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(06/12/2006 18:14:23)

Enquête sur les besoins en main d'oeuvre en 2007: les cadres en informatique seront-ils davantage recherchés ?

Sur l'ensemble des statistiques qui paraissent régulièrement dans le domaine de l'emploi, l'enquête annuelle sur les BMO est l'une des références essentielles, scrutée de près par les pouvoirs publics et les acteurs sociaux. Initiative de l'Unedic, réalisée avec l'ensemble des institutions de l'assurance chômage sur la France entière, elle est ensuite traitée par le Credoc qui remettra ses premières conclusions à la mi-février 2007, avant un résultat complet qui sera communiqué, comme tous les ans, au début du mois d'avril. Seule nuance cette année : dans une période prè-électorale, les résultats détaillés par bassin d'emploi prendront une dimension particulière et devraient être exploités par les candidats en lice. L'enjeu de cette enquête est la fiabilité, liée au nombre de retours. Le Garp Ile-de-France indique qu'en 2005 « les données de l'emploi salarié concernant les activités informatiques dans les départements franciliens ont été établies à partir de 29 818 établissements et 688 874 salariés au total, mais ne concernent que les activités informatiques (conseils, réalisation de logiciels, traitement de données). Elles excluent les activités de reproduction d'enregistrement informatique, fabrication d'ordinateurs et d'autres équipements informatiques, commerce de gros d'ordinateurs, d'équipements informatiques périphériques et de progiciels et location de machines de bureau et de matériel informatique. » Cette année, après l'envoi le 6 novembre d'un questionnaire aux 300 000 entreprises réparties en Ile-de-France, la coordination régionale de l'assurance chômage (Assedic, Garp et ANPE) est passée à la phase suivante. Elle collecte désormais les premiers retours et attend, pendant quelques jours encore, ceux des retardataires. 21 285 cadres en informatique devaient être recrutés cette année en région parisienne (enquête BMO 2006) En 2005, une extrapolation sur les perspectives d'emploi avait été possible à partir de 25% de réponses. Le principal résultat de l'enquête BMO 2006 indiquait que les « métiers les plus recherchés en Ile-de-France demeuraient inchangés par rapport à 2005 » et comprenaient deux catégories de cadres : commerciaux et informaticiens. En effet, les entreprises situées en Ile-de-France estimaient qu'elles allaient recruter de manière permanente 21 285 ingénieurs et cadres en informatique (hors technico-commerciaux) dont plus de la moitié dans les Hauts-de-Seine. Autre information : elles projetaient également d'embaucher 897 opérateurs de saisie. En 2005, les perspectives d'emploi en Ile-de-France dans le domaine informatique étaient déjà tendues, puisque 48,3% ingénieurs et cadres étaient jugés comme des « cas difficiles à recruter ». A relativiser toutefois, puisque ce secteur arrivait en 10e position, loin derrière celui des infirmiers et des sages femmes (plus de 80%). On constate cependant que les entreprises de services informatiques font de plus en plus appel aux différents réseaux de recrutement et annoncent avoir des difficultés à pourvoir leurs postes de cadres informatiques. Si cette information se confirme dans les faits et non plus dans les intentions et suit la tendance de 2006, le chiffre des « cas difficiles à recruter » dans le secteur des cadres informatiques devrait dépasser allégrement les 50% et peut-être même remonter dans ce top 5 ! (...)

(06/12/2006 18:12:36)

