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(06/02/2009 17:48:15)

Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, la démarche du numérique doit se fonder sur les usages

Le Forum Netexplorateur a convié la toute nouvelle secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du développement de l'économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet, à clore sa première journée. La manifestation, qui s'est tenue les 5 et 6 février au Sénat, propose aux décideurs politiques et économiques de découvrir les nouveaux usages du numérique et de rencontrer ceux qui les développent dans le monde entier. La ministre a tenu à souligner l'importance d'une démarche autour du numérique fondée sur les usages et non sur les seules technologies. Rappelant que l'histoire d'Internet, celle des SMS ou encore celle du mobile en Afrique, s'étaient construites à partir de ce que les utilisateurs ont bien voulu en faire, elle a souligné des initiatives telles que Wizzit. Cette banque mobile à destination des populations défavorisées d'Afrique du Sud a reçu le grand prix Netexplorateur 2009 à l'occasion du forum. La ministre a poursuivi sur le thème des usages en évoquant son prochain voyage en Corée du Sud, où elle compte bien observer justement les usages du numérique dans cette population qui « regarde la télé toute la journée dans le métro ». Ce même pays, elle l'a rappelé, construit aussi non loin de Séoul New Songdo City, la ville du futur. « Les quatre directions les plus porteuses : la consommation, les transports, les usages liés au maintien du lien social et la domotique » [[page]]Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, il faut désormais aller, d'une part, vers un Internet participatif, et d'autre part, vers davantage de liens entre Internet et les communications mobiles. « Les quatre directions les plus porteuses sont la consommation, les transports, les usages liés au maintien du lien social et la domotique, a précisé la ministre. Chacun de ces usages a vocation à se généraliser. Il y a lieu d'être enthousiaste, mais aussi prudent et modeste. » Enthousiaste, parce que la France possède l'infrastructure idoine. Prudent et modeste parce que si le numérique doit sans conteste participer à la croissance, il ne faut pas se complaire dans la « techno béatitude ». « L'innovation industrielle peut jouer un rôle décisif, a ajouté la ministre. L'investissement dans des applications numériques au service des personnes, par exemple, créera des emplois et de la richesse tout en répondant à un besoin social réel. » « Il y a des gisements de croissance incroyables. Mais si nous attendons du développement de l'économie numérique qu'il contribue à la sortie de crise, il faut comprendre que cela doit être au delà d'Internet et des télécoms, mais que cela doit impliquer l'Etat, chaque PME, chaque famille... » Des outils pour accompagner les start-up vers l'international Sur la question particulière des start-up du numérique français qui peinent souvent à se développer, Nathalie Kosciusko-Morizet a rappelé les deux problèmes identifiés par le gouvernement. D'une part, la difficulté à trouver des crédits pour grossir, et d'autre part, la difficulté à se tourner vers l'international. La ministre pense que le plan France Numérique 2012 pourrait être étoffé sur le sujet. Elle ajoute qu'il n'existe pas suffisamment de lieux pour proposer des outils idoines à ces jeunes entreprises. Nathalie Kosciusko-Morizet évoque ainsi l'incubateur de Télécom ParisTech qu'elle a visité le 29 janvier dernier. Mais elle estime aussi que le soutien aux nouvelles technologies ne devrait pas être réservé aux écoles d'informatique et télécoms. Le développement du numérique n'est pas forcément technologique. (...)

(06/02/2009 17:01:55)

Le Green Grid veut mesurer la consommation des datacenters tous les quarts d'heure

A l'occasion de la deuxième édition de la conférence annuelle Green Grid Technical Forum, qui s'est tenue cette semaine à San Jose en Californie, l'association professionnelle propose une série de "white papers" mis à jour avec les dernière améliorations apportées à deux systèmes de mesure : le PUE (power usage effectiveness) et le DCiE (data center infrastructure efficiency). Ils préconisent désormais une mesure toutes les quinze minutes de la consommation électrique totale pour, ensuite, améliorer l'adaptabilité (scalability) énergétique des datacenters. Regroupés depuis 2007 au sein de l'association professionnelle The Green Grid, des fournisseurs comme HP, Dell, AMD et d'autres continuent de faire avancer leurs réflexions et leurs propositions pour réduire la consommation électrique des datacenters. (...)

