la 3G et une intégration de plus en plus fréquente entre les modes d'utilisation personnelle et professionnelle. Dans le détail, l'étude donne de nombreuses informations qui montrent une évolution en six mois, depuis le premier baromètre qui a été effectué au mois de septembre 2006. Aujourd'hui, 79% des deux cents entreprises de plus de deux cents salariés interrogées prévoient d'investir dans des micro-ordinateurs portables (contre 71% il y a six mois) et à brève échéance : 56% comptent le faire avant six mois, contre 50% lors de la précédente étude. Les prévisions d'investissement montrent également la maturité du marché. Les entreprises de moins de mille employés sont seulement 24% à envisager d'augmenter leurs investissements en micro-ordinateurs portables et 43% prévoient de maintenir leur investissement à leur niveau actuel. Les chiffres sont un peu différents dans les entreprises de plus de mille salariés : 28% d'entre elles pensent augmenter leurs investissements, et 54% les garder stable, preuve que les grandes entreprises sont en retard dans ce domaine par rapport aux PME. La majorité des projets sont liés au portage de solutions existantes (48%), le déploiement de nouveaux applicatifs ne concernant que 22% des projets. « La mobilité, ce n'est plus transporter un disque dur, explique Christophe Burckart, directeur marketing de Dell France, mais bien rester en contact avec l'informatique de l'entreprise. » 3G : 61% des entreprises sondées sont très satisfaites La prise en compte des technologies d'accès est devenue récemment un élément important au moment du choix. Pour 36% des entreprises, la présence d'une carte Edge, 3G et HSDA - HSPA est une condition indispensable, le WiFi étant exigé dans 70% des cas. Pour un certain nombre d'entreprises, cette exigence est surtout une sécurité pour l'avenir, mais pour un grand nombre, il s'agit bien d'utiliser ces réseaux à haut débit. Près d'une entreprise sur deux a déjà réalisé ses premiers déploiements (contre 33% il y a six mois), et 26% ont déjà commencé des tests (9% seulement il y a six mois). Ces premiers déploiements sont manifestement concluants, car plus d'une entreprise sur deux déjà équipée en 3G prévoit d'augmenter le nombre d'utilisateurs, avec cependant des disparités assez nettes selon la taille de l'entreprise (59% pour les entreprises de plus de mille employés, 47% pour celles qui en comptent moins de mille). Plus net encore, le degré de satisfaction : 61% sont très satisfaites et 26% plutôt satisfaites. Des chiffres soulignés par Marc Laporte, directeur général d'IDC, qui rappelle qu'un tel pourcentage de « très satisfaits » est particulièrement rare dans l'ensemble des enquêtes. Le seul point de faiblesse relative concerne la couverture, qui ne correspond que pour 59% aux attentes (à noter que 8% la juge supérieure aux attentes). Actuellement, seule une petite partie du parc peut se connecter en 3G (moins de 20% du parc dans près d'une entreprise sur deux), mais l'avenir appartient bien à la 3G, selon les entreprises interrogées : 42% d'entre elles posséderont dans deux ans un parc au sein duquel 80% des portables seront équipés de la 3G. [[page]] Flexibilité du travail et productivité L'intégration de la mobilité dans le système d'information a des conséquences dans la façon de travailler, car le bureau mobile s'installe d'abord au domicile des employés. 68% des utilisateurs de portables en ont un usage à la fois professionnel et personnel. 88% d'entre eux peuvent se connecter au réseau de leur entreprise depuis leur domicile et 68% à leur messagerie professionnelle. L'entreprise s'invite donc dans le salon de ses employés. 72% d'entre elles considèrent d'ailleurs qu'un micro-ordinateur portable favorise la flexibilité du travail, 62% qu'il augmente la productivité, 54% qu'il permet de renforcer la disponibilité vis-à-vis des clients et 48% qu'il renforce l'implication des salariés vis-à-vis de l'entreprise. On notera enfin que « la sécurité n'est pas un frein, c'est une obligation » pour reprendre l'expression de Christophe Burckart. 84% des entreprises estiment une politique de sécurité « indispensable » et 14% « recommandée ». Pour augmenter le niveau de sécurité, 70% des entreprises interdisent d'installer des logiciels personnels, 67% réglementent les usages (par exemple par une restriction d'accès aux sites Web) et 66% vérifient l'intégrité du portable avant de le connecter au réseau de l'entreprise. Mais 55% seulement des entreprises effectuent des sauvegardes régulières des données contenues sur le portable, et 26% uniquement ont poussé la logique de sécurité en partitionnant le disque du portable en deux espaces étanches, l'un pour l'usage professionnel, l'autre pour l'usage personnel. (...)
