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(09/02/2009 16:35:43)

Le président d'Oracle conseillera Barack Obama pour son plan de relance

Charles Phillips, président d'Oracle, figure parmi les 17 membres du conseil d'experts que Barack Obama vient de constituer pour lui fournir un avis indépendant sur les questions économiques dans le cadre de son plan de relance. L'"Economic recovery advisory board" est construit sur le modèle du conseil en renseignement (Foreign Intelligence Advisory Board) constitué en son temps par le président Dwight Eisenhower. A sa présidence, Barack Obama a nommé Paul Volcker, 81 ans, économiste et ancien directeur de la réserve fédérale des Etats-Unis. Un autre représentant du secteur IT fait partie de ce groupe d'experts : John Doerr, un investisseur de la Silicon Valley qui figure aux conseils d'administration de Google, Amazon et Symantec. Apporter une diversité de points de vue Ce conseil, qui est établi pour une durée de deux ans, fournira régulièrement des informations au président, au vice-président et à leur équipe économique. Le communiqué officiel précise qu'il est constitué de citoyens n'appartenant pas à la sphère gouvernementale, des personnes ayant fait leur preuve, choisies pour leur expérience, leur indépendance et leur intégrité. Il est censé apporter dans la formulation et l'évaluation de la politique économique une diversité de points de vue émanant de différentes régions des Etats-Unis et de différents secteurs de l'économie. Ce groupe d'experts fournira des conseils directs au président Obama sur les programmes destinés à relancer la croissance économique. Il axera aussi sa réflexion sur « la façon dont la réponse apportée à court terme à la crise pose les bases des réformes nécessaires afin de retrouver la prospérité sur le long terme. » (...)

(09/02/2009 15:33:46)

Le client riche vu par Oracle

Oracle a mis en ligne un site d'information sur les REA (applications d'entreprise riches) démontrant son savoir-faire en matière d'interfaces riches pour le Web. S'il n'édite pas lui-même de technologie de type RIA (applications Internet riches) comme Microsoft ou Adobe, Oracle veut montrer qu'il n'est pas à la traîne dans ce domaine. Son site, rea.oracle.com, illustre - notamment avec une vidéo et plusieurs exemples - ce qu'il est possible de réaliser avec les outils actuels de l'éditeur, en premier lieu le portail Webcenter, l'outil de développement Jdeveloper et les composants du cadre applicatif ADF (Application development framework). Vues par Oracle, les applications d'entreprise riches recourent aux composants Ajax, à du Flash ou au besoin à un mélange des deux. Le but est tout autant de proposer une interface Web plus attractive et plus interactive au grand public que de proposer une interface plus productive (plus proche de l'interface des outils de gestion) aux utilisateurs internes. Oracle montre par ailleurs comment utiliser ces technologies pour permettre aux utilisateurs de réaliser leurs propres combinaisons de services applicatifs (mash-up). (...)

(09/02/2009 14:42:56)

Annuels Altran : une croissance de +3,7% tirée par la France

Avec un chiffre d'affaires en hausse de 3,7%, à 1,65 Md€ le groupe de conseil Altran clôt un exercice 2008 satisfaisant, après une année 2007 marquée par la réorganisation, mais subit un net ralentissement de son activité au quatrième trimestre dont le CA ne progresse que de 0,3 %. Sur l'année 2008, la France, qui pèse un peu moins de 44% de l'activité globale, a tiré la croissance de l'exercice avec un chiffre d'affaires de 716,9 M€ en progression de 6,5%. L'international n'a augmenté que de 1,6%. La tendance s'est maintenue au quatrième trimestre : alors que l'activité à l'international baissait de 1,6% à 238,9 M€, le marché français progressait encore de 2,9%, à 185,4 M€. Sur l'exercice, le groupe dirigé par Yves de Chaisemartin a subi une baisse d'activité sur ses principaux marchés à l'international (-10,7% au Royaume-Uni, -2,9% en Allemagne, -0,8% au Benelux), à l'exception de l'Italie (+12,9%). La société annonce que sa marge opérationnelle courante au second semestre 2008 a été supérieure à celle de la période correspondante de l'exercice précédent. Elle indique qu'elle dispose d'une "position de trésorerie confortable" qui lui confère une "solidité financière permettant de faire face à l'environnement actuel." A la clôture de son exercice, le groupe totalisait un effectif de 18 522 personnes (+8,6%), dont 16 146 consultants (+11%). L'intégralité des résultats sera publiée le 16 mars prochain. (...)