Plus d'embauches qu'en novembre 2005 mais moins qu'en octobre 2006

Le baromètre Advancers executive (cabinet de conseil en recrutement, filiale de Vedior France) est paru. Ce panorama mensuel du recrutement des cadres des cadres indique, pour novembre 2006, une hausse de 60% dans le secteur de l'informatique par rapport à l'année dernière. La croissance est néanmoins tempérée par une baisse de 8% des embauches par rapport à octobre 2006. Cette tendance contrarierait-elle les pronostics de recrutement sur l'année ? Il semblerait que non, la baisse semblant être liée à la saisonnalité, puisque tous les secteurs d'activités ont été touchés, sauf ceux de la finance (+1%) et du marketing (+3%). A l'inverse, les emplois saisonniers repartent. D'ailleurs, plutôt que de baisse de l'emploi, les analystes d'Advancers executive évoquent plutôt un « début de ralentissement » et indiquent que « ceux qui en pâtissent le plus sont ceux qui ont eu les plus grosses progressions ces derniers mois », en tête, les commerciaux et les informaticiens. A noter encore que cette baisse conjoncturelle est confirmée par les annonces qui fleurissent sur tous les sites de recrutement et la relativisent : les SSII cherchent toujours de nouveaux collaborateurs pour 2007. (...)

(06/12/2006 18:12:12)

PostgreSQL arrive en version 8.2

La version 8.2 du système de gestion de bases de données relationnelles (SGBDR) Open Source PostgreSQL vient d'être rendue disponible. Cette nouvelle mouture compterait rien moins que 200 améliorations, selon les développeurs du PostgreSQL Global Development Group. En matière de performances, tout d'abord, les développeurs de PostgreSQL revendiquent notamment l'intégration d'un meilleur système d'optimisation avec des gains de performances pouvant atteindre 20 % sur des traitements de transactions en ligne, une meilleure planification des requêtes sur des données partitionnées et une accélération des jointures externes mais aussi la gestion des environnements multi-processeurs améliorée. PostgreSQL 8.2 supporte en outre les nouvelles fonctions introduites par la spécification ANSI SQL 2003, dont les agrégats statistiques, par exemple. La nouvelle version du SGBDR généralise également la disponibilité des index inversés avec le support des données plein texte et semi-structurées. PostgreSQL 8.2 est enfin compatible avec des outils de traçage tels que Solaris DTrace. PostgreSQL 8.2 est disponible en téléchargement gratuit, sous licence BSD. (...)

(06/12/2006 18:10:59)

Yahoo entend les critiques et se réorganise en trois divisions

Le "manifeste du beurre de cacahuète", lancé il y a moins d'un mois par un vice-président de Yahoo pour alerter sur les carences organisationnelles du groupe, semble avoir porté ses fruits. Le concurrent malheureux de Google vient en effet d'annoncer une réorganisation d'envergure en trois divisions principales ainsi que le départ du directeur général Dan Rosensweig. Une réforme qui vise à recentrer le groupe sur les trois secteurs clés : les consommateurs - en d'autres termes la course à l'audience -, la publicité et les éditeurs. Après que Yahoo fut devenu un des acteurs incontournables du Web et de Wall Street - accédant au sacro-saint top 3 des sites les plus consultés - l'entreprise n'a su s'adapter au paysage Internet changeant, contrairement à son rival Google, et prendre le train des tendances porteuses de réussite. "Une tartine de beurre de cacahuète sur une myriade d'opportunités", résumait ainsi Brad Garlinghouse, l'auteur du mémo frondeur ayant fait couler tant d'encre. Le "nouveau" Yahoo reposera dorénavant sur les groupes Audience, Publicité & Editeurs, et Technologie. Chacun d'entre eux dépendra directement du PDG Terry Semel. Le premier - Audience - s'attachera aux produits destinés au grand public. C'est notamment le cas de la recherche, des webmails et de l'agrégation d'informations. Ce groupe sera également chargé de s'attarder sur les réseaux sociaux et le contenu axé mobilité. Le groupe Publicité & Editeurs travaillera sur les relations entre Yahoo et les annonceurs, ainsi qu'avec les éditeurs de contenus. Il devrait notamment constituer un réseau global de publicité visant à la fois les sites Yahoo et ceux n'appartenant pas au moteur. Si le groupe n'a pas précisé la façon dont il compte s'y prendre pour mettre sur pied ce réseau, rappelons qu'il a récemment signé un partenariat avec des journaux de presse papier américains afin de leur fournir des annonces publicitaires visant un marché local. La directrice financière Susan Decker supervisera cette division. Enfin, la division Technologie mettra en place et assurera la maintenance de l'infrastructure censée servir de base aux initiatives précédentes. Elle continuera en outre de développer le projet Panama, nom de code donné au nouveau système de régie publicitaire prévu pour rivaliser avec Adwords de Google. Le CTO Farzard Nazem prendra la direction de ce groupe. Cette réorganisation prendra effet dès le 1er janvier 2007 et Dan Rosensweig quittera le groupe en mars. Le nom de son successeur n'a pas été communiqué. (...)