(05/04/2007 17:29:58)Les outils de gestion vPro pour les Intel Centrino butent sur la mobilité
Les Centrino Pro feront leur apparition dans les ordinateurs portables commercialisés dès le mois de juin. Mariage de la plateforme Centrino et des outils de gestion de parc vPro, la marque Centrino Pro est la nouvelle arme stratégique d'Intel pour imposer son architecture dans les ordinateurs portables destinés aux entreprises. Un mouvement essentiel, a annoncé Intel hier, alors que les ventes de portables montrent une croissance soutenue, contrairement aux machines de bureau. Intel avait lancé vPro en septembre dernier afin de faciliter la maintenance à distance des parcs de PC. vPro rend un ensemble de fonctions d'administration possibles pour l'administrateur depuis sa console, même lorsque les ordinateurs sont éteints. La déclinaison pour la plateforme mobile Centrino est censée « remplir presque toutes les fonctions que vPro remplit pour les PC », explique Gregory Bryant, vice-président d'Intel, et directeur général de l'entité 'Business client platform'. Un pare-feu programmable (par l'administrateur) est inclus dans la plateforme, mais les fonctions de sécurité ne vont pas encore jusqu'à l'identification de la machine et l'inspection de son état lors de la connexion au réseau local. La technologie AMT (Active management technology) v2.5 permet par ailleurs de découvrir un ordinateur sur le réseau quel que soit son état, et de procéder à des fonctions d'administration depuis la console d'un outil tiers (Altiris, LANDesk...). Sauf que si cela fonctionne dans les locaux de l'entreprise, cela devient plus problématique dès lors que l'utilisateur est hors des murs - ce qui est tout de même la vocation d'un utilisateur équipé d'un portable. Notamment parce qu'Intel ne veut pas être accusé de vider les batteries. « Si l'ordinateur est connecté en WiFi, résume Gregory Bryant, presque toutes les fonctions sont disponibles. Si la connexion s'effectue par un réseau privé virtuel, seules quelques fonctions sont encore possibles. » (...)
(15/03/2007 15:11:51)L'IEEE ratifie la deuxième version de la norme 802.11n
L'IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers) vient de ratifier définitivement le draft (brouillon) 2 du standard 802.11n, ouvrant la voie à l'interopérabilité des produits. Basée sur la technologie WiFi MIMO (Multiple Inputs Multiple Outputs), la norme 802.11n permet des débits théoriques de 540 Mbit/s sur les réseaux locaux sans fil, grâce à la combinaison de plusieurs canaux (huit maximum en théorie, quatre en pratique) non superposés. Les premiers tests de certification vont donc pouvoir commencer afin d'autoriser la mise sur le marché de produits compatibles avec la norme définitive, prévue pour 2008. La compatibilité avec les produits « Pre-N » (issus du draft 1) déjà en circulation semble également assurée, moyennant quelques modifications mineures du firmware. La hache de guerre semble donc définitivement enterrée entre les deux groupes qui s'opposaient au sein de l'IEEE sur le nombre de canaux, leur gestion, les fréquences utilisées et les débits autorisés. (...)
