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(11/03/2011 15:12:41)
Les voitures, prochaines cibles des pirates informatiques
Des chercheurs de l'Université de San Diego, Californie, et de l'Université de Washington ont consacré les deux dernières années à examiner dans les moindres détails les milliers de composants électroniques des systèmes embarqués dans les véhicules récents. Objectif : chercher des failles de sécurité et étudier si elles peuvent être détournées à des fins malveillantes. Dans un nouvel article, ceux-ci affirment avoir identifié un certain nombre de méthodes qu'un pirate pourrait utiliser pour prendre le contrôle d'un véhicule, notamment certaines attaques impliquant la connectique Bluetooth et les systèmes de réseau cellulaire, ou alors en introduisant des logiciels malveillants par l'intermédiaire des appareils de diagnostic utilisés dans les ateliers de réparation automobile.
Un piratage qui passe par l'autoradio
Mais le système d'attaque le plus intéressant développé par les chercheurs a porté sur l'autoradio. En ajoutant du code supplémentaire à un fichier de musique numérique, ils ont réussi à muter une chanson gravée sur CD en cheval de Troie. Pendant la lecture du fichier sur le système stéréo de la voiture, le code pourrait modifier le firmware du système audio et ouvrir une porte d'entrée aux pirates, ce qui leur permettrait d'agir sur d'autres composants du véhicule. Selon eux, ce type d'attaque pourrait se propager sur les réseaux de partage de fichiers sans éveiller de soupçons. « Il est difficile d'imaginer quelque chose de plus inoffensif qu'une chanson, » a déclaré Stefan Savage, professeur à l'Université de San Diego. L'année dernière, le professeur américain et ses collègues chercheurs ont décrit comment fonctionnait le réseau de composants équipant les voitures actuelles. Ils ont également rapporté une expérience de piratage menée en 2009, au cours de laquelle ils ont réussi à endommager définitivement un moteur, verrouiller les portes, déverrouiller les freins et transmettre de fausses informations au compteur de vitesse d'un véhicule test. Pour réaliser cette expérience, ils ont relié un ordinateur portable au système de diagnostic interne du véhicule afin d'y introduire leur code malveillant.
Déverrouiller à distance un véhicule
Leur dernier challenge : trouver un moyen de contrôler la voiture à distance. « Notre article traite des difficultés rencontrées pour accéder aux commandes, » explique le professeur Savage. Au final, le document fait état de plusieurs méthodes pour y parvenir. « En fait, toutes les attaques - via Bluetooth, le réseau cellulaire, les fichiers de musique infectés par un code malveillant et les outils de diagnostic utilisés par les garagistes - ont pu être reproduites à distance, malgré une vraie difficulté à se connecter » indique Stephan Savage. « Mais la meilleure méthode reste celle que nous avons expérimenté en premier, c'est à dire en connectant un ordinateur à l'intérieur du véhicule, » a-t-il ajouté. La recherche met en évidence de nouveaux types d'attaques qui pourraient être utilisées dans le futur. Par exemple, les voleurs pourraient déverrouiller les portes des véhicules à distance et envoyer ses coordonnées GPS et son numéro d'identification à un serveur central. « Un voleur audacieux n'aurait plus besoin de voler les voitures lui-même, mais il pourrait vendre ses services à d'autres voleurs, » déclare Stephan Savage. « Un voleur à la recherche de certains types de voitures dans une zone géographique donnée pourrait demander qu'elles soient déverrouillées et identifiées, » ajoute-t-il. Le rapport des chercheurs ne mentionne pas la marque ni le modèle du véhicule qu'ils ont réussi à pirater en 2009...