(09/02/2009 14:06:54)

Le président et deux vice-présidents quittent Salesforce.com

Alors que Salesforce.com vient de clore son exercice fiscal, fin janvier, on apprend la démission, effective depuis le 1er février, de Steve Cakebread, président de la société. Ce dernier avait rejoint l'éditeur de CRM (gestion de la relation client) en ligne en 2002, et en a été le directeur financier jusqu'en 2008. Selon Salesforce.com, il part afin de poursuivre d'autres opportunités professionnelles et nullement en raison d'un désaccord. En revanche, dans le même temps, plusieurs sources concordantes, dont Reuters et le Wall Street Journal, signalent le licenciement de deux vice-présidents, responsables des ventes, Garry Hanna et Dave Orrico. En fin de semaine, Salesforce.com ne souhaitait pas commenter l'information. Des départs qui laissent entrevoir un ralentissement de l'activité Les résultats annuels de Salesforce.com ne seront pas communiqués avant la fin du mois. Mais ces départs de cadres dirigeants laissent supposer un ralentissement de l'activité sur le quatrième trimestre et sur les mois à venir. Or, l'éditeur est vu par de nombreux analystes comme un indicateur sur le marché des logiciels fournis en ligne en mode SaaS (software as a service), et facturés sur la base d'un abonnement. Beaucoup pensent que les derniers contrats signés par Salesforce.com l'ont été sur des délais plus courts, sur un nombre d'utilisateurs réduits, par rapport au premier semestre 2008. Par ailleurs, à la suite des vagues de licenciements intervenus ces dernières semaines, il est probable que certains clients de Salesforce.com vont demander une révision de leur contrat d'abonnement en raison de la baisse du nombre d'utilisateurs. En temps de crise, le mode SaaS peut être vu, à juste titre, comme une solution plus flexible et moins coûteuse par rapport à la mise en place de logiciels dans l'entreprise. Et beaucoup d'éditeurs ayant diversifié leurs approches comptent sur l'adoption de ce modèle par les entreprises pour compenser une baisse sur leurs ventes classiques. Fin 2008, Gartner prévoyait notamment que près de 90% des entreprises comptaient maintenir ou accroître leur utilisation du mode SaaS en 2009. Ce qui ne met pas pour autant les spécialistes du SaaS à l'abri. Salesforce.com a réalisé ces dernières années une progression assez spectaculaire et prévoyait d'atteindre le milliard de dollars sur l'exercice fiscal clos fin janvier 2009. Sur son troisième trimestre, clos fin octobre, l'éditeur a réalisé 277 M$ (+ 43%). Et il s'attendait, sur son dernier trimestre fiscal, à une progression d'au moins 31%, qui lui devait lui permettre d'atteindre un chiffre d'affaires situé entre 284 et 285 M$. (...)

(09/02/2009 12:30:07)

Les mots de passe restent encore trop prédictibles

Les spécialistes de la sécurité le répètent à l'envi : l'homme est la première source de vulnérabilité d'un système informatique. L'analyse réalisée par la blogueur Robert Graham sur les 20 000 mots de passe dérobés et publiés suite au piratage du site phpbb.com en constitue une nouvelle illustration. Alors que les bonnes pratiques recommandent d'associer lettres et chiffres dans un mot de passe, le tiers des utilisateurs du site Web se contentent ainsi d'un mot issu d'un dictionnaire. Parmi eux, la grande majorité choisit un terme simple, désignant un fruit ou une couleur par exemple, plutôt qu'un concept abstrait ou un vocable à l'orthographe délicate. Plus évident encore, 16% des mots de passe sont des prénoms, un choix qui facilite la tâche des pirates désirant accéder au compte d'un utilisateur dont ils connaissent l'identité. D'autant que, selon Robert Graham, la plupart des prénoms trouvées dans la liste des mots de passe subtilisés sont très répandus (Thomas, Michael, Charlie), ce qui accrédite l'idée que les utilisateurs ont recours à leur propre prénom, ou à ceux de personnages célèbres ou de proches. Dans le top 5, on trouve '123456' et 'qwerty' Pour 14% des utilisateurs, le mot de passe est composé d'une suite de touches adjacentes du clavier. Là encore, par son caractère prédictible, ce choix affaiblit la sécurité. Dans le top 5, figurent ainsi '123456', 'qwerty' et '12345'. On retrouve aussi des combinaisons d'apparence plus rusée ('1a2z3e' ou '1aqw2zsx', deux codes « exprimés en azerty ») qui, par leur fréquence, n'en constituent pas moins une piètre protection. Enfin, aux côtés des 4% d'utilisateurs qui optent pour le terme 'password' ou une anagramme, le top 2 de la liste des mots de passe des visiteurs inscrits sur phpbb.com est occupé par 'phpbb'. (...)