(27/02/2007 12:30:17)Pour l'IEEE, le WiMax mobile sera la future 4G
L'IEEE (Institute of electrical and electronics engineers) a mis sur pied un groupe de travail qui planchera sur le 802.16m, la version mobile du WiMax. Il s'agit d'offrir un débit de 1 Gbps en tirant parti de la technologie MIMO (multiple input multiple output : de multiples entrées/sorties pour accroître le débit). La feuille de route prévoit un déploiement de la technologie en 2010, ce qui collerait avec le calendrier de la future 4G. La nouvelle norme devrait également être compatible avec le 802.16e, en cours de déploiement aux Etats-Unis par Sprint, et en Grèce par l'opérateur canadien Craig Wireless, associé pour l'occasion à son compatriote Nortel (par ailleurs fervent supporter du WiMax MIMO). Les jeux sont toutefois loin d'être faits, l'interopérabilité entre la 802.16e et la 802.16d ayant déjà soulevé pas mal de problèmes en son temps. Il se dit également que les militaires s'intéressent de près au 802.16m. Enfin, les lobbyistes auprès de l'UIT (Union internationale des télécommunications), passage obligé pour toute nouvelle norme, ne sont pas tous des fervents supporters du WiMax mobile. On attend donc avec intérêt la prochaine réunion de l'IEEE qui se tiendra à Paris au mois de mai. (...)
(22/02/2007 18:15:25)SFR et Alcatel retenus pour déployer le WiFi parisien
En attribuant à SFR et Alcatel-Lucent la réalisation de ses points d'accès WiFi, Paris jette les fondations de ce que Bertrand Delanoë a baptisé la capitale numérique. En mars 2006, le premier édile rendait visite à son homologue de San Francisco et observait avec intérêt le partenariat noué avec Google et Earthlink pour couvrir la ville en haut débit sans fil. L'élu parisien confiait à cette occasion que l'objet de son voyage était non seulement d'apprendre, « mais aussi d'imiter ». De fait, avec la mise en place de ses hotspots, « Paris n'a pas à rougir de la comparaison avec les autres grandes métropoles », confie Danièle Auffray, l'adjointe aux nouvelles technologies. D'ici le mois de juin, Alcatel-Lucent déploiera 200 points d'accès dans les mairies d'arrondissement, les bibliothèques municipales et les jardins publics de la capitale. Ils seront accessibles gratuitement pendant les heures d'ouverture au public des lieux dans lesquels ils sont implantés. En août, la ville en comptera deux fois plus. SFR, de son côté, aura en charge l'exploitation et la maintenance des hotspots. L'idée, explique Danièle Auffray, est de « maximiser le confort de connexion pour les usagers, un point qui faisait partie du cahier des charges ». Ainsi, si le nombre d'accès simultanés à un même point d'accès n'est pas précisé, l'élue indique qu'il sera « significatif ». De même, SFR mettra en place un numéro d'appel pour aider les Parisiens dans leur utilisation. Au total, la Ville de Paris devrait débourser entre 5 et 6 M$ sur trois ans, dont 2,5 M€ la première année. Le montant inclut les frais d'installation et de mise en service ainsi que l'accès, payé par la municipalité au duo SFR-Alcaltel. Un budget somme toute raisonnable pour « un service qu'il paraissait logique d'offrir », selon l'adjointe au Maire. Si le projet parisien n'a rien à envier à ceux déployer par les grandes métropoles mondiales, il convient toutefois d'apporter une nuance. Là où San Francisco met en place un véritable réseau, Paris se refuse d'employer ce terme et insiste sur la notion de points d'accès, une notion qui exclut de fait l'unité de l'ensemble ainsi constitué. La raison de cette différence tient au code général des collectivités territoriales qui, dans son article 1425-1, interdit à ces dernières la fourniture de services de télécommunications à moins d'avoir constaté « une insuffisance d'initiatives privées propres à satisfaire les besoins des utilisateurs finals ». En d'autres termes, une collectivité ne peut créer son propre réseau s'il entre en concurrence avec les offres des opérateurs. La carence des offres n'existant pas à Paris, la Ville ne peut que proposer des points d'accès, gratuits et nombreux certes, mais dénués de liens les uns avec les autres. Un réseau WiFi à Paris n'est cependant pas une vue chimérique. Parallèlement à la mise en place des 400 hotspots, la Ville met en effet à la disposition des opérateurs une partie de ses lampadaires pour qu'y soient installés des bornes. D'ores et déjà, la mairie peut recueillir les demandes et proposer son mobilier urbain contre une redevance raisonnable conduisant à un accord gagnant-gagnant. (...)
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