(06/12/2006 18:10:30)

Compiere recrute un médiateur pour rassurer la communauté

Compiere, l'éditeur de progiciels Open Source, tient à resserrer les liens qui l'unissent à sa communauté. En témoigne le recrutement de Dawn Foster au poste de directrice des programmes communauté et partenaires. L'idée, selon Compiere, est de faciliter le développement du réseau communautaire et de l'encourager à apporter ses contributions aux projets Compiere. La nouvelle recrue aura également pour mission de gérer le réseau de partenaires, composé d'une centaine de membres (entreprises, intégrateurs, revendeurs, etc.) dont beaucoup participent par ailleurs aux travaux de la communauté.

Le but de Compiere est de profiter de cette embauche pour recoller les morceaux avec une partie de la communauté qui fait, depuis quelques mois, preuve de défiance. Emmenés par quelques membres influents, plusieurs dizaines de participants ont lancé il y a quelques semaines un fork, Adempiere. Leur mouvement de fronde s'appuyait sur le constat que Compiere négligeait les travaux de la communauté en ne prenant, par exemple, guère en compte les améliorations et autres correctifs apportés par les contributeurs. Soucieuse de se montrer rassurante, la direction de Compiere s'était alors empressée d'indiquer qu'elle allait recruter un médiateur pour se rapprocher de sa base. C'est désormais chose faite avec l'embauche de Dawn Foster. Reste maintenant à attendre les premières réactions de la communauté.

(...)

(06/12/2006 17:48:15)