(06/02/2009 16:26:29)

Le fondateur de MySQL quitte finalement Sun

Après des mois d'hésitations, il est temps de tourner la page. Michael « Monty » Widenius, l'un des cofondateurs de MySQL, a annoncé hier sur son blog qu'il quitte son poste au sein de Sun pour fonder sa propre société, Monty Program Ab. Il faut dire que depuis le rachat de MySQL par Sun il y a un an, les relations entre les cofondateurs et leur nouvel employeur n'étaient pas au beau fixe. Ainsi, dès septembre dernier, après la sortie de MySQL 5.1, Monty Widenius avait déjà envisagé de démissionner . On sait désormais que les dirigeants de Sun l'ont convaincu de rester trois mois de plus pour assurer le développement de MySQL. Pendant ce temps, son compère David Axmark a claqué la porte de Sun en précisant : "Je déteste les règles que je dois suivre, mais je répugne également à les enfreindre. Il serait donc mieux pour moi de quitter mon poste, et de travailler avec MySQL et Sun sur une base moins formelle." Les trois mois de sursis s'étant transformés en sept mois sans changement, Monty Widenius jette aujourd'hui l'éponge. Il regrette principalement que le développement de MySQL Server n'ait pas été réellement ouvert, sans faire de différenciation entre le travail interne à Sun et celui des développeurs extérieurs. Malgré tout, il reconnaît que « Sun était le meilleur acquéreur possible pour MySQL ». Sa nouvelle société, Monty Program Ab, entend se concentrer exclusivement sur des projets Open Source. Elle se consacrera notamment au moteur de stockage transactionnel Maria. Certains développeurs ayant travaillé sur ce projet rejoindront la nouvelle société, tandis que d'autres resteront chez Sun, sans que cela freine leur collaboration. (...)

(06/02/2009 15:04:50)

Deux entreprises sur trois ont des projets de Green IT

A quelque chose malheur est bon. La crise systémique qui affecte la quasi-totalité des entreprises pourrait les inciter à se tourner massivement vers des stratégies plus respectueuses de l'environnement. C'est ce qu'on peut retenir à la lecture de l'étude 'The next wave of Green IT', réalisée par le cabinet Deloitte et l'éditeur CFO research services auprès de cadres issus d'entreprises réalisant plus de 500 M$ de chiffre d'affaires, en Europe, Amérique du Nord et en Chine. Selon le document, deux tiers des entreprises interrogées auront mis en place une politique de Green IT d'ici à la fin de l'année : 32% ont d'ores et déjà déployé un tel plan et 34% prévoient de le faire courant 2009. Et même en dehors du cadre d'un plan stratégique, les entreprises ont très majoritairement commencé à s'intéresser aux problématiques vertes. L'étude indique ainsi que neuf sociétés sur dix ont entrepris de réduire - même de façon modérée - leur impact sur l'environnement. Dans le même ordre d'idée, 60% des entreprises envisagent de consacrer au moins 5% de leur budget aux projets Green IT. Parmi les initiatives citées dans l'étude, figurent notamment la réduction des déchets, l'optimisation de l'efficacité énergétique des datacenters. Au-delà de leur volonté de sauvegarder la planète, les entreprises sont essentiellement motivées par la réduction de leurs coûts, une démarche qui paraît évidente dans le contexte économique ambiant. Cela passe notamment par une diminution de leur consommation d'électricité et, partant, d'une moindre dépendance aux fluctuations des prix de l'énergie. Enfin, s'investir sur des projets Green IT, c'est encore, pour les entreprises, l'occasion de redorer leur blason et de s'offrir à peu de frais une image positive. (...)