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Des problèmes de sécurité à venir
Les universitaires ont présenté leurs travaux au Comité de l'Académie nationale des sciences chargé du Contrôle électronique et des accélérations non intentionnelles. Celui-ci a été créé l'an dernier pour étudier la sécurité des systèmes électroniques embarqués dans les véhicules, suite au rappel massif de voitures par Toyota et des rapports faisant état d'accélération involontaire dans des véhicules de la marque. Après coup, ce problème n'était pas lié aux systèmes électroniques, mais a été attribué aux tapis de sol, aux pédales d'accélérateur collantes et à des erreurs de conduite. Compte tenu de l'important obstacle technique à surmonter, les chercheurs pensent que les actes de piratage contre les voitures seront très difficiles à réaliser. Néanmoins, les chercheurs veulent que l'industrie automobile soit consciente des problèmes potentiels que cela pourrait poser. Selon Tadayoshi Kohno, professeur adjoint à l'Université de Washington qui a travaillé sur le projet, le piratage informatique des véhicules « est peu probable. » Néanmoins, celui-ci estime que les clients ordinaires voudront savoir si le véhicule qu'ils achètent tous les cinq ans... sera à l'abri de ces problèmes. »
Beaucoup d'effort pour attaquer un modèle
Les voleurs de voitures sont aussi face à une autre difficulté : les unités de contrôle électronique intégrées sont très différentes d'un véhicule à l'autre. Même si une attaque peut fonctionner sur type de véhicule d'une année donnée, il est peu probable que celle-ci soit utilisable pour un autre modèle. « Pour pirater un seul type de véhicule, il faudra investir beaucoup de temps, d'argent et de ressources, » a déclaré Brian Herron, vice-président de Drew Technologies, une société basée à Ann Arbor, Michigan, qui fabrique des outils pour les systèmes informatiques embarqués. « Ce n'est pas comme le piratage de Windows où il suffit d'exploiter une vulnérabilité mise en évidence. » Selon Stephan Savage et Tadayoshi Kohno, les constructeurs automobiles ont pris leurs travaux et les questions de sécurité qu'ils soulèvent, très au sérieux.
Crédit photo : Autosec.org
(...)(02/03/2011 11:08:40)Des Français de plus en plus connectés et mobinautes
En 2010, 64% des Français disposent d'un accès Internet chez eux, contre 56% en 2008 et seulement 12% dix ans plus tôt. Parmi eux, neuf sur dix sont équipés d'un accès haut débit. Le taux d'équipement varie sensiblement en fonction de l'âge, de la catégorie sociale et du niveau d'études des internautes. Les plus équipés sont sans surprise les jeunes de moins de 30 ans dont 93,3% disposent du web à domicile. Plus les Français avancent dans l'âge, plus le taux d'équipement descend. Ainsi, 85,7% des 30-44 ans sont reliés à Internet, devant les 45-59 ans (75,4%), les 60-74 ans (47,6%) et les plus de 75 ans (8%). L'écart est également notable entre les cadres et professions libérales, équipés à 96,1%, et les agriculteurs (70%), les ouvriers (73,3%), les chômeurs (73,9%) ou les retraités (30,7%).
Une connexion via mobile en augmentation
L'ordinateur reste le support privilégié des internautes pour naviguer sur le web. 38% l'utilise alors que 31% ont recours à un ordinateur portable, 27% à un téléphone portable ou assistant personnel. L'Internet mobile opère en 2010 une réelle percée. 38% des internautes déclarent l'avoir utilisé contre 20% en 2008, 59% des moins de 30 ans et 25% des plus de 45 ans. Cette nouvelle pratique a été facilitée par l'essor récent du WiFi et des téléphones mobiles. 23% sont équipés d'un réseau Wi-Fi, versus 13,5% en 2008. Un quart a déjà utilisé un téléphone portable pour surfer contre 9% deux ans plus tôt.
Plus de neuf internautes sur dix se rendent sur le web pour consulter leur messagerie électronique, près de 83% s'en servent pour rechercher une information, 65% pour consulter leur comptes bancaires, 62% pour apprendre et plus de la moitié pour organiser leurs vacances. 77,4% des moins de 30 ans ont la spécificité de se servir d'Internet pour converser et accéder à des forums de discussion. Les Français profitent également de leur accès à domicile pour faire des achats en ligne. 53% ont effectué un achat en 2010 contre 35% en 2008. Les biens ainsi acquis sont principalement des vêtements, des billets de transport, des séjours de vacances et des biens d'équipements.
L'étude de l'Insee a été menée auprès de 7 111 ménages installés en France métropolitaine dans les DOM en avril 2010.
Les Français utilisent plus les SMS que les réseaux sociaux
L'enquête (*) publiée par le cabinet Deloitte apporte un regard sur la manière dont la relation entre utilisateurs et téléphones portables évolue dans le monde. Trois principaux constats en ressortent. Tout d'abord, les SMS restent plus populaires que les réseaux sociaux. En France, 56% des utilisateurs utilisent les SMS au cours d'une journée alors qu'ils ne sont que 48% et 37% à utiliser respectivement la messagerie mobile et les réseaux sociaux. L'écart est encore plus important en Chine où la population utilise les SMS à 93% contre 30% pour les réseaux sociaux. Ensuite, les Français sont moins friands de publicité sur mobiles que les Chinois : 80% d'entre eux ignorent les publicités qu'ils reçoivent sur leurs téléphones.