La conférence « Le Web 3 » ferme ses guichets

En amont de la conférence « Le Web 3 » des 11 et 12 décembre prochains à Paris, le patron de Six Apart Europe Loïc Le Meur a convoqué la presse ce matin (mercredi 6 décembre) pour présenter le programme qu'il a défini. Et pour afficher un petit bilan autosatisfait : la conférence se jouera à guichets fermés, soit un millier de personnes ayant déboursé entre 300 et 500 euros, et l'organisation « refuse trente personnes par jour en ce moment ». Le tout avec « zéro euro de marketing », grâce au buzz créé par les deux précédentes conférences, et le bouche-à-oreille (ou plutôt le blog à blog). Loïc Le Meur a évoqué les « plus de 10 000 photos publiées en deux jours », et montré un reportage amateur sur YouTube sur l'édition de l'année dernière, qui a attiré près de 500 000 curieux ! Représentant d'une entreprise américaine à vocation internationale, grand évangéliste du pouvoir des blogs, Loïc Le Meur applique à lui-même ses propres recettes sur Internet et la mondialisation. C'est ainsi qu'il peut s'enorgueillir d'accueillir un public très international : « les Français représentent seulement 45% des participants ». Britanniques et Allemands représentent ensuite le plus fort contingent, juste devant les Américains. Viennent ensuite les Suisses, Néerlandais, Belges... En tout, 36 pays sont représentés. Donner une résonance mondiale aux acteurs européens du Web Néanmoins, pas question de faire de ce rendez-vous orienté « networking » (un lieu de socialisation pour des gens qui ne se croisent autrement que sur Internet) un simple décalque de ce qui se passe dans la Silicon Valley. Loïc Le Meur (LLM pour les quelques milliers d'intimes qui visitent son blog quotidiennement) a convié le gratin du Web mondial à s'exprimer sur scène : Niklas Zennström, le fondateur de Kazaa puis de Skype, Dave Sifry, le fondateur de Technorati, Reid Hoffman, le fondateur de LinkedIn, Mena Trott, confondatrice de Six Apart (et donc patronne de LLM)... Mais il entend faire passer un message : l'Europe et la France ont un rôle à jouer dans cette nouvelle mondialisation, liée au Web 2.0. Loïc Le Meur a donc choisi de mettre en avant, hormis le Suédois Niklas Zennström, des gens comme Jérémie Berrebi, « serial entrepreneur » patron de Zlio, Pierre Chappaz, fondateur de Kelkoo et Wikio, Tariq Krim, créateur de Netvibes, Marc Simoncini, fondateur de Meetic, Brent Hobermann, cofondateur de LastMinute... LLM en a profité pour dénoncer le manque d'investissement des grands patrons français dans le Web 2.0. « Les industriels ne sont pas là ! Où sont Lagardère, Arnault, François Pinault ? » Saluant l'initiative de TF1 de lancer WAT (We are talented), qui expose du contenu produit par les internautes, LLM a demandé ce qu'on pouvait faire avec quelques millions d'euros, « alors que Murdoch a mis plusieurs centaines de millions de dollars [580 M$, NDLR] pour racheter MySpace ». Et de plomber l'ambiance avec une sombre prophétie : « le jour où ils se rendront compte qu'un chaîne télé a émergé sur le Web, ce sera trop tard, le marché sera déjà tout américain ». Comment éviter la Bulle 2.0 ? A leur place, a expliqué LLM, il investirait tout de suite dans deux créneaux qu'il juge très porteurs : la vidéo (cf. le rachat de YouTube par Google pour 1,6 milliard de dollars) et les mondes virtuels (cf. le succès de Second Life et World of Warcraft - WoW). A ce sujet, Loïc Le Meur annonce un sujet de conférence original, puisqu'il s'agira de comparer les méthodes collaboratives requises pour réussir dans WoW et ce qu'il est possible de mettre en place dans une entreprise. Se défendant de tout optimisme béat, LLM s'est dit presque inquiet devant le succès de sa conférence. Il ne s'agirait pas de recréer une bulle. Mais il se veut confiant. « La différence avec 1999-2000, c'est qu'aujourd'hui les business models sont là », dit-il. Celui d'un Netvibes n'est toutefois pas très clair. Et un DailyMotion peine à concurrencer YouTube, or en matière de Web 2.0, qualifiée par LLM de « révolution des amateurs », il y a une très forte prime au leader, puisque tout est financé par la publicité. Enfin, le public peut être volage, il suffit d'un rien pour qu'il aille montrer son talent ailleurs. Entraînant avec lui la manne publicitaire. (...)

(06/12/2006 14:40:56)

Microsoft teste son Book Search

Microsoft devrait enfin inaugurer une version de test de son service de bibliothèque numérique, d'indexation et de recherches de livres, Live Search Books. A l'image de Google et de son très controversé Book Search, Microsoft reprend des extraits d'ouvrages tombés dans le domaine publique et d'universités américaines. A l'image de Google, le service de Microsoft propose des recherches plein texte dans les ouvrages scannés. Mais à l'inverse de Google, Microsoft opte pour une approche plus conservatrice, et ne numérise que des livres dont il déteint les droits ou l'autorisation d'utilisation des éditeurs. Pour alimenter son service, "et avant de sceller des accords formels avec des éditeurs début 2007", Microsoft indexe dans un premier temps des ouvrages des universités de Californie, de Toronto, de la "British Library" et de la bibliothèque de l'université de Cornell. "Les livres sont soit tombés dans le domaine publique, soit extraits des catalogues des universités possédant les droits", insiste Microsoft. L'éditeur confirme également avoir passé des accords avec la bibliothèque municipale de New York et le musée vétérinaire américain. Le service intégrera l'offre Live comme une option au service de recherche Web. Pour l'heure disponible aux Etats-Unis, il indexera uniquement des ouvrages en langue anglaise. Avant de débarquer en Europe, sans préciser de date. Après Google, Microsoft est le deuxième géant de le recherche Web à lancer son propre service d'indexation de livres. Yahoo, de son côté, participe au vaste projet de numérisation Open Content Alliance (dont Microsoft est également membre). Mais ne propose pas de service sous sa marque. En Europe, le projet de numérisation de Google avait provoqué une levée de bouclier de nombreuses bibliothèques, notamment la Bibliothèque nationale de France (BNF). (...)