(06/02/2009 15:08:18)

L'Open Group veut simplifier l'architecture des SI avec la version 9 de Togaf

Le monde de l'architecture des systèmes d'information avait cette semaine les yeux braqués sur San Diego, où se tenait la conférence de l'Open Group. La raison: le consortium avait annoncé son intention d'y dévoiler officiellement la version 9 de son référentiel, Togaf (The Open Group architecture framework). Comme l'explique Eric Boulay, représentant de l'Architecture Forum de l'Open Group en France et PDG d'Arismore, Togaf « est un corpus de connaissance qui a pour objectif de professionnaliser le métier d'architecte. En oeuvrant à l'émergence de ce standard libre d'accès, l'Open Group donne à l'industrie un cadre de transformation de ses systèmes d'information, charge à chaque entreprise de l'utiliser pour définir ses standards et ses processus dans le but de fédérer l'ensemble des parties prenantes et des points de vue. » En l'occurrence, la version 9 donne plus de latitude aux architectes pour travailler ensemble de façon parallèle, grâce à une approche plus modulaire. Pour nombre d'analystes, cela devrait faciliter son adoption, car cette modularité permet de s'adapter à des besoins et à des rythmes spécifiques. Cette version prend également mieux en compte le développement d'applications orientées services, pour les SOA (architectures orientées services), grâce à « une revue détaillée de l'usage de l'ADM [Architecture development method] répondant aux transformations d'infrastructure de type SOA », explique Eric Boulay. Un vocabulaire commun et une méthode pour apaiser les tensions autour des SOA Surtout, en apportant un cadre méthodologique partagé entre les architectes, les urbanistes et les DSI, Togaf apporte un moyen d'établir un langage commun. « Le métier de transformation des SI que porte volontiers l'architecte d'entreprise est ainsi formalisé dans un cadre qui dépasse celui de la modélisation (urbanisme et architecture technique) pour rejoindre le plan stratégique et la gouvernance », estime Eric Boulay. Ron Tolido, un des directeurs techniques de Capgemini (et aussi membre de l'Open Group), pointe dans son blog plusieurs commentaires enthousiastes, dont un analyste qui pense que cela pourrait mettre fin au débat sur la mort des SOA. De fait, le A de SOA a souvent été oublié, et une méthode standard d'architecture, qu'il s'agisse de Togaf ou d'une autre, s'avère un bon point de départ pour éviter les déceptions. (...)

(06/02/2009 13:41:08)