Les Chinois davantage friands de publicités
Parmi ceux qui y réagissent, 40% visitent le site indiqué ou cherchent à en savoir plus. A l'inverse, leurs homologues chinois sont 20% à déclarer acheter le produit ou le service vanté par la publicité. Quatre facteurs pourraient faire réagir les Français à la publicité sur mobiles : la recherche de bonnes affaires (20%), l'utilisation gratuite d'une application ou d'un jeu (17%), la publicité venant d'une marque ou d'un produit dans laquelle/lequel ils ont confiance (11%) et les publicités en rapport avec l'endroit où ils se trouvent (8%). Enfin, l'étude montre que certains consommateurs français seraient prêts à payer un surcoût pour avoir le haut débit mobile (4G) sur leurs téléphones portables. Les deux grands facteurs susceptibles d'encourager une plus grande utilisation sont des prix abordables pour 54% d'entre eux, et des vitesses supérieures pour 50%.
(*)Les résultats de cette étude ont été collectés auprès d'environ 30 000 personnes dans 15 pays via des entretiens en ligne et sur le terrain. Les questions ont été adaptées au pouvoir d'achat, à la langue et aux caractéristiques propres des marchés de chaque pays.
(...)
MWC 2011 : les constructeurs dans les starting-blocks
Plus grand salon au monde consacré à la téléphonie mobile, le Mobile World Congress se tient chaque année en février à Barcelone. L'événement, qui pourrait avoir lieu à Paris entre 2013 et 2017 (la capitale française est en candidate aux côtés de Munich, Milan et Barcelone), accueille 50 000 professionnels et journalistes sur un espace de 14 hectares, et pas moins de 1 300 exposants, dont les principaux fabricants de téléphones portables, les opérateurs, les équipementiers, les éditeurs de contenus, et les développeurs d'applications.
Au fil des ans, la manifestation s'est largement ouverte à différents domaines de l'univers high-tech. Ainsi, les noms de Google, Microsoft, Intel ou Twitter font désormais partie des têtes d'affiche du salon, aux côtés de Nokia, Samsung ou Sony Ericsson. Toujours absent du rendez-vous, le groupe californien Apple. Malgré le succès planétaire de son iPhone, la firme à la pomme ne participe pas officiellement au salon, même si un forum, le Macworld Mobile, est consacré aux applications de ses produits connectés (iPhone, iPod Touch et iPad).
De nombreuses annonces attendues
Le fabricant sud-coréen LG Electronics promet la première grande sensation de cette édition 2011 avec la présentation de son Optimus 3D, qu'il qualifie comme le premier smartphone "Full 3D". Ce mobile est doté d'un écran tactile à affichage 3D, mais ne nécessitant pas le port de lunettes spéciales. Les utilisateurs pourront créer leurs propres images en 3D, grâce à un capteur photo/vidéo à double objectif.
Sony Ericsson, qui a cédé en 2010 la 5ème place des ventes mondiales de mobiles à Apple, entend se relancer avec un smartphone très attendu, le Xperia Play. Cet appareil combine téléphone portable et PlayStation. Adressé aux adeptes des consoles portables, le terminal arbore un large écran tactile sous lequel vient se glisser une manette de jeux.
Google Android en force
Samsung, de son côté, lèvera le voile sur une nouvelle gamme de smartphones sous Android, dont le Galaxy S de deuxième génération. Ce dernier devrait afficher une fiche technique proche de celle d'un ordinateur portable, avec notamment un micro-processeur à double coeur. Le Galaxy S2 rivalisera avec l'Optimus 2X de LG, lui aussi doté d'une puce à double coeur. Surnommés "ordiphones", ces mobiles à très haute capacité sont appelés à se généraliser cette année.
Quant à Nokia, fébrile leader du marché mondial, ses annonces devraient plus concerner sa stratégie à venir que son offre de smartphones. A en croire les rumeurs, la firme finlandaise devrait abandonner sa jeune plateforme Meego qu'il développe en collaboration avec Intel pour s'ouvrir au système Google Android, voir s'allier à Microsoft pour équiper ses combinés de Windows Phone 7.