(06/12/2006 11:32:03)

Mobile Office : réel engouement pour la convergence fixe-mobile

Evénement attendu chaque année sur le salon Mobile Office, le cabinet Devoteam Consulting (ex-Cesmo) publie son baromètre de la mobilité (200 entreprises interrogées, essentiellement des PME). Cette cinquième édition enfonce le clou : la priorité des entreprises pour 2007 est de pouvoir accéder à leurs applications professionnelles en tout lieu et en toutes circonstances. Les entreprises souhaitent avant tout de la simplicité, un guichet unique et une unification des communications. «Cette étude révèle deux choses. D'une part, la substitution fixe mobile est une tendance forte. L'an dernier, 15% des entreprises étaient prêtes à supprimer tout ou partie de leurs équipements fixes au profit d'une solution de téléphonie mobile. Elles sont aujourd'hui 41%. D'autre part, elles n'iront pas vers le tout mobile, la migration restera partielle. "Le fixe a encore de beaux jours devant lui", explique Jean-Luc Koch, président de Devoteam Consulting. Autre tendance, le marché grand public tire le marché pro. En effet, plus de 50% des entreprises se déclarent intéressées par des offres de type « multiple-play ». La VoIP mobile suscite notamment un intérêt important. Qui dit modèle grand public, dit forfaits. Les utilisateurs réclament ainsi des services packagés, forfaitaires et illimités. Jean-Luc Koch ajoute: «La mobilité connaît une banalisation complète et totale. Les freins sont levés. Les entreprises n'ont plus besoin d'informations ou de justifier le ROI. La mobilité est une extension naturelle du SI. Elles connaissent les technologies. Le taux de notoriété du Wimax atteint les 96% ». Par contre, si la sécurité n'est plus un obstacle, c'est un véritable enjeu. « Surtout la gestion des droits d'accès », renchérit Jean-Luc Koch. Surprise en revanche sur les prévisions d'investissements en mobilité. Seules 33% des entreprises sondées ont prévu des investissements à la hausse, contre 44% l'année dernière. Les entreprises ont mis à niveau leur SI pour permettre l'accès mobile à la messagerie d'entreprise. Preuve que la mobilité a d'ores et déjà acquis une certaine maturité. (...)

(06/12/2006 10:40:56)

Les spécialistes indiens de l'externalisation veulent s'internationaliser

Non contents de leur immense succès et d'une croissance moyenne de leur secteur d'activité proche de 30 %, les spécialistes indiens de l'externalisation Infosys et Wipro fourbissent leurs armes pour internationaliser. Wipro, le numéro trois dans le sous-continent, entend ainsi accroître la part de ses revenus réalisés en Europe. "Nous sommes forts dans les pays scandinaves et au Benelux et nous bâtissons des activités en Allemagne et en France. Cela ne signifie pas que les revenus que nous réalisons aux Etats-Unis vont décroître. Mais puisque notre niveau de pénétration en Europe est plus faible, les revenus vont progresser dans les prochaines années", estime ainsi Azim Premji, le président du groupe. De fait, après avoir signé trois acquisitions dans le Vieux continent cette année, Wipro veut poursuivre sur sa lancée et vise désormais des opérations de croissance externe dont la valeur se situe dans une fourchette de 50 à 100 M$. De son côté, Infosys, le numéro un indien de l'externalisation, veut faire progresser la proportion des salariés venus d'ailleurs que Bangalore, Bombay ou Delhi. Dans un entretien au Financial Times, Mohandas Pai, le directeur des ressources humaines du groupe, indique ainsi qu'Infosys augmenterait de 30 % chaque année les nouvelles recrues non indiennes. (...)

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