(09/02/2009 12:17:42)

VMware propose l'essentiel de son client virtualisé en open source

VMware propose désormais en open source le code destiné à son client virtuel. Issu de VMware View, View Open Client est proposé sous la licence GPL 2.1 et hébergé sur Google Code. Le numéro un de la virtualisation ne donne pas l'intégralité des fonctions de son client. Manquent ainsi par exemple, la gestion des ports USB, la redirection des fichiers multimédias et la gestion de cessions multiples. En revanche, VMware laisse des éléments liés à la sécurité : encryptage SSL et authentification avec SecurID de RSA. View Open Client a pour vocation de faciliter le travail de développeurs qui veulent créer un client virtualisé compatible avec l'infrastructure VDI. Cela vise en particulier les clients légers sous Linux et les clients mobiles. Les développeurs n'ont plus à demander une autorisation préalable à VMware et ils peuvent diffuser le fruit de leurs développements sans avoir à obtenir une certification de l'éditeur. Celle-ci ne s'impose que si le support du client développé par VMware est jugé nécessaire. La politique de VMware lâche petit à petit des pans propriétaires Cette annonce s'inscrit dans la politique de VMware qui lâche petit à petit des pans de son univers propriétaire afin d'éviter que la concurrence ne profite de la fermeture de sa logithèque et de ses tarifs élevés pour lui prendre rapidement des parts de marché. Appliqué à la virtualisation, l'open source présente de nombreux avantages dont la "gratuité" est le moindre puisqu'un logiciel propriétaire peut aussi être offert. VMware et Microsoft le font d'ailleurs tous les deux avec leur hyperviseur. En matière de virtualisation, la notion d'ouverture prend une ampleur à la taille des datacenters. Virtualiser, c'est rompre les liens qui lient plateformes matérielles et logicielles. Le faire avec du code open source apporte la garantie de ne pas retomber dans une autre dépendance avec l'éditeur des logiciels de virtualisation. Le hic, c'est que l'on assiste à une mutation de la virtualisation open source. On glisse du modèle originel vers un autre qui tend à lui succéder partout. Les éditeurs mettent la main sur les projets open source (Xen chez Citrix, KVM chez Red Hat) et recréent ensuite des communautés vassales. L'économie de ce schéma rejoint celui des communautés satellites créées de toutes pièces par les éditeurs et celui de celles directement subventionnées par une poignée d'acteurs voire un seul. On retrouve dans ce Landerneau "Open source" la plupart des communautés majeures Ecplise - IBM, Mozilla - Google, Fedora - Red Hat, OpenOffice.org -IBM - Sun. On l'aura compris, ce mouvement open source de deuxième génération vise surtout à standardiser des plateformes sur lesquelles se greffent des solutions propriétaires. (...)

(09/02/2009 09:49:15)

Méthodes agiles: les utilisateurs français de Scrum se fédèrent

Le petit monde des méthodes agiles se structure. Le club des utilisateurs français de Scrum vient ainsi de voir le jour, à l'initiative de Luc Legardeur, PDG du cabinet d'architectes Xebia. « Nous recourons aux méthodes agiles depuis les débuts de Xebia, raconte Luc Legardeur. Et depuis un an et demi, nous délivrons des certifications de 'ScrumMaster' [chef de projet Scrum]. » Dans le domaine informatique, deux méthodes agiles - dont le but est d'organiser plus efficacement les développements - sont principalement utilisées: XP (ou eXtreme Programming), pour la conduite des projets techniques, et Scrum (mêlée, dans le vocabulaire du rugby), pour la gestion de projet. « Il existe déjà plusieurs communautés XP, indique Luc Legardeur, mais rien ne fédère les gens pratiquant Scrum. Jeff Sutherland, le père de Scrum, avec qui nous sommes en contact régulier, nous a proposé de fonder le club utilisateurs français. » Pour fonder le SUG (Scrum user group), Luc Legardeur a contacté quelques spécialistes reconnus, comme Claude Aubry, expert indépendant et enseignant à Toulouse, Alexandre Boutin, expert à Grenoble, ou Véronique Messager Rota, auteur de l'ouvrage de référence 'Gestion de projets: vers les méthodes agiles'. Tous sont « membres bienfaiteurs et correspondants en province ». Ils seront notamment mis à contribution pour alimenter une lettre d'information mensuelle destinée à la communauté des utilisateurs de Scrum. Luc Legardeur l'estime à quelque 5 000 personnes, et cite plusieurs grands groupes y ayant eu recours: BNP Paribas, Generali, Orange, Sagem, La Poste, Areva, M6, Pierre Fabre... Une adhésion à l'association et des outils d'information gratuits L'adhésion à l'association sera gratuite, le but étant justement de « promouvoir les méthodes agiles et d'aider les gens qui les mettent en oeuvre ». Cela pourra peut-être éviter un écueil récemment mis en exergue par Hervé Lourdin, consultant d'Octo Technology. Ce dernier explique qu'avec l'augmentation du nombre de projets se réclamant de Scrum, augmente aussi le nombre d'échecs. Mais, écrit-il dans son blog, « ce n'est probablement pas 'la faute à Scrum' ». Il ne faut pas confondre la discipline méthodologique, et la façon dont elle est appliquée. La relation avec les clients sera assurée par Christophe Addinquy, du groupe Vidal, qui avait relaté son expérience réussie avec les méthodes agiles lors du séminaire 'Rencontres agiles 2007', organisé par Didier Girard (Sfeir) et Bernard Notarianni (Octo Technology). La première rencontre officielle du SUG - dont le rythme devrait être trimestriel - aura lieu le 19 mars au soir, en présence de Jeff Sutherland. En attendant, un "scrum coffee" est organisé le 11 février prochain. (...)

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