Nec arrête les PC d'entreprise en Europe et supprime 387 postes en France

Mauvaise nouvelle pour l'industrie de la micro-informatique professionnelle en France. Nec Computers se retire du marché des PC d'entreprise en Europe. Le fabricant vient en effet d'annoncer qu'il allait cesser de produire des ordinateurs de bureau (desktop et PC portables) dans la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique). Un projet de réorganisation a été dévoilé aux salariés hier, jeudi 5 février, lors d'un Comité central d'entreprise européen. Faisant face à une forte pression sur ses prix et à une concurrence accrue, le Japonais a accumulé des pertes opérationnelles au cours des dernières années. « Dans ce contexte, Nec Computers souhaite concentrer ses efforts sur ses activités serveurs et services d'infrastructures et offrir à ses clients des solutions innovantes à forte valeur ajoutée, justifie le groupe dans un communiqué, en précisant que le service de garantie serait maintenu. Pour les salariés français de Nec, le coup est dur : à Angers, 334 postes seront supprimés (sur environ 400 postes), 53 emplois disparaîtront à Puteaux, ainsi qu'une trentaine d'autres postes en Europe, au Moyen Orient et en Afrique d'ici mi 2010. Le site d'Angers - qui abritait également l'usine d'assemblage de Packard Bell (groupe Acer), menacée par une fermeture - devrait bientôt disparaître. Le dernier site de production de PC en France ne devrait plus employer qu'une trentaine de salariés Nec sur son activité serveurs. Disparition du bassin d'emploi angevin « Cette décision va entraîner la disparition du bassin d'emplois d'Angers qui concentrait l'essentiel des activités de Nec, déplore un salarié de Nec France qui s'attend bientôt à perdre son emploi. Les salariés angevins concernés par ces suppressions n'auront aucune chance de retrouver un poste de même nature dans une région où l'activité d'assemblage micro a totalement disparu. En outre, on ne voit pas comment Nec pourra résister, en se réorientant sur le marché des serveurs et des services d'infrastructures, face à des géants comme HP, IBM ou encore Dell ». Le fabricant s'est toutefois voulu rassurant, en indiquant qu'il mettrait en place des mesures d'accompagnement afin de réduire l'impact social dans les pays concernés par des coupes. Il y a moins d'une semaine, dans le cadre d'un des plus lourds plans de réductions d'effectifs déployés ces derniers jours sur le secteur, Nec annonçait la suppression de 20 000 postes dans le monde, la fermeture d'usines et le retrait de certains secteurs d'activité. Son compatriote Toshiba avait également annoncé 4 500 suppressions de postes. (...)

(06/02/2009 13:38:27)

Annuels SAS : des revenus tirés par les outils d'optimisation

L'Américain SAS, éditeur d'applications décisionnelles, enregistre une progression de 5% sur son chiffre d'affaires annuel de 2,26 Md$. Des revenus sur lesquels la filiale française, qui a fêté l'an dernier ses 25 ans, pèse quelque 5%. Sur l'Hexagone, le chiffre d'affaires de l'éditeur a enregistré une progression de 6,86% en 2008, à 77,28 M€ (111,67 M$). SAS dit avoir réalisé sa croissance sur ses solutions d'optimisation. Toutefois, le détail de ses résultats n'est pas communiqué, pas plus que la répartition des revenus par gammes de produits ou divisions, puisque cette société, dirigée par Jim Goodnight, son principal fondateur en 1976, est restée privée. L'éditeur précise seulement qu'il a réinvesti 22% de son revenu en R&D et terminé l'année avec un effectif mondial de plus de 11 000 salariés (+3,7% par rapport à 2007). Il reconnaît que 2009 sera difficile, sans plus de précision sur les mesures qu'il pourrait envisager de prendre. Il est vrai qu'en tant que société non cotée, SAS ne subit pas la même pression que ses grands concurrents sur sa communication. +28% sur les solutions de gestion des risques Sur l'exercice 2008, SAS indique seulement les évolutions les plus significatives sur certaines lignes de produits : +28% réalisés sur les solutions de gestion du risque ou +18% sur les solutions d'optimisation des activités. Les clients se sont tournés vers les solutions analytiques, notamment appliquées au marketing, et vers le datamining. Les ventes d'applications analytiques ont augmenté de 20% sur les secteurs de la santé et de l'éducation. Le secteur de l'assurance s'est tourné, lui, vers les solutions permettant d'améliorer la connaissance du client (+ 50%). L'éditeur dit avoir gagné 2 600 nouveaux clients dans le monde l'an dernier, parmi lesquels, en France, GIE Afer, AGPM (l'association de gestion et de prévoyance militaire), Bureau Veritas, Cephalon France, Matmut et GIE Systalians. Les revenus mondiaux sont répartis de façon équivalente entre l'Amérique du Nord (43%) et la zone Europe/Afrique/Moyen-Orient (45%). L'Asie/Pacifique représente 12% du CA global. En 2008, SAS a également racheté deux petits éditeurs : Teragram (40 personnes), pour ses outils de traitement du langage naturel, et IDeaS (200 salariés), pour ses solutions d'anticipation de la demande et d'optimisation du chiffre d'affaires. (...)

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