D'une manière générale, la majorité des mobiles présentés à Barcelone seront équipés d'Android. Le système d'exploitation ouvert et gratuit proposé par Google aux fabricants a fait un véritable carton en 2010. Selon le cabinet Gartner, 67 millions de "Google Phone" ont été achetés dans le monde l'an dernier, soit près d'un smartphone sur quatre. C'est mieux que l'iPhone ou les BlackBerry (environ 47 millions d'unités chacun), mais encore moins bien que Symbian de Nokia (111 millions).
Les tablettes tactiles à l'honneur
Annoncé comme l'une des grandes stars de salon, Google devrait faire le point sur les nouvelles versions d'Android ; celle estampillée 2.4 pour les smartphones, et la 3.0 (ou "Honeycomb") taillée pour les tablettes multimédia. De tablettes, il sera d'ailleurs question chez de nombreux fabricants, notamment Samsung avec une nouvelle version de sa Galaxy Tab, mais également Motorola avec la Xoom (déjà présentée au CES de Las Vegas), LG ou encore HTC.
Enfin, de nombreuses annonces devraient concernés les réseaux mobiles LTE, pour surfer sur l'Internet mobile à très haute vitesse, et la technologie NFC (Near Field Communication), permettant de rendre les téléphones compatibles avec les nouveaux services de paiement sans contact, en magasin, dans les transports en commun ou une salle de spectacles. Le nouveau Nexus S de Google est d'ailleurs équipé de cette solution.
Archos et Alcatel font front commun sur les tablettes et les smartphones Android
Archos et Alcatel ont annoncé la signature d'un partenariat pour la présentation d'une offre combinant tablette et téléphone Android aux opérateurs de télécommunication européens et américains. L'occasion pour les utilisateurs de profiter d'un accès à Internet sur deux appareils connectés sans avoir à payer un forfait mobile supplémentaire.
"Cette offre vient s'inscrire dans la stratégie de certains opérateurs de télécommunication (...) ayant pour ambition de proposer pour l'été 2011 un abonnement unique regroupant les divers terminaux connectés. Elle repose sur la fonction 'One Touch Connect', permettant de partager automatiquement la connexion 3G de son téléphone avec sa tablette Archos connectée en WiFi grâce à la version Android 2.2 Froyo", expliquent Archos et Alcatel dans un communiqué.
(...)(07/02/2011 17:41:36)SFR et Orange renoncent à la hausse de la TVA sur les abonnements mobiles
SFR prendra à sa charge l'augmentation de la taxe sur la valeur ajoutée à la manière de son concurrent Bouygues Telecom. Orange a également annoncé la même démarche. Effective depuis le 1er janvier 2011, la hausse de la TVA s'applique sur les forfaits électroniques permettant de recevoir la télévision (mobiles 3G, triple play ADSL). Beaucoup de clients avaient reçu des couriers de la part de leur opérateur pour leur indiquer que leur forfait allait augmenter. Cela leur ouvrait le droit à résiliation sans frais de leur abonnement pour aller chez un autre opérateur. Devant les risques de pertes de clients, les opérateurs ont finalement choisi de prendre la hausse de la TVA à leur compte.
Par contre, SFR, tout comme Orange appliquent en revanche la nouvelle TVA sur ses offres Internet haut débit. Depuis le 1er février, les offres inférieures à 20 euros sont majorées d'1 euro. L'augmentation atteint 2 euros pour les offres au tarif supérieur à 20 euros. Le prix de l'abonnement Neuf Box Evolution est ainsi passé de 34,90 à 36,90 euros en zone dégroupée.
(...)(07/02/2011 17:31:04)RIM pousse WebWorks sa plate-forme applicative pour tablette et smartphones
Pour accompagner la sortie de sa tablette Internet PlayBook, RIM annonce une plate-forme de développement, baptisée WebWorks Application qui permet aux développeurs d'utiliser des outils web standard pour créer des logiciels qui fonctionnent comme des programmes natifs sur les terminaux mobiles de la compagnie. WebWorks, est en fait une version rebadgée de la plate-forme BlackBerry Widgets présentée en septembre dernier à San Francisco lors de la conférence développeur du canadien. Ce kit de développement exploite le moteur de rendu WebKit. Jeudi dernier, RIM est retourné à San Francisco pour donner plus de détails sur WebWorks, disponible en Open Source sur le site de développement GitHub. WebWorks est le premier environnement applicatif de RIM pour les smartphones et la tablette PlayBook, attendue en mars prochain. Une version bêta du SDK de WebWorks pour Tablet OS a déjà été proposée le mois dernier.
Des applications plus "riches"
RIM a rebaptisé Widgets afin de souligner qu'il peut être utilisé pour créer
des applications complètes et pas seulement des petits gadgets sur l'écran, a déclaré Christopher Smith, responsable de la plate-forme de développement BlackBerry. « Une application WebWorks est une application complète. Elle a pleinement accès à toutes les ressources natives de l'appareil. Toutes les données, tous les services » a complété Christopher Smith. Tous les outils de sécurité et de politiques de la plate-forme BlackBerry s'appliquent également à cette application, précise-t-il encore.
« Sous le capot, nous sommes en train d'encapsuler le moteur web dans un container natif » ajoute le responsable développement de RIM. Pour les smartphones BlackBerry, le container est de type Java et, pour ceux à venir sur le PlayBook, ils sont basés sur les modules Flash et Air d'Adobe.
Programmer en HTML5, CSS et JavaScript
Avec WebWorks, les développeurs peuvent programmer en HTML5, CSS et JavaScript et créer des applications beaucoup plus sophistiquées que celles basées sur le web, a déclaré Jeff Jackson, vice-président en charge de l'activité logiciels chez RIM. Il est difficile de faire la différence entre des applications natives et web, indique encore Jeff Jackson. Lors de l'événement, RIM a montré des applications multimédias sur le PlayBook qui ont été écrites avec les outils web standards, tel qu'un programme d'animation entièrement écrit en CSS.
La société propose WebWorks en complément de son environnement de développement d'origine pour BlackBerry parce que de nombreux développeurs d'applications mobiles ne veulent pas apprendre à travailler sur de nouveaux outils de programmation pour écrire des logiciels pour chaque vendeur de plates-formes, indique Christopher Smith. James Pearce, directeur des relations développeur chez l'éditeur du Framework Sencha, est d'accord avec ce point de vue et précise que les outils basés sur le web apportent un bon dénominateur commun. «Il serait fou de parier contre le web » ajoute James Pearce.
Rattrapper iOS et Android
L'utilisation des technologies web standards est une stratégie intelligente pour RIM, qui est peu susceptible d'attirer les développeurs spécialisés travaillant déjà pour iPhone et Android, indique Will Stofega, analyste chez IDC. Cette plate-forme abaisse les obstacles à franchir pour développer sur BlackBerry et peux encourager les développeurs travailler sur les smartphones et le PlayBook de la société canadienne, précise-t-il.
Il y a plus de 19 000 applications dans le magasin World App pour BlackBerry et 35 millions d'utilisateurs mobiles environ ont téléchargé les logiciels à ce jour, avec un taux actuel de 2 millions téléchargements par jour, précise Chriptopher Smith. Mais ce n'est rien en comparaison de l'App Store d'Apple, qui a plus de 300 000 applications disponibles, et de l'Android Market de Google qui affiche 200 000 logiciels selon le recensement effectué par la compagnie AndroLib (http://www.androlib.com/appstats.aspx). L'App Store a récemment célébré son 10 milliardième téléchargement. AndroLib estime que l'Android Market a eu 2,5 milliards de téléchargements.
(...)(12/01/2011 10:58:21)
Internet mobile, un usage majoritairement personnel
L'utilisation majeure de l'accès Internet mobile est le surf sur le web (45% en France, 55% en Allemagne et 47% au Royaume-Uni), notamment pour conserver le contact avec ses amis via des outils comme les réseaux sociaux. Pourtant rien n'interdit un usage professionnel : 75% de la population française utilise une connexion Internet mobile dont 88% sont satisfaits ; les chiffres étant respectivement 73% et 81% en Allemagne contre 65% et 85% au Royaume-Uni. La France est doc clairement au sommet pour l'accès Internet mobile. Même s'ils sont satisfaits de la qualité de leur liaison, 22% des Français envisagent de changer d'opérateur.
48% des adultes se connectant via un accès mobile utilisent celui-ci comme accès principal en France contre 53% en Allemagne mais seulement 23% au Royaume-Uni. Malgré ces bons chiffres, le marché n'est pas saturé. 17% des Français pas encore équipés, 12% des Allemands et seulement 4% au Royaume-Uni envisagent de se doter d'un tel accès. Mais, à l'inverse, 43% des Français non-équipés, 54% des Allemands et 72% des Britanniques n'en voient pas l'utilité.
Crédit photo : D.R.
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